(Une saga érotique)

DEUX + UN

L?homme se soustrait aux lapements de mon épouse et se lève du divan. Il vient se positionner derrière elle et de ses deux mains, posées sur ses cuisses, il écarte fortement sa raie. Son petit trou se dilate instantanement.

Je vais m?asseoir pour mieux observer la scène.

Léo lui claque les fesses sous mes encouragements :

? C?est çà, claque là bien. Elle adore ce genre de caresse. Tu sens comme elle est stimulée ! Fais lui rougir le cul ! ?

? Je le présentais qu?elle aimait les coups…une belle femelle pareil, il faut la flatter un peu rudement ! Allez ma salope, écarte toi bien avec les mains ! Tu vas sentir ce que tu vas prendre ! Je vais te déchirer le fion… ?

Toujours cette vulgarité qui attise les sens.

Maria obéit à sa demande et cambre ses reins dans une pose animale. L?homme dresse son membre vers son trou sombre et humide de mes attentions récentes. Lentement, il se glisse en elle. Pendant quelques secondes il reste positionné ainsi. D?où je suis, je peux bien voir l?accouplement qui vient de commencer…l?homme reprend sa pénétration…elle pousse de petits cris au fur et à mesure qu?elle se sent possésée par cette barre d?acier qui lui brule les entrailles.

? Mon chéri, quesqu?il me met ce salaud…tu l?as bien choisi…il est monté comme un ane…il me perfore le cul…c?est trop bon ! ?

A ces mots, Léo s?enfonce d?un coup de rein jusqu?à la garde. Ma femme sursaute sous l?assaut et se tend un peu plus. L?homme la laboure comme un forcené. Le visage de Maria est tordu de douleurs et de plaisirs…elle rale comme une louve.

Je prend une photo de ce visage que j?aime, de ces yeux révulsés et de sa bouche entrouverte…

Toute une décharge de sensualité.

Elle ne prête plus attention au flash qui crépite. Elle est prise.

Léo est puissant. Il l?a fait crier chaque fois qu?il termine un assaut au plus profond d?elle. Il a posé ses mains sur ses tétons et accélère son mouvement de va et vient…Mon épouse cri de plus en plus fort :

? Oui ! Vas-y mon salaud ! Tu vas me faire jouir par le cul…oui, plus vite…plus fort…l?extase ! ?

Maria est divinement belle. Je regarde son visage, le plaisir joue avec lui, il le façonne à sa puissance, à sa manière. C?est une déesse !

L?homme la possède…elle appartient alors aux ondes de choc qui traversent son échine ruisselante de sueur. Elle dresse sa croupe et creuse ses reins pour faciliter la pénétration du male. Il en profite pour la claquer et lui en donne encore plus. Son vit est maintenant enfoncé aux trois quart et continue lentement à forer le merveilleux corps de mon épouse…à chaque seconde un peu plus…elle cri…elle explose de beauté !

Je shoote son visage. Je bande…je suis dur …je l?aime !

A ce moment, je ne sais plus si c?est la beauté qui est obscène ou l?obscènité qui est belle ! Les deux…Elle !

Leur accouplement fait résonner la pièce de halètements brulants. Léo change de monde. Ma femme lui offre le monde de ses fantasmes…une femelle chaude et décidée.

Elle s?est habillée pour la baise et son masque me fait frémir. Je l?aime ainsi, toute en noir et masquée pour les jeux de l?amour et du plaisir charnel…de l?amour pour nous deux et le plaisir pour les amants que je lui choisis avec lesquels elle se donne avec volupté et gourmandise.

Sa volupté nous remplit, à cette heure où ma chienne feule sa jouissance…Son amant est entièrement en elle et continue de lui bruler les entrailles furieusement.

Elle n?y resiste pas et l?entraine avec elle dans sa chute sur le tapis face à la cheminée. Il est maintenant collé à son dos et crie comme un chien…il pousse…il pousse…les seins de Maria sont écrasés sur le sol, sa croupe, toujours dressée, est bien prise, ses jambes sont écartées au maximum et ses yeux mi-clos me regarde avec amour.

Brutalement, Léo se retire de son cul et en criant comme un fou laisse échapper une giclée de sperme sur ses fesses bien ouvertes. Son petit trou, dilaté par les forages de son amant, absorbe le liquide blanchatre et l?engloutit jusqu?aux rabords de sa feuille de rose.

L?homme souffle comme un phoque en la regardant :

? Quelle bonne femelle…une vraie baiseuse, ta femme ! Mate moi çà, je lui ai remplit le cul avec ma jute…elle est superbe…elle m?a complètement vidé…c?est une bonne salope ! ?

Il reprend sa position assise. Son sexe est toujours bien rouge et bien tendu.

Maria glisse lentement sur le coté et du bout de la langue recueille les dernières gouttes qui sont restées sur le gland. Elle regarde avidement son amant :

? Toi aussi, tu es un sacré étalon. Je vois que tu es toujours bien dur. Tu sais que la nuit ne fait que commencer. Je suis chaude et trempér de sueur et de désir…j?ai envie de me faire encore bien baiser – et s?adressant à moi – veux-tu me servir à boire mon chéri ! ?

Elle vient alors s?asseoir sur le canapé. Ses yeux brillent du feu du désir, du feu du sexe, son dieu de la nuit !

? Chéri, fais moi renter Julius ! ?

Elle dit ces mots dans un souffle, presque un murmure. J?ai bien entendu ce que tu viens de dire, mais je te fais quand même répéter…silence !

La sono fait entendre un blues chaud, rapeux. La cheminée éclaire la pièce de ses braises scintillantes.

Maria se lève avec volupté. Léo, nu et toujours en erection est écroulé sur le canapé en face d?elle. Elle le regarde, réajuste son masque et sa combinaison résille qui a beaucoup souffert de ses ébats.

Je peux deviner dans son regard son état de transe et ses intentions futures. Elle s?appuie contre l?âtre sur la poutre de chataignier et offre le devant de son corps aux flammes qui embrasent ses sens. Léo et moi, on peur ainsi apercevoir la courbe deses reins et le sperme qui continue de couler de son petit orifice sur le flanc interieur des cuisses. Une vision belle de perversité.

Maria se retourne, me regarde puis regarde son amant de la nuit.

Elle respire avec chaleur. Elle se penche et lui murmure quelques mots à son oreille. Le visage de l?homme s?éclaire et sa queue recommence à se dresser. Elle lorgne vers l?objet de ses désirs et le caresse en passant un doigt mouilé sur toute la longueur. A nouveau, elle lui parle doucement :

? Maintenant, si tu acceptes ! ?

? Tout de suite !?…Ah oui ! Je veux te voir faire çà…bien sur – il porte la main vers son pantalon qui traine sur le tapis et en sort quelques billets qu?il dépose sur la table basse. Il me regarde avec des yeux qui sortent de leurs orbites. Son regard pétille – Hou, la la ! Et bien mon salaud, ta femme c?est une vraie femelle ! ?

? Une vraie chienne, tu veux dire ! Je vais me régaler et vous régaler tous les deux. Vous allez bien vous faire durcir en me regardant oeuvrer. J?en ai pas encore fini avec toi et toi ! ?

Disant cela, elle me regarde en souriant.

Son corps, dénudé par la mince filet de sa combinaison résille, brille à la lueur des flammes. Des goutelettes de sueur s?accroche aux fils noirs et lui font comme une parure de perles.

Je me lève et vient embrasser ses lèvres noires et le bout des tétons bien durs et bien chauds.

Léo, assis sur le canapé, nous observe en se caressant lentement.

Ma femme quitte le devant de la cheminée et va s?asseoir sur le divan d?en face.

Je vais vers la porte, l?ouvre et siffle.

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