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Complices pour transformer ma jeune maîtress – Chapitre 1




24 Juillet 2003

Pas évident de regarder son amie avec un autre homme. Mais deviendrais-je voyeur ?

A dire vrai, je ne sais pas vraiment si ce que je vais écrire, intéressera les lecteurs plus habitués à des textes plus pimentés dès le début.

Mais bon, je cherchais depuis peu un site où je pourrais exprimer ce que je ressens et avoir les impressions d’hommes et surtout de femmes (car qui connaît mieux les femmes qu’une autre femme).

Non pour me rassurer (quoique…) mais plutôt me conseiller sur la façon de me comporter où me donner des idées.

J’ai fini par ’’tomber’’ par hasard sur ce site qui me semble très cool.

Voilà, je me prénomme Stéphane (Steph pour tout le monde) et j’ai 36 ans. Je vous ferai grâce de mon aspect physique, qui importe peu (disons que je peux me regarder dans un miroir sans défaillir !).

L’objet de cette lettre est de vous parler de Chris (Christel , pour les ’ autres ’). Je l’ai rencontré sur mon lieu de travail, il y a un peu plus d’un an. En fait, je l’avais recrutée comme assistante et à force de voyager ensemble et de passer la majeure partie de mon temps avec elle, j’ai fini par devenir son amant. Et cela n’a pas été facile car elle ne voulait pas ressembler à ce cliché : la secrétaire qui couche avec le patron.

J’entends déjà certains gausser !

Mais bon, j’avais flashé sur elle, dès l’instant où elle s’était présentée pour le job. Il a fallu que je sois patient, très patient (cela m’a pris 6 mois !), que je sape galamment sa résistance et que je gomme l’image qu’elle se faisait des relations dans et en dehors de travail.

Je dois vous dire que Chris a 20 ans. Quand je l’ai rencontré, elle en avait 19 à peine. Je ne me suis absolument pas posé de questions sur son âge ou sur la différence entre le sien et le mien.

Il faut dire qu’elle ne faisait pas gamine, au contraire, elle avait un look déjà très ’’secrétaire de direction’’ (mais je pense que c’était voulu…).

Elle a rompu avec son copain du même âge qu’elle, avant que nous fassions l’amour pour la 1ère fois.

Quant à moi, j’étais libre comme l’air !

Par choix, nous ne partageons pas le même toit. J’habite une maison avec un grand terrain assez sauvage, à la campagne près d’une ville et sur ce terrain, il y a la petite maison des anciens gardiens.

Ce petit bâtiment a 2 pièces principales et 5 petits réduits ou ateliers qui ne me servent qu’a y entreposer tout un bric à brac.

Quand Chris a quitté son copain, je lui ai proposé quelques temps après, d’y emménager. Bien évidemment, elle ne paie rien et dispose ainsi de sa liberté. Je ne voulais pas qu’elle se sente envahie et moi, cette situation me convient bien.

C’est amusant car parfois, elle m’invite ’’chez elle’’ !

Cette rencontre a été une véritable révélation.

J’ai un passé assez agité et j’ai expérimenté, lorsque j’habitais à l’étranger, suffisamment d’expériences pour avoir l’envie d’être le mentor de quelqu’un qui pourrait partager ma façon d’être.

J’ai trouvé en Chris, une fille réceptive et curieuse de tout. D’une certaine manière, je voulais la façonner et je pense y être presque’ arrivé.

Au fur et à mesure que le temps a passé, elle a eu une entière confiance en moi. Malgré ses a-priori, nous avons fini par faire l’amour dans mon bureau (lorsque mes locaux étaient vides), plusieurs soirs par semaine.

Elle, qui s’habillait très sage, a commencé (suivant mes conseils) à porter des vêtements de plus en plus sexy.

Il y a quelques mois, sous couvert d’un jeu, je lui ai rasé complètement la chatte.

J’ai eu peur qu’elle ne hurle à la vue de son minou tout lisse ; mais non, elle s’est mise à rire.

Quand je lui ai demandé si cela lui plaisait, elle m’a dit que c’était nouveau pour elle, mais qu’après tout, si cela me faisait plaisir.

J’en ai profité alors, par lui suggérer d’essayer sans culotte, juste pour voir la sensation que cela lui procurerait.

Quelle ne fût pas ma surprise de la voir arriver 2 jours après, chez moi, vêtue d’un Jean, qu’elle baissa pour me montrer qu’elle n’avait pas mis de culotte !

Elle m’avoua que c’était super de sentir le drap frotter sur son clito. Elle me dit en riant que quand elle marchait, elle avait l’impression qu’on la branlait.

Depuis, elle ne porte pour ainsi dire, plus de culotte et son minou est lisse comme un abricot !

Mais bon, parfois elle râle car mes talents de barbier restent à démontrer…

C’est vrai, côté vestimentaire, c’est un vrai bonheur pour moi. Chris essaie, à chaque fois que l’occasion se présente, de me faire plaisir.

La dernière fois, au début de l’été, nous avions décidé de nous balader à la campagne. Elle avait mis un robe courte et légère, en tissus imprimé. De celle qui flotte au moindre mouvement.

Comme c’est son habitude depuis quelques temps (et surtout en cette période caniculaire), elle ne portait rien sous sa robe (une autre de mes idées lubriques !) et quelques boutons du bas étaient dégrafés, montrant le haut de ses cuisses, une fois assise .

Quand nous nous sommes arrêtés avec la voiture pour faire de l’essence, Chris a voulu descendre pour s’en occuper (je crois plutôt qu’elle avait repéré le jeune pompiste…).

Elle se tenait à côté du réservoir, l’air détaché, pendant que le type faisait le plein. A un moment, il y a eu une bourrasque de vent et sa robe s’est soulevé, découvrant sa chatte.

Je n’ai pas vu grand’ chose, sauf la tête du malheureux garçon, virer au rouge coquelicot !

Quant à ma belle ingénue, elle s’est contenté de dire au gars, en le regardant : ’ Dieu, quel vent, n’est-ce-pas ?’ . Le pauvre n’a réussi à émettre qu’un vague bredouillement.

Une fois, le plein fait, l’ effrontée lui a demandé de vérifier la pression des pneus. A chaque fois que le pompiste s’agenouillait pour faire son travail, ma belle Chris se trouvait comme par hasard, en dessus de lui, à hauteur de ses yeux.

Jamais la mise à niveau de 4 pneus m’a pris autant de temps que cette après midi là !

Quand nous sommes repartis, le type était comme scotché à son tuyau flexible. Je pense qu’il a su occuper ses nuits, à se branler en repensant à mon adorable salope !

Quant à Chris, son seul commentaire a été : ’ t’as vu comme il bandait, le pauvre ! ’.

Voilà un des exemples de la transformation de ma belle.

Elle est si docile parfois. J’aimerais bien faire des photos sexy d’elle, mais même si je lui en ai vaguement parlé, je pense que c’est encore un peu trop tôt. Néanmoins, je suis persuadé qu’elle prend du plaisir à être éduquer. Chris ne dit quasiment jamais non à mes propositions mais il faut que je me montre patient.

Je m’aperçois que je ne vous l’ai pas présenté.

Chris est assez grande, 1m70. De magnifiques yeux bleu azur. Blonde, les cheveux mis longs. De belles jambes avec au bout, une paire de fesses à damner un saint ! Sa poitrine est forte et si elle ne pointe pas vers le ciel, ses seins sont fermes et très ’’émotifs’’.

Ah ! Elle a un petit secret. Elle est très sensible du dos et de sa chute de reins, des doigts de pieds et des jambes. Bref, dès que j’en touche une partie, elle feule comme une chatte en chaleur. Jamais vu cela…

Alors quand je lui fais la totale, imaginez…

Je sais que j’ai été un peu long mais je devais le faire pour mieux comprendre la suite.

Bien voilà, il y a 15 jours, mon ami Claude, nous a invité à dîner chez lui.

Pou l’occasion, J’ai demandé à Chris de porter des fringues hyper sexy car j’aime bien faire baver mon bon Claude. Comme ma coquine aime bien le titiller aussi, elle est partie chez elle pour choisir une tenue qu’elle me promit ’’explosive’’.

Quand elle est revenue dans mon salon, j’ai bien failli avoir une attaque !

Un court caraco ample, de couleur parme, mettant à nu son ventre qui ne couvrait ses seins qu’à condition qu’elle ne lève pas les bras et une micro mini de la même couleur en cuir souple.

Je n’osais même pas lui demander si elle portait des sous vêtements. J’étais sans voix mais ce que je peux dire, c’est que la couleur de ses fringues sur sa peau bronzée… Je l’aurai violée sur place !

Lorsque nous sommes arrivés, il y avait déjà un couple que je connaissais de vue, Laure et Bruno, pour les avoir aperçus dans le bourg. Je peux vous dire que Chris à eu un effet certain sur tous…

Claude nous les a présenté comme de nouveaux arrivants, installés depuis quelques mois dans notre région. Lui tient en ville, un magasin spécialisé dans la photo (mariages, baptêmes, etc.) et Laure est gérante d’un boutique de fringues pour nanas.

Laure et Bruno m’ont paru tout de suite très sympathiques et Chris, en général, assez réservée avec les étrangers, semblait, au fil du repas, être à l’aise avec eux.

D’ailleurs, Claude m’en a fait la remarque en me demandant discrètement, si j’avais fait boire Chris avant de venir.

Il faut dire que ma chérie ne tient pas l’alcool. Quelques verres suffisent et bonjour les dégâts !

Quant elle est ’’partie’’, il faut la retenir car elle n’arrête pas de rire et de chahuter !

Bref, sachant cela, elle fait attention.

Mais ce soir là, occupé à discuter avec Laure et Claude, je n’ai pas remarqué que Chris buvait systématiquement les verres que lui versait Bruno.

Parfois, je levais la tête quand Chris éclatait de rire. Bon, apparemment, elle passait une bonne soirée et ma peur qu’elle s’ennuie, s’évanouissait.

C’est vrai, je trouvais Laure et Bruno vraiment sympa. Bruno était un vrai charmeur et nous avons bien ri lorsqu’il nous a raconté leurs exploits dans un camp de nudiste où ils avaient passé leurs dernières vacances.

Quant à Laure, je la trouvais exquise et cultivée. J’avoue que je n’étais pas insensible à sa voix douce mais profonde. Quand Claude nous laissait pour vaquer à ses occupations ménagères, il n’y avait aucun blanc entre nous et la discussion allait bon train.

Je me fais sans doute des idées mais il m’a semblé, à ce moment de la soirée, qu’elle n’était pas insensible à mon charme (que je dois tout de même posséder un peu… Enfin ??). J’ai cru surprendre par moments, dans ses yeux, des regards ’’intéressés’’.

Vers 1 heure du matin, j’ai entendu Bruno dire à Claude qu’on n’allait pas finir cette superbe soirée en se quittant maintenant. Nous pourrions peut être aller danser, si nous connaissions une boîte de nuit dans le coin.

En entendant cela, ma Chris et Laure ont hurlé comme des folles en disant qu’elles voulaient se remuer le corps et bouger sur une piste.

Moi, cela ne me disait rien mais quand Laure m’a pris par le bras en insistant, je me suis laissé faire comme un lâche.

Nous nous sommes engouffrés tous les 5 dans ma voiture et avant même avoir eu le temps de dire à Chris de se mettre à l’avant, Laure avait entraîné Chris à l’arrière, l’installant entre eux deux.

Lorsque je jetais des coups d’oeil dans mon rétroviseur, j’apercevais ma Christel ’’enchâssée’’ entre Laure et Bruno. Elle fait petite puce entre eux.

De temps en temps Laure, mais plus souvent Bruno murmure des choses à l’oreille de Chris. J’ai beau essayer de saisir ce qui se dit, la voiture fait trop de bruits.

En tous cas, Chris a l’air de s’amuser.

Nous entrons dans la boîte qui est pleine à craquer. Heureusement, elle est sur 2 étages et ainsi nous trouvons, au niveau supérieur, une table dans un coin assez tranquille pour discuter (à condition de coller sa bouche sur l’oreille de l’autre !).

Bien sûr, ce sont les filles qui partent danser les premières !

Quand elles reviennent au bout de 20 minutes, elles sont échevelées et rient comme des folles en se tenant par la main.

Les hommes étant ce qu’ils sont, je ne puis m’empêcher de lorgner Laure et je remarque qu’elle a fait sauter 2 boutons de son chemisier.

A-t-elle croisé mon regard à ce moment-là ? Toujours est-il qu’elle prend une cigarette sur la table et se penche vers moi pour me demander du feu.

Le feu, c’est moi qu’il l’ai, mais au derrière !

Mes yeux sont rivés sur son décolleté et je ne peux les détacher de ses magnifiques globes.

Je devine des seins plus lourds que ceux de Chris. Quand Laure se relève, j’ai l’impression qu’on me vole mon jouet !

Vite un coup d’oeil vers Chris. S’est-elle rendue compte ?

Je ne sais pas, mais en tous cas, elle a un verre à la bouche et elle me fait un clin d’oeil…

Bon, je suppose que cela n’a rien à voir.

Quand les filles repartent sur la piste (la mienne, un rien titubante…), nous les suivons avec un enthousiasme modéré.

Nous tenons quand même 1 quart d’heure avant de faire retraite vers la bouteille de scotch.

Cela dure plus d’une heure, avec des arrêts ponctuées par les filles, le temps de boire un autre verre.

Discrètement, je dis à Chris de ralentir l’alcool, mais elle me répond, angélique : ’ T’inquiètes !’.

Arrivent les séries de slow (spécialité de la maison !). Ah ! Un peu moins de bruits.

Les filles reviennent vers nous.

Je me lève pour prendre possession de ma belle et c’est la main de Laure qui se referme sur la mienne.

Moment de stupeur. Claude en profite pour enlever mon ange !

Je jette un regard vers Bruno pour lui demander si je peux et c’est Laure qui me dit : ’Chez nous, chacun décide pour soi !’.

Je suis tout de même rassuré quand Bruno me confirme qu’il n’a pas à me donner d’interdiction.

Laure et moi dansons sagement les 2 premiers slows. Au deuxième, je jette un coup d’oeil sur la piste et je ne vois plus Chris et Claude. Il faut dire qu’il y a foule et ils ont dû être entraînés un peu plus loin.

Le troisième me les fait oublier car Laure semble un peu plus lourde entre mes bras. Je me dis que je suis en train de me faire des illusions mais quand je m’écarte un peu, je sens le corps de Laure se coller au mien.

Je ne sais plus comment me comporter quand elle enserre ses bras autour de mon cou et que sa tête se pose au creux de mon épaule.

J’ai, soudain, très chaud et les jambes comme en coton !

Au cours du dernier slow de cette première série, je jette des regards affolés vers notre table car tout le monde doit s’apercevoir que Laure frotte son corps contre le mien.

Rien !

Bruno nous jette un coup d’oeil désintéressé et je le vois appeler une serveuse.

A la fin du slow, Laure se décolle de moi et pose rapidement sa bouche contre la mienne en me disant : ’ c’est chaud de danser avec toi, on va recommencer tout à l’heure ! ’.

Baba, je ne trouve rien à répondre.

Quand nous nous approchons de la table, elle me glisse à l’oreille : ’ Pour Bruno, t’inquiètes pas… ’.

Facile à dire !

Claude et Chris reviennent s’installer . La bouteille commandée par Bruno arrive et les verres sont remplis.

Chris accepte de ’’mouiller’’ son whisky avec un peu de coca…

Je souris quand même un peu quand je la regarde. Ses yeux sont brillants, ses pommettes colorées et elle semble tout à fait pompette (mais j’ai vu pire).

Les filles ne peuvent pas tenir en place et repartent à l’assaut de la piste pour se déhancher comme des furies.

Chris a l’air de bien s’entendre avec Laure. Tant mieux car elle n’a pas réellement de copines avec qui s ’amuser.

Et le temps passe.

Bruno se lève. Claude et moi, nous l’encourageons mais il nous rassure. Il a juste un mot à dire à sa femme.

Quelques instants après il revient et nous nous resservons un verre.

Quand la musique change de rythme, je jette un regard vers la piste, je remarque que Laure quitte Chris et se dirige vers la cabine du DJ. Elle lui dit quelques mots et rejoint ma copine.

Bruno se penche vers nous et nous dit : ’ Les gars, je dois m’absenter mais je reviens. Je dois aller faire pisser le chien sinon ça va être un désastre. J’en ai pour une petite demi-heure ’.

D’accord, nous ne bougeons pas d’ici de toutes façons, les filles s’éclatent, alors…

Quelques minutes après, le DJ annonce qu’à la demande générale, il va passer un autre série de slows.

Dans ma petite tête, je me dis que c’est un coup de Laure, pour danser avec moi.

Même si je ne compte pas me laisser aller, j’ai quand même le coeur qui bat un peu plus vite.

Après tout, je n’ai rien fait de mal pour l’instant et puis…. Ce n’était pas du tout désagréable, ma foi !

Imaginez mon air dépité quand aux premières notes du slow, j’aperçois Laure et Chris, main dans la main, s’éloigner de la piste et se diriger vers le sous-sol.

Claude, élégant, me dit qu’avec tout ce qu’elles ont picolé, elles vont squatter les toilettes !

Peu de temps après, on me tape doucement sur l’épaule, je me retourne. Laure, sourire éclatant, m’invite :

’ Allons, mon bonhomme, viens caresser la piste avec moi ! ’ .

Claude dit qu’après ce sera son tour et Laure accepte en riant.

M’entraînant sur la piste, Laure me dit que Chris est aux toilettes. D’ailleurs, elle a fait une rencontre. Une nana.

Apparemment, c’est une collègue de bureau.

Mon sang se fige. Il ne faut pas qu’on nous voit ensemble car personne ne connaît notre liaison. Ce serait une catastrophe et les employés n’auraient pas fini de jaser.

Bon, il faut que je laisse Chris se débarrasser de cette fille.

Heureusement, Laure me fait très vite oublier ce problème en recommençant son manège. Je ne sais plus quoi faire et je sens que mon corps est moins sage que ma tête.

Apparemment, cela ne semble pas indisposer Laure qui se frotte un peu plus…

Au cours du 2ème slows, Claude, conquérant, nous sépare. C’est son Tour, paraît-il ?

Moi, je n’y vois pas d’inconvénient car il faut que je laisse retomber toute cette excitation qui commence à se voir.

Laure, elle, ne semble pas ravie par cette interruption et visiblement c’est de mauvaise grâce qu’elle se laisse entraîner par Claude.

Je retourne m’installer sur mon fauteuil.

Les minutes passent. Longues. Très longues. Si longues que je finis par perdre patience. Je me lève.

Un regard vers la piste et j’aperçois Laure qui me fixe étrangement.

J’ai l’impression qu’elle veut quitter Claude mais lui non. Elle me regarde encore une fois et puis, reste sur la piste avec Claude.

Bon, je vais essayer de voir où en est Chris avec la collègue de bureau.

Je descends les marches.

Dieu, que de fumée. Il fait plus sombre qu’au premier.

Je me dirige vers les toilettes. Personne aux lavabos. Je ne vais tout de même pas entrer chez ’’les filles’’ !

Je vais jeter un coup d’oeil discret dans la salle.

Je me place dans un coin très sombre, derrière un pilier, pour qu’on ne me voit pas.

Un regard circulaire… Rien à l’horizon !

Je reste quelques instants et puis je décide de remonter. Après tout, nous nous sommes peut être croisés, Chris et moi.

Au moment de partir, je jette un dernier coup d’oeil.

J’ai comme un flash très rapide. Cette couleur qui vient de se démarquer de la foule qui danse lentement.

On dirait celle que porte Chris.

Bon, je décide de m’approcher pour vérifier. Juste au moment où je m’avance, un couple bouge et j’ai la confirmation que c’est bien les vêtements que Chris porte. Je n’arrive pas à distinguer son visage. Juste deux formes entourées de fumée et d’ombres.

Une chose est sûre : elle est sur la piste donc elle danse avec quelqu’un.

Qui ? Ce n’est tout de même pas sa collègue de bureau !

Je dois en avoir le coeur net. Ce n’est pas que j’éprouve de la jalousie à cet instant, mais plutôt une certaine surprise.

Je fais quelques pas dans l’obscurité et là, j’ai une autre surprise : en effet, Chris danse, mais elle danse avec Bruno !

Sur le coup, je me dis qu’il est revenu, a sans doute croisé Chris et en a profité pour l’inviter à danser.

Bon, je ne vais pas être ridicule sur ce coup là en jouant les amants outragés.

Par contre, je m’aperçois que je n’ai nulle envie de partir.  ?trange, mon coeur bat un peu plus vite.

OK, un petit peu de curiosité n’a jamais fait de mal à personne…

Je vais me placer sur la petite mezzanine où les groupes se mettent quand ils font des concerts. Il y a déjà beaucoup de monde mais j’aperçois un fauteuil libre légèrement en retrait de la piste.

Je monte les quelques marches en rasant les murs et je m’enfonce dans le fauteuil.

A moins qu’ils lèvent tous deux la tête en l’air, ils ne risquent pas de me voir. Et puis il n’y a quasiment pas de lumière, là où je suis installé.

Sur le moment, je me dis que je suis complètement ridicule de faire cela. J’ai passé l’âge d’espionner. Pourtant, je ne peux pas bouger de ma place.

Au début, je ne les vois que par moments. Ils semblent discuter et Chris éclate souvent de rire.

Puis, peu à peu, pressés par la foule, le couple est poussé régulièrement vers la mezzanine où je me trouve.

Je m’enfonce un peu plus dans mon fauteuil, mais bien vite je comprends que de là où ils dansent maintenant,, ils ne peuvent plus me voir. Par contre, moi, je les vois distinctement par une vue plongeante au-dessus d’eux.

Au moment, où commence un autre slow, j’ai l’impression que Chris souhaite s’arrêter de danser. Elle s’écarte un peu de Bruno, puis soudain éclate de rire quand celui-ci la prend fermement par la taille en la collant à lui.

Zut ! Le DJ vient d’envoyer un nuage de fumée (sale habitude dans les boîtes de nuit !).

Je ne vois plus grand’chose de la piste.

Quand la fumée se dissipe, je les retrouve à peu près à la même place.

J’ai quand même un choc quand je vois que Chris enlace Bruno par le cou.

Et puis, c’est la catastrophe !

Je suis tétanisé ! J’aperçois Bruno qui déplace l’une de ses mains et la pose au niveau de la jupe de Chris. A chaque fois qu’ils tournent avec lenteur, je distingue la paume de sa main caresser lentement la peau de ma copine, en remontant le long de son dos, vers ses épaules.

A un moment, je vois sa main disparaître sous le caraco, puis doucement redescendre en traçant des courbes.

Je les fixe plus attentivement et quand Bruno recommence plusieurs fois son manège, je vois avec horreur Chris frissonner un peu plus chaque fois.

Alors au bout d’un moment de ce petit jeu, naturellement, Chris niche sa tête dans le cou de son cavalier.

Je n’ose pas bouger tant que je suis englué dans mon fauteuil.

Il ne faut guère de temps pour que Bruno s’enhardisse et pose ses 2 mains sur les hanches de Chris.

Et c’est avec stupeur que je les vois reprendre leur ascension . Quand elles s’introduisent sous le vêtement, Christel a comme un sursaut. Sa tête part en arrière.

Je pense à ce moment-là qu’elle va gifler Bruno.

Oh, non ! Celui-ci en profite pour poser ses lèvres sur les siennes.

Aucun geste de révolte, aucun cri.

Au contraire, elle répond longuement à ce baiser.

Qu’est-ce que je dois faire ?

Intervenir maintenant et je passe pour un imbécile doublé d’un mateur !

Alors je reste là, bêtement à les regarder.

Ils continuent à danser en s’embrassant à pleine bouche. Je peux même imaginer leurs langues se mêler.

Au fur et à mesure que je les épie, une étrange sensation naît en moi.

Indéfinissable.

J’ose m’avouer que je ne suis pas réellement jaloux même si cela me titille un peu de les voir ainsi ensemble.

Et puis bon, j’ai quand même dansé avec Laure et pas vraiment sagement.

Là où je réalise que quelque chose de sérieux arrive, c’est quand je vois la main de Bruno s’immiscer entre leurs 2 corps serrés.

Oui, quand je regarde cette main remonter du ventre de Chris pour aller se perdre à l’intérieur du caraco.

Quand ce caraco commence à bouger comme s’il était vivant.

Quand l’espace d’un moment, j’aperçois cette main pétrir le sein de Chris ; et que celle-ci, d’un geste d’abandon total approche la tête de Bruno vers la sienne pour l’embrasser presque sauvagement.

A ce moment précis, j’ai ressenti quelque chose de très spéciale.

A cet instant, j’aimais la regarder avoir du plaisir. Je ne saurais vous l’expliquer mais je bandais !

J’étais à la fois apeuré par les conséquences de tout cela, choqué de voir Chris dans les bras d’un autre, excité comme si je regardais un film érotique.

Ils ont continué. Lui la caressant et elle, donnant sa bouche, jusqu’à ce que les slows se terminent.

J’ai attendu qu’ils partent pour bouger.

Quand je suis revenu, Chris était assiseavec Laure et Claude. Elle paraissait agitée et saoule à force d’avoir bu .

Laure m’a demandé où j’étais passé car elle s’inquiétait de mon absence.

J’ai répondu qu’ayant trop chaud, j’étais allé fumer un cigarette dehors.

Quand Bruno est venu nous rejoindre, il avait l’air tout à fait naturel. Nous sommes restés encore un peu mais rien dans l’attitude de Chris ou de Bruno, ne laissait voir ce qui venait de se passer.

Nous avons repris la voiture, chacun ayant la même place.

Pendant le retour, Chris a commencé à somnoler. En vrai mère poule, Laure l’a prise dans ses bras et elles se sont endormies toutes les deux ainsi.

En nous séparant devant la maison de Claude, Laure, en m’embrassant, m’a murmuré à l’oreille : ’ Il faut absolument que l’on se revoit bientôt ! Je verrai avec Claude ’ .

Je me suis bien gardé de répondre quoique ce soit devant les autres.

J’ai couché dans son lit, ma belle qui tenait à peine debout. Je ne comprenais même pas ce qu’elle essayait visiblement de me dire !

Le lendemain midi, nous avons pris tous les trois, notre petit déjeuner : elle, moi et sa gueule de bois !

Chris m’a avoué ne s’être souvenue de rien à partir du moment où dans la boîte de nuit, elle a commencé à boire du whisky. Elle m’a demandé plusieurs fois si elle n’avait pas fait ou dit de conneries (elle se connaît quand même un peu lorsqu’elle est bourrée).

Je l’ai bien sûr rassurée en lui disant que non (je n’allais pas tout de même pas lui avouer que je l’avais

espionnée !).

Le fait qu’elle ne se souvienne de rien, m’a moi aussi rassuré. Après tout, son comportement était assurément dû à l’alcool. Aussi je décidais d’oublier tout cela.

Seulement le week-end dernier, pendant qu’elle faisait quelques courses au bourg et que je lui montais un petit meuble chez elle, en cherchant un briquet dans le tiroir de sa table de nuit, je suis tombé par hasard sur un bout de papier caché sous un livre, où était inscrit de sa belle écriture, un nom et un numéro de téléphone : celui d’un certain Bruno.

Imaginez ma surprise !

Fâché sur le coup, j’ai repris mes esprits. Puis est revenu en ma mémoire, ces instants volés où je l’avais vu s’abandonner dans les bras de Bruno.

Et là, encore une fois, ce curieux picotements au creux de mes reins.

J’ai tourné cela au fond de ma tête et si je n’en ai rien dit à Chris, il fallait bien que je me confie à quelqu’un.

Pour en parler tout simplement et pour y voir plus clair sur ce que je ressentais.

J’ai donc été voir Claude et, sans toutefois tout lui raconter, je lui ai parlé de cette aventure comme un rêve où se mêle réalité et fantasme.

Comment interpréter cela ? Claude sait que je ne suis pas possessif mais que je suis attachée à Chris, même si je ne veux pas la considérer comme ma propriété.

C’est vrai que j’ai tourné pas mal autour du pot, mais à mon questionnement sur ce que doit être la fidélité et la liberté d’autrui, il m’a répondu tout simplement.

’ Si tu veux savoir comment elle pourrait se comporter avec un autre mec en ton absence et bien , c’est simple mon vieux : arranges toi pour t’en assurer toi-même, tout en maîtrisant la situation. Tu verras bien comment elle réagit à la tentation et toi, comment tu vis cela. Après tout tu vas peut être aimer cela si tu penses être un peu voyeur. Tiens, je peux t’arranger le coup : puisque dans ton rêve il s’agissait de Bruno, et bien je peux organiser quelque chose, une rencontre sans que ta chérie s’en rendre compte. Mais bien sûr, il faudra que je mette Bruno au courant. Et peut être aussi Laure. Où si tu préfères, je peux te présenter un copain bien sous tous rapports et discret ’ .

Là, je lui ai dit que je n’étais pas très chaud. Sur ce, il m’a répondu que ce ne serait certainement pas Laure qui ferait du mal à Chris, au contraire.

Claude m’a dit à demi mot, qu’il était comme on dit un ’’couple moderne’’. Je ne l’ai pas vraiment cru.

Bref, voilà où j’en suis.

Je suis tenté par l’expérience. Savoir si ce n’était qu’un accident. Mais aussi un peu une certaine peur des conséquences. Sans oublier le fait de cet étrange sentiment ressenti dans la boîte en les regardant.

Et puis, si l’envie lui prenait de se prendre un amant que je ne connaisse pas !

Je ne sais pas quoi faire surtout que depuis quelques jours, Chris veut m’entraîner sur des sujets de conversation inhabituelles par rapport à avant cette soirée.

Voilà, j’espère que je ne vous ai pas trop barbé avec mon histoire.

J’aimerais bien que vous mesdames de préférence ou vous messieurs, vous me donniez votre sentiment ou des conseils. Tous seront les bienvenus. Cela m’aidera sans doute à prendre une décision.

D’avance merci

Steph

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