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Lippe suceuse et liposuccion – Chapitre 4




Le macho : Celle qui me veut doit me mériter.

Jessaie de courir, je navance pas. Mes jambes sont de plomb. Julie cette nuit ma pompé toute mon énergie. Sa fellation a été le prélude au plus complet des accouplements. Elle ma pris, elle sest soudée à moi. Assise sur mon ventre, plantée sur ma verge, yeux dans les yeux, elle a cherché à se rassurer :

-Dis, tu maimes ? Réponds Jean ou je tarrache ton machin. Hé, tu as juré de ne plus me faire lamour ; explique-moi ce que tu es en train de fabriquer dans mon vagin. Heureusement que je te connais. Que feras-tu si je persiste dans ma volonté et si je vais à Tunis ? Hein ?

-Je prendrai acte et je divorcerai : tu las compris.

Elle se renfrogne mais prolonge laccouplement.

-Tu exagères. On ne divorce pas pour cette raison. Si tu avais lintention réelle de me quitter, tu ne serais pas prisonnier entre mes cuisses. Tu as trop besoin de moi. Si tu voulais te séparer de moi, tu naurais pas attendu ce soir pour me lannoncer en pleine baise. Et puis si tu ne souhaitais pas constater les heureux résultats de la liposuccion, tu ne maurais pas facilité lachat des billets davion.

Heureuse de me mettre face à ses évidences, Julie se remet au galop. Elle monte et descend sur ma tringle raide, pense abattre mes dernières hésitations par la course enragée sur ma baguette magique. Elle appelle cela « me prendre par les sentiments » et elle malmène joyeusement ma verge. Elle fatigue, mais il lui faut une dernière petite salve de sperme pour arrêter son agitation.

— Après lopération je ferai retirer mon stérilet et nous ferons une petite sur à Clovis. Merci encore pour ton aide pécuniaire. Tu es un amour.

— Tu commets une erreur. Tu te paies lensemble avec largent de ton salaire. De plus les résultats de lintervention je ne les verrai pas. Jaurai quitté la maison à ton retour. Un huissier aura constaté ton absence du foyer conjugal, mon avocat sera sur la brèche. Tu feras la petite sur avec Victoire et avec celui qui se cache derrière elle : car ils sont plus influents que moi. Jen ai marre, jabandonne.

Ma queue sest recroquevillée pendant ma réponse.

-Tu te dérobes pendant lacte maintenant ? Comprends : Je ne peux plus faire marche arrière. Jai pris un congé ; jai versé une somme importante : je ne peux plus abandonner. Sois raisonnable, je ne peux pas perdre autant dargent.

-Cest ton choix… Je dois bien valoir quelques milliers deuros à tes yeux ? Ou tu perds ton mari, ou tu perds les sommes versées si tu ne peux pas en récupérer une partie. Lis tes documents, il y a certainement une clause de remboursement total ou partiel en cas de renonciation dans certains délais. Largument de largent ne tient pas debout. A toi de savoir si notre couple vaut plus ou moins que la dépense engagée : quitte à perdre la totalité du prix payé, cette perte cest le prix à payer pour conserver ton mari. Tu tiens entre tes mains le destin de notre couple. Tu pars, je te quitte.

— Tu es impossible. Ta quéquette à lheure présente ne vaut pas un clou. Elle proteste à sa manière contre ta décision. Attends, je lui fais passer lenvie de se mettre en grève.

Toute son expérience de femme mariée a vaincu ma résistance. Elle na eu de cesse avant davoir fait affluer le sang dans mon pénis. La panne a été réparée, Julie tenait trop à me prouver quelle seule savait maimer. Pour me requinquer elle a même envisagé dannuler son déplacement. Ouf ! De joie je lai retournée sur le dos, je lai prise avec vigueur. Elle a joui. Elle a joui en levrette aussi. La réconciliation a duré jusquau matin. Mais au petit déjeuner Julie ma posé « la question »

-Alors tu viens avec moi à Tunis ?

Patatras ! Badaboum ! Que faire contre une telle obstination ? Je suis resté ferme sur mes positions :

-Non, tu ne mestimes pas à ma valeur. Profite de largent versé. Va te faire rafistoler et oublie-moi.

Je suis parti pour ne pas voir ses larmes. Je rejette ses tentatives dattendrissement. Et cet après-midi i ai du plomb dans les jambes, mon cur pèse une tonne, je ralentis, je marrête. André mapostrophe :

-Jean, quest-ce qui tarrive ? Tu es pâle, tu nas pas dit un mot : tu as des soucis ? Viens, asseyons-nous, jai des nouvelles qui vont te remonter le moral. Ce soir deux femmes viennent chez moi. Oui, hier avec Victoire laffaire a été expédiée rapidement, je nai pas besoin dun jour de récupération. Jai répondu favorablement à Maud. Cest une conquête récente, mais vu ton goût pour les filles pas trop maigres, elle devrait te plaire. Donc je lui accorde une priorité.

-Aujourdhui je ne suis pas en forme. Ma femme ma mis sur les rotules.

— Heureux mari, gros chanceux. Dire quil y a tellement de cocus et toi, ta femme tépuise. Il nest pas question de te livrer Maud ce soir, rassure-toi. Maud est distinguée, passionnée, elle déteste la vulgarité. Une attaque de front la ferait fuir. Ce soir tu vas la regarder attentivement pour te faire une idée. Physiquement elle est parfaite, elle a beaucoup de traits communs avec Julie qui lui succédera. Julie viendra un peu après Maud. Je ferai jouir Maud, elle vient compenser un manque. Jécouterai Julie. Je suis allé me faire couper les cheveux dans le salon de coiffure où elle travaille. Elle sest arrangée pour soccuper de moi.

— Cette Julie que tu envoies à la boucherie en Tunisie, ta coupé les cheveux ? Elle aurait mieux fait de te couper la tête puisque tu la manipules honteusement.

— Cest pour la bonne cause. Elle finira par me manger dans la main pour obtenir le privilège de faire lamour avec moi. Et ça, ça a un prix ! Qui me veut doit me gagner. Elle a tenu à me shampouiner : elle y a mis tant de douceur. Elle a pris tout son temps pour frictionner mon cuir chevelu, un peu comme si elle jouissait de pouvoir me toucher. Ses doigts massaient mon crâne. Elle devait rêver à dautres massages. Jaurais aimé toucher sa culotte, elle mouillait certainement. La décence me linterdisait. Je veux respecter ma ligne stratégique, jen ferai une esclave. Soumise elle me baisera les pieds, acceptera toutes mes fantaisies sans broncher. Je lui dirai :

-Suce Jean, couche avec Jean, Fais toi enculer par Jean, baise avec Pierre et Paul

Elle obéira, exécutera avec plaisir tous mes ordres, devancera mes désirs. Elle devra retourner chez son mari et se donner à lui quand je lexigerai. Mais après la liposuccion.

Il est un mot que je hais, cest celui-là. Il est synonyme dhumiliation, dabaissement, de soumission, desclavage. Julie ne maime plus. Mais je suis révolté par le sort que lui réserve André. Jéchafaude des plans pour larracher à cette malédiction. Comment détourner du loup la brebis égarée alors quelle se précipite dans sa gueule en ignorant mes conseils et ma menace de divorce ? Jespère trouver une solution. André continue son récit de leur rencontre :

— Elle ma regardé attentivement de tous côtés, avec un soin plus que professionnel et ma demandé mon adresse parce quelle souhaitait me rencontrer ce soir à la sortie du salon. Elle prétend avoir quelque chose dimportant à me demander. Je lui ai indiqué où je demeure. En réponse elle ma murmuré :

— Ah ! Mais ma cousine Victoire habite dans cet immeuble. Cest parfait, je dirai à mon mari que je vais chez elle.

Sa réponse est une façon de me faire comprendre quelle est prête à tromper son mari. De petits mensonges en tromperies successives, je la posséderai. Tu penses comme moi ? Oui, bien sûr, le message est clair. Elle ne perdra rien pour attendre.

-Maud devra aussi passer par une liposuccion ?

— Ce nest pas envisageable : elle a bonne opinion de son corps. Cest un esprit solide et peu influençable contrairement à Julie. Il faut tenir compte de son caractère opiniâtre. Lopération ne lui ferait pas peur si elle simposait. Elle nen a pas plus besoin que Julie. Celle-ci est plus malléable, va au devant de mes vux. Maud pourrait se payer une liposuccion sans problème, ce ne serait ni un gros effort pécuniaire, ni un sacrifice. Lenjeu nest pas le même. Autant cela exige de renoncement pour Julie, autant elle doit lutter pour obtenir sa liposuccion contre la volonté de son mari surtout, autant ce serait facile pour Maud : je ne vois pas lintérêt dimposer à Maud ce que Julie doit souffrir pour me mériter. De plus Maud est sûre delle, a des idées claires, ne doute pas de son charme. Ce serait une erreur de lui proposer des retouches. Il faut savoir flatter son ego pour réussir à la séduire. Cest une passionnée, spirituelle et sensuelle. Hélas pour elle, son riche mari est devenu impuissant à la suite dun grave accident de chantier. Maud est obligée de trouver ailleurs le plaisir sexuel quand un cunnilingus ou un doigtage ne calment pas les exigences de ses sens. Jai la chance davoir été élu par elle pour soigner ses ardeurs.

-Quel portrait idéal tu fais delle ! Tu en serais amoureux que cela ne métonnerait pas.

— Tu connais ma philosophie : Pour profiter de toutes, il ne faut se lier à aucune.

-La fameuse Julie paraît bien pâle en comparaison. Si tu te fixais avec lune des deux, laquelle choisirais-tu ?

— Ca demande réflexion. Pour avoir une épouse solide, volontaire, mature, sophistiquée et de conviction je prendrais Maud. A la recherche dune femme plus influençable, plus soumise, plus douce, mais peut-être encore plus sensuelle, je me tournerais vers Julie. Je ne sais pas encore ce quelle vaut au lit. Et puis, il y a trop de choix à côté de ces deux là. Je refuse de menchaîner. Jai bien le temps de me caser. Je compte sur toi pour filmer ma soirée.

Jespérais un choix qui écarterait Julie au bénéfice de Maud. Il se réserve les deux en plus de toutes les autres. Un jour, à son retour de Tunis, il voudra tester la sensualité de ma femme. Elle devra passer à la casserole, comme il dit. Toutes, y compris Julie. Le salaud, un jour.. Je conduis Clovis chez ma future ex belle-maman, je file avec le caméscope avant le retour de mon épouse.

« Julie, coiffeuse, liposuccion à Tunis, cousine de Victoire, influençable, prête au sacrifice » : le doute est interdit, ma femme viendra au rendez-vous dAndré. Les choses se précisent. André le diabolique calculateur se trompe sur un point de son caractère : Julie est dune opiniâtreté à toute épreuve ; même la menace du divorce ne lempêchera pas de subir sa liposuccion, elle a la tête dure. Ou elle me joue pour quelques jours encore la comédie de lamour, ou bientôt elle me larguera ce soir, demain. Si elle sest laissé influencer, cest que la voie indiquée par celui qui tire les ficelles correspondait à un projet réfléchi : séduire. Séduire André, maintenant je le sais.

De mon placard je suis les ronds de jambes dAndré autour de la belle Maud. Musique sirupeuse, thé, petits gâteaux, lumière tamisée créent une ambiance nécessaire pour étouffer les derniers remords de la malheureuse femme contrainte de recourir à un tiers pour être sexuellement comblée. La coupe de champagne létourdit : Elle écourte laccueil, demande à passer en chambre. André madresse un signe de satisfaction. Il se dit maladroit à discuter autour dune table et plus à laise en action sur un lit. Il range soigneusement les vêtements de la dame, lenlace lorsquelle est en soutien-gorge et culotte, la fait pivoter sous mon nez et lembrasse avec passion.

Maud est la réplique exacte de Julie, de taille moyenne, bien en chair, avec des seins et des fesses joliment passés au tour. Cest le même gabarit, avec un visage avenant. Le bassin est large, les jambes musclées mais fines et nerveuses. Appétissante est le terme qui simpose. Le soutien-gorge libère la poitrine. André embrasse les aréoles. Sa bouche bécote les côtes, le nombril, lestomac, la lisière haute de la culotte. Maud minaude, mais le voile transparent glisse sur le mont de Vénus, senroule sur les cuisses, tombe sur les chevilles. Maud lève un pied, lautre : elle est nue. Alors elle fixe lhomme avec assurance :

-Aujourdhui, mon ami, je sors de chez ma coiffeuse. Je souhaite ne pas mallonger sur le dos.

Assise en bord de lit, elle ouvre ses pieds et ses jambes et elle attire la tête dAndré vers son pubis aux boucles noires. Lintention est claire. Lhomme à genoux se penche sur labricot, ses index ouvrent avec délicatesse le fruit onctueux. Il accorde un compliment, et se met à luvre. Ils sont de profil, la cuisse gauche de Maud me dissimule le travail des lèvres sur la vulve. Un travail très efficace. Mes oreilles lentendent ; le caméscope en témoignera.

— Mon chéri, noubliez pas mon clitoris Oh !… Oh ! Cest divin. Dieu que jaime. Ne vous retenez pas. Bouffez-moi la chatteet lanus.

Dans le plaisir le vernis saute, la bouche parle de labondance du cur, elle préfère encore « anus » à « cul ». Plus pour longtemps. Maud se laisse aller sur les coudes, ramène ses talons sur le matelas, ordonne :

-Va plus bas, pousse ta langue dans ma rose Ouiii. Un doigt, oui, creusemon cul. Continue à me sucer le con. Oh ! Je tremble, je bous prends-moi.

Le vocabulaire sest débridé. Faut-il le croire, selon André, en toute femme il y a une touche dobscénité. La volupté fait chavirer de la distinction calculée à la vulgarité refoulée. La nature prend le dessus, les sens écrasent la raison. Les gémissements remplacent la parole. Sa bouche ronde bée, aspire lair en saccades. Elle oublie sa coiffure, se laisse tomber en arrière en travers du lit, prend appui sur ses talons pour occuper plus de place sur le lit, sinstalle confortablement préoccupée par la nécessité de se donner sans condition à son jeune maître. Elle le masturbe à peine et exige :

-Viens, baise-moi, jai faim de toi. Vite sur moi, vite dans mes bras, embrasse-moi, baise-moi. Entre, pousse, fort, au fond. Ah ! Ah !

Cest fait. Elle a salué la pénétration puis se mord les lèvres. Mais de plus en plus fréquemment elle poussera des cris variés, brefs, de joie ou de douleur, difficilement contrôlés, à la fois expressions de plaisir et encouragements à lamant. Sa jambe gauche repose sur le couvre-lit, repliée, la droite pointe son pied vers le plafond maintenue par lépaule du mâle obéissant. Il sort tranquillement du vagin et se projette en deux temps dans la chaleur de ce ventre en folie. Il senfonce bien profond puis force sur les derniers centimètres, cherche le fond du fond de la crevasse qui laspire Il tente de sy fixer, recule, prend un nouvel élan et plonge encore. Indéfiniment il recommence, frappe encore, défonce, toujours insatisfait, toujours plus acharné. La liqueur vaginale facilite la pénétration, mais on pourrait croire quil reste un je ne sais quoi à trouver tout au fond, insaisissable et indispensable. André pioche, André se colle, en veut encore, replonge. Maud accroche ses mains à une épaule, à un coude ou envoie un index sur le haut de sa fente pour taquiner le clitoris et augmenter les frissons qui la secouent. Les fesses dAndré battent tambour. Maud réclame :

-Plus fort, euh, plus vite, vas-y. Je sens que ça vient. Plus fort.

Elle en veut, il lui en donne. Les deux corps emboîtés en leur milieu, se contorsionnent, simmobilisent.

Cest terrible, jen oublie par instants de viser avec précision. Maud me trouble, mon sang afflue dans mon sexe, malgré la fatigue de la nuit précédente. Je bande depuis des minutes. Je men croyais incapable aujourdhui. Mais si, je suis à létroit dans mon slip. Je suis condamné à me rincer lil. Que Julie me quitte, elle est remplaçable, cette Maud ferait laffaire.

Elle veut changer de position, se met à quatre pattes. Epaules enfoncées dans le matelas, elle tire des deux mains sur ses chairs, me donne vue sur un sexe béant, rose clair à lentrée, rose un peu plus accentué, proche du rouge environ deux ou trois centimètres plus loin à lendroit où le conduit se rétrécit dans lattente du prochain assaut. André ne ménage pas sa peine.

-Vous souhaitez une levrette ? Voilà.

Il pointe son gland toujours enveloppé dun préservatif, entre à peine, saisit les hanches généreuses et balance un grand coup de reins. Elle pousse un cri bref, arrondit son dos. Au retrait de la verge elle se cambre.

-Oui, comme ça, cest formidable. Encore.

Cela dure depuis des minutes, je fatigue mais ne débande pas. Ce va-et-vient perpétuel, les râles de plaisir de la femme, les grognements sourds de lhomme, la sueur qui fait briller les peaux, lapparition rythmée du vestibule vaginal extrait autour de la hampe masculine en retrait me rendent dingue. Je retiens mon envie de prêter main forte à mon copain. Maud apprécierait peut-être un renfort, ses remparts de bienséance sont tombés, elle est sensible au plaisir uniquement. Un renfort redonnerait de léclat à ses orgasmes. Se rendrait-elle compte du changement damant. Je nai rien à envier à André, mon membre vaut le sien et je me sais endurant. Ce qui me retient, cest lordre de ne pas me montrer et aussi un peu le souvenir des excès avec Julie qui pourraient me faire connaître une défaillance. Je bande, oui, mais jaurais honte dune panne : on rirait de moi. Je filme. Les amants seffondrent.

-Sors. Lance Maud

Limage sembrouille. Je filme une mêlée, le couple se décompose puis se recompose autrement. Maud a arraché le préservatif, Maud sabreuve à la source, courbée sur le ventre, figée autour de la pine vénérée. Sa langue rattrape le sperme échappé de sa bouche. Son index cueille une éclaboussure blanchâtre sur une paupière, la donne à déguster, ramasse une autre coulée sur le menton, la remonte en bouche. Maud ouvre sa bouche toute grande : André doit voir et se réjouir : dans la bouche vide la langue frétille ; elle a tout avalé. Elle sourit béatement. Elle est heureuse.

Ils restent allongés. Elle sur le ventre, arrondi de la croupe bien exposé en pleine lune ; lui sur le dos, zizi en détumescence, retombé sur son pubis aux poils poisseux. Les amants se reposent. Elle réclame un baiser, reçoit une pelle chargée de reconnaissance. Enfin avec bien du mal les bouches se désunissent.

-.La salle de bain est bien là ?

Maud connaît déjà les lieux. Bruits deau, chantonnement. André ouvre le placard, côté salle à manger. A voix basse il minterroge :

-Alors, conquis ? Quel coup, hein ! Cest de la femme de premier choix. Elle te plaît ? Ho ! Ça se voit :

Il désigne la bosse dans mon pantalon, rit et referme le panneau coulissant.

Maud quitte lappartement, un peu dépeignée mais rayonnante.

-Merci, je te ferai signe. A bientôt. Tu es un amour. Attendons la suivante. Que veut Julie à ce gros porc. ?

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