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La cousine de mes cousins – Chapitre 1




La dernière fois qu’Antoine avait vu Léa, elle avait 14 ans lui en avait 18. Mais vous savez comment sont les jeunes quand ils ont 18 ans ? Ils sont jeunes, mais se croient vieux et ils sont con : quatre ans d’écart, c’est énorme selon eux.

C’était à une réunion de famille. Léa était une cousine de cousins, aucun lien de parenté entre elle et Antoine, mais les deux familles s’appelaient quand même cousins.

La seule chose que Antoine avait remarqué la concernant, c’était une grande ado blonde et dégingandée, pas encore super bien formée mais très prometteuse avec un superbe petit cul qui avait la forme de deux petites pommes bien mises en valeur par un short de cycliste.

Quatre ans plus tard, Antoine venait de finir ses études et Léa allait commencer les siennes en septembre.

Pour cela elle allait loger chez les parents d’Antoine, car ses parents à elle n’avaient pas les moyens de lui payer un appartement et que lui était parti. Elle pourrait donc occuper la chambre du jeune homme plus grande que celle pour les amis de passage.

Antoine avait travaillé tout l’été et, pour le mois de septembre, il prenait quelques vacances.

N’ayant pas assez d’argent pour partir loin, il allait assurer le gardiennage de la maison de ses parents pendant leur propres vacances. Frigo plein, congélateur bien garni aussi, piscine gratuite, télé géante et consoles de jeux, tout allait bien.

Il avait fait la route tard en soirée et arriva vers 1h du matin à la maison de ses parents. Il rentra en silence et s’installa dans la chambre d’amis, la sienne étant occupée par sa cousine.

Ayant pris l’habitude de courir le matin il se réveilla à 8h et partit faire son sport. Ce qu’il ne savait pas c’était que sa cousine était partie quelques minutes avant lui. Tout en courant, au bout d’environ une demi-heure, il aperçut au loin devant lui une jolie blonde courir. Elle portait un cycliste qui lui rappelait quelqu’un… sauf que là, c’était deux beaux pamplemousses qu’il voyait.

Il rattrapa la jeune femme tout en matant son joli derrière. Il finit par la dépasser, compléter sa boucle de une heure et rentrer à la maison.

En passant la porte, il entendit la douche couler. Il se rendit à la seconde salle de bain pour prendre sa propre douche. Puis il revint au salon, portant un simple short de bain et un t-shirt, quand, venant de derrière lui, il entendit :

Salut cousin, alors comme ça on mate le cul des jolies filles ?

En se retournant Antoine aperçut la superbe blonde qu’il avait dépassée pendant son footing. Léa portait une serviette nouée au-dessus de ce qui semblait être une jolie poitrine et descendant juste au dessous de son entrejambe. Elle s’essuyait les cheveux avec une autre serviette tout en le regardant, un grand sourire sur les lèvres.

Il se leva et la rejoignit pour lui faire la bise. Il ne sut pas si c’était volontaire de la part de Léa ou non, mais lors de cette bise, les coins de leurs lèvres se touchèrent. Elle fila ensuite dans sa chambre à l’étage et revint quelques minutes plus tard en haut de bikini triangle bleu turquoise, cachant seulement à moitié sa belle poitrine, et jupe courte par dessus le bas dudit bikini qu’Antoine put apercevoir lorsqu’elle descendit les escaliers.

Je vais préparer le petit-déjeuner, lança-t-elle, tu prends quoi comme boisson chaude ?

Un café s’il te plaît, je vais chercher du pain frais, je reviens, lui répondit-il.

Il sortit de la maison avant d’avoir la bite trop gonflée, Léa était vraiment canon et avec son bikini, c’était un appel à lui faire l’amour. Il parcourut les cinq cents mètres le séparant de la boulangerie d’un coup de vélo, et entra acheter du pain et des croissants. En rentrant dans la maison quelques minutes plus tard, il sentit une bonne odeur de café chaud.

Il trouva Léa en train d’ouvrir les placards pour chercher les bols. Il lui dit :

En bas à droite, sors le grand pour moi s’il te plaît.

Merci, répondit-elle en sortant les bols du meuble indiqué. Tu cours tous les matins ?

Oui, entre une heure et une heure et demi, selon les jours. Toi aussi ? Demanda-t-il.

Moi non, je commence tout juste, c’est le troisième jour que je le fais. Tu pourras m’aider à progresser ?

Léa posa les bols sur la table, offrant un point de vue admirable sur sa poitrine à Antoine qui semblait hypnotisé.

Pas de soucis, répondit Antoine en détournant les yeux de la poitrine de Léa, j’ai l’intention d’y aller tous les matins. Quand commences-tu les cours ?

Le 15 septembre, dans deux semaines. Je verrai à ce moment-là comment m’organiser, mais en attendant, je vais essayer de sortir tous les jours.

Alors pas de problème pour moi. Nous ferons de petites boucles au départ puis après, je continuerai mon tour.

Léa remplit le bol de café d’Antoine, puis se versa un thé, pendant que le jeune homme coupait du pain et sortait les croissants du sac en papier.

Ils déjeunèrent en discutant de la famille commune et en savourant les produits frais. Ils établirent ensuite le programme de la journée. Il allait encore faire chaud, le frigo était plein avec de quoi manger pendant une semaine au moins, ils conclurent qu’ils allaient passer la journée à la piscine. Antoine était ravi, il allait pouvoir admirer la belle Léa en bikini pendant la journée.

Ils s’installèrent sur les transats profitant encore des derniers moments frais de la journée et discutèrent de tout et de rien pendant un moment.

Puis Léa se leva, ôta sa jupe et révéla le bas de son maillot à Antoine. Il s’agissait d’un string assez minimaliste révélant qu’elle avait certainement le pubis glabre ou juste quelques poils en ticket de métro. Elle plongea de façon impeccable en ne faisant presque pas d’éclaboussures. Antoine sentit gonfler son sexe en voyant la naïade se baigner. Il sauta à son tour à l’eau dans un style nettement moins beau que celui de Léa et se joignit à elle pour faire quelques longueurs.

Après un moment à nager, Léa plongea sous l’eau et sortit de façon à sauter sur Antoine et le couler. Celui-ci, ayant deviné la manuvre, ne se laissa pas faire. S’en suivit un bon moment de chahut, poursuites et tentatives plus ou moins réussies de se couler l’un l’autre. A plusieurs moments durant ces jeux, les mains de Léa effleuraient les fesses ou le sexe d’Antoine, dont les mains n’étaient pas en reste pour se promener sur les seins et les fesses de la belle jeune femme.

Lors d’une tentative un peu hasardeuse de Léa, un de ses seins sortit de son bonnet et Antoine le reçut en pleine figure. Léa avait vu son sein sortir mais ne tenta pas de se dérober lorsqu’elle sentit la langue d’Antoine lécher le téton. Elle lâcha même un léger gémissement. Elle ne connaissait encore rien des choses de l’amour et comptait bien profiter des prochaines semaines pour découvrir le plaisir avec Antoine.

Elle avait été heureuse de la tournure des évènements quand elle avait été prise dans la fac qu’elle voulait. Mais encore plus quand elle sut qu’elle allait passer le mois de septembre avec Antoine. Car contrairement à lui, lors de la réunion de famille quatre ans plus tôt, elle l’avait repéré et trouvé charmant. Mais étant encore trop jeune, elle s’était promis qu’il serait à elle dès qu’elle serait majeure. L’occasion lui était donnée de faire ça rapidement et elle se jeta dans la bataille à corps perdu… enfin, dénudé surtout, car rapidement Antoine avait sorti le second sein de la jeune femme et le caressait pendant qu’il suçait le premier.

Léa le repoussa doucement et se positionna pour embrasser le jeune homme. Étant dans la zone de la piscine où ils n’avaient pas pieds, Antoine décida de sortir Léa de l’eau et de l’asseoir au bord de la piscine. En faisant cela, il tira sur les cordelettes qui faisaient des nuds au bas de maillot de bain et le lui retira. Léa se retrouva la moule à l’air, assise sur le rebord de la piscine et Antoine plongea pour lui lécher le coquillage juteux à souhait. Il n’avait pas beaucoup d’expérience sexuelle non plus, ayant consacré son temps aux études et non aux soirées estudiantines ; mais le goût de la jeune femme qu’il était en train de lécher était tellement bon, qu’il faisait d’instinct tout ce qu’il fallait pour la faire jouir en tentant de lécher la moindre parcelle de peau de ce con baveux.

Il s’appliqua tant et si bien, que Léa, au bout de quelques minutes lâcha un cri strident, marquant le premier orgasme qu’elle recevait d’une autre personne qu’elle même. Elle s’affala sur le carrelage du bord de la piscine et avait du mal à reprendre son souffle. Antoine, surpris et inquiet par le comportement de la jeune blonde, jaillit de l’eau comme un diable de sa boîte et alla voir comment elle allait. Il la vit se redresser, souriante et épanouie.

Voyant l’inquiétude du jeune homme, elle l’embrassa pour le rassurer. Elle le poussa ensuite vers les transats, pour l’y faire allonger, et entreprit de le dénuder à son tour. Elle se trouva rapidement devant un pieu de bonnes dimensions, mais elle n’avais aucun point de comparaison, n’ayant jamais vue de bite réelle. Elle arracha presque plus le short d’Antoine qu’elle ne le lui ôta tant elle avait envie de cette colonne de chair. Elle l’emboucha voracement, en se souvenant de la blague qui dit que pour faire une bonne pipe, il faut mettre la bouche comme pour dire Honolulu. Antoine, n’ayant lui même jamais eu à subir tel traitement, ne put se retenir plus et au bout d’à peine quelques allers et retours de la belle sur sa hampe, il lui annonça qu’il allait lâcher la sauce. Il n’eut pas le temps d’en dire plus, que Léa enfonça encore plus la bite dans sa bouche et but le jus qu’il libéra dans un grognement bestial.

Elle lui nettoya la bite pendant qu’elle se ramollissait et avala le contenu de sa bouche. Elle remonta en se frottant à Antoine et l’embrassa, partageant leurs goûts respectifs traînant dans et autour de la bouche de chacun.

Ils restèrent un moment allongés sur le transat dans les bras l’un de l’autre. Puis, la faim se faisant sentir, ils se levèrent et se rendirent à la cuisine pour préparer une salade. Aucun des deux ne remit de vêtement, profitant des préparatifs du repas pour caresser l’autre à chaque fois qu’une occasion se présentait.

Ils mangèrent leur repas en se dévorant des yeux et en jouant avec leurs pieds sur le sexe de l’autre. Antoine avait à nouveau la bite bien droite et Léa la moule suintante. À peine eurent-ils fini le repas, qu’ils retournèrent au bord de la piscine, aussi impatients l’un que l’autre, pour explorer leurs corps. Dès qu’ils furent sur un transat, Léa se plaça au-dessus d’Antoine dans le but de tester le 69. Elle agita sa croupe devant les yeux du garçon pour l’inciter à la lécher et à l’explorer comme il l’avait déjà fait. De son côté, la belle blonde entreprit de lécher la glace à deux boules qu’elle avait devant elle. Toujours excités, mais moins en manque, ils profitèrent plus longtemps de la langue et la bouche de l’autre. Tout était bon pour pousser son ou sa partenaire à la jouissance, Antoine introduisait des doigts dans les deux trous de Léa ; pendant que cette dernière gobait les couilles du garçon, essayait d’aller le plus loin possible en avalant sa pine et lui titillait l’anus, voulant reproduire les sensations que lui provoquait Antoine en lui caressant ce trou.

Antoine, bien que très excité par ce que lui faisait Léa, se retenait tant qu’il pouvait de jouir, il voulait se lâcher avec elle. Cependant, quand elle rentra son doigt dans le cul du garçon et appuya sans le savoir sur sa prostate, celui-ci ne put se retenir et lâcha plusieurs jets de spermes dans la bouche accueillante qui le gobait.

Dans le délire de la jouissance, il enfonça ses doigts au plus profond des trous qu’il titillait et pinça le clitoris de son amante avec ses lèvres. En faisant cela, il déclencha la jouissance de la jeune femme qui lâcha un long cri de plaisir à son tour.

Léa se coula contre Antoine et l’embrassa amoureusement avant de s’endormir dans ses bras. Antoine contempla un moment la beauté qu’il avait dans les bras et s’endormit à son tour, fatigué par le plaisir qu’ils venaient de prendre.

Ce fut la fraîcheur du soir qui les réveilla. Ils s’étirèrent, s’embrassèrent encore un peu avant de rentrer.

Antoine, en rentrant dans la maison, contemplait la croupe de Léa. Il ne rêvait plus que d’une chose, s’unir à elle. Mais avant, il devrait aller acheter des préservatifs, pas question qu’elle tombe enceinte par accident. Ce serait sa première tâche demain matin, aller au village et s’équiper. Il songeait aussi à aller sur internet et voir ce qu’il pourrait acheter comme jouets pour pimenter un peu leurs jeux.

Ils dînèrent, toujours nus, avant de se poser devant la télévision. Ils passèrent un moment à s’embrasser et à se caresser, mais sans aller plus loin. La fatigue de la journée se faisant sentir, chacun alla se coucher dans sa chambre après avoir échangé un long baiser.

Le matin, venu, ils se levèrent et s’habillèrent pour aller courir, comme prévu. Antoine choisit un parcours passant plusieurs fois pas trop loin de la maison afin que Léa puisse s’arrêter quand elle le souhaiterait. Ce qui fut le cas au bout d’un peu plus de trois quart d’heure d’efforts. Antoine lui fit un rapide baiser sur la bouche et reparti pour courir encore la même durée et faire son temps de course habituel. La veille, il avait raccourci son sport à cause de la fatigue du voyage et de la nuit écourtée.

Il finit sa course en passant par le village pour acheter des préservatifs et du pain frais pour le petit-déjeuner. Il rentra ensuite à la maison où Léa, fraîchement douchée, l’attendait, nue. Elle avait préparé les boissons chaudes du repas matinal. Antoine profita de la tenue de la belle blonde puis lui caresser la fente en l’embrassant avant d’aller se doucher rapidement. Il la rejoignit ensuite, nu lui aussi, pour manger ensemble.

En rentrant dans la cuisine, Antoine vit sur la table, entre le pain et le café, la boîte de capotes marquée XL. Il rougit d’un coup, il l’avait oubliée dans le filet contenant le pain. Léa sourit en le voyant ainsi dans l’embarras. Elle alla l’embrasser en plaçant sa main sur la bite encore au repos du jeune homme.

T’en fais pas, mon beau cousin, lui murmura-t-elle à l’oreille, c’est une super idée, je voulais que tu me déflores aujourd’hui, comme ça, nous ne prendrons pas de risque.

Tu es une coquine gourmande, ma belle cousine, mais ne nous précipitons pas, nous avons le temps, ne faisons pas de bêtise.

Antoine l’embrassa à son tour et s’installa, il avait faim après une heure et demi de course à pied.

Comme la veille, ils prirent leur petit-déjeuner en se dévorant des yeux en même temps. Leurs pieds étaient aussi en action, celui de la jeune femme caressait la bite en face d’elle, pendant que le jeune homme tentait de rentrer son gros orteil dans la fente humide de l’autre côté de la table.

Une fois la table débarrassée et tout lavé et mis à sécher, Antoine prit Léa dans ses bras et l’amena dehors. Une fois là, il voulut jouer avec la belle blonde et sauta avec elle dans la piscine. La jeune femme cria de surprise et se débattit pour sortir de l’eau. Elle en profita pour couler l’affreux cousin qui l’avait mise à l’eau. Leur jeu dégénéra rapidement en qui caresserait l’autre sans se faire caresser en retour. Ce fut Léa la gagnante quand elle réussit à prendre la bite d’Antoine dans sa bouche par surprise.

Ils sortirent de la piscine pour poursuivre le jeu des caresses, mais ce coup-ci en passant leur temps à les échanger.

Léa s’empara d’une capote dans son sachet et l’ouvrit pour en couvrir le sexe bandé d’Antoine. Visiblement, elle savait déjà faire. Elle avoua à Antoine, qu’elle avait déjà acheté des préservatifs et s’était entraînée sur des carottes. Ce qui les fit rire tous deux. Antoine se positionna ensuite pour pénétrer la belle. Il la regarda et lui demanda :

Tu veux…

À peine commença-t-il de parler, que la jeune femme lui interdit de poursuivre en l’embrassant et en le tirant vers elle par les fesses.

Ayant eu le feu vert, le jeune homme enfonça son pieu bandé dans la chatte baveuse qui n’attendait que ça. Il ne sentit pas de résistance tant le conduit était lubrifié, mais le vagin était étroit et il en sentait bien les parois qui moulaient sa bite, lui faisant un écrin sur mesure. Le chemin ouvert, il commença à la limer en rythme pendant que la blonde lâchait des gémissements et des petits cris de plaisir ponctués de mots tendres pour son amant.

Léa jouit une première fois en se tendant comme un arc et en lâchant un long gémissement. Elle entoura le bassin de son amant pour l’immobiliser en elle, tellement sa chatte était sensible et que le moindre mouvement lui était insupportable. Ils s’embrassèrent un moment avant que Léa ne relâcha ses jambes et laissa Antoine reprendre son mouvement de piston en elle. Ce dernier, sentant son plaisir monter accéléra le mouvement et lâcha sa semence dans le chapeau en latex entourant son sexe. Léa gémit encore une fois un peu plus fort, et lâcha même un petit cri, en sentant la chaleur du sperme dans le préservatif. Elle n’avait pas réellement joui mais la sensation lui avait plu quand même.

Ils passèrent un peu de temps à s’embrasser encore pendant que la bite du jeune homme perdait du volume et sortait du sexe de la belle. En récupérant la capote pleine de sperme, Antoine constata qu’il y avait un peu de sang sur les cuisses de son amante. Il noua le préservatif et le lança dans la poubelle avant d’entraîner sa chérie sous la douche pour effacer les traces de sang.

Sous la douche, ils s’embrassèrent et profitèrent du savonnage pour caresser le corps de l’autre. À la sortie, tout en séchant la jeune femme, Antoine l’embrassa dans le cou et lui murmura :

Merci pour le cadeau, ma chérie.

Je rêvais que ce soit toi qui me déflore depuis la fête de famille d’il y a quatre ans, lui répondit-elle en se tournant pour chercher ses lèvres.

Ils s’embrassèrent en finissant de se sécher mutuellement et allèrent à la cuisine pour préparer le repas.

Ils passèrent l’après-midi à se baigner et explorer le corps de l’autre. Ils testèrent quelques positions du Kamasutra et jouirent du corps de l’autre avec plaisir.

Une fois la nuit tombée, ils rentrèrent pour regarder un film avant d’aller se coucher, chacun de son côté encore.

Antoine, avant de dormir, alla sur un site de vente d’objets érotiques et fit quelques achats avant de fermer les yeux et de s’endormir en rêvant de la magnifique jeune femme blonde dans la chambre toute proche.

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