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Ma femme, ma pute! – Chapitre 1




Ma femme, ma pute,

Jai connu Julie, elle navait que 20 ans et habitait un petit hameau dans les Ardennes. Jolie, naïve et mince, elle travaillait pour lépicier du village et nous, nous campions dans les environs.

Mes copains et moi aimions camper sauvagement dans des endroits comme le bord dun bois ou dun champ ou encore dans une prairie pas trop loin dun village. Citadins venant de la capitale nous aimions allez dans les bals et fêtes des petits villages Ardennais.

Cest au cours dune fête de village, en plein été que, je connu Julie, belle comme une rose et gaie comme un pinson. On la draguait tous les quatre mais cest avec moi quelle se laissa aller et le soir même derrière une étable, je la dépucelai.

Ma pauvre Julie, ny connaissait rien en sexe et me laissa faire tous ce que je voulais delle. En une semaine, je fis le tour de son corps et explorai toutes les positions du « Kamasutra »

Julie acceptait tous ce que je lui faisais, sans poser de question mais, sans être active, elle-même. Je me rendis compte quelle était assez soumise et comme elle avait un corps de rêve je décidai de la ramener avec moi à la ville.

Ses parents malgré leur côté catholique extrême furent daccord de se débarrasser dune fille trop grande et un peu simplette.

Nous nous sommes mariés six mois plus tard et cest au bout de 2 ans de mariage que je commençai à me lasser de ce corps magnifique mais tellement inerte et sans initiative.

Nous nallions plus camper entre copain et cest avec un collègue de travail que, je liai connaissance plus intimement. En linvitant chez moi, Ahmed, cest son nom, fit évidemment, la connaissance de Julie.

Il narrêtait pas de me complimenter sur Julie et la dévorait des yeux lorsquil était chez moi. Cest alors quun soir, javais, comme souvent invité Ahmed à souper quil se passa un évènement qui allait changer ma vie et celle de Julie.

Nous avions terminé le repas depuis plus dune heure et nous buvions un alcool au salon. Julie dans la cuisine finissait la vaisselle.

— Ça, Cest mon disque préféré ! Dit soudain Ahmed.

Cétait un slow lent et entraînant qui était dans les hits du moment. Cest vrai que jaimais aussi ce disque et quil donnait vraiment envie de danser.

— Tu me permets ? Dit Ahmed en prenant la main de Julie qui venait dentrer au salon.

— Mais, oui ! Vas-y ! De plus, elle aime danser ! Dis-je sans plus dattention que ça !

Cest lorsque, je vis ma petite femme dans les bras enlacé dAhmed quune érection pas possible me prit.

Je bandais de les voir lun contre lautre se dandiner, se frotter et tournoyer au rythme de cette chanson. Je vis aussi parfaitement la main dAhmed dans le dos de Julie, descendre par moment sur les hanches de Julie et cette dernière se plaquer le pubis contre Ahmed comme pour échapper aux caresses de celui-ci.

Au bout de deux minutes, je me levai et alla directement aux toilettes me masturber en imaginant Julie nue dans les bras dAhmed.

Cela me travailla lesprit toute la semaine et surtout lorsque, je voyais Ahmed au travail. Je dois avouer que pendant toute la semaine, je fis lamour à Julie comme au premier jour et je du me masturber une douzaine de fois pendant la semaine rien que de penser à ça !

— Ques-ce que tu fais demain ? Demandais-je à Ahmed ce vendredi après-midi.

— Heu !… Rien Rien de spécial !… Pourquoi ?

— Tu nas pas envie de venir à la maison pour souper ?

— Heu !… Oui ! Si tu veux ! Je nai rien de prévu. Cest gentil de ta part dautant que, je suis déjà venu samedi passé !

— En fait heu !… Cest Julie qui ma demandé de tes nouvelles ! Mentis-je.

— Ah ! Fit Ahmed lil soudainement intéressé.

— En fait elle a bien aimée de danser avec toi et comme moi, je ne danse pas souventTu comprends ?

— Ben, si cela ne te dérange pas, je veux bien danser toute la soirée avec ta Julie.

Il en bavait, le salaud et moi, je bandais à men faire mal. On discuta encore quelques instants sur la plastique du corps de Julie et je compris quAhmed serait près à lui faire son affaire si je lui en donnais mon autorisation.

Connaissant la situation familiale dAhmed, je le savais seul depuis plusieurs mois, sa femme layant quitté. Je savais aussi quAhmed nétait pas du genre à aller voir les putes. Pour lui, payer une femme pour la baiser nétait pas concevable. Je lui fis comprendre sans le lui dire ouvertement que je nétais pas contre quil baise ma femme devant moi.

— Tu sais, la libido de Julie nest pas terrible mais, je suis sur quun jour, un mec, trouvera le déclic pour la rendre plus active.

Ahmed ne dit rien mais visiblement, voyait déjà Julie sous lui. Je voyais dans son regard autant détonnement que denvie lorsque, je lui en fis part.

Le samedi soir, je demandai à Julie de shabiller sexy et dêtre très gentille avec Ahmed. Elle me regarda avec inquiétude et fit quelques objections.

— Tu sais, mon chéri, ton Ahmed à déjà les mains baladeuses et ne rêve que de me mettre dans son lit.

— Ah ?… Tu Tu crois ? Fis-je innocemment.

— Samedi passé, il a déjà essayé de membrasser et puis, jai bien senti contre moi son sexe tout raide !

— Je suis sur que cela tas excitée, non ?

— Mais, mon chéri !… Je ne veux pas te tromper !

— Ah ! Tu avoues, avoir envie dAhmed ?

— Tu Tu es fou ! Je Je ne peux Je ne Fit-elle troublée par notre dialogue.

— Écoute ma chérie, soit simplement gentille avec lui et si une main ségare nen fait pas un « patakèse »

— Tu es devenu fou, ma parole !

— Mais, non chérie, mais Ahmed est dans une mauvaise passe, à cause de sa femme et un peu de chaleur humaine lui fera du bien !

Ques-ce que je pouvais déconner ! Pourtant et à mon plus grand étonnement, Julie ne dit plus rien et son regard en dit plus long quaucune parole. Elle avait aussi envie de coucher avec Ahmed, cela se lisait dans ses yeux.

« Putain » Pensais-je, je crois que ce soir ma vie va changer.

Julie redescendit habillée comme au temps où on allait en boîte, avec une super mini-jupe et un chemisier noué sous sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on pouvait voir ses tétons pointés sous le tissu.

Ahmed ne pourra résister pensais-je en voyant Julie dans cette tenue. Je me levai et lui roulai un patin baveux. Jagaçai ses tétons, que je savais sensibles et descendis une main sous sa mini-jupe. Je passai mes doigts sur le devant de son string et senti de suite lhumidité qui y régnait.

Jagaçai un peu son clito à travers le tissu dans le seul but de lexciter et aussi quelle soit en demande sexuelle. Je savais quAhmed allait arriver dun moment à lautre et il me fallait une Julie en état de transe pour que mon plan saccomplisse parfaitement.

Julie fit des soupirs dextase et se colla à moi. Je la repoussai gentiment tout en continuant de triturer son clito et ses tétons.

Lorsque la sonnette retenti, je savais que ma Julie était prête à faire tous ce que je lui demanderais.

— Va donc ouvrir et accueillir Ahmed ! Dis-je à Julie en la poussant vers le hall. Et soit très gentille avec lui !

— WAOUHHHH ! entendis-je quelques secondes plus tard.

— Heu. Bon. Bonjour Ahmed !…. Attend Non

— Hum ! tu es délicieuse Julie.

— Arrête ! Sil te plait ! Pas Comme. Pas Ici Humphl !

Je passai discrètement la tête dans le hall et vit Ahmed rouler une pelle à Julie qui tentait de le repoussai.

Le regard dAhmed croisa le mien et je levai mon poing, le pouce en lair pour lui faire comprendre de continuer.

Julie, se débattit encore deux ou trois secondes avant de se laisser aller et répondre au baiser dAhmed. Je cru juter dans mon caleçon.

Leur baiser dura encore suffisamment pour quAhmed attrape un sein et le malaxe avec force. Je vis alors le bassin de Julie se pousser vers celui dAhmed.

Je retournai massoir au salon de peur déjaculer et Julie suivit dAhmed apparu. Elle était rouge comme une pivoine et Ahmed derrière elle me regardait dun air triomphant. Un peu comme sil venait de gagner un pari imaginaire quil avait fait avec ses capacités de séduire Julie.

— Je Je Je vais à la Cuisine ! Balbutia Julie en séloignant rapidement dAhmed.

Je regardai Julie passer à quelques centimètres de moi qui, baissant les yeux, entra dans la cuisine. Elle réapparue quelques instants plus tard avec un plateau contenant les verres dapéro.

Ahmed avait jeté son manteau sur un des fauteuils et sétait assis dans le divan face à moi.

Pendant que Julie nous servait lapéritif Ahmed et moi discutèrent de chose et dautre sans faire aucune allusion à ce qui venait de se passer mais, lorsque Julie voulu sassoir dans le fauteuil occupé par le manteau dAhmed ce dernier tapota la place à côté de lui.

— Vient donc ici Julie ! Fit-il avec un grand sourire.

— Je Heu !…

Julie me regarda un peu perdue et interrogativement. Je lui fis signe avec mes yeux quelle devait sassoir près dAhmed.

Bien sur, dès que Julie fut assise à côté dAhmed, ce dernier avait une vue plongeante sur ses cuisses et moi sur son entre-jambe.

On trinqua et Ahmed vida son verre dun trait. Ensuite, il se rapprocha de Julie, jusquà ce que ses jambes touchent celles nue de Julie. Il passa un bras derrière elle et posa une main sur la cuisse offerte de ma femme.

Julie devint à nouveau rouge et tenta de retirer la main dAhmed en me regardant paniquée. Je baissai les yeux à plusieurs reprises pour que Julie se laisse faire et vidai mon verre aussitôt.

Ahmed chuchota dans loreille de Julie et je vis parfaitement la détresse dans le regard. Elle ne comprenait pas comment Ahmed osait la toucher devant moi et que moi jétais apparemment consentant.

— Bon ! Je vais me resservir ! Déclarais-je en me levant.

Je quittai le salon et depuis la cuisine écoutai se qui ce passait dans le divan. Je pouvais entendre Julie et Ahmed chuchoter.

— Non Pas ici Ahmed !… Sil te plait !

— Laisse-toi faire ! De toute façon ton mari est daccord !

— Qu Quoi ?

— Aller ! Laisse-moi te faire du bien.

— Hummm !

— Tu vois ! Aller ouvre tes cuisses !

Je passai discrètement la tête et vis Julie la tête en arrière, les cuisses ouverte et la main dAhmed bouger de façon significative sous le tissu de la mini-jupe de Julie. Puis la tête dAhmed se pencha sur la poitrine de Julie et cest seulement alors que, je vis un des seins de Julie, sorti du chemisier. La bouche dAhmed se fixa dessus et Julie redoubla de soupir.

Je savais Julie suffisamment sensible des tétons, pour savoir que maintenant Julie allait probablement acceptée les avances dAhmed.

Il releva la tête et chercha la bouche de Julie. Ils se roulèrent une pelle digne de ce nom et la main dAhmed continua de bouger et pris même de la vitesse dans ses mouvements.

Moi, javais sorti mon sexe et me branlais doucement en essayant de me retenir le plus longtemps possible.

Mais, lorsque, je vis Ahmed lâcher le sein de Julie, ouvrir sa braguette en sortir un engin deux fois comme le mien et de son autre main derrière Julie pousser la tête de celle-ci vers son énorme sexe, mon orgasme vint et je jouis de longues salves de sperme qui sécrasèrent à plus dun mètre de moi.

Je reculai précipitamment et failli tomber. Je me retins au chambranle de la porte et reprenant mon souffle et mes esprits repassai la tête au salon.

La tête de Julie, elle montait et descendais de plus en plus vite sur le sexe dAhmed. Je ne le savais aussi bien monter et de voir la petite bouche de Julie écartelée par cet énorme sexe, stoppa net la débandade du mien et même commença à se redresser.

— Vas-y ma belle ! Prend le bien profond ! Je vais arroser tes amygdales comme jamais elles lont été ! Dis Ahmed en poussant son bassin vers lavant augmentant ainsi la pénétration de la bouche de Julie.

Il avait pris les cheveux de Julie et lui imposait son rythme. Julie pliée en deux se laissait faire et son bras pendait vers le sol, son autre main était dans son dos. Une des mains dAhmed malaxait le sein hors du chemisier et je pouvais distinctement entendre les gémissements et son gutturaux quémettait ma Julie.

— Ouaiiiiiis ! Je sens que ça vient ! Ma belle salope !

— ..

— Essaye de tout avaler, cest du bon sperme darabe dit Ahmed au comble de lexcitation.

Javançai vers eux et Ahmed me regarda le regard déjà trouble annonçant une proche jouissance. La tête de Julie montait et descendait rapidement et Ahmed donnait de petit coup de rein qui occasionnait des étranglements dans les râles gutturaux de Julie.

Soudain, Ahmed bloqua la tête de Julie sur plus de trois quart de sa bite et donna de gros coup de bassin. Jentendis Julie sétrangler et déglutir les jets de sperme que lui envoyait avec force mon collègue.

Je ne pu me retenir et sans mêtre masturbé, plusieurs jet de sperme sécrasèrent sur le corps de Julie. Je venais de jouir une deuxième fois en quelques minutes et cette fois sans mêtre touché.

Mon excitation était au sommet et de voir ma Julie avaler le sperme de mon ami me fit devenir fou de sexe.

Ahmed redressa la tête de Julie et la poussa vers mon sexe dégorgeant encore quelques volutes de sperme. Comme une automate, Julie ouvrit la bouche et goba mon sexe.

La bouche de Julie contenait encore du sperme dAhmed et mon sexe baigna dans une bouche gluante. Julie avala le reste de sperme et aspira ma bite comme si elle voulait en extraire le reste de mon sperme.

Ahmed poussait sur la tête de Julie contre mon pantalon. Son nez, sa bouche et son menton disparaissait dans ma braguette ouverte.

— Remplis-là ! Mon pote ! Cria Ahmed encore sous linfluence de son orgasme.

— Avale ! Ma chérie ! Avale donc bien tout ! Dis-je dans cette folie sexuelle.

Je sentis la langue de Julie jouer avec mon sexe devenant de plus en plus mou et une envie folle et subite me pris.

Une envie duriner me prit soudain et je lâchai un long jet de pisse dans la gorge de Julie. Celle-ci sétrangla et repoussa la main qui maintenait sa tête contre mon pubis, avec une force incroyable. Le jet durine vola sur ses cheveux et au-delà de sa tête. Je me retins et le jet stoppa.

— Putain ! Mais, tu lui pisse dedans ? Sécria Ahmed dont le sexe navait nullement diminué.

— Heu Ou Oui !… Une idée comme ça ! Dis-je en me retenant de pisser.

Julie toussait et sétranglait davoir avalée ce jet durine de travers. Elle avait du reprendre de lair au moment où jurinais en elle.

Le point de non-retour venait cette fois dêtre franchit et Ahmed compris immédiatement que Julie allait devenir un simple jouet sexuel. Il se leva, pris Julie par les aisselles et la posa sur le divan.

Je quittai le salon car je devais toujours pisser et alla aux toilettes. Lorsque, je revins au salon après mêtre soulagé, je vis Julie complètement nue, à genoux sur lassise du divan, le torse posé sur le dossier et Ahmed derrière elle donner de grands coups de rein.

— Han !… Han !… Oh ! Mon dieu !… Han ! Faisait Julie à chaque enfoncement dAhmed en elle.

Ahmed, lui tenait les poignets dans le dos et tirait dessus à chaque fois quil senfonçait en elle. Julie balançait la tête de gauche à droite et davant en arrière sous les chocs. Ses seins tapaient sur larrière du dossier assez brutalement tellement Ahmed se donnait à fond.

— Alors ! Ma salope ! Quen penses-tu dune bonne queue arabe dans ton ventre ?

— Han!… Oh! Ouiiii !… Han!… Encore!… Han!…

Merde! Je rebandais! Le spectacle était bien au-dessus de mes espérances et de voir Julie se faisant prendre par mon ami Ahmed avec sa queue immense, me satisfait au plus haut point.

Je contournai le divan et me plaçai devant la tête agitée de ma femme. Voyant mon sexe raide, Julie ouvrit la bouche et goba mon sexe.

Je ne devais pas bouger les coups de buttoir dAhmed suffisaient à faire aller la bouche de Julie sur mon sexe.

Ahmed, fut dune endurance phénoménale et lima Julie pendant plus de vingt minutes, la traitant de pute, de garage à bite, vide couille, et jen passe et des meilleures.

Julie se laissa ainsi baisée sauvagement par Ahmed et parvint à avoir trois orgasmes foudroyant pendant ces vingt minutes.

Ahmed fini par jouir et se maintint dans le sexe de Julie jusquà ce que moi-même et pour la troisième fois, je jouisse et cette fois, dans sa bouche.

Ahmed se retira et Julie sécroula sur le divan. Complètement groggy par ses orgasmes.

— Bon ! Fit soudain Ahmed ! La baise cest bien mais, je suis venu pour manger et jai une faim dogre.

— Je Je Attend un peu Sil te plait Dit péniblement Julie en reprenant vie.

Je remis mon sexe cette fois complètement débandé en place et Ahmed remonta son pantalon aussi.

Julie chercha du regard après ses vêtements et voulu les prendre.

— Non ! Non ! Reste ainsi ! Chérie ! Dis-je en rigolant. On ne sait jamais avec ces arabes ça leur reprend tout dun coup !

Jéclatai de rire et Ahmed aussi.

— Tu as raison, mon pote ! Elle sera accessibles à tout moment comme ça.

— Ouais ! Fis-je Dommage que ton frère ne soit pas là !

— Mon frère ? Tes fou ? Il en ferait une pute aussi sec !

— Hum ! Possible, mais, il pourrait la baiser pendant quon mange ! Moi je suis fini pour quelques heures !

— Écoute, je crois que tu exagères un peu, non ? Laisse Julie reprendre !

— Cest dommage ! Dis-je déçu.

Je crois que cest à ce moment précis que jai perdu la raison car, je ne voyais plus Julie comme ma femme mais comme un trou à bites et la seule chose qui comptait pour moi à ce moment précis, cétait de voir ma femme prise en tournante par une compagnie complète.

Julie se releva et péniblement se rendis à la cuisine pour nous servir le souper heureusement des pâtes Bolo ce qui simplifia sont boulot.

Ahmed et moi discutions de Julie et de la façon de la baiser et faire baiser par dautre. Lorsquon fut servi, Julie voulu sassoir mais, je la retins.

— Vient ici ! Salope ! Suceuse darabe !

— Mais, chéri

— Assied-toi sous la table et occupe-toi de la bite de mon ami ! Ordonnais-je à Julie.

Elle me regarda comme si jétais fou mais, obéis néanmoins à cet ordre. Elle se glissa sous la table et je vis Ahmed bouger sur sa chaise.

Pendant tout le repas Julie resta sous la table la bite dAhmed en bouche. Restant encore des pâtes, je servi une assiette pour Julie et mit lassiette à mes pieds.

— Tient ! Suceuse darabes ! Mange, pour prendre des forces car, la soirée est loin dêtre finie pour toi.

— Mais !…. Dit Julie en retirant le sexe dAhmed de la bouche.

— Aller mange !

— Mais Chéri ?….

— Comme une chienne sans les mains !

Julie me regarda bizarrement et se pencha sur son assiette. Sa bouche descendit sur les pâtes et elle essaya de manger sans les mains.

Son cul était levé et offert. Ahmed se leva le sexe bien raide de la fellation pendant le repas, sagenouilla derrière Julie et lenfila dune traite lui plaquant le visage dans lassiette de pâte. Il lima Julie lentement en lui rendant difficile la tâche de manger son assiette.

Je ny tiens plus et couru chercher mon Gsm. Je pris une dizaine de photo de Julie se faisant baiser pendant quelle mangeait ses pâtes.

Brusquement, alors que Julie terminait son assiette avec toujours beaucoup de difficulté, Ahmed se retira de son vagin et plaça son énorme gland sur lanus de Julie quil travaillait de ses doigts depuis le début.

Julie se redressa ouvrit la bouche pleine de pâte et cria en recrachant les pâtes dans sa bouche. Ahmed venait de senfoncer complètement et en une fois dans son adorable petit cul.

— Aaaaaah !… Nonnnnn !… Pitiéééééé !…. Aaaaaaaah !…. Arrêêêêêête ! Trop Mal ! Criait Julie avec force.

Ahmed ne bougeait plus et je voyais parfaitement, son bas-ventre épouser étroitement les fesses de Julie. Il était vraiment complètement entré.

Julie cria, pleurait essayait de se retirer battait des bras, ce qui la fit sécrouler la tête dans son assiette presque vide.

— Elle doit apprendre à recevoir avec plaisir mon sexe dans son cul ! Dit Ahmed en guise de conclusion.

— Tu as parfaitement raison dautant que si je ne me trompe pas tes frères adorent enculer les meufs !

— Hum ! Cest le meilleur, mon pote ! Dit Ahmed et il commença un mouvement dallez/retour dans le cul de ma Julie qui redoubla ses cris.

Mon sexe fut à nouveau dure comme une barre de fer et je me suis mis à ma masturber en regardant ma femme soumise au sexe dAhmed.

J(avais souvent pratiqué la sodomie avec Julie mais, mon sexe de moitié de grosseur de celui dAhmed ne devait surement pas lui ravager lanus comme actuellement.

Les cris et pleurs de Julie baissèrent dintensité et Ahmed augmenta la vitesse de ses pénétrations. Le visage de Julie dans son assiette entrainait celle-ci sur le sol carrelé.

Après plusieurs minutes Julie sembla accepter cet énorme sexe en elle et commença à accompagné les va et vient dAhmed.

— Fini ton assiette, pute à rebeux et lèche le sol que tu as Sali ! Dit soudain Ahmed en continuant sa sodomie.

Je vis la langue de Julie essayée dattraper les pâtes sur le sol et aspirer pour les avaler. À laide de ses mains Julie rassembla les pâtes éparpillées sur le sol pour avoir plus facile à les manger mais, je senti une nouvelle éjaculation arriver.

Je me plaçai au-dessus du petit tas de pâtes rassembler par Julie et me baissant le plus près possible éjaculai quelques petits jet de sperme en criant ;

— Tient ma chérie une peu de sauce en plus.

— Attend ! Cria Ahmed.

Il sortit de lanus de Julie lui arrachant un nouveau cri de douleur, contourna Julie et saccroupissant à mon côté éjacula une bonne dose de sperme sur le petit tas de pâtes.

« Bon sang ! Mais, où peut-il chercher autant de sperme » pensais-je en comptant les 5 jets abondants de sperme qui recouvrit les pâtes.

— Mange ! Salope ! Dis-je en poussant la tête de Julie vers le sol.

Julie mangea et lécha le sol comme si sa vie en dépendait. Elle me regarda après avoir tout nettoyée et je pus voir son visage plein de sauce tomate et autres restant de pâtes.

Une fois de plus, son regard complètement interrogatif et peureux me fit un effet monstre et mon sexe cessa de débander.

— Bon ok ! je suis ko pour ma part dit Ahmed !

— Moi, je ne sais même pas comment, je bande encore ? Lui répondis-je.

— Dans une heure, je serai à nouveau près mais maintenant je suis out !

— Attend, jai une idée dis-je soudain.

Je repris mon Gsm et le tendis à Ahmed qui remettait son sexe en place dans son pantalon.

— Tient ! Sonne ton frère et dit lui que tas trouvé une pute à arabe qui suce et baise gratos !

— Tes bien certain de ce que tu fais ? Demanda Ahmed en prenant mon Gsm.

— Tinquiète ! Et demande-lui de ne pas venir seul.

Julie me regarda comme un extra-terrestre et se replia sur elle-même. Ahmed parla quelques instant en arabe et en anglais puis raccrocha.

— Ok ! Ils arrivent mais réfléchi bien car une fois que mon frère sera là Pas question dannuler ! Ok ?

— Quils viennent et quils me remplissent cette chienne ! Dis-je en regardant Julie avec perversité.

Un quart dheure suffit pour que, la sonnette retentisse et que je fis signe à Julie daller ouvrir. Entre-temps, javais nettoyé sommairement le visage de ma femme pour enlever le plus gros de la sauce tomate.

Jentendis clairement lexpression étonné de Jamal lorsque Julie ouvrit la porte.

— Putain ! Quel morceau !

— Aaaaaah ! fit Julie.

Un groupe de trois hommes et de Julie tenue par les cheveux et plier en deux, firent leur apparition dans le salon.

— Cest elle la truie ? Demanda Jamal.

— Heu !… Oui ! Et vous pouvez vous en servir comme vous voulez ! Précisais-je étonné moi-même de mes paroles.

Ce qui suivit pendant les trois heures qui suivirent sont assez difficile à décrire mais les trois hommes baisèrent ma Julie par tous ses trous, faisant même des doubles pénétrations et finissant par un double anal, une bite dans le vagin et Ahmed dans la bouche. Chaque homme pus ainsi jouir à plusieurs reprises dans ma femme et cest couverte de sperme que je retrouvai ma Julie lorsque les quatre hommes partirent.

Je nai pas participé à ce gang bang mais, je me suis masturbé pendant les trois heures. Mon sexe était complètement insensible et je ne pouvais plus bander. Jai quand même éjaculé deux fois et me suis étonné moi-même de la quantité que je parvenais à fournir. Rien à voir évidemment avec ce que Jamal et ses deux complices éjaculèrent dans et sur ma Julie.

Jamal, me donna ordre damener Julie vendredi soir suivant, chez lui et que javais intérêt à ne pas faire faux bond.

Je lui promis une Julie en pleine forme et prête à obéir a ses ordres. Je refermai la porte sur eux et les jambes flageolantes je regagnai la chambre.

Julie, était allongée sur le dos couverte de sperme sa bouche, son vagin et son anus dégorgeant du sperme épais.

— Putain ! Ques-ce quelle à pris la salope ! Dis-je tout haut.

— Ils. Ils. Ils sont partis ?… Demanda-t-elle péniblement.

— Oui ma petite pute mais, ils reviennent la semaine prochaine.

— Oooooh !…

Julie retomba dans cette inconscience réparatrice. Je lai laissée ainsi sur le lit et parti dormir dans le salon. Julie dormi jusquà trois heure de laprès-midi du samedi et lorsquelle se leva tituba jusquà la salle de bain et fis couler leau de la douche pour sécrouler au fond du tub. Elle resta ainsi laissant leau chaude couler sur elle pendant plus dune heure et se lava lentement et péniblement.

Leau à peine coupé elle chercha un grand essuie et senroula dedans. Julie arriva au salon au même moment que la sonnette dentrée retenti.

— Va ouvrir ! Dis-je. Je suis occupé et si cest un mendiant propose-lui une bonne pipe !

— .

Julie ne me répondit pas et alla ouvrir !

— Oh ! Fit-elle

Puis, un silence sinstalla et dura de longue seconde. Intrigué, je me levai et alla voir à la porte dentrée.

Le spectacle redressa ma queue à vitesse grand V. Abdel, un des potes de Jamal était debout devant Julie à genoux et se faisait sucer sur le palier. Derrière lui se tenait un autre type que je ne connaissais pas.

— Salut Mec ! Dit Abdel. Jai amené un pote qui voulait absolument connaître ta femme si généreuse ! Tu permets ?

— Heu !… OuOui !… Bien sur !… entrer donc !

En tenant la tête de Julie par les cheveux et sans sortir son sexe de la bouche de ma femme, les deux hommes entrèrent jusquau salon. Je ramassai la serviette de bain que Julie avait laissé dans le hall et revint au salon pour voir le copain dAbdel, sortir un sexe qui navait rien à envier à celui dAhmed.

Il frottait son gland sur le sexe de Julie, toujours pliée en deux et suçant le sexe dAbdel. Julie essayait bien de repousser Abdel mais, son copain lui attrapa les bras et prenant, dans une main, les deux fins poignets de Julie, se servit de ce moyen pour tirer Julie sur son sexe.

Je vis le sexe de ce type entrer facilement dans le vagin de Julie et directement commença des va et vient brutaux. Ces brusques chocs amplifièrent la pipe que faisait Julie sur Abdel faisant entrer le sexe de larabe bien profondément dans la gorge martyrisée de ma femme.

Je massis dans un fauteuil et regardai les deux hommes violer ma femme avec un plaisir pervers. Le spectacle dura plus ou moins vingt minutes pendant lesquelles les deux hommes échangèrent leur place mais éjaculèrent tous deux dans la bouche de Julie qui avala sans réticence une quantité phénoménale de sperme.

— Tient-là au chaud, jai des potes qui vont arriver et Jamal leur à donné ton adresse pour quils puissent baiser ta femme pendant la semaine.

— Ah ! Fis-je excité en entendant cela.

— Ouais ! Fit le copain dAbdel ou si tu préfères on lemmène avec nous et on lui donne une chambre dans lhôtel à pute de Jamal !… Cest comme tu veux !

Je regardai, Julie qui reprenait son souffle et constatai dans son regard quelle venait de jouir de ce viol.

— Je peux venir aussi ? Demandais-je

— Oui, oui Pas de blème ! il y a un petit local avec vitre sans tain dans chaque chambre, cest conçu pour les voyeurs.

— Alors ok ! fis-je. Je sens que je vais passer un dimanche soir exceptionnel.

Et ce fut le cas.

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