CHAPITRE I: La découverte.
Mi-juin 2007. Ça fait près d’un an maintenant que je n’ai pas vu ma famille. J’étais aux États-Unis, étudiant dans une grande école d’informatique. Mes parents sont divorcés depuis cinq ans. Mon père, Christian, est à Paris, ainsi que ma sour ainée Virginie, qui est en Maitrise de Droit. J’ai passé une semaine avec eux, puis je suis descendu sur la côte méditerranéenne, près de Perpignan, pour y voir ma mère, Brigitte. Maman habite un petit pavillon assez cossu que mes grands-parents paternels lui ont légué après sa séparation avec mon père. Cette demeure se situe dans un petit village de bord de mer, où elle tient un bar-pmu.
Ça me fait vraiment plaisir de revoir maman. Nous avons toujours été complices, et je me sens bien chez elle. Mes parents ont divorcé à cause de son comportement vis-à-vis de mon père. Plutôt frivole, elle l’a trop souvent trompé. Mais je ne peux lui en vouloir. Elle est comme ça, c’est son caractère, et mon père n’est pas quelqu’un de facile au quotidien. Aussi ai-je toujours eu pour elle beaucoup d’affection, que sa réputation n’aurait su entacher, même si à l’heure actuelle je sais qu’elle rencontre encore beaucoup d’hommes. Jusqu’à cet été, je n’avais jamais fantasmé sur elle. Je ne me le serais pas permis, même si pour ses quarante et un ans, elle reste une très belle femme. De plus, je n’étais jusque là pas particulièrement attiré par les femmes dites "mûres". Par contre, à maintenant 22 ans je multipliais les aventures avec les filles, et, je dois l’avouer, j’étais un sacré obsédé sexuel, m’attachant rarement à quelqu’un.
Je suis arrivé hier soir par le train. Des retrouvailles chaleureuses, un bon dîner, et au lit. J’étais exténué par tous ces voyages.
Ce matin, je me réveille vers 11 heures. Il fait déjà une chaleur moite. Je suis sur le point de descendre en caleçon, mais mon érection matinale m’oblige à enfiler un bermuda. Je ne vais tout de même pas me présenter ainsi à ma mère! Je me rends à la cuisine et l’y trouve en train de préparer un salade pour ce midi.
-Salut m’man!
-Salut Marc, bien dormi?
-Comme un loir!
On se fait la bise.
-Il reste du café si tu veux.
-Ok! Merci!
Je me sers, et m’installe à la table de la cuisine. Nous échangeons d’aimables banalités. Ce faisant, je regarde maman qui est au minibar, de profil, coupant des légumes. Je m’aperçois que je ne l’écoute pas vraiment, attardé à détailler son anatomie. Je ne sais pas ce qu’il se passe dans ma tête, mais je ne peux m’en empêcher. Ma mère est blonde. Une fausse blonde, en fait, les cheveux coupés au carré. Elle a de beaux et grands yeux verts très clairs, surmontés de sourcils fins, impeccablement épilés, un joli nez légèrement courbé, et des lèvres pleines. Elle a quelques charmantes rondeurs."Opulente", serait un doux euphémisme pour qualifier sa poitrine plus que généreuse. Et pour finir le portrait, elle a un tout petit ventre, plutôt mignon, une croupe pleine et cambrée, et des jambes plutôt fines et au galbe très sexy. Sexy, sexuelle même, voilà comment je trouve maman en cet instant. Je l’ai toujours trouvée jolie, certes, mais là, je la trouve bonne. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais ce qui est certain c’est que mon érection matinale n’a pas fléchie, elle s’est même empirée. Et la tenue de maman n’arrange pas les choses. Elle a toujours aimé porter des tenues très féminines, mais le temps passant, elle a de plus en plus mis ses charmes en valeur. Et aujourd’hui, ses vêtements son presque déplacés pour une femme de son âge, bien que ça lui sied à merveille. Elle porte un top bleu ciel noué dans la nuque par deux ficelles très fines. Ce petit haut est très échancré sous les bras, et lui fait un décolleté profond, jusque sous la naissance des seins. Maman ne porte pas de soutien gorge. En bas, elle a mis un petit short en jean très court qui moule savamment ses fesses, et elle a chaussé des mules blanches compensées à talons haut. Maman en a fini de préparer la salade, elle se sert un café et vient s’assoir en face de moi. Mon regard est d’abord absorbé par son beau visage, un peu plus maquillé que dans mes souvenirs, puis par sa paire de seins si lourds qu’ils me donnent l’impression de vouloir s’échapper du top d’un moment à l’autre. Ma mère me dit quelque chose que je n’entends pas, mon esprit est ailleurs.
-Marc? Tu rêves?
-Hein, euh… Je suis pas très bien réveillé… Tu disais?
-Je vais au centre ville faire deux trois courses… Je serai rentrée pour midi…
Il faut que je quitte cette pièce! Je finis mon café.
-Ok, lui fais-je, prends ton temps… Je vais me laver.
Je quitte la cuisine en tournant rapidement le dos à ma mère, de peur qu’elle remarque le gourdin emprisonné dans mon caleçon. Il faut que je me calme. Dans la douche, je ne peux m’empêcher de me masturber. J’essaie de visualiser n’importe quoi, n’importe qui. Rien n’y fait, c’est l’image de ma mère qui persiste, ses seins, son cul. Et quand j’éjacule, c’est son visage qui est imprimé dans mon esprit. Ensuite, c’est la culpabilité qui me gagne. Culpabilité qui disparaît en même temps que maman rentre des courses.
Après le repas, ma mère me propose d’aller à la plage. J’en ai très envie, certes, mais j’appréhende un peu la réaction de ma queue quand maman se trouvera devant moi en maillot. Nous prenons le nécessaire et nous y rendons à pied. C’est une petite crique assez isolée, peu connue des touristes. On s’installe entre dans un petit endroit de sable fin, entouré de rochers sur les côtés, et à l’abri des pins en retrait. J’installe ma serviette, et tourne le dos à ma mère pour me changer tandis qu’elle fait de même. Quand je lui fais de nouveau face, je la vois en maillot deux pièces rose fuchsia. Le bas, une culotte qui couvre ses parties intimes, est très raisonnable. Mais le haut est plutôt rikiki, et ne cache pas grand chose de sa poitrine. L’absence de traces de bronzage sur sa peau hâlée me fait constater qu’elle doit habituellement se mettre seins nus. Et peut-être plus.
-Tu viens te baigner? me fait-elle.
-J’irai plus tard… Comme ça tu me diras si elle est bonne!
-Elle est toujours bonne ici, rétorque-t-elle en riant, et en se dirigeant vers la mer.
Maman reste un bon quart d’heure dans l’eau. Pendant ce temps, je gamberge, et je bande encore. Tout est allé si vite! Hier encore, avoir la trique en pensant à maman m’aurait parut inconcevable, immoral. Mais en cet instant, j’ai beau faire, rien ne me raisonne. Au contraire, le fait qu’elle soit ma génitrice, et ce côté immoral, ne font que m’émoustiller d’avantage. "Et puis merde", pensé-je, après tout. Elle est quand plutôt allumeuse. Je ne peux être de marbre, et même si je suis son fils, elle doit bien s’en rendre compte. A Paris, ma sour m’a donné un bout de shit. Je fouille dans mon sac, et en profite pour me rouler un joint. Quand ma mère sort de l’eau pour me rejoindre, je n’ai plus qu’un objectif en tête. Je ne serai plus jamais serein tant que je n’aurai pas baisé ma mère. Il va falloir manouvrer, tenter ma chance, au risque de détruire à jamais notre si belle complicité.
-Alors m’man?
-Super bonne! Tu verras!
Elle s’allonge près de moi, sur sa serviette, et met ses larges lunettes de soleil. J’allume mon joint. Maman tourne la tête vers moi.
-Mais… C’est un pétard! Tu fumes ça toi?
-De temps en temps… T’inquiète! T’as jamais essayé?
-Oh… Une ou deux fois étant jeune… C’est tout… Après tout… T’es assez grand… Tant que c’est occasionnel…
-T’inquiète j’te dis… T’en veux?
Elle hésite, mais accepte assez facilement. Maman a toujours été plus permissive que mon père. Je lui tends le pétard. Elle tire quelques bouffées avant de me le repasser. Deux ou trois minutes plus tard, elle me fait:
-Oulah! Ca fait bizarre… Ca tourne!
-Moi aussi! C’est pas désagréable, si?
-Non…
On se marre un peu bêtement. Je me détends, maman aussi. Pas ma pine, mais ma mère ne semble pas l’avoir remarqué. On parle un peu de moi, de mes études. On se repasse plusieurs fois le joint. Je suis un peu défoncé, et ma mère aussi, ça se voit à son comportement. Il y’a un silence. J’en profite:
-Dis moi, maman, t’as pas de marques de bronzage…
-Nan… Quand je suis seule, je m’embarrasse pas du haut.
-Tu sais, tu peux l’enlever… Te gêne pas pour moi!
-Après tout, oui, t’as du en voir d’autres! Et puis, on est en famille.
Je suis surpris qu’elle ait cédé si facilement. Surpris et excité, quand sous mes yeux se dévoilent ses deux gros nichons bien pleins, aux magnifiques et très larges tétons. Mon érection est à son maximum. Je relève les genoux pour essayer de la cacher.
-Tu as quelqu’un en ce moment? Lui demandé-je, assez brutalement.
-Euh… C’est indiscret Marc!
-Ça veut dire oui!
Elle rougit.
-Ça ne te regarde pas, dit-elle en riant.
Puis, comme pour faire diversion, elle prend son sac de plage et en sort un tube de crème solaire. Elle commence à s’en enduire le ventre, puis, lentement, d’une façon que je trouve très sexuelle, elle passe ses mains sur sa poitrine, s’y attarde, les malaxe. Si elle continue je vais éjaculer dans mon maillot. Comme elle arrive près des épaules, je lui dis:
-Laisse, je vais te la mettre dans le dos.
Elle ne répond pas mais me tend le tube de crème. Je viens me mettre assis derrière elle, mes jambes légèrement pliées le long des siennes, et ma queue à cinq centimètres de ses fesses, prête à sortir de mon maillot. Je tremble un peu d’excitation. Je commence à étaler la pommade, tout d’abord de manière anodine, puis je lui fais un massage plus appuyé au niveau des épaules. Elle se laisse faire, puis me dit:
-Tu as des doigts en or mon chéri… Tu fais ça bien…
-Ça te plait?
-Oui… C’est bon…
Sa voix a changé, ou peut-être me fais-je des idées. J’ai envie de lui sauter dessus mais je me retiens. Je continue mon massage, sur toute la surface de son dos. Ça y’est, mon gland pointe son nez dehors. Très lentement, mes mains se dirigent vers ses côtes. Maman soupire, tandis que je lui effleure le côté des seins. Progressivement, mes mains gagnent du terrain vers sa poitrine. Je n’en peux plus, et les empoigne entièrement.
-Que fais-tu Marc? me demande ma mère, la voix tremblotante.
-C’est désagréable…
-Non, mais…
-Mais quoi?
-Marc… Enfin… Ce n’est pas très raisonnable… Un fils qui caresse les seins de sa mère…
-Je ne fais que te mettre de la crème solaire… Tu veux que j’arrête?
-…
— Dis-le-moi, et j’arrête…
Pas de réponse, juste la respiration de maman qui s’accélère, et sa poitrine qui se soulève à un rythme irrégulier. Je continue, malaxe ses seins plus fort.
-Tu sais m’man… Si je t’ai demandé si t’avais quelqu’un, c’est parce que tu mérites pas d’être seule… Tu es belle… Très belle…
-Merci…Merci Marc, mais… Ce n’est pas déplacé venant de ta part?
Je me penche à son oreille et lui chuchote:
-Ce n’est pas déplacé de se laisser tripoter par son fils?
-Tu sais… Je suis une femme et… Tu as beau être mon fils…Je ne peux être indifférente…
-C’est mal?
-Oui… C’est mal… Marc… Tu commences à m’exciter sérieusement. Quelqu’un pourrait nous voir…
-Il n’y a personne…
Ma mère ne contrôle plus sa voix ni son souffle. Quand je commence à faire rouler ses mamelles entre mes doigts elle ne fait rien pour m’en empêcher, se contentant de me dire:
-Mon chéri… Qu’est-ce-qu’on est en train de faire là?
-On se fait du bien maman… Et personne ne le saura… Si tu veux que j’arrête, dis le moi maintenant, sinon…
-Sinon? me dit-elle dans un souffle?
Je n’ai pas le temps de répondre. Maman attrape ma main droite et la fait glisser sur son ventre, jusqu’à son entre-jambe. Elle me fait passer les doigts sous son bas de maillot, et repositionne sa main sur son sein, qu’elle malaxe à son tour. Je suis aux anges. J’ai du mal à y croire. Ma main gauche continue à peloter sa poitrine, tandis que l’autre se perd dans une toison fournie. Elle ne s’épile pas la chatte, c’est donc pour ça que sa culotte de bain est si large. Ça m’étonne de ma mère, qui prend tellement soin d’elle. Mais ça m’excite aussi, cette chatte velue, et déjà très humide. Ça doit faire un moment qu’elle mouille. Je palpe ses grandes lèvres gorgées de sang, et commence à la caresser, avant de m’en prendre à son clitoris gonflé de désir. Ma queue dure comme du bois est maintenant entièrement sortie de mon caleçon. Je me serre contre ma mère, et ma bite vient se plaquer sur le bas de son dos, y laissant une trace humide. Cela dure quelques minutes, sans un mot. Quelques instants plus tard, je doigte carrément ma mère, rapidement, et triture ses grosses loches avec entrain, frottant ma tige sur le bas de son dos, jusqu’à ce que je lui chuchote:
-Maman… J’ai envie de te baiser…
Rapidement, elle se libère de mon étreinte, et me fait face, à quatre pattes entre mes jambes, et me dit:
-Tu veux me baiser, mon p’tit salaud… Alors faisons-le… Maintenant, nous sommes allés trop loin pour reculer.
Sans que je puisse réagir, maman dégage totalement ma pine du maillot, l’empoigne, et se jette la bouche grande ouverte sur mon gland. Aucune femme ne m’avait sucé ainsi. Pelotant mes couilles d’une main, branlant ma tige de l’autre, maman tête mon gland de façon experte. Je découvre ainsi que ma propre mère est une suceuse de première, la meilleure suceuse que je connaisse. Puis, continuant à pétrir mes couilles, elle se met à me pomper plus profondément. Je lui enlève ses lunettes de soleil.
-Regarde-moi maman, regarde moi dans les yeux.
Quel regard! Quel regard de chienne ma tendre mère peut avoir tandis que ma bite lui déforme la bouche! La pipe me semble durer une éternité. Maman lèche, suce, tète, gobe mes couilles, tout y passe. Elle s’arrête à temps. J’étais à deux doigts d’éjaculer. Très vite, maman se débarrasse de sa culotte de bain, m’exposant sa belle et grosse chatte velue de poils bruns. Puis elle vient sur moi, et s’empale sur ma queue, d’un seul coup. Je commence à la limer. Elle bouge son bassin comme une dératée, pour que je la bourre plus fort. Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Nous ne faisons pas l’amour, non. Nous baisons. Nous baisons comme des chiens. Je baise ma mère comme une chienne. J’empoigne sa croupe pour la bourrer plus fort, plus vite et plus profond. Ses énormes loches ballottent en tous sens au dessus de mes yeux. Ma queue est inondée de sa mouille. Ma mère se met à me souffler à l’oreille:
-Oh oui! Vas-y! Baise moi mon chéri! Défonce-moi! Baise bien ta maman… C’est bon, vas-y!
-Salope…
C’est sortit tout seul, je l’ai insultée presque malgré moi. Je suis sur le point de le regretter, quand maman me fait:
-Oui! Oui mon amour! Je suis une salope… Une p’tite salope… Vas-y fort! Baise ta p’tite salope de mère!
C’en est trop. Je ne tiens plus. Je m’enfonce bien au fond de sa fente. Maman se cambre et jette la tête en arrière. Mes mains lâchent ses miches pour venir s’agripper à ses nibards. Je pousse un grognement rageur tandis que je me vide les couilles au fond de son trou, et qu’elle pousse un long hurlement de jouissance. Ma mère retombe sur moi, m’embrasse longuement, langoureusement, et nous sombrons tous les deux dans une douce torpeur.
A suivre…