Bonjour
Je suis né à Nice, un peu avant les années 60, et ma mère pendant toute sa grossesse voulait une fille Pour elle dans son ventre, et elle s’en persuadait tous les jours, il ne pouvait y avoir qu’une fille. Même si mon père, tradition familiale oblige voulait lui, fortement un garçon.
Je suis donc né garçon, considéré comme tel par son père, mais considéré comme fille par sa mère. A Noël mon père m’offrait des camions, et ma mère, des poupées, des jeux de Poste, des cuisinières. Bref Voilà le tableau planté !!!
J’ai toujours été un excellent élève à l’écoledans toutes les matières, aussi bien scientifiques que littéraires, et très bon en Anglais en Italien et en Allemand. Plus de 17 de moyenne en tout, et Félicitations à chaque trimestre.
Pendant mon année de Terminale, le Rectorat de Nice avait organisé une Croisière en Méditerranée, pour les bons élèves Avec en vue, la visite de la Grèce, de la Sicile, de Naples et de la Solfatare avec Pompéi bien sûr
Mon père pensé que j’avais mérité ce voyage et m’y a inscrit la participation familiale étant dans le budget de mes parents.
Me voilà parti en train, de Nice à Ancone, sur l’Adriatique, et après une nuit difficile dans ces couchettes peu confortables, nous voilà sur la passerelle du bateau, passant progressivement et accueillis par quelques membres d’équipage.
Depuis très longtemps je regardais les hommes J’aimais voir leurs poils (j’adore les poils), leurs corps de mâles et bien sûr, je reluquais sans vergogne ce qui se cachait entre leurs jambes
Et là en montant la passerelle, un mâle dans toute sa splendeur Visage rasé mais avec une barbe drue qui lui montait presque jusqu’aux yeux. Un Tee Shirt d’où émergeait une touffe de poils noirs, des bras presque noirs Et entre les jambes, une bosse proéminente, qui semblait perforer le pantalon blanc qui la recouvrait.
Le marin a très vite vu mon trouble, m’a pris la main, la glissée discrètement sur sa bosse, m’a fait un grand sourire et m’a dit à l’oreille en italien :
« Tu es gentil, ne t’inquiète pas je vais bien m’occuper de toi Viens sur le Pont Principal ce soir, après le repas ok ? »
J’ai très bien compris ce qu’il m’avait dit et j’avais retenu son prénom Mario
Après une installation dans nos cabines, à 4, et un repas vite avalé, je me suis « promené » sur le bateau, comme je l’avais dit à mes potes, pour être tranquille et retrouver Mario
Il était là sur le Pont, vers 21h, il avait fini son service On a un peu parlé et il m’a demandé si je ne voulais pas qu’on soit dans un endroit plus tranquille tous les deux Je l’ai bien sur suivi, je n’attendais que ça, et il m’a amené dans une cabine, fermée et qui ne servait que rarement.
Il était là devant moi, dans toute la splendeur de sa virilité Il a enlevé son Teeshirt. Laissant apparaitre son torse hyper velu. J’étais fasciné. Il a vu ça dans mes yeux, et en deux minutes, il m’a mis à poil, nu sur lui, sur son corps de mâle, qui sentait fort l’homme après une journée de travail sur le bateau et j’ai mis mes mains dans son pantalon je voyais cette barre énorme… J’avais trop envie de la toucher, de la caresser, d’en sentir son odeur.
Dès qu’il a vu que j’étais consentent, soumis Mario s’est déchainé Il m’a enfoncé sa queue dans ma bouche Son sexe était énorme. Bien sûr j’avais déjà vu en cachette les bites de mes copains dans les douches après le sport. Mais jamais ça
J’étais fou d’excitation. J’ai sucé, caressé tous ses poils. Et d’un coup il m’a mis à 4 pattes. Je sentais son gland frotter ma fente Il s’est arrêté un moment, a pris un tube de je ne sais quoi et a mis cette crème sur mon trou et sur sa queue démesurée
J’ai senti une énorme barre me forcer Je pleurais mais j’avais trop envie à la fois j’attendais ce moment depuis si longtemps. Être enfin enculé
Mario a forcé il s’est introduit en moi en entier. J’avais 21 cm de chair mâle dans moi je hurlais de douleur et de plaisir à la fois Encore, encore. Sa liqueur d’homme s’est déversée 3 fois en moi ce soir-là.
Je n’avais jamais osé le faire à Nice Mais sur ce bateau. Je me sentais libre et si content(e) d’avoir été dépucelé.
Mario m’a accompagné jusqu’à ma cabine en me promettant encore plus de plaisir pour le lendemain
Je suis rentré un peu honteux dans ma cabine, puant le sexe et le foutre qui dégoulinait entre mes cuisses. Par chance, mes « colocs » de cabine dormaient et j’ai pu filer sous la douche me nettoyer. J’aurais certes bien gardé ça sur moi, mais pas avec 3 ados dans la même cabine que moi, surtout qu’ils se moquaient assez souvent de moi. Le PD de service Au Lycée, ça ne pardonnait pas à l’époque. Je m’en foutais habituellement, mais là, c’était plus pareil Je venais d’être vraiment un PD, un enculé, plein de sperme. Et j’avais adoré ça.
Je me suis couché dans mon lit Enfin propre, avec un mal au cul pas possible, mais comblé J’avais réalisé sur ce bateau ce que je n’avais jamais fait avant à Nice Être baisé.
Le lendemain matin, arrivée au Pirée, et nous voilà tous regroupés pour la visite d’Athènes, après un bon petit déjeuner, et en rang d’oignon devant la passerelle où les marins nous distribuaient les paniers repas, on ne devait rentrer qu’en fin d’après-midi.
Évidemment, qui m’a donné le mien Mario Avec un mot en italien (mais bon, je ne vais pas vous infliger des traductions, donc, je resterai au français), dans le sachet contenant le repas « A ce soir, quand tu rentres, et un ami à moi veux te connaitre aussi »
Heureusement, dans le groupe niçois de 10 élèves, nous n’étions que 3 littéraires et j’étais le seul à parler l’italien, les autres avaient choisi espagnol.
La visite avait été superbe, l’Acropole, le centre d’Athènes, et c’est tous bien fatigués que nous sommes remontés sur le bateau, vers 17h. Je n’avais qu’une hâte, c’est de prendre une bonne douche et de me reposer un peu A 19 heures repas (Poulet, toujours poulet, à tous les repas panier et diner c’est juste pour l’anecdote), et après, je suis sorti sur le Pont Principal
Mario était là, à fumer une cigarette avec un autre marin, comme s’ils m’attendaient tous les deux. Ils ont fini leur cigarette, et Mario, sans gêne, m’a peloté le cul et a mis mes mains sur leurs bites, bien dures Puis, on est allés, tous les 3, dans cette cabine qui avait été l’antre de mes plaisirs la veille.
L’autre homme, Alessandro, était un peu plus jeune, tout aussi viril que Mario, un peu moins poilu, mais avec une énorme barre entre les jambes. Ils m’ont déshabillé de suite et ont quitté leurs uniformes de marin aussi vite. Deux mâles dans leur splendeur
Mario a enfoncé son sexe dans ma bouche, pendant qu’Alessandro me léchait mon trou, qui s’est ouvert en un instant face à cette caresse. Je branlais la bite d’Alessandro pendant que je suçais Mario. Elle me semblait plus grosse, plus large, avec des couilles qui pendaient bien.
Je me sentais femelle, soumise, putain avec ces hommes hyper mâles, qui puaient la testostérone, les phéromones, l’odeur de sexe qui avait mariné toute une journée dans leur caleçon. L’odeur d’homme était forte, très forte, presque insoutenable mais agissait sur moi comme un aphrodisiaque puissant, comme du Poppers (j’ai connu ça que plus tard)
Ils m’ont tourné et Mario s’est enfoncé dans moi, d’une traite après que son gland soit passé Je suçais Alessandro, son énorme bite et le membre de Mario me défonçait
Je vivais un rêve J’étais défoncé comme une putain par deux mâles hyper virils et en manque J’ai cru mourir quand le sexe d’Alessandro s’est enfoncé en moi Il était un peu plus long que celui de Mario, mais beaucoup plus large Puceau 2 jours à peine, et je me faisais démonter par 2 hommes hyper virils et montés comme des ânes
Ils m’ont baisé pendant plus de deux heures alternant ma bouche et mon culse vidant de leur liqueur partout où ils en avaient envie
J’étais affolé par tout ça désemparé
Surtout parce que j’avais pris un plaisir phénoménal d’avoir été la PUTAIN de 2 hommes
Je réalisais enfin que j’étais fait pour ça Donner du plaisir aux hommes Sucer et me faire enculer Et que, en fait J’adorais ça !!!
