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Comment je suis devenu Zoophile – Chapitre 1




Il n’est jamais aisé de faire le premier pas vers une fille ou un garçon, les préjugés et autres formes de timidité restent des facteurs déterminants dans l’approche d’un être désiré.

Garçons ou filles connaissent, à un moment ou un autre, les pulsions post-puberté, cette envie irrésistible de s’accoupler pour le plaisir, guidés par l’instinct grégaire.

Dans notre monde qui loue la beauté comme un ? canon ? et un art de vivre, il n’y a guère de place pour ceux qui ne répondent pas à ces critères.

A mon age, je suis toujours vierge, enfin puceau, je n’ai pas de copines et mes seules relations sexuelles, sont celles que j’ai avec moi-même, la masturbation.

Tous les garçons/filles pratiquent la masturbation, premiers émois charnels de la vie d’Homme, avant de passer au stade supérieur, celui d’une relation charnelle avec l’élu(e) de son cour.

D’un physique ingrat, j’ai peu de chance de trouver asile dans le coeur d’une fille, quoique, comme on le dit souvent, la véritable beauté se trouve à l’intérieur.

Toujours est-il, que je me livre à la masturbation solitaire et même en public, pour défier et attendre pourquoi pas une aide.

Un jour, la meilleure amie de ma mère nous convie à un apéritif chez elle, n’ayant rien à faire, j’accepte de m’y rendre, un verre d’alcool me fera sûrement du bien.

Le premier verre de punch expédié en un rien de temps, me fait l’effet d’une douce chaleur dans les reins.

Je prétexte donc à l’amie de ma mère que je désire faire un tour dans le parc de la maison, pour prendre l’air.

Le rhum a de drôles d’effets sur moi et un peu d’air frais me fera le plus grand bien et une envie soudaine de me masturber, jaillit de mon ventre.

Le parc derrière la maison, resplendit de couleurs et de senteurs, un endroit bucolique et champêtre propice à la réflexion et à l’émancipation.

Assis derrière un arbre, je sors ma verge de mon pantalon et je me masse la hampe en toute quiétude, faisant abstraction du monde environnant, quand soudain, tétanisé, j’entends un bruit à proximité.

Effrayé, je cesse ma masturbation et, les yeux hagards, j’en cherche la provenance. Mon coeur bat la chamade ;et si quelqu’un me surprenait !

Je vois deux yeux brillants se diriger vers moi… Ouf ! Ce n’est que Vulkin, le labrador de l’amie de ma mère ; plus de peur que de mal.

Impulsivement et en quête de sensations nouvelles, je saisis ma verge et je m’avance vers la truffe du chien.

Vulkin me sent et sa langue rappeuse me lèche le bout de la verge, mon gland, sous la caresse, enfle ; une sensation des plus délicieuses.

Excité par la langue du chien, je lui offre ma verge en entier, il me lèche partout, c’est bon, je m’imagine que c’est la bouche d’une fille, je vais jouir.

 ? Chéri… Il est l’heure… On s’en va ! ? La voix de ma mère, me fait l’effet d’un coup de couteau dans le dos, il faut que je me hâte de rejoindre la voiture, ma mère n’aime pas attendre.

Elle vient de me torpiller sur place, de rompre le charme de cette précieuse expérience.

Ayant repris une certaine apparence, je rejoins la voiture, suivi par Vulkin, qui semblait avoir pris goût à la situation.

Comme je suis toujours en érection à l’arrivée à la maison, je file dans ma chambre pour terminer ce que j’avais commencé avec Vulkin, je jouis dans ma main et tel un chien, je lape mon sperme.

Ce début d’expérience avec le chien de Marie, l’amie de ma mère me hante… Et lorsque l’occasion se présente de retourner chez elle, je jubile intérieurement.

Mes parents se sont absentés en cette fin de semaine et, au lieu de me laisser seul, mon expédié chez leur amie. Ce n’est pas pour me déplaire, Marie est plus ? djeun’s ? que mes parents.

Et puis, ça me permet de revoir Vulkin.

En attendant le repas, je suis affalé sur le canapé pour mater la télévision. Je me masturbe. Marie est affairée à la cuisine, ce qui me permet de savourer cette branlette.

Vulkin débarque dans le séjour, s’approche de moi et commence à me lécher les bourses et le gland. Celui-ci, gonflé de désir, forme une protubérance.

La même sensation que celle ressentie la semaine dernière, quand Vulkin m’avait léché la verge, renaît dans mon ventre et je compte bien, cette fois, arriver à mes fins. Mais Marie débarque au salon et j’ai juste le temps de remonter mon short pour cacher ma verge.

 ? Viens à table, c’est prêt ? Me dit-elle, elle ne s’est aperçue de rien. Ouf !

Tout en mangeant, nous discutons de choses et d’autres. Vulkin, couché sous la table, à mes pieds, a reprit ce qu’il avait commencé.

Difficile de garder son calme sous les caresses de la langue de Vulkin. Tant bien que mal j’arrive à me contenir me réjouissant par avance des plaisirs qui s’annoncent.

Après le repas, Marie s’installe confortablement dans le canapé pour regarder une série à l’eau de rose, de celle qui font fureur chez les ménagères de 50 ans.

Pour ma part je vais sur la terrasse ; à cette saison, il fait très bon dehors.

Vulkin à pas feutrés, s’avance vers moi et se couche à mes pieds.

Je caresse son pelage ras et ma main saisit son sexe. Je le masturbe un peu comme je le fais avec ma verge, j’ai une érection en même temps que Vulkin.

La vue, de son sexe me fait perdre toute dignité. Je le prends en bouche, comme je le faisais avec le sexe de mon ami Jo, lors de nos relations homosexuelles.

La queue de Vulkin grossit dans ma bouche, je sens le gland enfler sous ma langue, le chien jappe et son foutre envahit ma bouche.

Cette saveur, différente de mon propre sperme ou de celui de Jo, n’est pas mauvaise.

Par acquit de conscience, je vais jeter un oeil dans le salon, on ne sait jamais. Marie dort sur le canapé devant la télé allumée. Tant mieux je vais pouvoir me consacrer davantage à mon ami à quatre pattes.

Vulkin s’est relevé. J’ai envie de profiter de la vigueur de son sexe et je me mets à quatre pattes.

Vulkin vient fourrer sa truffe sur mon anus et sa langue lèche copieusement mon intimité culière, que c’est bon…

Le chien sûrement excité par mon odeur corporelle me sodomise d’un seul coup, passant sans coup férir la barrière de mon sphincter.

Apres quelques va et vient, le noeud du chien gonfle dans mes reins, mes chairs distendues résistent au gonflement, mais je ne peux pas me défaire de l’étreinte bestiale.

J’entends du bruit dans le salon, je m’imagine le pire : Marie me surprenant dans cette situation indélicate et allant tout raconter à ma mère.

Je prends peur, je souhaiterais être à mille lieux de là, même si je savoure cette sodomie animale.

Vulkin s’active en moi. Cette pénétration sauvage me fait jouir et je sens le foutre du chien s’écouler dans mes reins en gros jets visqueux.

Libéré de la prise, je remets de l’ordre dans mes vêtements et je vais voir ce que fait Marie.

Personne au salon, ni à la cuisine… Je la découvre dans sa chambre, étendue sur le lit. Elle dort du sommeil du juste.

Ouf !

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