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Educatrices : L'élargissement du cheptel – Chapitre 5




EDUCATRICES Ch 5 .

Coulybaca – Texte personnel.

Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 5 : Élargissement du cheptel.

Obéissante, Françoise postula au poste vacant d’éducatrice de week-end, sa candidature fut immédiatement retenue, ce poste n’étant convoité par personne, elle devait donc prendre son nouvel emploi du temps dès cette semaine.

Les explications, à la maison furent fort simples, elle exposa à son mari que, ses rentrées le soir se faisant de plus en plus tardives, cette opportunité lui permettrait de veiller sur les enfants la nuit tombée, de les aider pour leurs devoirs.

Tandis que le week-end il se chargerait d’eux, ou le cas échéant ils se-raient confiés à leurs grands parents.

Cette solution présentant effectivement de gros avantages pour la vie du foyer, son mari, aveugle, la félicita de cette initiative.

Une coïncidence fortuite devait accélérer le processus de soumission des deux gouines : le bébé de sa voisine étant malade, Françoise la conduisit à la pharmacie, et à sa grande surprise se trouva confrontée à la femme dont elle avait remarqué la photo chez Sylvie, blonde, distinguée, la belle quarantaine entretenue, la pharmacienne était loin de se douter de l’intérêt qu’elle provoquait.

La voisine, qui se fournissait toujours dans cette pharmacie, renseigna Françoise qui la questionnait habilement.

Madame Delcroix avait épousé le pharmacien, ou plutôt la pharmacie, ce qui, disaient les mauvaises langues la mettrait à l’abri du besoin le moment venu, mais avec la pharmacie, elle avait du accepter la compagnie du pharmacien, âgé de soixante ans, prude, rigide, conformiste.

Si son époux, jaloux comme un tigre, lui interdisait toutes fréquentations masculines, conscient de son incapacité à meubler la vie sociale d’une femme encore jeune, il l’autorisait, en tout bien tout honneur, à fréquenter des femmes de son age avec lesquelles elle se livrait à de fréquentes escapades, prenait des vacances, se distrayait en dehors de la présence contraignante du mari.

Françoise compléta intérieurement le tableau, estimant que le pharmacien, ne devait pas se douter des activités de sa femme qui semblait confondre jeux de société et jeux de dames.

Presque la caricature de la femme mariée encore jeune, par intérêt, avec un époux nettement plus âgé, qui évidemment avait encore vieilli, la différence d’age et d’activité ne faisant qu’accroître l’isolement, voire la rancour de la femme épanouie qu’elle était devenue.

Rien de surprenant à ce qu’elle satisfasse ses appétits en dehors du couple conventionnel qu’ils semblaient former.

Rien de plus évident qu’elle se devait de cacher sa vie clandestine, le rapport de la voisine évoquant un précoce vieillard aigri, plus soucieux de la bonne marche de son affaire que de la vie affective de sa partenaire qu’il négligeait, mais imbu de sa personne au point de provoquer un drame si le moindre soupçon au sujet de la vertu de sa femme lui venait.

Une proie bien facile pour son amant qui, avec ses amis aurait vite fait de la mettre au pas.

Tant mieux songeait-elle, consciente, comme Murielle l’avait été auparavant qu’une participante de plus allègerait leur condition personnelle.

Le mercredi, comme toutes les semaines, Marc et Frédérique furent autorisés à se rendre à la piscine, toujours sous la surveillance du jeune voisin, et inconsciemment Françoise se mit à guetter l’arrivée des garçons.

Vers 14 heures, la sonnerie retentit, elle se précipita, ouvrit la porte, sur le seuil se tenait Miloud.

Dans son impatience ce dernier, la porte à peine refermée la fit s’agenouiller sur le tapis.

D’elle même, avec une certaine impatience, les joues en feu, elle descendit la glissière de la fermeture éclair.

Avec bonheur elle extirpa le membre déjà turgescent du slip, et le prit sans plus de façon à pleine bouche.

Elle se rendait compte que, depuis son lever elle attendait cette minute, Miloud n’avait pas eu à la forcer, sa gorge espérait depuis le matin la présence envahissante de la verge juvénile qui la bâillonnait.

Elle se fit experte, de la langue elle repoussait le prépuce, dégageait le gland turgescent, flattait le frein, aspirait le gros cylindre jusqu’aux amygdales, se retirait pressant la hampe.

Sa bouche se faisait onctueuse, Miloud avait l’impression de forniquer dans un vagin, la bouche était si pressante, si enveloppante que bientôt sa queue fut secouée de spasmes annonciateurs de sa jouissance.

Complice, elle l’engloutit au fin fond de sa gorge, l’agaçant au passage de quelques légères morsures.

En longs jets saccadés le jus déferla dans sa gorge, elle s’empressa de déglutir et tout le temps de la longue éjaculation, elle continua à t^ter le chibre bronzé, le trayant avec vigueur jusqu’à la dernière goutte.

Enfin elle ressortit lentement le gourdin beaucoup moins glorieux et le lapa soigneusement, le nettoyant consciencieusement avant de le ranger dans sa prison de coton.

Puis, la semence lui barbouillant encore le menton, elle informa son amant de la réussite de ses projets, elle avait obtenu le poste pour lequel il l’avait obligée à postuler.

Ensuite seulement, elle lui livra tous les renseignements qu’elle avait pu collecter concernant la pharmacienne.

Pressé de mettre au courant ses acolytes Miloud la quitta rapidement, n’oubliant cependant pas de fixer la tenue qu’elle devrait revêtir vendredi

Le vendredi arriva vite, comme déterminé, Françoise se présenta au rapport, dans la chambre de Miloud, vêtue d’une courte jupe en cuir, d’un chemisier ample, de bas et d’un porte jarretelles, Murielle qu’elle avait croisée dans le couloir arborait une tenue identique, Miloud, vérifiant son obéissance, la flatta de la main en la complimentant.

Charles, qui guettait l’arrivée des voitures au parking vint annoncer la bonne nouvelle : l’infirmière débarquait en compagnie de sa blonde amie.

Immédiatement, Françoise fut déléguée pour inviter les deux gougnottes à partager le repas du soir au groupe, Murielle s’occupant des plus jeunes ils purent peaufiner le traquenard.

Toute la semaine, enfermés dans le labo audio visuel, ils avaient mis en application, avec bonheur, les notions acquises lors du dernier stage vidéo, avec l’aide de Murielle tantôt pipeuse tantôt technicienne, ils avaient

coupé, collé, sonorisé une petite bande style annonce porno.

N’en serait-ce que le sujet, sur ils auraient comblés de joie leurs formateurs qui n’auraient rien trouvé à redire au produit fini.

Brève, concise, la séquence d’un quart d’heure était un petit chef d’ouvre d’obscénité, elle réunissait en gros plans, en plans américains, en plongées contre plongées …. fellations, cunnilingus, analingus, sodomies, sandwichs …..

Toute la gamme des activités intimes, des plaisirs que ces dames se dispensaient ou se faisaient dispenser au cours de leurs après midis, ou leurs soirées récréatives.

Vers 19 heures, les invitées se présentèrent, l’apéritif était prêt, les petits nantis de leurs plateaux repas avaient gagné la salle de télé pour y visionner leur porno hebdomadaire.

Sylvie présenta son amie :

— Fabienne Delcroix, une amie.

Stephan servit copieusement les ponches, trois tournées plus tard, l’ambiance s’était nettement réchauffée, les plaisanteries se faisaient plus grivoises ; ils passèrent à table et soupèrent en arrosant copieusement les différents mets, Murielle et Françoise était chargées de saouler les deux invitées, elles s’acquittèrent au mieux de leur tâche, à peine les verres des deux gouines étaient-ils vides qu’ils se voyaient largement remplis.

Les cinq comparses buvaient modérément, les deux femmes, les joues empourprées avaient visiblement des vapeurs.

Le café expédié, autour d’une bouteille de cognac ils devisaient gaie-ment, lorsque Miloud commanda à Murielle d’allumer le petit poste télé du salon.

Murielle et Françoise figuraient en compagnie des trois jeunes gars sur les premières images, ignorantes de ce fait toutes deux s’empourprèrent sous les commentaires graveleux.

L’atmosphère se faisait de plus en plus lourde, d’abord très gênées, reniflant le coup fourré les amies deux voulurent se retirer, mais elles étaient trop éméchées pour raisonner.

Il les convainquirent d’autant plus facilement de continuer d’observer la projection, qu’elle avait des effets nettement pernicieux sur leur libido, le ventre embrasé, elles ne quittaient plus de l’oil les intimités révélées, en pleine action.

Dès les minutes suivantes elles comprirent le guet apens dans lequel elles étaient tombées.

En gros plan, tête bêche, Fabienne fouillait à pleine bouche la rousse toison de son amie, lui mordillant un bourgeon de chair bien érigé, alors que cette dernière, tout en lui enfilant l’énorme godemiché dans les reins lui mordait les tendres fesses à pleines dents.

La musique suivait dans un effet crescendo l’inéluctable montée de l’orgasme des deux femelles en rut, il explosait dans un tonnerre de cymbales qui les tira de leur torpeur.

Hébétée, ne comprenant pas encore le but des ados, avec rage elles sommèrent les trois garçons de leur remettre la bande vidéo.

Charles se fit alors menacent et intervint :

— Non seulement, on ne vous rendra pas le film, mais vous allez tout de suite vous plier touts deux à nos ordres si vous voulez éviter que vos petits chéris ne les voient. On pourrait même en envoyer une copie aux chefs… Qu’en penses tu Sylvie ? Vous allez obéir tout comme nos deux salopes, sinon !

Les deux femmes, pâlirent, ne pouvant que constater l’efficacité du piège qui se refermait sur elles.

L’esprit encore embrumé par l’alcool ingurgité . Elles ne voyaient de salut que dans une totale reddition.

— Vous ne savez pas de quoi ils sont capables… Vous êtes aussi coincées que nous… Vous… Vous y passerez… Tout comme nous… Surenchérit alors Murielle.

— Bon… Maintenant, finit les jérémiades… A poils … Et vite… Intervint Charles, il fallait leur interdire toute possibilité de réaction, profiter de leur état d’hébétude pour mieux les forcer.

Comme Fabienne tardait à se relever, Stephan lui asséna une gifle retentissante qui acheva de la convaincre de l’inanité de la révolte.

— Allez remontez doucement vos jupes… On veut un strip. Toi donne ta clé à Françoise… Elle va ramener l’olibos !

Les deux femmes pâles comme la mort, retroussèrent lentement leurs jupes, les cuisses fuselées apparurent, puis toujours aussi lentement el-les se dégrafèrent, les firent glisser de leurs hanches et les posèrent sur le divan .

Elles présentaient un tableau fort suggestif, les bas tendus soulignaient la finesse dodue des cuisses, elles portaient toutes deux des porte jarre-telles noirs, seul un léger string voilait encore leurs intimités.

— Elles s’étaient préparées… Putain quels culs ! S’exclama Stephan, .Allez on continue…

Avec les mêmes gestes furtifs elles quittèrent leurs chemisiers, puis ôtèrent leurs soutiens gorges, les globes mammaires aux larges aréoles bistres sautèrent aux yeux des voyeurs.

Elles cherchaient toutes deux à dissimuler leurs lourdes mamelles.

Un cou sec sur le bras les en dissuada, ils purent admirer tout leur saoul les deux poitrines dissemblables.

Les seins de Sylvie, lourds à larges aréoles brunes contrastaient vive-ment avec ceux de Fabienne aussi opulents, tout aussi fermes, mais couronnés d’une discrète aréole plus claire.

Les tétons eux mêmes étaient différents : aux grosses pointes érigées de Sylvie, correspondaient les menus tétins de Fabienne, toutes deux avaient en commun d’avoir la chair de poule, leurs aréoles se craque-laient de ridules démontrant clairement leurs craintes et leurs appréhensions.

— Arrêtez, nous ne dirons rien à personne… Ne nous obligez pas ! Pleurnicha Fabienne.

— Tu crois pas qu’on va arrêter en si bon chemin… Au tour du reste… Et magnez vous… Notre patience a des limites ! Menaça Stephan levant la main pour frapper.

Toutes deux comprirent le message, et se débarrassèrent en hâte de leurs slips, plus qu’après l’abandon du soutien gorge elles se sentaient maintenant à la disposition de leurs trois suborneurs.

Les bas puis les porte jarretelles suivirent le même chemin ; elles étaient maintenant intégralement nues, les bras le long du corps, entièrement livrées à la convoitise des trois jeunes voyous.

Tournant sur elles mêmes elles durent exhiber leurs masses fessues, fendues d’une même profonde blessure, les formes lourdes dissimulaient leurs anus tapis au creux de la raie culière .

Elles furent bientôt priées d’écarter leurs masses charnues afin de permettre une meilleure observation de leurs intimités.

Les culs largement ouverts, révélaient au centre de leurs raies l’anus brun cerné de poils follets de Sylvie et celui plus rose, au sphincter moins proéminent de Fabienne.

Sur l’ordre de Miloud elles approchèrent du divan où se vautraient leurs trois tortionnaires.

Toute honte bue elles livrèrent leurs corps aux mains inquisitrices, qui apprécièrent le velouté et la fermeté de leurs culs, l’étroitesse de leurs anus.

Ils peinaient à les pénétrer du doigt, leurs sexes aussi furent convenablement examinés avant qu’on ne les autorise à prendre place sur le di-van.

Le retour de Murielle, l’énorme godemiché à la main divertit un moment les trois ados de leurs proies.

Elles se sentaient avilies, le spectacle qu’elle avaient du offrir n’était, elles le sentaient bien qu’un prélude aux contraintes qu’elles devraient subir.

Hagardes, craignant les coups, elles ne voyaient pas comment se refuser à leurs jeux.

Sur l’ordre de Miloud, Sylvie s’approcha à quatre pattes de lui, dégrafa sa braguette et extirpa le membre violacé qui lui sauta au visage.

D’une langue frileuse elle le flatta lentement avant de l’engloutir d’un souple mouvement du col, elle entendit Murielle conseiller à Charles :

— Graisse le bien, si tu veux qu’il rentre… Et affolée elle comprit qu’elle devrait bientôt subir l’éprouvante sodomisation de son postiche.

Déjà des mains impatientes lui écartaient les fesses, son anus craintif semblait trembler d’anxiété, elle contractait ses sphincters fortement, interdisant le passage aux doigts inquisiteurs.

Une claque lui cingla les fesses, puis une seconde et enfin une grêle de coups éclata sur son derrière rétif, elle se mit à geindre, la grosse mentule qui lui emplissait la bouche l’empêchait de se plaindre plus fort.

Elle tremblait de blesser des dents celui qu’elle pompait, sachant qu’alors la punition serait terrible.

Enfin les coups cessèrent, sa croupe se fit plus docile, un simple appui de la main au creux de ses reins la convainquit de se cabrer, l’anneau de son oillet était prêt à se soumettre à l’effraction préméditée.

Charles lui enduisit largement la raie de pommade, puis du pouce il for-ça le tunnel obscur, tournant retournant son doigt raidi dans le fourreau étroit, afin de mieux graisser le conduit.

Un plop sonore accompagna le retrait du mini membre, le muscle anal baillait légèrement révélant les chairs intérieures, brunes, maculées de pommade blanchâtre.

L’agrippant par les oreilles Miloud faisait coulisser sa bouche sur toute la hampe, s’enfonçant en de rudes coups de boutoir dans son arrière gorge.

Au mépris de ses hauts le cour, le chibre épais lui forçait la luette et ve-nait buter au haut du pharynx, ces sollicitations buccales la distrayèrent quelques secondes du viol de son cul qui admettait maintenant deux puis trois doigts réunis.

Soudain elle sentit une masse oblongue presser son anus, comme Charles se l’était promis lors du week-end précédent il entreprenait un difficile enculage par le volumineux gode.

La pression était forte mais pas encore douloureuse, elle le devint lors-que Charles ne parvenant pas à l’introduire par simples poussées, le vrilla dans l’anus.

La tête du membre factice s’engloutit dans le sphincter, Fabienne était contractée par le refus, son cul refusant la pénétration enserrait le gros gland de plastique à le broyer l’empêchant de progresser.

Agenouillé entre ses fesses Charles ne bougeait plus, il guettait le mo-ment ou le muscle tétanisé restreindrait son étreinte.

Au bout de quelques secondes le sphincter se détendit, immédiatement, d’une poussée brutale Charles propulsa le gourdin jusqu’à la garde dans le cul abominablement distendu.

Cela craqua dans son anus comme dans sa tête, la douleur générait des éclairs de feu sous ses paupières, elle était si intense qu’elle ne lui pe-mit pas de trouver refuge dans l’évanouissement.

Elle entendit Stephan conseiller à Charles de la laisser s’accoutumer ; la douleur décrut, de nouveau Miloud qui quelques instants s’était immobilisé dans sa bouche, le temps d’observer l’implacable pénétration, sollicita sa participation, le membre épais lui distendait les lèvres, elle commençait à ressentir des crampes dans les mâchoires, aussi est-ce avec soulagement qu’elle le sentit décharger son foutre crémeux en pleine gorge, suffocant quelque peu elle avala l’acre purée avant de se livrer à grands coups de langue à la toilette de la queue qui l’avait forcée.

Ayant conscience de s’être acquittée au mieux de sa tâche elle voulut se relever, mais Miloud lui bloquant la tête le lui interdisait.

Son cul s’était fait à l’ampleur du monstrueux pal qui le garnissait, son intestin était comblé, elle ressentait une sensation de plénitude comme jamais jusqu’ici elle n’en avait connue, appuyant sur l’interrupteur à la base du gode, dont les deux boules formaient une excroissance rosâtre,

obscène, surmontant le sphincter partiellement retourné, diaboliquement étiré à la base du gros pal, Charles démarra le vibreur.

Le boyau de Sylvie se mit à frémir, des millions de petites piqûres semblaient larder ses reins, la sensation s’aggrava encore lorsque Charles commença à la branler, sortant lentement le gode, à la limite du gland pour ensuite le renfoncer lentement dans son fondement.

Ses reins maintenant domptés suivaient les mouvements du gourdin, Charles amplifia soudainement le rythme, c’était de profonds et violent coups de boutoir qui lui repoussaient maintenant l’intestin.

La douleur avait ressurgi, violente, implacable accompagnant chaque avancée et chaque retrait de l’énormité dans ses fesses, dans un paroxysme de douleur l’orgasme surprit totalement Fabienne, le plaisir naquit de la souffrance, son cul se ruait à la rencontre du pal.

Plus rien d’autre que son fondement défoncé lui importait, sa chevauchée se termina sur un ultime cri de plaisir et Fabienne se tordant dans tous les sens jouit avec une violence inouïe.

Son corps, comme privé d’énergie roula au sol où, incapable de se re-prendre elle resta longtemps pantelante, haletante, l’esprit chaviré par cet orgasme, ce plaisir insensé.

Dans les nuages, elle remonta sur le divan et se blottit contre Miloud, la bouche reposant sur son sexe qui reprenait de lentement de l’ampleur au vu du spectacle offert par Fabienne et Françoise.

Stephan avait ordonné à Françoise de s’étendre sur la table basse, puis Fabienne avait du la rejoindre, tête bêche, les langues s’agitaient maintenant dans les intimités ruisselantes, dès que l’une ou l’autre, lassée, ralentissait ses caresses, Stephan intervenait leur claquant le cul de sa

lourde ceinture de cuir.

Quelques marques boursouflées, rougeâtres, striaient les deux culs, témoignant de la violence des coups portés.

Comme Sylvie précédemment, Fabienne était perdue, elle flottait dans un monde imaginaire, sa réflexion se bornait au sexe qu’elle suçait de son mieux et à l’anus entrouvert dont elle respirait les effluves, un doigt lui força le cul, en constata l’étroitesse et Stephan commenta :

— Tu ne te fais pas souvent enculer ma belle, sa rondelle est étroite comme pas possible… C’est pas vrai, à ton age ! Encore pucelle du cul ! J’vais t’arranger ça… Françoise prépares là !

Et Françoise, tendant le cou , commença de suçoter l’anus frileusement crispé, des deux mains elle écartait les opulentes fesses, permettant ainsi un meilleur accès à l’oillet parfumé, la feuille de rose décrispa lentement la rondelle convoitée, de la pointe de la langue Fabienne flatta si bien la rosace que bientôt elle s’entrouvrit d’elle même s’offrant de son mieux au léchage des parois internes.

Interrompant la suceuse, Stephan lui fourra sa queue dans la bouche lui intimant de la faire bander dure comme fer, ses doigts enduits de pommade graissèrent longuement le conduit anal, le distendant, le préparant longuement, à la première poussée le gland fut englouti par le cul vorace, tous contemplaient le dépucelage de la belle.

Pour la hampe nettement plus épaisse ce fut moins aisé, mais enfin, en dépit des ruades de l’enculée Charles se logea entièrement dans le boyau dilaté.

Tandis qu’il entamait son branle dans le cul profané, il ordonna à Fran-çoise de s’occuper de ses couilles.

Françoise entreprit de lécher les bourses velues, les poils lui encombraient la bouche, elle les recracha puis s’intéressa à la portion de hampe qui sortait et rentrait dans le trou distendu de sa partenaire, sa langue allait et venait tout le long du cylindre léchant les sécrétions qui glissaient de la chatte de la belle et empoissait ensuite le gros chibre.

Fabienne pleurait et gémissait, pour la faire taire Charles lui enfonça lui aussi sa queue au fond de la gorge et Fabienne qui se cachait si bien par peur du qu’en dira-t-on se consacrant, de ce fait, de façon active à Lesbos se vit en ce jour lécher la queue d’un jeune homme tandis qu’un autre s’emparait de sa dernière virginité.

Tous deux se vidèrent en même temps, ils déchargèrent longuement, inondant de foutre le cul et la bouche offerts, Stephan se releva et or-donna à Françoise, alors que Fabienne faisait la toilette de Charles, de lui nettoyer le cul et la fente, elle lapa le foutre qui suintait de l’anus de sa

copine puis parcourut à grands coups de langues la fente de la blonde la débarrassant des secrétions qui l’encombraient.

Murielle avait pris de nombreuses photos durant toute la soirée, et se séparant, chacun regagna sa chambre accompagné de son esclave, Sylvie sachant maintenant qu’elle était dévolue à Charles.

Ils ordonnèrent à Fabienne qui devait rejoindre le lit conjugal, de revenir le week-end prochain, pour la totalité du week-end, sinon…

Après cette soirée mouvementée, la nuit fut paisible, chacun récupérant des efforts de la veille.

Au réveil les nénettes s’occupèrent des chibres de leurs maîtres avant de se lever et de s’occuper des plus jeunes.

Sylvie évoluait encore dans un monde fantasmagorique, sa situation ne lui apparaissait pas encore clairement, elle se rendait uniquement compte que, pour la durée du week-end, elle devrait contenter la lubricité des trois petits salauds, elle était incapable pour l’instant de voir plus loin que ce week-end.

Toute la journée elle subit les assauts consécutifs des trois tyrans qui tenaient à l’étrenner, le soir c’est la bouche gluante de sperme, l’odeur acre lui en ayant imprégné les papilles, le trou du cul cuisant et la craquette irritée qu’elle s’endormit après avoir une dernière fois sucé la bite de Charles, son propriétaire.

Le lundi matin, elle les quitta, l’esprit en déroute, elle comprenait mainte-nant que son esclavage ne se limiterait pas à ce week-end, Charles lui avait longuement expliqué que dorénavant, elle lui appartenait, et que si elle tenait à conserver son boulot, elle avait tout intérêt à satisfaire tous ses caprices, à se montrer servile, docile et toujours disponible.

Elle avait compris clairement que les deux éducatrices étaient victimes du même chantage, elle leur demanda conseil, et s’entendit répondre que pour elle et sa copine la liberté c’était terminé, que désormais leurs maîtres chanteurs les tenaient bien et que si elles voulaient éviter le scandale il ne leur restait à faire comme elles deux : c’est à dire se plier docilement à toutes leurs volontés.

Elle quitta l’IME honteuse, révoltée mais consciente de son entière dépendance .

Coulybaca

Texte personnel

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