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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 42




Je la regarde.

— Je n’en suis pas revenue de tout ce qu’elle m’a raconté.

— Et c’est à ça que tu as pensé toute la nuit ?

— Un peu oui. Enfin pour être honnête, j’ai assimilé tout ça et du coup, j’ai surtout pensé à… enfin… à toi quoi.

— C’est agréable de l’entendre.

— Ça doit t’arriver souvent de l’entendre.

Je lui souris.

— Je ne me plains pas.

Je change de sujet, je ne veux pas aller trop vite. On finit le repas, je paie et on part ; je lui propose de se promener un peu en bord de mer avant de repartir. Elle accepte avec plaisir, et me prend le bras. On marche en bord de mer, il n’y a pas grand monde, pas de vent, il fait beau. C’est un chouette moment.

— Tu sais, je crois que Greg me tuerait s’il savait.

— S’il savait quoi ? Que tu rêves de moi ?

— Ah ah… oui, enfin, juste qu’on déjeune ensemble.

— Tu sais quoi ? Je pense qu’il a tellement peur de moi qu’il ne broncherait pas.

— Peur ?

— Je le terrorise ah ah.

— À ce point ?

— Il n’a pas bougé quand, au milieu d’une soirée, j’ai emballé sa copine. Donc pour un déj avec toi, je ne pense pas qu’il fasse grand-chose.

— Tu as peut-être raison oui. C’est fou parce qu’il est plutôt du genre à dire à tout le monde quoi faire, à dicter un peu sa loi.

Je ris.

— Hey, c’est vrai.

— Il le fait, enfin faisait, parce que tout le monde le laissait faire, et que personne le remettait à sa place.

— Jusqu’à ce que tu arrives ?

— Eh eh, force est de constater qu’il s’est calmé !

— C’est ce que m’a dit Manon.

— Tu sais Jessica, il ne faut pas confondre le petit chef avec un complexe à la Napoléon et le vrai mâle alpha. Ton frère et moi on ne joue pas dans la même cour.

— Hum, j’ai cru comprendre oui…

Elle dit ça avec un petit sourire.

— Et je ne parlais même pas de ça !

— Oh genre.

— Ce n’est pas de ma faute si tu ne penses qu’à ça ah ah.

— Salaud !

Elle s’arrête et me tape du plat de la main sur le pectoral.

— Oh mon Dieu, c’est une blague ?!

— De quoi ?

— C’est dur comme de la pierre !

— Ça te surprend ?

— Ben un peu, j’avoue.

— Manon t’a pas dit que les dieux grecs ont sculpté mon corps dans du marbre ?

— Ah ah carrément, tu fais pas les choses à moitié toi !

Je me tourne vers elle et la regarde dans les yeux :

— Jamais Jessica.

Elle me regarde, en souriant ; puis on se remet en route.

— Et toi Isaiah, tu as un peu pensé à moi ces derniers jours ?

— Un peu.

— Ah…

— Suis très occupé ma belle.

— J’ai cru comprendre oui.

Elle me reprend le bras.

— On te dit non parfois Isaiah ?

— Pourquoi tu voudrais essayer ?

— Ah ah, non !

— Tu n’as pas peur j’espère ?

— De toi ? Pas du tout. Je doute que tu fasses « peur » aux femmes. Je pense que du côté de la gent féminine, c’est autre chose que de la peur…

— Ah, détrompe-toi, il m’est arrivé d’en croiser qui ont pris peur. Et là, je parle de ce à quoi tu penses coquine !

— Oh, genre ! C’est à ce point-là ?!

— Souviens-toi, les dieux grecs !

— Ah ah oui c’est vrai, pardon, j’ai failli oublier. Mais tu n’as pas répondu.

Je lui fais un clin d’il et la prends par la main.

— Viens, suis-moi.

Je la mène vers le bout d’une jetée, en pierres. La vue y est magnifique. On s’assied. Elle laisse sa main dans la mienne.

— C’est trop beau.

— Oui j’adore cet endroit. J’y suis venu le premier jour où j’étais là.

— Seul ?

— Oui. Mais j’avoue que bien accompagné, c’est encore mieux.

— Ah ah, charmeur va.

— Et ça marche ?

— Je ne sais pas… Et puis tu n’as toujours pas répondu !

— Comment veux-tu que je réponde !

— Oh arrête, tous les mecs la mesurent au moins une fois !

— Tu crois ?

— Pfffff je sais !

— Et donc, tu veux quoi ? Des dimensions ? Ça t’apporterait quoi ?

— De voir si on a les mêmes notions de mythologie grecque par exemple.

— Ah ah. Je te propose un truc : si tu trouves les dimensions, tu gagnes.

— Je gagne quoi ?

— Le droit de la voir.

— Mmmmmm. Mouais, et si je perds ?

— Tu me dois un bisou ! Ah, et tu as droit à trois essais.

— C’est un peu déséquilibré entre le je gagne et je perds… mais OK.

— Hey, si tu veux c’est toi qu’on déshabille !

— Ah oui ?

— Si tu préfères, on fait le même pari mais sur ton tour de poitrine.

— Si tu gagnes je te montre mes seins et si tu perds tu me fais un bisou ?

— Exactement !

— J’ai l’impression que tu es gagnant quoiqu’il arrive.

Je lui souris :

— C’est toi qui décides.

— Si tu gagnes je soulève mon top. Et si tu perds, tu me fais un bisou, mais j’ai droit à 4 chances. OK ?

On se tape dans la main.

— Tu peux te tourner vers moi ?

— Mais volontiers.

Elle le fait, je regarde attentivement. Elle se cambre.

— Ne triche pas !

— Moi ? Jamais.

— Mmmmmm, 85 ou 90c.

— Hey, t’as le droit qu’à une seule réponse.

— T’es dure !

— Oui;-)

— OK, alors 90c.

— Merde !

Je souris.

— Mais c’est pas vrai. Comment t’as fait.

— Disons que j’ai de l’expérience !

Elle baisse les yeux.

— J’attends.

Elle regarde tout autour d’elle.

— Ne t’inquiète pas, c’est juste pour moi Jessica.

— Pffffffff.

Elle me sourit finalement et remonte son top au-dessus de ses seins. Ils sont dans un soutien-gorge en dentelle rouge très joli.

— Mmmmm c’est très joli.

— Merci.

Elle baisse le top.

— Et c’est un ensemble ?

— Pardon ?

— Ton soutien-gorge, il y a le bas qui va avec ?

— C’est possible.

— C’est pour moi que tu l’as mis ?

— Hey, ne dévions pas, à mon tour !

— Je suis tout à toi.

Elle me regarde de haut en bas et s’arrête sur mon entrejambe. Je me penche en arrière, mains posées derrière moi.

— Tu vois mieux là ?

— Mmmmm oui. Bon, je me lance : 20 de long et 5 de diamètre.

— Stop, on arrête tout, on n’a pas du tout les mêmes notions de mythologie grecque. Tu es train de vexer les dieux ! Et ce n’est pas bon du tout pour toi ça !

— Non mais attends, la moyenne c’est genre 15 et 2, donc ça fait que tu serais bien au-dessus.

Je souris.

— Tu es mignonne.

— Je suis loin ?

— Je n’ose plus rien dire là.

— 25 et 5 ?

Je souris et fais non de la tête.

— Impossible, ça peut pas être plus !

— Tu n’as plus qu’une chance. Je te propose un deal.

— J’ai peur, mais j’écoute.

— Pas de raison d’avoir peur : tu me dis ce que tu portes en bas et ça te donne une chance de plus.

— Ah ah. OK, tu perds pas le nord.

— Jamais !

— Le string assorti.

— Mmmm. OK, t’as encore deux essais.

— 25 et 6 ?

Je lui fais non de la tête. Elle soupire.

— Pffff en plus si ça se trouve tu mens.

— Comment ça ?

— Ben, j’ai aucun moyen de vérifier.

— Tu pourras demander à Manon ! Allez, dernière chance.

— OK OK.

Elle réfléchit, me regarde, se penche même. Je souris.

— 26 et 6 ?

— Non !

Elle soupire de nouveau et baisse la tête.

— Je peux te donner une dernière chance.

— Ah oui ? Et contre quoi cette fois-ci ?

— Contre rien.

— Genre ?

— Tu as le droit à une dernière proposition mais qui doit se baser sur le toucher.

— Mmmmmmmm explique ?

— C’est simple, tu as le droit d’utiliser tes mains, comme tu veux. Et tu donnes ta proposition.

— Ah oui OK, donc là tu gagnes doublement.

— OK, donc j’attends mon bisou Mademoiselle.

Elle me regarde. Elle se mordille la lèvre.

— Pfffff, t’es pas possible !

— Quoi ? J’ai rien fait moi;-)

— J’en reviens pas.

En disant cela, elle pose sa main sur mon entrejambe. Je suis toujours penché vers l’arrière, appuyé sur la paume des mains, bras tendus. Elle l’effleure, n’ose pas trop, me regarde. Je lui souris tendrement, elle appuie plus, puis finalement serre sa petite main sur mon sexe. Je ne bande pas. Elle ouvre la bouche de surprise. Me regarde :

— Tu bandes là ?

— Non.

— Arrête.

— Promis.

Elle n’arrête pas de me toucher, et me caresse même un peu.

— Euh, en revanche, si tu continues comme ça, je risque d’avoir une érection Jessica.

— Oh pardon !

Elle retire sa main. On rit.

— Alors ?

— Pfffff je ne sais pas. Ça a l’air énorme. J’en reviens pas que tu ne bandes pas là.

— Bon, et mon bisou alors ?

— Oui oui.

Elle s’approche, se colle à moi, sa cuisse contre la mienne. Elle pose une main sur mon torse et approche ses lèvres des miennes. Elle marque une hésitation, puis finalement sa bouche se colle à la mienne. Doucement. Nos bouches restent arrimées l’une à l’autre de longues secondes. Le baiser se transforme en une succession de bisous. Elle a toujours sa main sur moi, moi j’en passe une dans son dos. Elle se cambre. Elle gémit, puis écarte un peu le visage et me sourit. Elle ferme les yeux et revient m’embrasser. Ma main remonte le long de son dos, la faisant frissonner. Elle ouvre la bouche, et sa langue vient chercher la mienne. On se roule de grosses pelles. Elle est très sensuelle, j’adore. On s’écarte un peu. Elle me sourit.

— OK, donc ça c’est fait !

On rit.

— Ton frère dirait quoi là tu penses ?

— Ah ah, je m’en fous.

Je la garde tout contre moi, mon bras autour de sa taille.

— Et pour info, Isaiah, oui je pensais à toi quand je me suis habillée.

— Mmmm même pour ce qu’il y a en dessous ?

— Oui;-)

— Et bien tu as très bien choisi.

— Ah oui ? Ça te plaît ?

— Beaucoup.

— Non, parce que, comme tu ne bandes pas…

— Ah ah, ne me dis pas que tu es vexée ?

— Si, un peu.

— Si j’étais toi, je mettrais à jour mes informations.

Elle me regarde, un sourire se dessine sur son visage. Elle m’embrasse de nouveau et sa main vient se poser sur mon sexe, qui s’est un peu raidi. Elle gémit un peu, en se mordant la lèvre.

— Mmmmm, avec tout ça, je ne sais même pas combien elle fait.

— Fallait gagner pour ça.

On s’embrasse encore. Puis on repart, on se promène, on se tient par la main. C’est un moment très agréable. Il est déjà assez tard dans l’après-midi, je dois repasser chez moi avant d’aller chercher Sophie au lycée ; je ramène donc Jessica chez elle. On discute dans la voiture, elle est déçue que ça s’arrête là, comme ça je le sens, mais fais bonne figure. Arrivés en bas de l’immeuble, je me tourne vers elle :

— J’ai adoré cette journée Jessica.

— Moi aussi Isaiah, j’avoue.

On s’embrasse, puis je lui souris :

— 27et 7.

— Hein ?

— Au minimum, ça peut varier, être un peu plus gros.

— Mais non ?

Elle me regarde.

— Je n’ai pourtant pas gagné.

— Non, mais je peux difficilement refuser quelque chose à une jolie fille.

— Putain… j’ai envie de la voir maintenant.

Elle m’embrasse et pose la main sur ma queue.

— Tu es sûr que tu dois y aller Isaiah ?

— Oui. Désolé ma belle. Mais là, je ne peux pas me libérer.

— J’en ai envie.

— Je sais. Je vais te proposer quelque chose, mais je veux que tu y réfléchisses bien OK ?

— OK.

— Demain soir tu dis à tes parents et ton frère que tu dînes chez eux et que tu amènes un ami. Tu ne dis pas de qui il s’agit. Et je viens avec toi.

Elle me regarde complètement surprise et désemparée.

— Pourquoi chez mes parents, viens chez moi si tu veux.

— Je veux emmerder ton frère.

Elle rit.

— T’es con. Mon père est absent. Ma mère est là et sera ravie je pense.

Je souris intérieurement : tu m’étonnes !

— Alors ? Qu’en dis-tu ?

— Pffff, c’est tout réfléchi. Je ne sais pas vraiment pourquoi tu veux faire comme ça mais OK.

— Je veux voir la tête de ton frère quand on arrivera main dans la main. Tu verras je suis sûr que ça te plaira.

Elle hésite.

— Rien ne nous empêchera d’aller chez toi après ma belle.

— OK. Mais à une condition.

— Laquelle.

— Je veux la voir. Maintenant.

Elle me regarde, souriante. Je me recule :

— Fais comme chez toi ma belle.

Elle se penche et ouvre mon pantalon. Je soulève un peu les fesses pour l’aider, elle baise mon pantalon et le boxer. Ma queue jaillit.

— Oh wouaaahhhhhhhhhh.

— Ça te plaît ?

— Elle est… incroyable.

— Prends-la dans ta main.

Elle le fait et m’embrasse en même temps. Sa main va-et-vient doucement sur ma pine. Elle grossit et se raidit dans sa main.

— Tu vois, là, je bande.

Elle se tient tout contre moi, respire fort, se cambre, m’embrasse.

— Tu veux la goûter ?

— Je croyais que tu étais pressé ?

— Ne t’inquiète pas pour ça. Et puis c’est pour te montrer que tu ne le regretteras pas pour demain soir.

Elle m’embrasse puis se penche et embrasse mon gland.

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