Histoires de sexe gratuites Histoires érotiques couples amateurs

Notre voisine Alice – Chapitre 1




Habitant dans la banlieue dune grande ville, nous avons la chance davoir un jardin isolé des regards extérieurs. Nous profitons pleinement de notre piscine en nous y baignant nus et poursuivons avec des câlins crapuleux. Prendre Sylvie, ma chérie, sur la terrasse ou se faire faire une fellation allongé sur le transat sont des plaisirs incroyables. De plus, jaime rester nu chez moi, ou avec un simple tee-shirt. Même si nous nous sommes mis au naturisme cet été, Sylvie le fait rarement à la maison mais elle apprécie de me voir déambuler ainsi. Sauf quand on se prépare une petite soirée coquine.

Voici deux semaines, alors que nous prenions lapéro sur la terrasse, le carillon retentit. Je bandais comme un âne car Sylvie était en train de me caresser. Elle enfile une robe légère assez courte et va ouvrir. Jattrape un short et un tee-shirt quand je lentends inviter la visiteuse à entrer.

— Cest notre voisine den face, qui vient nous demander de soccuper de sa maison la semaine prochaine !

Nous ne la connaissons pas beaucoup. Cest une femme dans nos âges, la cinquantaine, brune, avec un joli visage. Un peu plus enrobée que ma femme, elle a un certain charme, et une poitrine généreuse. Elle porte une robe assez ample, boutonnée sur le devant, un peu cintré à la taille.

— Je mexcuse de venir ainsi mais la personne qui soccupe de ma maison quand je mabsente nest pas disponible et vous êtes les seuls présents dans la rue en cette période

— Il ny a pas de problème, nous sommes là. Je vous en prie, asseyez-vous, vous prendrez bien quelque chose ?

— Merci beaucoup mais je ne voudrais pas vous déranger

Jai cru apercevoir quelques choses de malicieux dans sa voix mais je dois me faire des idées. Je suis en train de regarder Sylvie que je sais nue sous sa robe et je bande toujours.

— Mais pas du tout Alice cest ça ? et nous pouvons nous tutoyer ?

— Oui Alice. Et bien sûr tutoyons-nous !

Je rentre lui chercher un verre. Sylvie me rejoint dans la cuisine.

— Elle te fait bander la voisine ? me dit-elle

— Cest toi qui mexcite, avec ta petite robe et rien dessous.

Je lenlace et passe mes mains sur ses fesses. Elle glisse la sienne dans mon short et attrape ma queue. Je passe mes doigts sur sa fente.

— Je ne suis pas le seul à être excité ! tu es trempée ma chérie !

Elle tire sur ma boutonnière, libère ma queue et me tire vers elle. Je lui soulève la jambe, ouvrant le compas de ses cuisses pour libérer le passage vers son sexe détrempé. Elle pose mon gland sur ses lèvres. Je glisse en elle dun coup.

— Justes quelques coups de queue dit-elle en haletant jai trop envie !

Je la lime un court instant et elle se dégage. Elle attrape un verre et des amuses gueules et retourne sur la terrasse. Je reboutonne ma braguette, plaquant ma queue dressée contre mon ventre. Mon tee-shirt un peu large dissimulera mon état et je rejoins les femmes installées près de la petite table basse au bord de la piscine. Je me mets à genoux pour faire le service. Alice demande le même whisky que Sylvie. Elle se penche pour attraper le verre. La vue plongeant dans son décolleté est vertigineux. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Les boutons de sa robe semblent prêts à lâcher et il me semble deviner ses tétons bien sombres sous le tissu. Sylvie a vu la même chose que moi et me le fait comprendre en glissant son pied entre mes genoux. Je lui resserre un verre. Elle me fait un clin dil et faisant remonter son pied. Je bande toujours comme un fou ! La table le dissimule pour linstant je me verse mon whisky tout en jetant un il vers Alice. Adossée dans son siège, elle regarde notre piscine. Mes yeux descendent vers ses cuisses. Sa robe est remontée au-dessus de mi-cuisse. Je peux distinguer plus haut je vois son sexe tout lisse. Elle est venue nous voir sans rien mettre sous sa robe ! Je massois en la regardant se passer la main dans les cheveux. Sa lourde poitrine se balance.

— Cest super gentille daccepter de vous occuper de ma maison, dit-elle en se redressant, appuyant ses coudes sur ses genoux.

Assis près de Sylvie, jai posé ma main sur sa cuisse. Alice parle de sa maison. Je suis plus intéressé par ses seins et ses cuisses qui se découvrent au fur et à mesure quelle bouge sur son siège. Je caresse doucement celle de Sylvie en remontant sous le bord de sa robe. Il me semble quAlice regarde lascension de ma main. Alors que Sylvie est en train de lui montrer ses dernières plantations (apparemment la discussion sest orientée sur le jardinage) je redresse mon index pour soulever le bord de sa robe. Alice attrape son verre en jetant, me semble-t-il, son regard sur ma main. De sa position, elle doit avoir une vue plongeant sur le minou de ma femme.

— Chéri, peux-tu aller nous chercher dautres glaçons et des trucs à grignoter sil te plait mon amour

Sylvie va-t-elle me rejoindre une nouvelle fois. Je lui mettrai bien ma queue vite fait. Mais je les entends discuter, plaisanter,

— Chérie, je ne trouve pas les olives tu veux bien me montrer ?

Elle se lève en plaisantant sur les capacités des hommes à chercher dans une cuisine. A peine dans la maison, je lattrape par la taille et la colle contre moi. Je fais glisser mon short et glisse mon gland entre ses lèvres encore plus humides.

— Ça texcite de voir notre voisine nous dévoiler ses charmes, lui dis-je à loreille

— Elle ne porte rien sous sa robe ! souffle-t-elle

— Comme toi ma chérie

— Tas vu ses grosses mamelles ! tu aimerais bien les sucer, hein ?

— Javoue que cest tentant, lui dis-je en attrapant les siennes à pleine mains.

— Allé arrêtes maintenant, dit-elle sans conviction

Je me retire et referme mon short. Sylvie lisse sa robe comme une petite fille sage et nous retournons sur la terrasse.

— Ha les hommes je te jure ! il faut tout dire ! lance-t-elle à Alice.

— Ecoute Sylvie tu nes pas obligée de rentrer à chaque fois que tu veux te faire mettre un coup de queue par ton homme faites ça ici. Jaime bien regarder

— Mais nous

— Allons mes chéris, vous êtes excités comme des fous depuis que je suis arrivée. Je vous entendus tout à lheure. Et moi aussi je suis excitée

Elle ouvre un peu plus ses cuisses et nous laisse voir sa chatte rasée dont les grosses lèvres semblent bien humides. Elle se lève et se place devant Sylvie. Contre Sylvie devrais-je dire, car ses seins touchent les siens. Elle prend sa tête entre ses mains et dépose un baiser sur sa bouche.

— Tu as les seins qui bandent ma chérie, aussi fort que ton mari.

Sylvie se penche vers elle et lui rend son baiser, insistant davantage. Japerçois leurs lèvres sentrouvrir et leur langue se mélanger. Alice pose sa main sur ma queue. Je déboutonne mon short. Elle me prend à pleine main.

— Montrez-moi ce que vous faisiez dans la cuisine !

Sylvie retire sa robe et se penche un peu en avant. Je guide ma queue vers sa fente luisante et lenfile dun coup. Elle se redresse tout en restant cambrée. Je la lime doucement tout en lui attrapant les seins à pleine mains. Alice sest assise en ouvrant sa robe. Cuisses ouvertes, elle se caresse tout en nous regardant baiser. Sylvie gémit. Elle se penche en avant en sappuyant sur ses cuisses. Alice se met à genoux devant elle. Elle attrape ses seins, les lèche, les suce. Sylvie sappuie sur ses épaules. Je sens des doigts autour de ma queue, sur mes couilles. Alice glisse ses doigts entre mes fesses tout en caressant le clito de Sylvie. Je les sens sur ma rondelle. Sylvie jouit dun coup. Je la sens se contracter sur ma queue. Jarrête mes coups de rein, pour ne pas jouir à mon tour. Je la laisse reprendre ses esprits toujours empalée sur mon membre. Alice nous caresse doucement. Sylvie se dégage et nous entraîne vers les serviettes posées sur lherbe. Alice sy allonge et Sylvie se glisse entre ses cuisses. Je maccroupis pour lui malaxer ses grosses mamelles. Ses tétons sont maintenant tout durs et énormes. Je les tète, les mordille, les tire. Alice a glissé sa main sous moi et me caresse les fesses. Ses doigts reviennent vite sur mon anus. Elle y glisse une phalange. Je la laisse bien volontiers explorer ma rondelle. Jadore ça ! je sens son doigt menvahir. Elle sait y faire !

Sylvie sest couchée entre ses cuisses et lèche sa chatte en maintenant ses grandes écartées. Alice ondule du bassin, visiblement réceptive à ses coups de langues sans oublier de soccuper de mes fesses. Elle a maintenant glissé deux doigts dans mon anus et me lime doucement.

— Tu aimes vraiment te faire dilater la rondelle !

— Il adore ça, lance Sylvie entre deux coups de langue

— Ça métonne pas quand

Elle ne peut plus parler car elle gémit de plus belle. Je lui tire maintenant ses deux mamelles par les tétons alors que Sylvie vient de lui fourrer trois ou quatre doigts dans le con tout en lui suçant le clito. Elle se cambre, avalant un cri tout en mouillant comme une folle. Ses spasmes se calment. Je lui suce doucement un téton et Sylvie vient lembrasser à pleine bouche.

— Il ny a plus que toi qui na pas jouit me dit Sylvie en attrapant ma queue toujours bien dure.

Alice se cale sur son coude et me caresse les couilles.

— Je parie que tu dois avoir un petit gode ceinture pour tamuser à défoncer le cul de ton homme lui demande-t-elle

— Comment tu as deviné, lui dit Sylvie en riant

— Je lui fourre deux doigts dans el cul et il continue à bander comme un fou. En plus il est rasé partout, la queue, les couilles et le cul

— Chéri, va nous chercher ton jouet !

Je ne me fais pas prier pour récupérer dans notre chambre un gode ceinture que Sylvie ma demandé de lui acheter. Cest en fait une culotte en latex munie de deux godes. Un moyen, à lintérieur, pour que la femme qui le porte prenne aussi du plaisir, et un gros à lextérieur.

Lorsque je rviens avec mon jouet, les deux femmes sont en train de sembrasser goulument. Jattends à genoux prés delles quelles aient terminé.

— Tiens ma chérie, dit Sylvie à Alice en lui tendant la culotte en latex. Tu es notre invitée

— Ho jadore !! lance Alice en découvrant le sextoy.

Sylvie laide à lenfiler, guidant le petit gode entre ses lèvres détrempées. Voilà maintenant Alice munie dune magnifique queue.

— Quelle sensation !!! humm

Sylvie ma fait mettre à quatre pattes et me caresse les fesses tout en me branlant doucement.

— Allé mon chéri, tu vas te faire prendre par Alice et tu vas me lécher en même temps ! cambres toi bien oui

Alice sagenouille derrière moi et pose le bout du gode sur ma rondelle.

— Fias lui lécher la que qui va le pénétrer … ça rentrera mieux ! conseille Sylvie

— Tu as raison chérie, tournes toi me dit-elle en claquant mes fesses.

Je me tourne vers elle et ouvre la bouche. Elle y enfourne son sexe de pastique.

Sylvie me tapote la tête.

— Suce mon chéri, suce bien Alice avec quelle te prenne tu aimes ça, te faire prendre par derrière hein mon chéri, tu aimes te faire sauter toi aussi. Regardes comme il bande Alice !

— ça mexcite aussi de le voir en train de me sucer !

— allé, prends-le !

je me tourne à nouveau et elle pose le gode sur ma rondelle. Elle me prend fermement par les hanches et pousse. Habitué à me faire sodomiser par Sylvie, je sais quil me faut pousser moi aussi, en me cambrant un peu. Je sens ma rondelle souvrir et mon anus avale le membre le gode. Sylvie sest mise en face de moi et me plaque la tête entre ses cuisses. Jy plonge ma langue et savoure son miel abondant. Elle aussi est terriblement excitée.

Le gode avance dans mon ventre et je sens maintenant le ventre dAlice contre mes fesses. Je suis empalé à fond sur son pieu. Elle me garde un moment contre elle, puis recule jusquà presque ressortir. Puis elle replonge à nouveau entre mes fesses. je sens bien le gode glisser sur ma rondelle et frotter mes chaires intimes. Jaime ce gode car il passe bien sur ma prostate. Je sens ma queue se durcir encore. Surtout quAlice sest couchée sur mon dos pour la prendre en main. Je sens ses tétons pointer dans mon dos. Elle me branle doucement, soupèse mes couilles.

— Continues à le limer, lui conseille Sylvie, sans le branler. Il va jouir par le cul, tu vas voir ! ondules bien, laboure-lui le fondement.

Alice me reprend par les hanches et reprend ses coups de reins. Elle bouge le bassin. Je la sens encore mieux. Elle aussi prend du plaisir avec le petit gode. Elle accélère malgré elle. Elle gémit. Je sens le plaisir monter. Elle se débrouille aussi bien que Sylvie. Elle se redresse en peu, faisant augmenter la pression du gode sur ma prostate. Je ne peux plus lécher Sylvie. Elle sest redressée et mattrape les couilles. Alice accélère encore. Elle jouit en accentuant ses coups de rein. Je sens mon sperme monter puis sécouler sur la serviette. Sylvie nous encourage. Elle mattrape enfin la queue et me branle. Je jouis cette fois pleinement et lâchant mes derniers jets de spermes.

Nous reprenons nos esprits autour dun verre. Nous sommes nus et heureux.

Quelle voisine !!!

Related posts

Une soirée au therme – Chapitre 1

historiesexe

L'envie de plaire – Chapitre 4

historiesexe

Le chien de ma voisine. – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .