J’ai 51 ans maintenant…
Je décide de prendre une semaine de vacance seul sans ma femme, besoin de repos, le travail me demande beaucoup d’énergie. Ma femme sait que j’ai des fantasmes à revivre et connait mes sentiments et mes désirs envers elle ! Elle me respecte là dessus! Elle sait tout de moi !
Je parle de temps en temps avec mon ami d’enfance, le seul dont j’ai eu des contacts sexuels entre hommes, voir mes deux premières histoires vécues. Je lui explique pour mes vacances et il me relance en disant, ’’Hé, ce serait agréable d’y aller aussi, j’ai aussi besoin de vacance! Chambre à part bien sûr !
Je me mets déjà à fantasmer sur nos jeux de jeunesse et lui dis, ’’D’accord, mais il y aura sûrement quelques contacts comme à nos débuts ! Sachant qu’il est bi, je ne me gène pas de le défié ! Il me répond: Quel endroit et quelle date ? xx/xx/2016 Cuba et c’est moi qui brisera la glace! Lui dis-je. Alors voilà ce qui s’est passé le premier soir !
Comme on n’arrive pas en même temps à l’hôtel, 2 jours de différence. Je me suis arrangé pour avoir les chambres qui communiquent.
Il arrive en avion, 20 heures, les salutations, on ne s’est pas vue depuis plus de trente ans, on se sent un peu fébrile mais aussi inconfortable. Ce qui se dissipe rapidement en allant prendre un verre au Bar après le Check-in et porter ses bagages à la chambre. Un puis deux et trois verres, tout en se contant plein d’anecdote de nos vies respectives!
Déjà 22:30, la fatigue du voyage et les verres d’alcool, Cuba Libre, font de l’effet. Retour à la chambre, visite des 2 chambres communicantes. (discrétion car on ne veut pas laisser transparaître quoi que ce soit). Il décide d’aller à la douche, moi aussi, mais de mon côté. La gène ne permet pas encore de s’inviter !
Je fais rapidement, car je veux briser la glace, lui, prend son temps pour profiter de cette douche.
J’ai préparé sur le lit une grande serviette pour utiliser l’huile à massage que j’ai pris soin d’apporter. Il sort quelque temps après et cogne à ma porte entre-fermé. Il n’a que la serviette autour de la taille. Il entre en disant, ça fait du bien de se laver ! Il voit le lit et demande c’est pourquoi ?
Je lui dis, ’’ je t’avais promis de relaxer, je brise la glace en voulant te faire un petit massage.’’ Un grand sourire s’affiche sur son visage!
Moi, je porte un pantalon de nuit en soie noir, qui forme déjà une semi-bosse à l’avant. Comme lui aussi d’ailleurs ! Je l’invite à s’étendre sur le ventre en gardant sa serviette. Il se sent déjà entrer dans un autre monde, un rêve…. ’’c’est ton ami d’adolescence qui t’invite.’’
Alors je commence….
Je prends la bouteille d’huile et en fais couler sur son dos, je le dépouille pour l’enduire d’huile. Je vois pour la première fois depuis trente ans ce petit cul que j’avais déjà palpé ! J’étends l’huile en découvrant son corps, je ne me sens pas trop à ma place, j’aurais préféré un petit cul de femme, mais j’ai le goût de poursuivre. Je continue, passe rapidement sur ses fesses et descends sur les jambes et mollets. Je peux voir ses couilles par l’arrière. Je bande encore plus. J’ai le goût d’y toucher mais j’attends. Je masse quelques minutes et lui, grogne de plaisir. Mes fantasmes se réalisent. Je masse encore mais j’insiste un peu plus sur ses fesses, j’ose frôler ses couilles et même son petit trou. Mon pantalon est déformé par un bandage magistral. Il le voit et demande s’il peut la voir. La négative s’en suit et lui dis d’attendre, ’’ je te la réserve pour tantôt.’’
Je lui demande de se tourner sur le dos. Aucune gène ne reste dans cette pièce d’hôtel du sud. Son bandage est énorme aussi. Je remets de l’huile sur son ventre, l’étends en remontant sur tes tétons que j’ose même pincer un peu au passage! Je descends alors vers ce qu’il attend de revivre depuis si longtemps… que je touche à sa queue, qui est gorgé de sang, déjà prête à exploser. Je touche délicatement, ce qui fait sursauter son gland et vais masser ses couilles à pleine main.
Les vieux souvenirs de jeunesse me reviennent à l’esprit! Je suis un hétéro sans aucun doute, mais je commence à me demander si je ne suis pas bi aussi! Je n’ai jamais fantasmé sur d’autres hommes, seulement sur nos jeux de jeunesse avec lui…. mon ami!
De l’autre main, je saisis sa queue entièrement, je fais un premier va-et-vient. Il délire en pensant que ce n’est pas réel. J’ose descendre mes doigts de temps en temps vers son petit trou. Il me dit, ’’gène toi pas….’’ continuant de le masturber lentement, je vais forcer l’entrée avec mon doigt bien huilé. Je l’introduis d’un seul coup en montant vers sa prostate et la lui masse directement, sachant que les plaisirs de l’homme s’y cachent. Quelques secondes seulement et il est surpris par des spasmes, il éjacule tout, en grandes giclées, ce qu’il réservait pour ce moment propice tant convoité depuis quelques jours.
Je suis aussi très surpris et regarde avec stupéfaction. Il a des convulsions comme il n’a pas eu depuis longtemps. Aussitôt fini l’expulsion, j’engouffre son gland circoncit dont le sperme dégouline, ma bouche de pervers voulait goûter son liquide mais avec retenu. Je lèche et goûte, je n’aime pas plus que le mien, car c’est amer, chaud, même piquant sur la langue. Je prend goût à cette pipe qui commence, j’en oublie le goût de sperme et d’huile à massage et je continue en le pompant comme si je découvrais ce petit plaisir d’adolescent. Il ne perd rien de son bandage et je le surprend à continuer, ça l’excite au point que, en moins de 3 minutes de pompe et doigté rectal, il éjacule encore, mais cette fois, directement dans ma bouche.
Je sens ses spasmes en flots qui se déverse en moins grande quantité que la première éjaculation, ce qui me donne la chance de continuer à pomper jusqu’à ce qu’il ramollit un peu. Je recrache dans un mouchoir que j’avais à mon coté, car la peur d’avaler me restreint.
Sans perdre de temps, excité, je suis bandé comme un taureau, je lui demande de remonter la tête au bord du lit, et sans lui demander je lui fourre ma queue dans sa bouche en forçant sa capacité d’engloutir. En moins de 30 secondes, je lui dis que je vais venir, j’essaie de me sortir mais il agrippe mes fesses pour me retenir et là… j’explose. En saccade de foutre, je me vide les couilles dans sa bouche, ça déborde car il n’est pas capable de tout avaler. J’ose pas crier à cause des voisins de chambre….. mais je convulse aussi !
Après, le retour à la réalité on a éclaté d’un grand rire… Je lui lance, ""Toujours aussi cochon…’’ il me réplique, ’’tu n’as rien perdu avec le temps ! Tu veux un dernier verre?’’
Ceci s’est passé en moins de 30 minutes depuis l’entrée dans la chambre…
Je vais lui demander de m’écrire comment il a vécu la deuxième journée de ses vacances avec moi, son vieux copain.
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