EVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 44 : Saillies en cascade.

Je comprends alors qu’Alice a la ferme intention de laisser ses filles faire leurs propres choix, même ceux me concernant, ce qui implique qu’elle n’éprouve aucune jalousie vis-à-vis d’elles. Quant à moi, comme je le lui ai dit un peu plus tôt, cette idée, que j’ai trouvée au départ très dérangeante, a commencé à cheminer dans ma tête; puisque je me dis à présent que si cela doit arriver, la meilleure chose que je puisse faire est d’y mettre du mien, de manière à ce que cela se passe dans de bonnes conditions.

Bien entendu, je ne lui parle pas de Dorine, étant donné que si mon petit bout de femme a décidé de me faire une surprise en allant voir notre amie masseuse en cachette, et que cette dernière lui a permis de bénéficier de sa science en matière de sexe, je ne veux pas lui gâcher son plaisir. J’attendrai tout simplement que mon amante soit prête à me faire une démonstration, et le moment venu, je jouerai le jeu, en feignant du mieux que je pourrai l’étonnement.

Ensuite, comme tous les soirs, nous parlons de choses et d’autres, ce qui nous permet de mieux nous connaître; et lorsque nous avons terminé, nous nous souhaitons de passer une bonne nuit, puis nous raccrochons.

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Le lendemain midi, lorsqu’après avoir mangé je me rends au bistrot d’en face dans le but d’y boire le café en compagnie d’Alice, je ne suis pas surpris de constater qu’elle n’y est pas encore arrivée. Par conséquent, je l’attends avant de commander, et le serveur qui l’a parfaitement compris se contente de me dire bonjour en passant.

Mon petit bout de femme ne tarde pas à faire son apparition au coin de la rue, et comme hier, elle fait sensation à cause de sa tenue vestimentaire qui n’est autre que celle qu’elle a essayée en premier, lorsque je lui ai donné les vêtements que j’ai achetés pour elle, et qu’elle avait remis pour rentrer chez elle. Elle est, par conséquent, habillée du débardeur rouge qui lui colle au corps et du petit short noir qui est lui aussi, moulant, et elle a aux pieds ses mules à talons en bois qui émettent des clacs-clacs joyeux, tandis qu’elle s’approche de moi.

Comme je l’avais espéré, elle semble un peu plus à son aise que la veille, ce qui m’est confirmé par le beau sourire qu’elle me fait dès qu’elle m’aperçoit. Cependant, les hommes qui sont assis sur la terrasse du bistrot m’ont, par contre, tout l’air de ne pas encore être revenus de la métamorphose qui s’est opérée en elle, puisque certains d’entre eux me font penser au loup de Tex Avery avec leurs yeux exorbités. Il ne manquerait plus qu’ils se mettent à tirer la langue pour que le tableau soit complet. Cette situation comble de joie le macho qui est en moi, même si je fais semblant de rien et que je joue les modestes dans le but d’éviter de passer pour un type prétentieux.

C’est au moment où ma compagne va se pencher sur moi pour m’embrasser dans le but de me dire bonjour que nous entendons le sifflement caractéristique émis par un homme qui veut montrer son admiration de manière indélicate vis-à-vis d’une personne du beau sexe.

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Surpris, Alice et moi nous tournons la tête pour regarder de l’autre côté de la rue, et c’est là que nous voyons Marc qui se trouve devant l’entreprise qui nous emploie tous les deux. Il est hilare, et il lève à présent la main dont les doigts sont serrés sauf son pouce qui est dressé pour nous faire comprendre qu’il apprécie énormément le nouveau look vestimentaire de mon amante. Bien entendu, jusqu’à présent, il ne l’a vue habillée que de loin, étant donné que la seule fois qu’ils ont été proches physiquement c’était chez moi, et ils étaient alors tous les deux complètement nus. Mais il semblerait que la nouvelle allure de ma compagne ne passe pas inaperçue.

Alors que mon petit bout de femme avait commencé par rougir de se faire interpeller de la sorte, elle semble soulagée en constatant que c’est notre ami qui s’est permis ce genre de familiarité, et elle lui fait un petit signe de la main, avant qu’il ne rentre dans les locaux de la société dans laquelle nous travaillons. Ensuite, elle reprend là où elle s’était interrompue, elle se penche sur moi pour déposer un baiser sur mes lèvres, et comme hier, elle insinue sa langue entre elles, pour venir caresser brièvement la mienne.

Après m’avoir embrassé, elle va s’asseoir en face de moi, et elle me fait :

Pour dire que ce sont tes meilleurs amis, pour ne pas dire ton frère et ta belle-sur, je trouve quand même que tu ne les fréquentes pas beaucoup.

Je n’ai pas besoin d’un dessin pour comprendre de qui elle parle, et je lui réponds amusé :

En même temps, toi et moi sortons ensemble depuis moins d’un mois, même si j’ai l’impression que tu as toujours fait partie de ma vie. Alors je pense que c’est un peu tôt pour que tu commences à subir ta belle-famille.

Ce que je viens d’affirmer me donne droit à un sourire de sa part sans que je sache si c’est dû à la première ou à la deuxième phrase, et j’ajoute plus sérieusement :

Figure-toi que depuis qu’elle a fait ta connaissance, je reçois une invitation de la part de Charlène toutes les semaines, mais que jusqu’à présent, j’ai éludé parce que je voulais te garder pour moi tout seul. Et c’est probablement la raison pour laquelle Marc, qui me connaît mieux que quiconque, n’a pas traversé la rue pour venir nous voir.

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C’est au tour d’Alice d’être amusée, et elle me fait :

Je savais déjà que tu te comportes parfois comme un ours mal léché, d’où le surnom que je t’ai donné, mais j’étais loin de penser que tu es capable de protéger aussi farouchement ton territoire.

J’éclate alors de rire, et le lui réponds lorsque j’ai réussi à me calmer :

Je serais capable du pire pour empêcher qui que ce soit de t’approcher de trop près, alors tiens-toi-le pour dit si tu ne veux pas qu’un drame arrive. Mais bien entendu, cette mise en garde ne concerne pas nos proches, alors si tu as envie de voir nos amis, eh bien, je répondrai favorablement à leur demande.

On pourrait en profiter pour leur présenter Léa et Léo.

C’est une bonne idée, mais dans ce cas, le mieux serait que ce soit eux qui viennent à la maison, comme ça, les filles se sentiront plus à l’aise.

Mon petit bout de femme sourit à nouveau; puis elle me dit :

Très bien, puisque c’est décidé, on pourrait faire ça dimanche midi. J’irai les chercher à la maison, parce qu’elles voudront, je pense, continuer à réviser même si leurs épreuves auront démarré, et ensuite, je les ramènerai.

Il est vrai que les jumelles vont commencer à passer leur Bac jeudi, ce qui risque de les perturber pendant quelques jours, c’est pourquoi je demande à leur maman :

Elles vivent ça comment ?

Pour l’instant, elles sont très studieuses, et je ne les vois pratiquement que pour manger. Mais c’est le calme avant la tempête, et je pense qu’à partir de demain soir, elles vont entrer en ébullition.

Tu sembles vivre la chose assez sereinement.

Tout comme toi, j’arrive à relativiser en me disant que si elles se loupent, il n’y aura rien de dramatique, et qu’elles n’auront qu’à recommencer l’année prochaine. De toute façon, je ne peux rien faire d’autre pour elles que compatir, et leur préparer de bons petits plats de manière qu’elles s’alimentent correctement. Car si je les écoutais, ce serait pizza au micro-ondes, midi et soir, tous les jours de la semaine.

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Cette idée me fait sourire, d’autant plus qu’il m’est arrivé en période de célibat d’adopter ce régime alimentaire. Mais il est vrai que lorsqu’on vit seul, on ne voit pas toujours la nécessité de cuisiner pendant une heure, pour ensuite avaler ce qui a été préparé en dix minutes à peine. Cependant, je ne parle pas de cela à Alice, parce que c’est hors de propos, et nous buvons ensuite tranquillement nos cafés que le serveur nous a amenés.

Lorsque nous avons terminé, nous nous quittons et je retourne travailler, ce qui me permet de réfléchir au fait surprenant que Charlène n’a de toute évidence pas parlé à mon petit bout de femme des invitations qui nous ont été lancées. Je sais en effet qu’elles sont en contact toutes les deux, et qu’elles se sont même certainement revues dans le salon de l’esthéticienne. J’en arrive à la conclusion que notre amie n’a pas osé contourner les mises en garde que je leur ai faites à son mari et elle au sujet du caractère réservé de ma nouvelle compagne. Ce qui signifie qu’elle a fait preuve de tact, ce qui ne m’étonne absolument pas de sa part.

C’est à ce moment-là que Marc vient me voir dans mon bureau, et qu’il me dit, après avoir refermé la porte et s’être assis en face de moi :

Quel changement radical ! Comment es-tu arrivé à faire en sorte qu’elle s’habille de cette manière ?

Nous avons tout simplement fait un pari qu’elle a perdu. Mais puisque tu es là, j’ai une bonne nouvelle pour ta femme. Si vous êtes disponibles dimanche, nous avons l’intention de vous présenter les filles d’Alice, mais ça se passera chez nous. Car l’une d’entre elles est aussi réservée que sa maman même plus si on part du principe qu’elle est encore jeune, et qu’elle n’a pour ainsi dire, encore rien vécu.

C’est une excellente nouvelle, tu veux dire; car je ne t’en ai pas parlé pour ne pas perturber ta nouvelle vie de couple, mais j’ai droit quasiment tous les jours de la part de Bobonne à des jérémiades comme quoi depuis que tu n’es plus célibataire, tu nous ignores comme si on n’avait jamais existé. De plus, attends-toi à te faire lyncher parce qu’elle n’a toujours pas digéré notre petite escapade au Cap d’Agde à laquelle elle n’a pas eu le droit de participer…

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Ces remarques de la part de mon ami me font sourire parce que je connais assez sa femme pour savoir que tout ce que je risque, c’est est de me faire gronder comme le ferait une maman qui aime trop son enfant pour ne serait-ce, qu’imaginer aller plus loin avec lui. Car c’est un fait que Charlène est bonne comme le pain, je suis par conséquent convaincu qu’elle comprend tout à fait la situation que je suis en train de vivre, et même qu’elle est heureuse de ce qui m’arrive. Par conséquent, si elle se plaint auprès de son mari, ce n’est que de la comédie pour qu’il sache que je lui manque.

C’est pourquoi j’éprouve tout à coup du remords de les avoir négligés tous les deux; et que je dis à Marc :

C’est vrai que je n’ai pas été très sympa avec vous ces dernières semaines, parce que je vous ai un peu fait passer au second plan. Mais il nous fallait avec Alice construire les bases de notre relation, et je dois t’avouer qu’elle évolue plus vite que ce à quoi je m’attendais, au point qu’elle m’a déjà dépassé dans les intentions.

Tu veux dire que…

Que non seulement nous envisageons d’aller passer nos vacances à Port-Leucate, mais qu’en plus, nous mélanger tous les quatre n’est plus qu’une question de temps. Mais je compte quand même sur vous pour bien vous tenir dimanche devant ses filles, car si ces dernières ont parfaitement accepté le fait de rester nues à la maison, celle d’Alice, tout comme la mienne, la plus réservée des deux hésite encore pour ce qui est d’aller plus loin. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles nous voulons qu’elles fassent votre connaissance, de manière qu’elles s’habituent progressivement à fréquenter d’autres gens sans porter aucun vêtement.

Pour ce qui est de nous tenir, tu peux compter sur nous. Ça se passera de la même manière qu’avec Alice la première fois. En plus, Bobonne va être folle de joie de rencontrer ces petites.

Oui, enfin, elles ont 18 ans, par conséquent, ce ne sont plus des enfants…

Bien entendu, je ne lui parle pas du désir de maternité de mon petit bout de femme, parce que je ne sais pas si elle a envie que d’autres que moi soient au courant, et si ça se trouve, Léa et Léo ne le savent pas encore.

Le reste de l’après-midi se passe comme d’ordinaire, et le soir venu, je réponds au téléphone alors que je suis nu et allongé sur mon lit, en disant :

Ici SOS femmes en manque de sexe; qu’y a-t-il pour votre service ?!

Mon amante éclate de rire, puis elle me fait :

Tu penses que je t’appelle uniquement pour ça, mon Amour ?

Bien sûr que non, ma Chérie; mais ça fait quand même partie du programme de la soirée; et je ne connais toujours pas la fin de ton histoire.

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Alice me répond aussitôt :

Si c’est ce que tu souhaites, je vais continuer sans tarder, et comme les fois précédentes, tu me feras part de tes impressions quand j’aurai terminé. Alors voilà, tandis que Belle remet également ton pantalon en place, je regarde en direction de Duchesse pour voir comment ça se passe pour elle. Deux nouveaux hommes sont en train de la baiser toujours aussi rudement par le cul et par la bouche, et lorsqu’ils ont terminé, Francis te demande : « Tu veux toujours que Dolly fasse sa première exhibition ce soir ? ». Tu lui réponds tandis que je deviens rouge comme une pivoine : « On est venus pour ça. Mais comme je te l’ai dit tout à l’heure, il faudra que sa prestation soit courte; et évitez de ne pas trop la brusquer parce qu’elle est enceinte » « Bien entendu, on ne va pas non plus lui provoquer une fausse couche ici, ça serait mauvais pour les affaires ».

Alice :

Ton ami s’adresse ensuite à la jeune femme qui t’a sucé : « Va aider mère à se relever, car je pense qu’elle a son compte et qu’elle aura du mal à marcher. Et dis à Max qu’il y a un changement au programme, et qu’il se radine ici avant d’annoncer la suite ». La petite lui obéit rapidement, et elle s’en va en direction du tabouret sur lequel la veuve du notaire se trouve toujours, car elle semble effectivement trop épuisée pour en bouger. Un homme qui s’est avancé avec un micro à la main, et qui porte un costume comme dans les cirques, annonce à l’assemblée : « Nous remercions Duchesse pour son exhibition de ce soir, et qui vient de battre son propre record puisqu’elle a vidé vingt-huit paires de couilles !!! ».

Alice :

Il se tait quelques instants pour laisser le public exprimer sa joie sous la forme d’applaudissements et de sifflets, puis il ajoute : « Je gage qu’elle ne tardera pas à pulvériser celui de la féline Kitty qui est de trente-deux !! Malheureusement pour nous, cette traîtresse nous a quittés pour aller épouser un homme plein aux as qui avait 45 ans de plus qu’elle ! » Cette fois, on entend des « Ouh » qui montrent que les hommes présents regrettent le départ de la jeune chatte dont il est question, et le monsieur Loyal local interrompt son discours, tandis que Belle lui parle à l’oreille.

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Alice continue :

Lorsqu’il a fini d’écouter ce que la jeune femme avait à lui dire, le dénommé Max reprend : « Mais on me fait savoir qu’il y a un imprévu, alors je vais de ce pas aller me renseigner avant de vous en dire plus ! » Cette fois, le public se tait et attend patiemment, tandis que Belle aide Duchesse à se relever, et que l’homme vient vers nous.

Alice :

Lorsqu’il se retrouve debout à côté de notre table, Francis lui dit sur un ton ferme en me désignant qui montre clairement qu’il est le seul maître à bord : « Elle, c’est Dolly, elle est craintive novice et grosse. Et comme j’ai très envie de la voir revenir régulièrement avec un ventre de plus en plus rond, tu vas faire en sorte qu’elle se fasse prendre en douceur; et cinq fois de suite seulement ». Le Monsieur Loyal acquiesce servilement, puis il s’adresse à moi avec de la sympathie dans la voix : « Viens avec moi ma belle; et n’aie pas peur. Duchesse aime les brutes, mais ici, il y a également des gars qui sont doux comme des agneaux ».

Alice :

Je tourne aussitôt la tête vers toi, toujours aussi rouge, et tu te contentes de me regarder en souriant, ce qui me donne du courage. Enfin, juste assez pour me lever, car mes jambes sont en coton. Max qui l’a parfaitement compris me prend par la main pour me guider jusqu’au tabouret de cirque qu’une des serveuses court-vêtues est en train de nettoyer. Pendant que nous nous déplaçons, j’entends ceux qui sont autour de nous murmurer; et une fois arrivée sur place, je me mets à quatre pattes sur le piédestal, encore cette fois comme une somnambule.

Alice :

J’ai toutefois la présence d’esprit de me positionner de manière à pouvoir te regarder, et je te vois qui me souris toujours, comme pour me donner de ta force. Avec mes gros nichons qui pendent sous moi, je me sens comme une vache au salon de l’agriculture, pourtant, j’ai étrangement le sentiment d’être à ma place comme si j’avais atteint le but ultime de ma vie.

₪₪₪

L’histoire d’Alice se poursuit :

Monsieur Loyal annonce alors à l’assistance, mais d’une voix beaucoup plus douce que précédemment, probablement par égard pour moi : « Comme vous l’avez tous compris, ce soir, nous avons une petite nouvelle qui est peureuse et qui s’appelle Dolly ». Puis, il ajoute après avoir placé doucement une main sous mon ventre : « Vous avez tous pu admirer ses énormes mamelles, mais ce que vous n’avez peut-être pas remarqué, c’est qu’elles sont pleines de lait, parce que, voyez-vous, il se trouve que si son ventre est rebondi, ce n’est pas qu’elle a bu trop de sperme, mais parce qu’elle n’est pas venue seule ».

Alice :

On entend à ce moment-là quelques rires, ce qui était certainement le but, et le murmure s’est également amplifié. Tandis que je vis tout cela comme si quelqu’un d’autre était à quatre pattes à ma place sur ce tabouret, Max conclut : « Par conséquent, je vais prendre les inscriptions pour savoir qui parmi vous aura le privilège de se vider soit dans son cul, soit dans sa bouche. Mais vous ne serez pas plus de dix en tout, et étant donné que je vous connais tous bien, sinon vous n’auriez jamais pu entrer ici… » D’autres rires se font entendre. « Je me réserve le droit d’écarter ceux d’entre vous qui ont l’habitude de montrer un peu trop d’enthousiasme ». Cette fois, il y a quelques exclamations de déception, et Monsieur Loyal me laisse seule pour aller faire le tour des tables.

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Alice marque une courte pause, sans doute pour ménager le suspense, puis elle reprend :

Au bout d’une dizaine de minutes, deux hommes s’approchent du tabouret sur lequel je n’ai pas bougé. Et si j’ai à peine le temps de voir le premier qui va se mettre derrière moi, le second me sourit timidement comme s’il était embêté par ce qui va se passer. C’est pourtant sans aucune hésitation qu’il dégrafe ensuite son pantalon qui tombe à ses pieds en entraînant son caleçon avec lui, dévoilant ainsi sa bite de taille moyenne qui est déjà dressée. Sans prendre la peine de décalotter son gland, il l’approche de ma bouche que j’ouvre en grand, et tandis que je sens qu’on m’attrape par la taille, et qu’une autre queue écarte ma rondelle sans brutalité, mais fermement, celle que j’ai sous les yeux s’enfonce dans ma gorge.

Alice :

Les deux membres se mettent à coulisser de concert en moi, et si celui qui est devant me procure un plaisir cérébral, celui de derrière me chauffe l’anus lentement mais sûrement pour me mener, je l’espère, jusqu’à la jouissance. Bien entendu, ce n’est pas la première fois que je me fais prendre de cette façon; car depuis trois mois, tu m’y as habituée avec la complicité de tes amis, et même celle de ton fils, mais ce qui est nouveau, c’est que non seulement tu es loin de moi, mais qu’en plus il y a tout autour des inconnus.

Alice :

Ces derniers me regardent suivant les cas avec envie ou déception, selon qu’ils ont été sélectionnés ou pas, et le fait de me donner en spectacle m’excite énormément. Au point que j’ai mon premier orgasme avant que l’homme qui m’encule ait fait gicler son foutre dans mon ventre, cependant, une fois que j’ai joui pour la première fois en public, il continue à aller et venir en moi sans se préoccuper de savoir ce que je ressens.

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Alice continue :

Lorsque ces types se sont vidés, deux autres les remplacent, et alors que la première fois j’étais restée parfaitement immobile, je me décide à bouger pour danser avec eux. Cela amène quelques exclamations enthousiastes de la part de notre public qui semble content que je me mette à participer, et en plus du plaisir que je reçois, je me sens heureuse de leur procurer cette joie. Les hommes se succèdent, mais également les orgasmes…

A ce moment-là, mon petit bout de femme s’interrompt pour pousser un gémissement qui est bien réel, tandis que j’éjacule dans mon mouchoir en papier, puis elle reprend sa narration comme si de rien n’était :

Et il me semble même si je n’ai pas compté qu’ils ont été plus nombreux que prévu. Cela m’est confirmé lorsque Max annonce après que les deux derniers se soient retirés : « Eh oui mes amis !!! En accord avec son Maître, ce ne sont pas dix, mais quatorze paires de couilles que la magnifique Dolly a vidées !! » Il y a des acclamations dans le public, et il continue une fois qu’elles se sont calmées : « Et elle a joui pas moins de neuf fois !!! » De nouveaux vivats retentissent.

Alice :

Max conclut son discours : « Je gage qu’après les saillies à répétitions qu’elle vient de recevoir, et sa participation d’une qualité exceptionnelle pour une novice, notre superbe femelle en chaleurs aura hâte de recommencer, et qu’elle va devenir une concurrente sérieuse pour Duchesse !! ». Il y a alors des applaudissements soutenus, et bien que je sois remplie de foutre au point d’en être écurée, et que je sente du liquide gluant s’échapper de mon trou du cul béant, je suis au comble du bonheur lorsque je vois que tu es en train de t’approcher de moi en souriant, et que c’est toi, et personne d’autre, qui m’aides à descendre du tabouret.

A suivre…

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