Une semaine avait passé depuis la fin du festival au cours duquel j’avais pu découvrir la sexualité. Une semaine que je ne pensais plus qu’a cela. Je n’attendais qu’une chose : passer à la vitesse supérieure.
C’était les vacances d’été, j’avais donc beaucoup de temps libre. Je me masturbais beaucoup en pensant a tout ce que j’avais vécu le dernier weekend. Mon sexe était constamment humide, il fallait absolument que je comble ce trou béant qu’était ma chatte.
Je réfléchissais beaucoup à comment je pourrais satisfaire ce besoin omniprésent. Je me demandais même si c’était normal. Et si je le faisais avec plusieurs personnes à la fois ? Je pourrais ainsi avoir ma dose !
L’idée germa dans ma tête quelques temps. Quelques jour plus tard, j’eu l’occasion de passer à l’action.
En bas de chez moi, un groupe de garçons de mon âge jouaient souvent au basket. Etant donné que nous étions en vacances, ils étaient la tout les jours. Je m’étais déjà masturbée frénétiquement en voyant tous ces corps virils en sueurs bouger.
Je décidai donc d’y aller franco, quitte à passer pour une pute. J’allais offrir mon corps à ces bestiaux. Ils ne respiraient pas l’intelligence et ne me traiteraient surement pas avec gentillesse, mais je m’en fichais : c’était exactement ce que je voulais.
Un jour ou mes parent étaient partis, je descendis donc de mon immeuble. J’avais enfilé une tenue simple mais provocante. Un haut très décolleté, une mini-jupe et des talons hauts. Je m’étais maquillée et coiffée.
Je m’approchais a peine du terrain de basket lorsque plusieurs regards se tournèrent vers moi. Ils étaient quatre. Ma petite chatte picotait déjà. Deux d’entre eux sifflèrent.
— Wouuaah mais qu’est ce qu’elle fait ici la petite coquine ? T’es perdue ? Lança l’un deux.
— Viens t’amuser avec nous ! On va pas te manger, lâcha un autre.
Il fallait que je continue dans mon personnage.
— Et si je veux être mangée ?
Leur réaction ne se fit pas attendre. Ils crièrent tous d’étonnement. Ils ne devaient pas voir ça tous les jours, j’étais fière de moi.
— C’est qu’elle est coquine ! S’exclama un troisième. Tu cherche donc vraiment à passer du bon temps, ça me plait.
— Si ça se trouve elle se fout de notre gueule les gars ! Tu veux quoi exactement ?
— Hé bien… Je me sens un peu seule chez moi, j’aimerais un peu de compagnie.
Ils avaient tous des étoiles dans les yeux. Ils n’en revenaient pas. Je voyais déjà des bosses apparaitre dans leurs short de sport.
— On dirait que vous aimez ce que vous voyez, dis-je.
Ils se rapprochèrent.
— Et si tu nous montrais ce que tu as la dessous ?
C’était intimidant mais incroyablement excitant.
— Venez… Et vous aurez tout ce que vous voulez, il y en aura assez pour tout le monde.
L’affaire était dans le sac. C’était incroyablement facile, je n’en revenais pas de mon assurance. J’emmenais donc ces montagnes de muscles chez moi pour une bonne partie de plaisir. Enfin.
Arrivés chez moi, je passai directement aux choses sérieuses.
— Alors les garçons, par qui je commence ?
Ils se rapprochèrent tous, surexcités. J’allais vider les couilles de tous ces messieurs les uns après les autres. Je voulais collecter le plus de sperme possible dans tous mes trous. Ça promettait d’être bon.
Je m’agenouillais pour pouvoir voir de plus prêt toutes ces bosses dans les shorts. Les tailles variaient, mais j’allais globalement être satisfaite. Je me mordais les lèvres d’envie.
— Mmmh elle fait pas mine celle là.
— Ouais une vraie petite salope.
Je me mis à caresser les bites à travers les shorts. Je ne savais pas trop ou donner de la tête, il y en avait quatre après tout. Les garçons sortirent un a un leur sexes dressés à fond. J’allais exercer mes talents de suceuse.
— T’aimes ce que tu vois ?
— Hésite pas tu peux goûter !
Ils n’étaient pas très délicats. Je m’en fichais, c’était juste des bites sur pattes pour moi.
D’un naturel incroyable, je pris deux bites au hasard en main et commença à les branler doucement. J’ouvris grand la bouche pour reçevoir un troisième dard dans celle-ci.
J’avais enfin la bouche remplie. Mince, il fallait que je m’occupe du quatrième aussi ! Je décidais alors d’alterner.
Cela dura un bon moment. Je m’affairais comme je pouvais sur ces grosses queues. J’essayais de ne pas faire de jaloux mais c’étais difficile. Ma technique commençait à s’améliorer. Les hommes semblaient aimer que je salive en abondance sur leur membre. J’alternais entre pompage et gobage de testicule : je me sentais comme une pro.
Les membres des garçons avaient tous leur particularité. J’avais ma préférée mais j’essayais de le cacher. Elles avaient cependant toutes une odeur très masculine due au fait qu’ils venaient de faire du sport. C’était très excitant. J’avais hâte de les prendre toutes au fin fond de mes entrailles.
L’un deux s’engaillardit. Il commença à me malaxer les seins. Cela donna des idées aux autres puisqu’ils commencèrent à me toucher de partout. Je sentais des mains sur tout mon corps. Ça y est, j’étais comme un objet pour eux.
Je leur facilitai la tâche et enlevait mon haut. Quelques sifflements suivirent. Je m’empressai ensuite de reprendre mon travail. J’essayais d’avoir constamment une bite en bouche.
Les attouchements devenant très insitants, j’enlevais ma mini-jupe. J’étais donc en sous vêtements et en talons pour sucer ces quatre grosses queues.
Soudain, l’un des garçons, n’en pouvant plus, baissa ma culotte et passa sa main dans ma fente humide.
— Elle est toute mouillée ! Je vais te baiser direct ma salope !
— Mmmh oui vas y ma chatte est toute à toi.
Je me mis à quatre pattes et il me mit un gros coup de rein. Ça allait devenir dur de continuer à m’occuper convenablement des autres.
— Vas y plus fort ! Défonce moi allez !!
Il n’y allait pas assez fort… J’en voulais plus.
A ces mots, l’homme redoubla d’efforts. Celui que j’avais en bouche commenca à me la baiser. Il m’enfoncait sa bite au plus profond. Ils commencaient à comprendre que je n’étais vraiment pas la pour rigoler.
L’un d’eux passa sous moi. J’avais compris : il allait me prendre la chatte pendant que l’autre derrière me prenait le cul. J’allais me faire sodomiser pour la première fois.
L’homme derrière moi me cracha sur le cul puis frotta avec ses doigts. Pendant ce temps, celui dessous commenca a me piloner. Il était efficace, c’était bon. Je ne faiblissait pas sur mon travail de pompage de dards non plus : toute bite se présentant à ma bouche je suçais avec vigueur.
Je sentis une bite entrer par mon petit trou. Ça y est j’étais remplie par tous les orifices. Je commencais à prendre mon pied.
— Oui c’est bon ! OUI ! Baisez moi !
Le plaisir montait, je sentais la jouissance arriver.
Un premier homme éjacula dans mon cul. Mince, une bite hors service. Pas grave, il en restait trois. Un autre pris sa place dans mon cul duquel le sperme coulait.
Je ne pouvais plus bouger : j’étais prise au piège entre ces bites. Le nouveau qui était dans mon cul était plus gros : il élargissait le trou encore. Il était également plus vigoureux : je reçu quelques fessées. Je devais avoir les fesses toutes rouges.
J’eu un orgasme fabuleux. J’étais prise de tremblements incontrolables. J’étais dans un autre monde, à tel point que je n’entendis pas la porte de l’appartement s’ouvrir.
— Que… Amandine ?!
Mes parents. Non, c’était impossible, ils ne devaient revenir que des heures plus tard.
Un homme m’éjacula sur le visage. Ce n’était pas le moment…
— Que tous ceux qui n’habitent pas ici foute le camp, dit calmement mon père.
Les hommes prirent leurs vêtements et sortirent en rigolant. Moi, j’allais passer un sale quart d’heure.
Mes parents étaient sous le choc, ce que je pouvais comprendre;
— Amandine… Je… Je ne savais pas, commença ma mère.
— J’imagine qu’on ne t’a pas vu grandir mais… Quand-même, quatre à la fois ? Enchaina mon père.
— Je suis désolée Papa, Maman.
J’avais du sperme plein le visage. C’était incroyablement génant.
— Je pense que nous allons devoir te punir à juste titre, Amandine.
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J’attends vos commentaires ! Que va-t-il arriver ensuite selon vous ?