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AVENTURES GIRONDINES – Chapitre 1




Cet été là, nous avions déserté nos traditionnelles plages de Vendée, au profit du bassin d’Arcachon. L’opportunité d’un hébergement dans la famille nous permettait, en effet, de découvrir une région touristiquement réputée mais vers laquelle nos migrations estivales ne nous avaient jamais conduits.

C’était une époque où, encore jeune , nous ne complexions pas trop sur nos corps et chaque été , nous fréquentions les plages naturistes. Ce n’était pas du militantisme, plutôt un art de vivre, une sorte de liberté un mois par an, mais aussi le moyen de fuir les ordres d’estivants avec chiens, ados, et transistors. Si les plages naturistes du pays chouans sont assez (mal) fréquentées sur "le haut de la dune " par quelques voyeurs, observant attentivement……… les oiseaux marins et les voiliers ……….à la jumelle, l’ambiance est totalement différente sur la grève. Très nombreux , les touristes allemands et hollandais, outre leur sculpturale prestance y véhiculent respect et convivialité. Est ce du au barrage de la langue ou a une éducation nordique? en tout cas nous y trouvions un havre de sérénité et de quiétude.

Ors donc, dés l’ arrivée sur ce nouveau lieu de villégiature, nous nous renseignâmes sur l’emplacement des spots connus. Les cousins nous indiquèrent, plan à l’appui , une plage, "naturisme autorisée", au sud du bassin.

Le lendemain , sur le coup de 14h nous nous garons donc au parking de la dite plage , plus connue sous le nom de "plage de la lagune" et entreprenons l’assez long trajet à travers les pins pour atteindre le rivage. C’était magnifique : une grève immense avec des superbes rouleaux , parfaits pour la pratique du Moray qui était ma passion de l’époque.

Il y avait pas mal de monde, en tout cas plus que sur les plages que nous avions connus. En outre c’était une ambiance plus "festive" que celle à laquelle nous étions habitués.. Les attitudes aussi étaient différentes. On ne sentait pas cette communion toute nordique avec la nature , mais plutôt une envie de séduire et de "paraître", typiquement latine. Nous avions quittés les Vikings à la peau et au visage tannés par le vent du nord, Pour les exibitionistes à Rayban et luisants d’huile solaire. Ma femme, la première en fit la remarque, en me désignant un couple, pas très loin devant nous , qui, debout au milieu des adeptes de la bronzette, s’enlaçait et se bécotait. Sans complexe et tout naturellement, l’homme montrait à madame , que ces attouchements n’étaient pas sans effets en développant une superbe érection. Quand ils se dirigèrent vers la plage, le sexe à l’horizontal de monsieur était suivi d’un regard envieux ou jaloux ….c’est selon . Arrivés dans les premières vagues , Elle se mit en tête de nager sur le dos, son compagnon lui retenant les jambes. Le flux et le reflux leur permettant de jouer à une sorte de bilboquet humain. Un véritable spectacle , d’ailleurs apprécié par quelques spectateurs, masculins pour la plupart, qui s’étaient approchés. Ils ne manquait plus que les applaudissements

C’était effectivement un autre style de vacances

Le lendemain, en nous promenant sur le rivage , nous comprimes vite que nous étions non seulement sur un "spot" naturiste mais aussi exhibitionniste / voyeuriste. Pour parler simplement: ça baisait dans tous les coins…….

Le soir venu , nous nous interrogeâmes bien évidemment sur l’opportunité de poursuivre notre séjour en ce lieu. La curiosité et l’attrait érotique entérinèrent la décision d’y passer la semaine. Chaque jour amenait une nouvelle surprise et très rapidement nous comprîmes que le voyeurisme était autant pratiqué que l’exhibitionnisme. Ce fut mon épouse qui l’expérimenta. S’étant éloignée dans l’arrière dune ( drapée d’une serviette de bain) pour satisfaire une envie que le bruit des vagues et l’immensité aquatique rend souvent pressante à la plage, elle revint quelques temps après un peu paniquée. Elle m’expliqua qu’elle avait eu du mal à trouver un bosquet d’ajoncs car de nombreux hommes déambulaient un peu partout. et quand, enfin, elle crut s’isoler, elle eu la surprise de voir, sortis pratiquement du néant, deux messieurs, sans doute amateur d’urologie, car ils se masturbaient allègrement à quelques mètres d’elle. Quand elle se releva, l’un disparut mais l’autre , auprès de qui elle devait passer pour retourner sur la plage, fut d’une grande courtoisie, la remerciant même chaleureusement . Pour conclure son récit, elle ajouta cette phrase que nous nous remémorons souvent: " En plus dans la dune, ça sent le sperme partout"

Sur la plage , les adeptes de la bronzette crapuleuse le faisait quand même assez discrètement . On devinait l’accouplement à la position des corps ou les masturbations au temps mis pour passer la crème à bronzer au compagnon ou à la compagne.

Nous expérimentâmes cette dernière pratique régulièrement et avec beaucoup de succès. Il faut dire que la lubrification à l’ambre solaire permet une cadence élevée sans risque d’échauffement ou d’irritation et qu’elle optimise les doigtés divers, profonds et variés.

Tout cela n’était cependant que broutilles, car nous avions bien compris, (aux diverses allées venues) que le théâtre érotique se jouait dans la pinède à l’arrière de la plage. Nous en fumes d’autant plus convaincus, quand un superbe athlète , 25 ans, tablettes de chocolat, sexe à l’horizontal, vint nous proposer "d’aller faire un tour derrière"…..

j’étais très tenté , car je savais que ma femme fantasmait d’être prise par plusieurs hommes en même temps et pour moi il y avait vraiment une grande excitation à matérialiser une double pénétration que nous n’avions expérimenté qu’avec le secours d’un godemiché .

Je me tournais vers mon épouse , mais je vis qu’elle hésitait et n’osait pas ….

Le bellâtre n’insista pas , moi non plus malgré la déception.

J’avais bien sur, visité cette fameuse arrière dune. J’y avais vu plusieurs fois des couples, copulant allègrement devant un parterre masculin attentif. Il me fallut cependant un certain temps et plusieurs visites pour comprendre ce qui se passait réellement. En fait , il y avait 3 groupes de personnages : Essayons d’être rigoureux et scientifiques et d’établir une classification des espèces. Tout d’abord le couple exhibitionniste ("exhibitionist iugo" en latin) qui forniquait allègrement en variant les positions, puis le groupe des voyeurs purs ("pura voyeur") se contentant de se masturber et de quitter les lieux après éjaculation et enfin le groupe des voyeurs "espérant participer" ("sperans ad participant voyeur"). Ces derniers, comme pour un défilé de mode, ou plutôt comme pour la visite médicale d’incorporation (que tous avaient du connaître, vu leurs âges) présentait leurs attraits en faisant la queue (si je puis dire). Il y avait peu de refus , mais la prise en charge pouvait être différente selon l’individu ( c’est une de ces situations où l’on voit que l’égalité est un vain mot et où l’’égo en prend un coup). La figure la plus classique présentait madame chevauchant hardiment monsieur ( ou son remplaçant) tout en s’activant, manuellement, furieusement sur les sexes présentés. Un chanceux se faisait parfois sucer…..

C’était , si l’on peut dire , le modèle de base, mais des variantes semblaient possibles

J’essayais bien de convaincre Claudy de venir assister au spectacle , espérant secrètement l’exciter et lui donner envie d’une expérimentation , mais elle refusa et je restai sur ma faim

Cette ambiance libertine influençait cependant fortement nos soirées et si au cours de nos ébats, elle avouait être terriblement tentée par une expérience avec deux autres hommes, elle craignait l’hygiène (je ne me rappelle plus si l’on parlait du sida à l’époque) et surtout de voir rappliquer une multitude de mecs .

Quand à moi, je fantasmais vraiment de voir comment elle se comporterait avec plusieurs amants

Le dernier jour des vacances arriva et le samedi après midi, alors que Claudy préparait les valises et nettoyait l’appartement , je ruminais ces occasions manquées. Vers 17h, je me dis qu’il était trop bête de ne pas garder un souvenir

Prétextant une dernière sortie à vélo, j’enfourche mon deux roues et me lance sur la route de Biscarosse. Dés la sortie de la ville , je me rend compte que ça va être dur , car un fort vent de sud – sud ouest s’oppose à mon envie de libertinage. Au bout de 3/4 d’heure, épuisé, ruisselant de sueur, j’arrive enfin au parking. ………………….

Immédiatement de multiples problèmes apparaissent. Avant d’hanter les lieux à la recherche d’une occasion, Il faut impérativement que je me "désueurarise". Une solution simple consisterait à me jeter à l’eau, mais je n’ai pas de serviette , ni de maillot de bain (pour la plage "textiles" ). La solution la plus évidente consisterait à traverser (en tenue cycliste) la plage "textiles" pour me rendre au spot naturiste. Mais là encore se posera le problème de la serviette et en plus, l’arrivée d’un cycliste , sans matériel de plagiste, aura tout du voyeur qui n’assume pas.

Le vent marin ayant quelque peu asséché mon corps, j’opte alors pour une stratégie osée et risquée mais qui me semble la meilleure. Cette option toute militaire se résume ainsi:

Investissement du site par la terre , déshabillage express, planque des habits ( c’est la part de risque), recherche de l’objectif, consommation de l’objectif, repli.

Les deux premières phases se déroulent à merveille, la troisième me pose problème car j’évoque avec terreur le vol éventuel de mes effets. Préférant ne prendre aucun risque, je repère un pin sylvestre caractéristique et , utilisant un terrier de lapin, j’enterre carrément mon cycliste et mon débardeur.

Ces détails matériels réglés et, habillé de ma seule montre que je consulte frénétiquement, je pars en chasse.

Je croise quelques collègues, je n’ose demander s’il y a du gibier, et, ne trouvant rien , je me rapproche de la plage. Je me positionne sur le haut de la dune, espérant ainsi, tel le guetteur de palombes, repérer plus facilement les couloirs de migrations sexuelles. Il ne me reste plus beaucoup de temps quand, enfin, je vois un couple se tenant par la taille faire mouvement vers l’arrière dune…..

C’est un couple plus âgé que moi , mais si monsieur paraît bien décati, la dame a encore de beau reste. Un bronzage intensif rajoute à sa sensualité. Des seins énormes, comme je n’en ais jamais palpés, se balancent aux rythme de ses pas . M’apercevant, debout face à l’océan, tel la figure de proue d’une galère romaine au rostre long et puissant (j’exagère à peine), ils se déroutent et m’approchent. Ils arrivent près de moi, en même temps qu’un jeune type au rostre tout aussi puissant sorti de je ne sais où. La dame dont le regard va de l’un à l’autre, évalue avec gourmandise les conséquences d’un double éperonnage . Le mari, courtois et jovial nous demande: " Voulez vous venir vous amuser avec nous?"

La belle blonde n’a pas attendue notre réponse et s’assure déjà , manuellement, de la qualité de la marchandise .

Tournant les talons, nous nous dirigeons vers une sorte de clairière au milieu des alisiers et des arbousiers. Mon compagnon d’arme a déjà enlacé la belle et marche d’un pas pressé. Avec le mari , nous suivons de près, moi l’il rivé sur son postérieur a tel point qu’il me fait remarquer : " beau cul n’est ce pas?"

Nous sommes à peine arrivés et notre hôte n’a pas encore déployé la grande serviette de bain qu’il porte sur l’épaule , qu’à genoux la blonde nous suce avec entrain. Ayant installé le futur théâtre des ébats , il nous rejoint et lui présente à son tour son sexe. Elle a vraiment de la ressource et , a tour de rôle, avale avec entrain les trois membres dressés. Il faut dire que monsieur l’encourage et, en appuyant sur sa nuque, agrémentant son geste d’un " suce les bien ma salope", l’oblige à nous engloutir jusqu’aux couilles.

A ce rythme là , j’ai du mal à résister et je dois penser à des choses tristes , comme l’éventuel vol des mes habits dans le terrier de lapin, pour ne pas éjaculer. C’est bon mais il faut gérer. La demande du jeune mec " on peut la baiser" et la réponse du mari indiquant que la réserve de préservatifs se trouve dans le sac à dos qu’il a déposé sur la serviette. nous permet de faire un break et de reprendre un peu mes esprits.

La suite s’annonce épique, mais je suis tiraillé entre l’envie de profiter de cette occasion que j’imagine rarissime et mes impératifs horaires, compliqués par un retour que je sais difficile car le vent a tourné et je vais l’avoir encore pleine face. Je regarde donc autant ma montre que les seins de la belle qui balancent au rythme de ses allées retours sur la bite du 3ème larron. J’en suis là de mes pensées quand le mari , me tendant un tube de crème me demande tout à trac " tu veux lui faire le cul" . devant mon hésitation il tient à préciser " tu peux y aller , elle adore ça , une vraie pute" Je tergiverse, et plus prompt , le jeune mec se porte volontaire .

Le mari en habitué dirige les opérations . il demande à notre compagnon de rester sur le dos, la dame boit un coup en me disant tout sourire "ça épuise" , j’enfile une capote et monsieur lui prépare l’anus . il m’invite d’ailleurs à constater sa faculté de dilatation , me donnant par la même quelques regrets.

Elle s’ empale sur le jeune avec la grâce et la souplesse que confère une grande expérience. Se rejetant en arrière, en appui sur ses avants bras et retenu par l’autre, elle m’invite, d’un "enfile moi" autoritaire à la pénétrer. Impression extraordinaire, Je sens très nettement à travers la fine membrane de chair, le sexe de mon compagnon qui l’encule consciencieusement . l’effet est terrible et je vois à son regard et sa mâchoire crispée qu’il en est de même pour lui. Le mari qui se fait sucer, n’arrête pas de nous encourager avec des " défoncez la bien cette salope ". Mais hélas tout a une fin et n’étant pas des professionnels du porno, ce qui devait arriver arriva : Je sens mon compagnon de bonne fortune gonfler, je l’entends gémir, grogner, exploser . La dame pousse un hurlement ce qui me fait éjaculer instantanément ………………….

Un peu piteux je me retire , récupérant une flasque enveloppe dont je ne sais que faire. N’osant demander s’ils ont prévu de récupérer l’objet , je le laisse tomber et l’enterre (plutôt l’ensable ) par quelques habiles mouvements de pied. Le jeune est déjà parti . Moi, moins habitué, plus poli, très gêné, murmure un " c’était super, merci" à ce couple qui n’en a visiblement que faire.

Je tourne les talons et fonce vers le terrier ……heureusement tout est là …

Le retour fut comme tout les retours, emprunt d’un sentiment de culpabilité et de satisfaction réunis. agrémenté d’une irritation des testicules , par la grâce de mon cycliste et du sable resté à l’intérieur

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