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Ma soumission à Katia et Franck – Chapitre 1




Cette histoire a débuté au cours de ma vingt-cinquième année. À l’époque, j’étais amoureux en secret d’une magnifique femme de quarante ans. Katia travaillait dans les bureaux de l’hôpital au sein duquel j’étais cuisinier.

Le boulot d’un cuisinier en hôpital n’est pas très passionnant. Il s’agit surtout d’ouvrir des boîtes et d’en faire chauffer le contenu dans d’énormes marmites. Mes semaines étaient vraiment monotones, mais il y avait un moment qui rendait la journée merveilleuse et qui me retenait à ce poste : c’était la pause cigarette de l’après-midi.

Par groupe de deux ou trois, nous allions prendre l’air dans la cour. Souvent, nous fumions notre cigarette en même temps que le personnel des bureaux. Et c’est là que je voyais Katia.

Dès le premier jour, je suis tombé raide dingue de sa silhouette de déesse et de sa classe éblouissante. Elle avait de longs cheveux noirs, très raides, qui descendaient jusqu’au ras de son cul parfait. Ses yeux, qu’elle avait noirs également, scintillaient en permanence d’un éclat hypnotique, comme deux belles pierres précieuses.

Quant à ses mains mon Dieu, ses mains ! J’aurais donné n’importe quoi pour que ma bite se retrouve prisonnière de ces beaux doigts gracieux, fins et élégants.

Et puis elle dégageait l’assurance tranquille des femmes quadragénaires, ce qui, à mes yeux, parfaisait son aura de déesse.

À l’époque, je n’avais pas de petite amie et je me branlais souvent en pensant à Katia. J’imaginais, là, au creux de ses belles cuisses, une chatte poilue et magnifique. Une chatte que je me voyais lécher avec une application proche de la vénération.

Je pense que ces branlettes quotidiennes expliquent en partie le fait que j’étais affreusement gêné en sa présence. Je ne pouvais pas la regarder sans imaginer aussitôt son cul ou sa chatte, sans que l’image de son corps nu ne s’impose aussitôt à moi.

De ce fait, je n’ai jamais réellement engagé la conversation avec elle. En revanche, dès qu’elle parlait avec l’un de ses collègues, j’écoutais avidement le son de sa voix, je m’en délectais et, bien entendu, je la regardais en douce, autant que la discrétion pouvait me le permettre.

Ça aurait pu en rester là : moi vénérant en secret une femme qui ne me voyait que comme une vague présence à sa pause clope de l’après-midi.

Mais voilà à force de me branler quotidiennement en pensant à cette déesse, je suis entré malgré moi dans ce que je considère, avec le recul, comme une forme de folie douce. Je me suis mis en tête, petit à petit, de déclarer ma flamme à Katia.

Et puis, un jour, tandis que j’allais aux bureaux pour signer ma feuille de présence, je suis tombé sur un panneau sur lequel étaient affichés tous les numéros de téléphone du personnel de l’hôpital. J’ai vite repéré celui de Katia et, à une vitesse folle, j’ai entrepris de le mémoriser. Je l’ai répété en boucle dans ma tête jusqu’à ce que je me retrouve seul aux vestiaires. Là, j’ai sorti mon portable et j’ai entré son numéro dans mon répertoire.

De voir son nom, là, dans mon répertoire, avec son numéro, ça a déclenché en moi une vague d’excitation incontrôlable. Je n’ai pas pu me retenir et j’ai été me masturber dans les toilettes, sans lâcher des yeux son nom affiché sur l’écran de mon téléphone.

Il ne m’a fallu que le trajet du retour, jusqu’à mon appartement, pour me convaincre moi-même de lui envoyer un texto. Je savais qu’elle avait plus ou moins un copain. J’avais entendu dire, par mes collègues, qu’elle voyait un mec de temps en temps. Mais, vu la façon dont les gens en parlaient, cette relation n’avait pas l’air bien sérieuse.

Nous étions vendredi soir et, encouragé par le fait que je n’aurais pas à l’affronter en face à face avant le lundi suivant, j’ai envoyé mon texto de déclaration amoureuse. Chauffé comme je l’étais par l’excitation sexuelle, j’ai tout avoué de mes sentiments.

Elle a répondu moins de cinq minutes après. Juste : « Passe demain soir chez moi, je serais seule, bisous ». Suivait son adresse et le numéro du code du portail de l’immeuble.

Le samedi soir, donc, je me retrouve à sonner à la porte de Katia. Quand elle vient m’ouvrir, je suis subjugué par sa beauté : elle est habillée d’une manière très classe et son maquillage est éblouissant. Elle porte une belle robe noire, ajustée très près du corps. La robe est très courte et ne cache quasiment rien de ses belles cuisses. Elle porte de grandes boucles d’oreilles, deux anneaux qui subliment sa nuque parfaite. Des gros bracelets en métal s’entrechoquent à chacun de ses poignets.

Dès qu’elle apparaît, je suis submergé par son parfum envoûtant. On la croirait plutôt apprêtée pour une soirée très chic que pour un simple apéro en tête à tête.

Je bande déjà comme un âne et je suis plus gêné que jamais.

Toutefois, elle parvient immédiatement à me mettre à l’aise. D’une voix très douce, elle m’invite à entrer et à m’installer au salon. Je m’assieds dans un fauteuil et elle prend place devant moi, sur le grand canapé. Entre nous, la table basse est couverte de bougies allumées, de biscuits apéro et de plusieurs bouteilles d’alcool. Un bâtonnet d’encens brûle doucement et achève de donner à l’instant son caractère magique et intemporel.

Nous nous regardons dans les yeux pendant un long moment, sans rien dire. L’atmosphère est à la fois troublante et délicieuse. Je sais d’instinct que nous allons finir d’ici peu dans son lit.

Comme pour confirmer mon intuition, elle bouge un peu sur le canapé et fait remonter doucement le bas de sa robe. J’aperçois alors sa petite culotte. Malgré la douce pénombre, rythmée par la seule lumière vacillante des bougies, je remarque que le tissu de sa culotte est légèrement humide.

C’est à ce moment précis que la porte de la chambre s’ouvre et qu’un homme entre dans la pièce. Je le reconnais aussitôt, pour l’avoir déjà aperçu à l’hôpital. Il vient parfois chercher Katia le soir. C’est Franck, le copain de ma bien-aimée.

Katia n’a pas du tout l’air surprise de le voir débarquer. Elle l’accueille même avec un grand sourire complice.

Tout en refaisant le nud de sa robe de chambre, il vient s’asseoir sur le canapé, à côté de Katia. Cette dernière l’enlace et commence à l’embrasser doucement dans le cou, avec une lascivité chaude et câline. Elle est maintenant à genoux sur le canapé et le bas de sa robe est complètement remonté. Je m’aperçois alors qu’elle porte un string qui ne cache rien de son cul magnifique et qui laisse même dépasser les poils de sa chatte sublime.

Franck se laisse embrasser et me regarde sans ciller. Il pose une main sur le cul de Katia et commence à le malaxer fermement. En me fixant d’un regard à la fois dur et amusé, il me lance : « Alors comme ça, petit enculé, tu voulais baiser ma femme ? »

Fin du premier Chapitre.

N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez en commentaire ! De même, si pour la suite de l’histoire vous avez des envies ou des suggestions, n’hésitez pas à m’en faire part ! Je reviens dans quelques jours, à bientôt !

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