Salut c’est votre folle de lycra
Dans les deux chapitres précédents je vous racontais comment dans ma jeunesse je m’étais retrouvé à être logé chez ma tante Geneviève à Montpellier pour poursuivre mes études en biologie. À l’époque j’étais puceau et surtout innocent mais petit à petit tata Geneviève s’est chargée de mon éducation. J’ai aussi eu l’occasion de rencontrer son amie Coralie, c’est toutes les deux qu’elles se sont chargées de me faire découvrir les joies du sexe. Le début de ma formation s’est étalée sur plusieurs mois et c’est ainsi que j’ai appris à faire la toilette intime de ces dames mais surtout que j’ai découvert le plaisir de la fellation de leur part. Pour la première fois de ma vie je dormais avec une fille, cette dernière étant ma tante, la petite sur de ma mère. C’était Geneviève qui donnait le rythme et de temps à autre Coralie venait participer. Tata savait très bien que je me faisais des petits plaisirs et que tout cela partait dans mes chaussettes; je pense même qu’elle devait se douter que je pensais à elle à ces moments-là.
En fait alors que nous étions dans le canapé a essayer de regarder la télé nous avons plus passer de temps à nous embrasser et nous caresser. À l’heure de se coucher j’ai eu la joie que Geneviève m’invite de nouveau à dormir avec elle. Tata se moquait de moi car j’avais sans arrêt la gaule dès qu’elle me touchait, elle me disait sans arrêt que j’avais un gros potentiel. Ce soir là, je n’ai pas eu besoin de mettre le pyjama, ma tante m’a tendu une culotte qu’elle a sorti du bac à linge sale. La pièce de tissu sentait très bon la femme, très bon le désir et même si cela n’était pas vraiment masculin je ne me suis pas fait prier pour l’enfiler. Elle se moquait de moi car mon sexe de taille respectable n’était pas totalement contenu par sa petite culotte, elle m’a même gratifié d’un baiser sur le bout du gland qui dépassait.
La douceur avec lequel elle faisait ça ne faisait que faire croître mon érection, ses caresses conjuguées à la douceur de sa culotte me faisaient fermer les yeux de plaisir. Ma tante se chargeait de mon éducation mais j’avais vraiment l’impression que de son côté, elle se dévergondait jour après jour. Je l’ai encore constaté ce soir-là lorsqu’elle a été glisser trois doigts dans son minou pour me les donner à sucer ensuite. L’odeur et le goût de son nectar me faisaient sans arrêt regretter de ne pas avoir goûté aux femmes plutôt. Avant de me coucher j’ai eu le plaisir de pouvoir l’admirer nue, je n’avais d’yeux que pour ses seins, je n’étais pas expert dans le domaine mais je pense qu’elle devait faire un 95D. Ses tétons qui étaient légèrement plus gros que le diamètre d’un stylo bic sur une longueur d’environ quinze millimètres. Je pense que Tata était désireuse mais moi j’étais surtout omnubilé par la taille et la forme de ses seins. Quand elle a pris mes deux mains pour les poser sur sa poitrine, j’étais aux anges, je sentais quand même un contraste tactile entre la douceur de ses seins et la rigidité de ses tétons dans la paume de mes mains.
Comme tout à l’heure devant la télé nous nous sommes mis à nous embrasser avec gourmandise et passion; quelque chose était en train de naître entre nous. Comme la veille, tata s’est glissée sous les draps avec juste une touche de parfum comme vêtement, je l’y ai rejointe quelques secondes après et ne pensais qu’à une chose glisser mon kiki en elle. J’avais honte de ne penser qu’avec mon sexe mais je veillais bien à me contenir pour qu’elle n’y voit rien. Je venais de me coucher dans son dos mais une fois bien installés sous les draps, ma tante s’est retournée pour m’embrasser à nouveau. En plus de m’embrasser maintenant sa main droite était partie dans sa culotte que je portais, elle s’est mise à me balancer les choses de la vie. Je la sentais experte mais en même temps novice, je n’arrivais pas à la cerner exactement à ce niveau-là. Elle est ensuite venue s’allonger sur moi, cela me faisait tout drôle de sentir sa chaleur féminine contre mon corps tout excité. Maintenant mon sexe était en contact avec ses poils pubiens et j’avais vraiment l’impression qu’elle se frottait le minou contre mon dard.
Ma tante a saisi mon sexe pour carrément aller visiter de l’entrée de son vagin avec, il n’a pas fallu beaucoup de temps à mon sexe innocent pour être complètement inondé de cyprine. Chaque poil de sa toison qui frottait contre mon prépuce me faisait du bien, ce dernier n’avait jamais été autant sollicité même durant la fellation qu’elle m’a dispensé. J’appréciais beaucoup cette façon de me soumettre à ma tante, c’est elle qui dirigeait les opérations et je ne faisais que m’exécuter, que lui obéir, que faire ce qu’elle me disait; pour notre plus grand plaisir à chacun. Je donnais des coups de reins, en imaginant que je la pénétrais, à vrai dire maintenant je ne pensais plus qu’à ça. Puis Geneviève a positionné mon sexe bien à l’entrée de son vagin et elle s’est empalée dessus. Il n’y a pas eu une douleur, je venais de perdre mon pucelage avec ma tante. Elle s’est mise à m’embrasser comme jamais puis entre deux baisers elle m’a avoué que c’était la première fois qu’un homme la pénétrait.
Je n’en revenais pas, je venais de dépuceler la sur de ma mère, en fait j’ai eu le droit à plus de détails à savoir que ce sont les sextoys qui s’étaient chargés de lui prendre son pucelage. Le fait qu’il n’y a eu aucun frottements n’était pas du à la petite taille de mon sexe mais au fait que son vagin ait été bien dilaté par ses joujoux. Geneviève avait l’air d’apprécier ma présence en elle et le moindre de mes mouvements la faisait sursauter. De temps à autre elle faisait une pause pour venir m’embrasser avec beaucoup de fougue puis se redressait et continuait à se faire du bien sur mon chibre. C’est elle qui dirigeait les opérations en montant et descendant sur mon sexe, le plaisir était divin. De mon côté j’en profitais pour lui saisir les seins et délicatement lui malaxer en jouant avec la pointe. Chacun avait l’air d’y trouver son compte. Depuis quelques instants son regard porté sur moi avait beaucoup changé, j’avais l’impression qu’elle était désormais amoureuse. Elle s’est mise à sauter de plus en plus fort sur moi, comme si elle faisait du cheval, avant de se mettre à crier de plaisir.
Je venais de faire jouir vaginalement la sur de ma maman, je n’ai pas été bien long à la rejoindre. Je me suis un peu retenu sur le coup, car j’allais lui balancer énormément de liqueur au fond de ses entrailles; son regard approbateur m’a laissé comprendre que je pouvais partir au plus profond de ma tante. Je ne sais pas exactement la quantité que j’ai déposé, mais au moins sept ou huit grosses giclées, Geneviève continuait à monter et descendre sur mon dard, alors que moi je n’en pouvais plus tellement il était sensible. Tata a fini ses mouvements puis c’est complètement allongée sur moi, j’adorerais sentir son corps chaud sur le mien; elle est resté là, quelques instants immobile, le temps de reprendre ses esprits puis elle est partie se doucher rapidement. À son retour elle m’a dit qu’elle ne pensais pas avoir retiré toute la liqueur qu’elle avait en elle. Geneviève m’a expliqué qu’elle avait senti tous les jets de semences que je lui avais déposé et qu’elle en était très émue. Elle est revenue s’allonger sur moi puis a tiré les draps sur nous et nous nous sommes endormis, épuisés par nos folies.
Heureusement, le lendemain nous ne travaillions pas et j’ai pu profiter de ma maîtresse qui était à la fois ma logeuse et ma tante. J’ai bien évidemment été réveillé par la fellation qu’elle était en train de me prodiguer, je peux vous garantir que l’on attaquait le weekend du bon côté avec de telles prestations. En plus de l’odeur féminine sous les draps qu’il y a eu toute la nuit j’étais toujours avec sa petite culotte et ce n’était pas pour me déplaire. Ma tante a été jusqu’au bout de la fellation et elle a tout avalé, avant de venir m’embrasser; bien évidemment sa bouche avec un petit goût de sperme tout de même. Quand nous nous sommes levés pour aller prendre notre petit déj, Geneviève m’a tendu une robe très longue qui dans ses propos allait faire office de chemise de nuit. Une fois de plus ma masculinité en prenait un coup, mais si je devais vivre ça pour pouvoir honorer ma tante régulièrement, j’étais prêt à m’y plier.
Ma tante a pris son téléphone et a envoyé des SMS, plein de SMS, elle communiquait avec une personne. Bien évidemment après le petit déj je me suis occupé de débarrasser la table et faire la vaisselle. Cela me faisait tout drôle d’être ainsi vêtu, j’adorerais la douceur du frottement de ma robe sur la culotte; j’avais un peu l’impression d’être une pédale, mais une pédale qui venait de faire l’amour à sa tante. Une fois mes tâches terminées je suis parti me recoucher dans mon lit mais Geneviève m’a invité à venir me recoucher dans le sien. Quand elle me donnait des ordres comme ça, je me sentais à elle, je me sentais sa soumise; j’étais prêt à lui obéir pour tout lui faire. Vers onze heures, on a sonné à la porte, j’ai sursauté; manifestement ma tante attendait quelqu’un. Quand elle m’a demandé d’aller ouvrir sur le coup j’ai refusé vue la tenue, quand elle m’a dit que c’était Coralie et qu’elle savait que j’étais habillé comme ça; j’ai fini par obtempérer. Je suis donc parti lui ouvrir la porte en faisant attention à ce qu’aucun voisin ne me voit ainsi accoutré.
Elle est rapidement rentrée et ma immédiatement embrassé sur la bouche, un baiser gourmand plein de passion; j’étais en train de me dire que je prenais autant de plaisir à embrasser l’une comme l’autre.
— Tu es magnifique ainsi vêtu comme ça.
— On a envie de te croquer et de te faire l’amour.
— Alors comme ça, ta tante t’a fait homme cette nuit.
— Viens me montrer comment tu as fait à mon amie cette nuit.
C’est ainsi qu’elle m’a pris par la main pour m’emmener dans la chambre de ma tante. Une fois arrivés dans la chambre, tata était toujours au lit et Coralie s’est mise à rapidement se déshabiller pour se retrouver en petite culotte, seins nus devant moi. Quand elle est venue me plaquer contre elle et surtout m’embrasser, je n’ai pas pu dissimuler juste une seconde mon érection qui était carrément calée sur son ventre. Ses mains me caressaient tout le corps et cela me faisait encore plus d’effet quand elle passait sa main sur ma culotte en lycra. Je devenais aussi la soumise de Coralie.
Geneviève nous regardait avec un regard coquin, elle était assise dans le lit, les pieds en tailleur, un oreiller au milieu et elle s’était recouverte d’une couverture. Je ne sais pas ce qui me retenait de ne pas sauter sur Coralie tellement elle m’excitait mais je savais que dans quelques minutes nous allions passer aux choses sérieuses. Coralie poussait les caresses jusqu’à aller me solliciter ma raie culière et même mon petit trou, c’est ainsi que j’ai découvert combien j’étais sensible à cet endroit-là. Quand elle m’a fait allonger sur le lit, j’ai su que j’allais passer à la casserole; elle a veillé à ce que je garde ma robe longue pour pouvoir aller se glisser en dessous. J’en étais à ma deuxième fellation en une matinée par deux femmes différentes, mon éducation sexuelle passait à la vitesse supérieure. Pendant que Coralie avait la bouche pleine, Geneviève est venue m’embrasser plusieurs minutes avant de littéralement venir s’asseoir sur moi et me coller son minou dans la bouche. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je lui fasse un nettoyage bien en profondeur et par moment j’arrivais à retrouver un petit goût de mon sperme de la veille.
J’étais maintenant concentré sur deux choses à savoir, veiller à ne pas partir trop vite dans la bouche de Coralie et en même temps essayer de donner le plus de plaisir possible avec ma langue à ma tante. J’ai trouvé très agréable le ressenti de cette robe longue avec cette amie qui se trouvait en dessous en train de me faire une pipe.
— Tu vas devenir notre étalon.
— Nous allons faire en sorte que tu ne puisses plus te passer de dessous féminins.
— Tu vas prendre l’habitude de jouir régulièrement quand nous serons tous les trois
— Nous ne ferons l’amour avec toi que si es dans des tenues féminines.
Ces mots venaient de la bouche de ma tante car Coralie avec la bouche pleine et le programme qu’elle m’annonçait n’était pas pour me déplaire. J’étais heureux car je sentais que je faisais du bien à Geneviève et je me disais qu’elle pourrait très bien jouir dans quelques minutes.
Notre amie suceuse a décidé que la pipe était finie et elle a retiré sa culotte puis est venue soulever l’avant de ma robe. Coralie est venue se mettre à califourchon au-dessus de moi puis tata a saisi mon sexe pour bien venir le positionner à l’entrée du vagin de son amie. Quelques secondes après elle venait s’empaler sur mon sexe vigoureux et la sur de ma mère est venue l’embrasser. Tout comme tata le fit cette nuit, elle s’est mise à aller et venir sur mon sexe, ce qui me procurait un plaisir fou. Le vagin de Coralie était plus étroit et du coup il était beaucoup plus agréable pour moi, par contre il m’était de plus en plus dur de réussir à me retenir de partir en elle. Quand j’ai entendu ma tante s’exprimer j’étais sur le cul.
— Baise la cette gougnote elle n’attendait que ça
— C’est la première bite qui la pénètre et je suis heureux que ce soit celle de mon neveu
— Tu vas voir qu’elle va devenir comme moi accro à ta bite.
Il n’y a pas à dire ma tante était déchaînée.
Geneviève était partie récupérer la culotte de son amie pour me la donner à sentir et lécher, vu la quantité de Cyprine qu’il y avait dessus je me suis rapidement retrouvé avec le visage trempé. Quand j’ai entendu Coralie commencé à pousser des petits cris j’ai su que j’étais sur le bon chemin, il ne lui a fallu que quelques minutes pour se mettre à crier de grands cris qui, rapidement, ont été neutralisé par les baisers de ma tante. Heureusement qu’elle a été rapide car, vu le contexte, je n’aurais pas tenu une minute de plus sans éjaculer en elle. Je pense que mon sexe était plus gros qu’avec ma tante et il était plus long par contre j’ai dû lui déposer moins de liqueur car j’en étais quand même hein ma troisième éjaculation en moins de quatorze heures. Ma partenaire est restée encore plusieurs minutes à monter et descendre sur mon sexe qui était en train de ramollir quand même mais cela continuait à me procurer des sensations formidables. Cela ne faisait pas une heure que Coralie était arrivée et nous venions de faire l’amour comme des fous. Après cette magnifique partie de jambes en l’air, nous nous sommes tous les trois glissés sous les draps pour nous assoupir et récupérer un peu.
En espérant que ce troisième chapitre vous ait plu
Gros bisous à vous