Après avoir eu, et je dirai même avoir subie ma première initiation à lamour canin, je ne cessais de penser à cette scène, où malgré lhorreur initial de cette relation contre nature, je nen gardais que les moments de plaisir.
Contre toute attente, à la mi août, Sabine et Mathieu avec qui nous avions sympathisé suite à mon initiation, nous téléphonèrent pour nous demander si nous pouvions garder leur chien pour une semaine. Ils partaient en vacances, et plutôt que de le mettre dans un chenil, ils pensaient quil serait mieux à gambader chez nous que dêtre enfermé. Je leur répondis que jallais en parler à mon mari.
— Cest toi qui décide, moi je bosse, alors si tu veux ten occuper
Oui, je désirais men occuper, et peut être aussi que ce chien désirerait soccuper de moi ? Ainsi, trois jour plus tard, en fin daprès midi Sabine mamena son chien Eros, un nom déjà prédestiné ! Il prit ses repaires dans le jardin, saccageant un parterre de fleur et délimitant son territoire en arrosant chaque arbuste. Lorsque Greg arriva, il joua avec lui, puis nous le laissions dehors pendant le dîner, avant de lui faire réintégrer la maison pour la nuit. Des pensées damour canin me tourmentèrent lorsque jallais me coucher. Je maffalais nue sur le lit, tant la chaleur de cette nuit était étouffante, et je me mis à me caresser.
— Hé ! me lança Greg, tu naurais pas envie dautre chose que tes petits doigts ?
Il me fit lamour, et comme à laccoutumé, il se répandit dans mon ventre. Je narrivais pas à trouver le sommeil, était-ce la chaleur, mes pensées folles de luxure ?
Le lendemain matin je nentendis pas mon mari se lever, pourtant il revint dans notre chambre vers huit heures pour, comme tous les matins me faire un petit câlin avant de partir au boulot. Jétais endormie et recroquevillée sur moi-même lui tournant le dos. Il posa de petits baisers sur mes fesses qui me sortirent de ma torpeur. Je sentis ses doigts caresser la courbe de mes fesses et se glisser dans le sillon de mes rondeurs, et tout en poursuivant ses bécots, ses phalanges sinsinuèrent entre mes lèvres humides. Cétait tellement bon dêtre réveillée de la sorte, que je mallongeais sur le ventre en écartant mes cuisses pour profiter davantage de ses doigts fouilleurs. Je gémissais de bien être.
— Ma petite femme est aussi une petite salope, comment sais-tu que cest moi et non le facteur ?
— Simplement parce que le facteur est toujours pressé, et il ne fait pas de préliminaires, murmurais-je.
— Une vraie petite chienne ! A propos de chienne, jai donné à manger à Eros, et je lai sorti dans le jardin.
Il membrassa une dernière fois dans le cou en me clouant trois de ses doigts bien profondément dans ma vulve humide avant de me quitter en humant ses phalanges parfumés de ma cyprine. Il me laissait sur ma fin comme souvent avant de partir à son travail, alors je glissais ma main sous mon ventre pour finir ce quil avait entreprit.
Je paressais encore une petite demi-heure au lit, puis je me levais en enfilant un tee-shirt de mon mari qui me servit de mini robe. Je me préparais un petit déjeuner et je minstallais sur la petite table du salon en ouvrant toute grande la baie vitrée que le soleil inondait. Quelques minutes plus tard Eros entra dans le salon et se mit à renifler la confiture, le yaourt Puis ce fut à mon tour dêtre flairée avant quil ne repose sa tête sur mes jambes, mais très vite sa truffe se colla sur mon entre cuisse par-dessus le coton du tee-shirt en cherchant à sy enfouir en donnant des coups museau.
— Hé dit donc ! Tes bien matinal pour texciter de la sorte !
Lodorat dEros avait dû percevoir les effluves émanant de mon intimité, tant de nos ébats de la veille que de la masturbation qui mavait faite mouillée il y avait encore que quelques minutes. Je le repoussais sans vaine, il revenait tout fébrile à la charge, remuant sa queue dans tous les sens, et en jappant. Je finissais mon déjeuner avec lidée de commencer cette matinée dans loisiveté et livresse du bien être. Jallais massurer que la porte de notre portail était bien fermée à clé, puis je téléphonais à mon mari sans vraiment de prétexte pour me garantir quil était bien à son travail et quil ne rentrerait pas chez nous à limproviste.
Je me vautrais dans le canapé tout en retroussant mon tee-shirt sur mon ventre et jécartais mes cuisses. Je neus pas besoin dappeler Eros, il vint sur le champ plaquer sa langue contre ma vulve, lapant mes chairs moites. De mes doigts jentrouvrais mon vagin en tirant sur mes lèvres afin de mieux sentir sa langue mexplorer et redécouvrir le plaisir quil mavait procuré la première fois. Il fouillait mon utérus à la recherche de mes effluves de femme envoûtée de luxure. Après un moment où la jouissance navait pas été totale, je me décidais à changer de position. Je magenouillais face au canapé, puis je trempais deux de mes doigts dans le pot à confiture dont jenduisis copieusement ma vulve et mon anus avant de poser ma tête sur le divan en cambrant bien mes reins.
Le souffle chaud dEros souffla sur mes fesses et sa langue se pourlécha de mon intimité tandis que sa truffe heurtait lillet de mon anus. Je commençais à jouir et mabandonnais à ce délice qui devint croissant lorsquil fouilla mon anus en quête de la confiture. Jétais saoule de luxure, et les interdits tombaient sans men rendre compte au fil de livresse qui menvahissait.
Je sentis le poids de la bête sur mon dos, ses pattes postérieures enserrant mes flancs.
— Non Eros ! Pousses-toi ! Criais-je sans trop de conviction.
Je nétais pas très persuasive, et la masse du chien mempêchait de me relever. Puis je perçus son sexe venir buter tantôt contre ma vulve ou mon anus, ou bien glisser contre mes fesses. Son liquide séminal jutait sur mes chairs et ruisselait entre mes lèvres, tandis quil voulut me lécher le visage. De ma main jécartais sa tête.
— Non, pas ça Eros !
Son léchage me détourna lattention, pour me rendre compte quil était en moi. Son sexe allait et venait à un rythme soutenu. Jeus un moment de frayeur, me faire baiser par un chien ! Je ne désirais que retrouver le plaisir de sa langue sur mon sexe, mais il était trop tard. Si jarrivais à me retirer, jaurais tout de même été prise quelques instants par un animal, et puisque jy trouvais de limpudicité jusquà ce moment, je me résolus à le laisser me posséder.
Au fur et à mesure de son pilonnage javais la délectation de sentir sa queue grossir dans vagin. Une fois de plus je tombais dans la torpeur de ma dépravation, savourant ses assauts répétés. Jétais novice, et je laissais Eros à mes dépends. Il avait introduit son nud en moi ; il se mit à enfler distendant pour mon plus grand plaisir les chairs de mon vagin. Les palpitations de son nud dans ma vulve ballonnée me donnèrent un premier orgasme, jétais folle de cette immoralité dévergondée. Puis des jets sperme chauds minondèrent. Javais des spasmes dans mon ventre, me faisant émettre des râles sous mes orgasmes qui se répétaient. Eros haletait, sa bave coulait sur mes épaules, il me souillait.
Je restais avachie, le buste sur le canapé.
-Allez ! Pousses-toi Eros !
Il ne bougeait pas collé à mes fesses. « Pousses-toi je tai dit ! ». Le chien ne réagissait pas. Je voulus môter de son dard, mais dès que je le repoussais, je sentais ma matrice comme aspirée, et irriter mes chairs. Nous étions soudés. Cest alors que je me souvins avoir vu lorsque jétais gamine, un chien saillir une femelle, et rester collés lun à lautre de longues minutes. Tout à coup une frayeur menvahit. Si quelquun venait ? Non, impossible, jai fermé le portail !
Mon portable résonna. Merde ! On verra plus tard.
Ce nest que bien des minutes plus tard quEros se retira. Ma vulve béante laissa sécouler un sperme abondant qui ruissela le long de mes cuisses. Je savourais ce dernier instant en sentant la semence de mon amant suinter sur ma peau ; du bout des doigts josais en récolter quelques gouttes que je portais à mes lèvres. Répugnant ? Non, un délice !
Avant daller sous la douche, je rappelais le numéro qui mavait contacté.
— Allô ?
— Coucou, cest Sabine. Alors comment ça va avec Eros ?
— Ho ! Sabine. Bien, très bien. Eros est très câlin tu sais.