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Les récits de Caroline – Premiers émois – Chapitre 1




Je m’appelle Caroline et j’ai 31 ans, je vis en couple avec Guillaume depuis 18 mois. C’est un garçon sérieux, respectueux et peu inventif au lit mais d’une certaine manière cela fait partie de son charme. C’est le gendre idéal: il a un bon travail, de bonnes manières et fait preuve d’élégance en toute occasion; Mes parents l’adorent et j’imagine qu’il en était de même avec ceux de ses conquêtes précédentes.

Il y a quelques années, je ne me serais pourtant jamais imaginée avec un homme comme lui: J’avais découvert et accepté mes envies; Il me faut des partenaires capables de m’amener vers les plaisirs inavouables qui me font tant vibrer.

Malheureusement, je n’ai jamais rencontré de compagnon qui sache faire la part des choses: me faire l’amour avec tendresse la plupart du temps tout en étant capable de se lâcher quelque fois par mois. De la même manière, avoir parfois envie de me faire gifler pendant le sexe ne voulait pas dire que je n’attendais pas respect et attentions romantiques de la part de mes petits-amis dans la vie normale.

Je n’ai pas trouvé d’homme qui sache réellement me comprendre et me combler alors j’ai fini par trouver mon équilibre dans ma relation avec Guillaume: Il est prévenant, il s’occupe de moi comme si j’étais une princesse mais régulièrement je m’autorise loin de ses bras les soirées de décadence qu’il ne peut m’offrir.

Est-ce le tromper ? Sûrement mais de toute façon, sexuellement, je suis incapable de me contenter de lui alors c’est aussi une façon duvrer pour la pérennité de notre couple.

Je crois que d’une certaine manière il sait que j’ai une sexualité annexe mais nous n’en avons jamais parlé. Tout juste a-t-il parfois ce sourire triste lorsque je lui débite un de mes mensonges habituels pour me libérer le temps d’une soirée ou d’un weekend. Quand nos regards se croisent, il s’en suit un échange non-dit qui me ferait presque renoncer… mais je suis la femme que je suis et j’ai choisi de l’accepter.

Depuis quelques temps, je ressens le besoin décrire cette double vie. Sans doute est-ce le fait de ne pouvoir en parler à personne qui me pousse à me livrer de cette manière.

Comme à chaque fois avant d’aller m’installer face au clavier de mon ordinateur, je passe à la salle de bain et je me déshabille devant la glace. Je regarde la jeune femme blonde face à moi, 1m58, les cheveux raides jusqu’aux épaules, une poitrine lourde mais qui commence à souffrir de la gravité, des fesses un peu plus larges que je ne le voudrais mais pas de ventre. Je suis mignonne et sexy mais je ne suis pas une bombe.

Le manque de maintien de mes seins me complexe un peu alors je remets vite un soutien-gorge avant d’enfiler une nuisette. Même dans cette tenue, mon regard est sage, on me donnerait "le bon dieu sans confession" comme aurait dit feue ma grand-mère.

Je sors de la salle de bain pour rejoindre mon bureau; Il est temps d’aller coucher un nouveau pan de ma vie sur le papier.

—————————————-

Ce récit est un peu particulier. Il raconte l’expérience qui m’a vraiment fait comprendre que je ne suis pas comme les autres femmes. J’avais 22 ans à lépoque et je terminais mes études; C’était en Avril et je vivais encore chez mes parents.

En regardant par la fenêtre de ma chambre d’adolescente, je vis, comme souvent, une jeune femme sortir de chez notre voisin. Linconnue devait avoir quelques années de plus que moi et elle avait le regard triste. C’était une jolie fille mais j’avais l’impression de distinguer des larmes discrètes couler de ses yeux rougis.

Cela faisait deux ans que cela durait, Monsieur Cloturo était divorcé et vivait seul la plupart du temps mais régulièrement des femmes venaient le rejoindre. Elles étaient trop jeunes pour un type qui devait avoir 45 ans et trop jolies pour son physique aussi anodin qu’enrobé. Elles n’avaient pas non plus des allures de prostituées bien que cela aurait été l’explication la plus logique.

Certaines repartaient la mine déconfite alors qu’il en raccompagnait d’autres qui plaisantaient avec lui jusqu’à son portail. J’étais intriguée, certaine qu’il se passait quelque chose de louche à quelques mètres de chez moi.

Ce jour-là en voyant la fille aux yeux embués, ma curiosité lemporta. Je descendis les escaliers quatre à quatre et je courus jusqu’à la voiture vers laquelle la jeune femme se dirigeait.

— "Mademoiselle, tout va bien ? Vous avez l’air bouleversée ?"

Elle était surprise que j’ai fait irruption de la sorte mais elle me répondit tout de même.

— "Non ça va. Je veux juste partir".

J’en mourrais d’envie alors en montrant la maison de Geoffroy Cloturo, je lui demandais:

— "Et je…. Il se passe quoi là-bas ?"

Elle monta dans sa voiture en comprenant que je n’étais qu’une vilaine petite curieuse mais je tambourinais à sa fenêtre.

— "Non mais ça ne va pas !? Vous allez casser ma vitre"

— "S’il vous plait. Dites-moi! C’est mon voisin quand même"

Elle me lança un regard triste.

— "Il fait des vidéos"

— "Il a un site ? Comment ça s’appelle ?"

Jentendis la réponse en même temps qu’elle accélérait.

— "Le regard perdu"

Il était évident qu’il s’agissait d’un truc malsain. Je brûlais de curiosité, c’était forcément glauque mais je voulais découvrir jusqu’à quel point. "Le regard perdu", Avec un nom pareil je mis un peu de temps à trouver mais je tombais finalement sur le site en question.

On ne voyait pas grand-chose sur la partie gratuite mais on comprenait le principe répété lors de chaque séquence filmée: Une jeune femme était installée à quatre pattes sur un large canapé, elle fixait une caméra face à elle puis un homme, mon voisin apparemment, venait se placer derrière elle.

Les deux protagonistes ne sadressaient pas vraiment la parole mais pendant plusieurs minutes la fille grimaçaient sous les coups de reins de son partenaire, le regard plongé vers l’objectif qui immortalisait la saillie en cours. En haut à gauche de l’image, en incrustation, un plan sous un autre angle montrait que c’était une pénétration anale qui provoquait les grimaces des héroïnes de ces saynètes.

Tout semblait se dérouler dans une pièce plus ou moins aménagée pour l’occasion; C’était amateur mais avec suffisamment de moyens pour que l’éclairage et la qualité des caméras permettent de bien voir ce qu’il se passait.

Toujours dans la partie gratuite du site, un florilège de photos montrait les expressions des malheureuses, "Le visage du bonheur" comme l’auteur avait appelé cette section avec poésie.

J’étais choquée mais pas tant que cela et ce n’était pas les pratiques qui me perturbaient mais plutôt le fait que cela se passe à quelques mètres de ma maison.

Cela aurait dû me dégoûter mais à partir de ce moment-là, je ressentis au contraire un trouble évident à chaque fois que je pensais à mon voisin. Malgré la curiosité, je ne franchis jamais le pas de m’inscrire et de donner mon numéro de carte bancaire sur son site mais ce n’était pas l’envie de voir les vidéos en intégralité qui me manquait.

Confusément j’avais commencé à comprendre depuis quelques mois déjà que sexuellement je n’étais pas une gentille fille; Je n’étais jusqu’alors sortie qu’avec des garçons "bien sous tous rapports" rencontrés au lycée puis à la fac mais je n’avais jamais dit "non" aux demandes de mes partenaires.

Eux prenaient leur pied mais lorsqu’ils me faisaient l’amour, je terminais souvent avec le regret que cela n’ait pas été plus intense. Il y avait quelque chose en moi qui réclamait plus que ces étreintes normales. Bien sûr, j’avais déjà joui, pas toujours ni souvent mais parfois. Pourtant il me manquait quelque chose. Alors petit à petit l’idée germa en moi: Et si j’essayais ? Et si je laissais mon voisin faire de moi une star éphémère sur son site de cul ?

J’en mourais d’envie, c’était mal, c’était rabaissant, c’était un fantasme purement masculin…. Mais c’était justement ce qui me donnait envie de m’y soumettre.

J’avais peu d’expérience pour la pratique qui était la star de ces vidéos, j’avais laissé deux garçons s’aventurer entre mes fesses mais à chaque fois, ils n’avaient tenu que quelques secondes avant de laisser éclater leur joie. Pourtant cela ne meffrayait pas; Au contraire.

Jhésitais, pas tant parce que j’avais peur des quelques minutes que j’allais offrir à mon voisin mais parce que je me doutais que je m’engageais sur un chemin que j’aurais beaucoup de mal à quitter ensuite.

Il me fallut un mois de réflexion supplémentaire mais un weekend, je me décidais enfin à aller frapper à la porte de Geoffroy Cloturo.

— "Bonjour Caroline ! Tu as besoin de quelque chose ?"

— "Je veux tourner dans une de vos vidéos !"

Il blêmit avant de regarder à droite et à gauche si quelqu’un nous entendait et il me fit entrer en me tirant par le bras.

— "Mais comment tu es au courant de ça, toi ?"

Je lui expliquais les filles que j’avais souvent vues aller et venir puis celle que j’avais questionnée.

— "Tu as besoin d’argent ? Tu sais, je ne paie pas énormément, c’est amateur, 450 euros la scène… et puis je ne peux pas faire ça à tes parents. Ils m’invitent à chaque fois qu’ils font un barbecue".

— "Je ne vois pas le rapport".

Il rigola. Finalement, il était presque plus gêné que moi…. Mais j’insistais.

— "Je ne suis pas assez jolie ?"

— "Bien sûr que si, tu serais parfaite, ce n’est pas la question".

Je continuais à montrer ma motivation et à la fin il céda. Il m’expliqua dans les moindres détails ce qui se passerait si nous allions plus loin et une heure plus tard, nous fixâmes le rendez-vous au lendemain à 17 heures.

————————————-

Quand je suis arrivée, il proposa de nouveau d’oublier tout cela mais face à ma détermination, il finit par afficher un sourire scabreux. Je crois qu’il s’était fait un devoir d’essayer de me dissuader mais qu’une fois cette étape franchie il était ravi de ce qui sannonçait. Il me connaissait depuis plus de dix ans et en me voyant en short dans le jardin à côté de sa maison, sans doute avait-il plusieurs fois imaginé ce moment bien avant que je naie l’âge légal.

Il me fit directement descendre au sous-sol. La lumière était forte et venait à la fois du plafond et de projecteurs posés sur le plancher. Tout semblait déjà en place.

— "Habille toi pour la petite séquence de présentation. On va commencer par ça".

J’étais toute perturbée mais également folle d’excitation.

Comme nous en avions convenu la veille, je ne mis qu’un soutien-gorge, un t-shirt assez court, des chaussures ouvertes à talons… et rien dautre: mes fesses et mon sexe épilé n’étaient pas protégés par le moindre tissu.

— "Et bien voilà, on y est. Tu te souviens de tout ce que je tai expliqué hier ? "

— "Oui, je suis prête"

— "Je te poserais les questions dont on a déjà parlé, tout ira bien".

Comme Geoffroy le demanda, jallais me placer devant le fond blanc à gauche de la pièce. Il alluma la caméra, cela allait être à moi. Tout était allé tellement vite que je n’avais pas vraiment eu le temps d’avoir peur.

J’essayais de prendre une posture élégante malgré ma tenue pour le moins légère mais je fus interrompue dans mes essais par le signal indiquant que nous commencions. Monsieur Cloturo cadra mes pieds et mes chevilles puis le bas de mes jambes avant de remonter lentement. Arrivé à mon visage, il me fit un signe.

— "Je m’appelle Caroline, j’ai 23 ans".

— "Tu es venue t’amuser ?"

— "Oui c’est ça".

— "En tout cas, tu es très mignonne"

— "Merci"

— "Tu sais quici, on va droit au but, même avec les jeunes filles. Tu peux te tourner et te pencher en avant ?"

— "Bien sûr"

Malgré ma gorge qui sétait serrée tout au long de ce bref échange, j’avais essayé de garder une voix normale. Je pivotais sur mes talons et je me penchais en essayant de me cambrer sans perdre léquilibre. J’imaginais la caméra fixée sur mon postérieur et je ne pouvais nier la chaleur qui commençait à irradier mon ventre et mes seins.

— "Pose tes mains sur tes fesses et écartes les"

Jétais folle de mêtre mise dans une situation pareille mais je navais plus vraiment le choix alors je mexécutais.

— "C’est très joli tout ça ! "

— "Merci"

— "Ça mas lair tout neuf. Tu as de l’expériences ?"

— "Pas beaucoup. Je suis venu pour apprendre".

Evidemment cétait Monsieur Cloturo qui avait écrit le texte que je devais répéter; Je ne faisais que réciter.

— "Je peux toucher ?"

— "Bien sûr"

Je sentis un doigt venir directement au contact de ma rosette et je dus me concentrer de toute mes forces pour ne pas avoir de mouvement de recul ou de crispation. Le mouvement circulaire, répété plusieurs fois, me provoqua un frisson. Heureusement la caresse fut légère et relativement brève, je crois quà ce moment-là je naurais pas été prête à en faire beaucoup plus.

— "Je suis un sacré veinard. Cela va être une scène mémorable En tout cas jai hâte dy être".

— "Tu peux te retourner maintenant"

Je me relevais pour faire de nouveau face à la caméra en respirant fort pour tenter darrêter de rougir.

— "Tu sais ce que je vais te faire tout à lheure ?"

— "Je crois, oui"

— "Tu as peur"

— "Un petit peu"

Il était temps que cette séance de questions embarrassantes se termine, je commençais à trembler tellement jétais gênée.

— "Tu vas aller te préparer et on te retrouvera dans quelques minutes pour une expérience que tu ne seras sans doute pas prête doublier"

Je fis un signe de la main en lançant un "A tout de suite" sans doute empreint de timidité.

Un nouveau signe de Geoffroy: c’en était fini pour cette séquence.

— "Bravo ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie. C’était parfait".

J’étais contente davoir survécu à cela mais jen étais sortie groggy, presque hébétée. Mon partenaire memmena dans la zone ou la scène à proprement parler allait être filmée. Il positionna sur un trépied la caméra qui filmerai mon visage puis il me fit minstaller dans la position que j’occuperai plus tard.

— "Ne t’inquiètes pas, pour l’instant c’est juste pour les réglages".

Il fixa le second appareil, celui qui resterait cadré sur mon postérieur, sur un support mural puis après quelques ajustements, il m’aida à me relever. C’est à ce moment-là que je pris conscience que ma quasi-nudité ne me perturbait plus vraiment.

Il y eu un silence gêné. Jattendais les directives suivantes sans comprendre que je devais faire.

— "Heu… Caroline… On va bientôt commencer"

— "Je Ha oui d’accord".

J’allais me réinstaller à quatre pattes sur le grand canapé mais Geoffroy m’arrêta.

— "Je ne sais pas si tu as vu les vidéos sur mon site mais il n’y a pas de préliminaires…. Ça commence directement… et ce n’est que de l’anal."

-" Il faut que tu te prépares: Il y a une petite chambre à côté avec tout ce qu’il faut… Tu peux te débrouiller toute seule ou si tu veux je peux t’aider".

La réalité venait de mettre une grande claque dans le visage. Je devais être rouge écarlate tellement j’avais honte.

— "Je… je… je vais me débrouiller toute seule"

Je filais dans la petite chambre attenante; Il y avait un grand lit avec dessus deux tubes de gel lubrifiant, des godes, des plugs de toutes les tailles et des lingettes. Je restais bloquée près de deux minutes puis je me repris en main. Je minstallais comme je pouvais, allongée sur le côté et une jambe relevée. Je n’avais plus choix, il fallait agir.

Je me caressais dabord doucement entre les fesses puis je recommençais mais cette fois, les doigts enduits de gel lubrifiant. Après tant démotions, je dus forcer pour faire pénétrer mon annulaire mais je continuais courageusement et petit à petit je pus me détendre. C’était la partie facile, j’avais déjà fait cela plusieurs fois seule dans la chambre en préparation de ce grand jour.

Après quelques minutes et un deuxième doigt enfoncé dans mon petit cul, j’estimais être prête à aller plus loin alors je pris le plug le moins effrayant pour le badigeonner de gel avant de le présenter contre mon illet. J’inspirais plusieurs fois pour me détendre avant de commencer à m’enfoncer le sex toy. Un petit cri séchappa de ma gorge en même temps que je sentais mes muscles se contracter sur le corps étranger en signe de protestation.

Je me provoquais plusieurs grognements en m’enfonçant ce plug dune douzaine de centimètres presque en entier. Jétais déjà au-delà de la préparation que je métais imposée avec mes doigts les soirs précédents. La sensation était étrange, un peu douloureuse mais supportable compte tenu de la finesse du jouet que j’utilisais.

— "Ça va ?"

C’était Geoffroy qui commençait sans doute à s’impatienter. Je répondis à travers la porte, le plug toujours vissés entre mes fesses.

— "J’en ai encore pour quelques minutes"

— "Prends ton temps"

— "Merci…. Tu… Tu es comment ? je veux dire pour la taille de ton… ?"

— "Dans la moyenne pour un type qui fait des vidéos X… Donc sans doute un peu plus que les garçons que tu as connus".

Aie !

Je regardais pensivement les godes étalés sur le lit et un modelé "gros mais pas trop" semblant correspondre à la description du sexe de Geoffroy attira mon attention. Doucement je retirais le plug de mon fondement pour tenter de le remplacer par ce nouveau modèle. Il était beaucoup plus large; Mon cur se souleva et les larmes vinrent au bord de mes yeux lorsqu’en me brutalisant je réussis enfin à faire entrer le gland.

Cela me brûlait, j’avais l’impression que j’allais me déchirer. Je fis des bruits si suspects que mon partenaire revint aux nouvelles.

— "Prête ?"

— "Pas encore"

Les larmes aux yeux, jenduisis le gode dune nouvelle coulée de lubrifiant. Je poussais ensuite pour ouvrir mon pauvre petit cul et je pleurais silencieusement en me sodomisant moi-même sans me ménager.

Quand de nouveau mon futur partenaire me demanda ou jen étais, je répondis cette fois que jétais prête. Jessuyais mes yeux, je libérais mon fondement de mon amant de plastique et je sortis de la pièce.

Mon voisin approcha de moi pour finir de me déshabiller mais il m’autorisa à garder mon soutien-gorge; Déjà à l’époque je préférais sentir mes seins maintenus.

— "Vas-y, installe-toi".

Je pris place à quatre pattes, les yeux rivés sur la caméra en face de moi et j’écoutais docilement les ultimes consignes.

— "Surtout tu ne quittes pas la camera des yeux. C’est le plus important"

— "On ne fait qu’une prise, cela dure en général entre sept et douze minutes, j’essaie de ne pas faire durer trop longtemps".

— "Tu te souviens: On ne fait pas de pause, tu ne me dis pas "moins vite", "attends" ou des trucs comme ça: l’idée c’est tu subies et c’est tout"

— "Évidemment si tu veux, on arrête mais c’est définitif; On ne fait pas de raccord ou de deuxième prise"

Je me sentais mouiller comme une femelle indigne en entendant ces horreurs, j’étais vraiment dingue.

— "Je ne suis pas un bourrin mais ce sera quand même hard par moment. Tu es toujours d’accord ? Si tu veux on peut en rester là, il n’y a pas de problème. Il vaut mieux ça plutôt que tu te mettes à pleurer ou que tu fasses une crise au bout de trois minutes"

— "Ça ira"

Des réponses monosyllabiques ou quasiment, c’était le mieux que je pouvais faire.

— "Je vais me mettre à poil et un peu me préparer. On démarrera juste après. D’accord ?"

— "Oui"

-" Tu te souviens des questions que je vais te poser et de ce que tu devras répondre ?"

— "Oui"

Il se déshabilla, sauf ses chaussettes bleues foncées et il commença à se branler devant moi en me regardant dans les yeux. Cétait horriblement gênant. Il fit ensuite le tour du canapé sans doute pour améliorer son érection en regardant mes fesses.

Mon voisin n’était pas un Apollon, il devait avoir vingt-cinq ans de plus que le type le plus vieux avec lequel j’avais couché mais étonnement il ne me répugnait pas. Il ne me plaisait pas mais j’avais envie d’être là avec lui, j’avais envie qu’il se serve de moi comme d’un jouet, qu’il me brutalise "un peu". Ce qui m’avait toujours manqué avec les autres c’était cela: Ce côté glauque, humiliant et un brin extrême.

Devais-je m’autoriser ces plaisirs sales ou me lancer avec un psy dans dix ans d’analyse ? Je n’en savais rien mais jallais bientôt avoir la réponse.

Sa queue était érigée, c’était effectivement la plus volumineuse que j’aie vu en vrai mais elle n’avait rien de monstrueuse. A mon grand soulagement, elle me semblait même un peu moins large que le gode que j’avais eu tant de mal à accepter.

— "Caroline, tu veux que je vienne déjà en toi pour que tu essaies de t’habituer sans la caméra ?"

— "Je… non… ça ira"

— "Comme tu veux, c’était pour toi…. On va y aller. Prête ?

— "Oui"

— "Alors on y va"

Il déposa une grosse noix de lubrifiant à l’entrée de mon rectum, ce qui me fit sursauter puis il badigeonna sa verge également. Après cela, il se plaça hors cadre pour me faire un signe "3,2,1" avec ses doigts avant de démarrer les caméras. Comme pour la scène dintroduction, javais appris mes répliques part cur. La récitation pouvait commencer:

— "Nous retrouvons la jolie Caroline"

— "Coucou"

— "Tu es toujours aussi jolie ; peut-être même encore plus maintenant que je te vois dans cette position"

— "Merci, je suis contente de vous plaire"

— "Tu es bien installée ? Tout va bien"

— "Oui, je suis prête"

— "Prête à quoi ?"

— "Prête à me faire enculer"

Mon dieu ! Qu’est-ce que c’était vulgaire ! J’avais déjà trouvé cela horrible dans la bouche des autres filles mais m’entendre le dire était encore pire. J’avais tenté de négocier mais malheureusement Geoffroy avait été inflexible. Dans chacune de ses vidéos, la discussion précédent laction devait se conclure par cette phrase.

— "Et bien tu es venue à la bonne adresse. Je vais bien moccuper de toi"

Je le sentis me frôler puis il s’installa derrière moi.

— "Tends ton joli petit cul et ouvre-toi bien"

J’essayais de sourire à l’objectif qui me fixait en obéissant mais déjà le gland de mon partenaire appuyait sur ma corolle. Je me mis immédiatement à grimacer et fermer les yeux mais une forme d’excitation sale menvahit en même temps. C’était vraiment en train d’arriver: J’allais être filmée dans un sous-sol par un type qui m’enculait et qui avait lâge d’être mon père. En même temps que la douleur vivace à l’entrée de mon anus, je sentis mes lèvres intimes perler dans une horrible trahison.

Javais la bouche grande ouverte en sentant le gland de mon amant d’un soir forcer son chemin. Mon cul n’avait jamais rien connu de tel. Je grognais, je soupirais, je criais aussi mais cela ne l’arrêta pas. Malgré mes muscles serrés, Geoffroy s’appropriait mon fondement irrémédiablement.

Lorsqu’il simmobilisa plongé à moitié en moi je crus qu’il allait me ménager mais je me trompais. Très vite la progression reprit, je soupirais fort et je levais le menton tout en essayant de ne pas avoir l’air trop conne face à la caméra.

Deux claques sur mes fesses résonnèrent comme un signal puis mon amant me cramponna une hanche et un sein pour parvenir à s’enfoncer en moi totalement. Je ne l’avais pas vu venir, j’avais le souffle coupé, les larmes aux yeux et j’étais tellement choquée que pendant quelques secondes aucun son ne sortit de ma bouche. Je sentais que bavais mais je me rappelais pourquoi j’étais là; Courageusement je fixais alors la camera et je ne détournais pas le regard lorsque les vas et vient complets entre mes fesses commencèrent.

— "T’es toute serrée, c’est trop bon. Tu dois déguster petite allumeuse".

Entre deux grognements, j’essayais de respirer par la bouche et de tout faire pour me détendre mais c’était difficile. J’avais certes laissé deux garçons bienveillants faire quelques timides aller-retours dans mon anus mais je comprenais que j’étais tout de même encore vierge; Cette fois je me faisais vraiment sodomiser et cela n’avait rien à voir avec ce que javais connu.

Je sentis Geoffroy bouger derrière moi comme pour me chevaucher puis sa main empoigna mes cheveux à leur racine. Je parvins à ne pas paniquer, il m’avait prévenu qu’il me ferait cela.

Il tira pour me faire me cambrer et lever le menton et il cogna plus fort entre mes petites fesses. Cette fois c’était vraiment brutal, c’était un mauvais moment à passer mais il m’avait dit que cela ne durerait pas plus de cinquante secondes. Cela peut sembler court mais sur l’instant ce nétait pas mon sentiment.

Je laissais les cris sortir de ma gorge et couvrir le claquement de nos peaux à chaque fois qu’il butait en moi. Il me défonçait littéralement, j’avais mal, cela me brûlait, j’étais morte de honte mais l’intérieur de mes cuisses était trempé.

Je comprenais que j’avais toujours voulu cela. Bien sûr pas à chaque rapport ni même régulièrement mais j’avais besoin que ce genre de choses fasse partie de ma vie. Je me laissais souiller, je me laissais baiser comme une traînée; J’en avais la tête qui tournait tant c’était excitant.

Il me fallut un long moment pour prendre conscience des larmes qui avaient coulé sur mes joues et de la salive qui recouvrait mon menton. J’avais envie de me toucher tout en laissant mon partenaire continuer à profiter de moi; J’étais certaine que j’aurais joui instantanément mais malheureusement je n’en avais pas le droit, mes mains devaient rester bien à plat sur le canapé

Deux fessées, une pénétration encore plus rageuse que les autres, un grognement. Le son de mon propre souffle qui se mêle à celui de mon tourmenteur. La douleur qui semble diminuer avant de revenir comme pour me punir dêtre en train de me dire que je ne regrette pas dêtre là. Les sensations nouvelles et révélatrices senchaînaient au rythme du clignotement du voyant de la caméra qui me faisait face.

Assaillie par ces pensées que je ne contrôlais plus, je rouvris les yeux alors que les mouvements de mon amant devenaient plus tendres. Il me faisait beaucoup moins mal et de toute façon mon corps avait fini par shabituer. Les premiers soupirs sortirent malgré moi mais je ne me retins pas lorsquils revinrent à chaque fois que mon voisin s’enfonçait en moi.

Je ne pense pas que je souriais, j’avais sans doute encore les sourcils froncés mais quelque chose avait changé. L’excitation dépassait enfin la douleur maintenant que le rodéo sauvage s’était achevé. Pour être tout à fait honnête je n’étais pas en train d’espérer que cela se termine vite, c’était même plutôt le contraire.

Mon enculeur conserva le même rythme durant un moment dont je ne saurais pas vraiment dire la durée. Même lui devait être surpris des sonorités douteuses qui séchappaient de mes lèvres. J’avais envie de parler, de souffler un "encore" comme une vraie garce mais je me tus, je nétais pas encore prête pour cela.

Un peu après cela, mon homme me chevaucha de nouveau; Il replongea ses mains dans mes cheveux avant de ruer au plus profond de mes entrailles. J’hurlais un grognement rauque mais déjà il recommençait à me défoncer.

La pièce s’emplit de mes cris. Malgré les goûts étranges que je me découvrais, cette fois c’était vraiment trop, javais fait la maline et jallais le payer.

Mes gémissements, le choc de nos corps et les grognements de mon amant devenaient un brouhaha incompréhensible. Ma tête tournait en même temps quelle était projetée davant en arrière. Javais mal au rein, mal au cul et la traction sur mes cheveux devenait difficilement supportable. Je voulais détester cela mais je ny arrivais pas tout à fait.

Je me sentis perdre les pédales, comme si je mendormais et que je ne contrôlais plus mon esprit.

— "Ha Ha oui cest bon"

— "Encore Encore"

— "Putain oui! Casse moi le cul"

Étais-ce moi qui venait de souffler ces horreurs ? Geoffroy avait-il entendu ? La caméra avait-elle saisi ce moment dégarement ?

Je fermais les yeux, javais honte, tellement honte.

Geoffroy avait l’air ravi de ce qu’il me faisait subir et de mes réactions. Peut-être même trop puisquil ne résista plus. Je le sentis se planter aussi loin qu’il pouvait puis les sursauts de sa verge qui crachait en moi m’arrachèrent chacun un nouveau soupir. Je voudrais dire que j’ai joui à ce moment-là mais ce serait mentir. Je venais de me découvrir des prédispositions mais pas à ce point.

Lorsque mon amant quitta mes entrailles, mon cul me faisait un mal de chien pourtant j’éprouvais une sensation de satisfaction qu’aucun homme ne m’avait encore procuré.

Il y eut un silence puis je sentis la queue légèrement débandée mais toujours rigide appuyer de nouveau sur ma corolle. Je ne me dérobais pas et moi aussi je poussais mon corps à la rencontre de mon partenaire pour prolonger notre étreinte.

Le contact était plus doux, moins agressif et je ressentais ces secondes inattendues comme un délicieux bonus. Je n’osais pas imaginer le visage de chaudasse que j’étais en train d’offrir à l’objectif. Tant pis.

Les va et vient se firent encore plus doux puis une fessée tomba sur chacune de mes fesses avant que la verge ramollie de mon amant ne me quitte définitivement cette fois.

Geoffroy resta derrière moi pour caresser ma croupe et le bas de mon dos puis il sortit du cadre avant de minterpeller.

— "Alors Caroline, contente d’être venue ?"

J’étais épuisée et perturbée alors même si j’étais sensé fournir plusieurs répliques dont nous avions convenu je me contentais de sourire, lever un pouce puis de faire un signe d’adieu avec la main.

Geoffroy coupa ses caméras avant de me recouvrir d’un peignoir. Je partis me doucher et quand je revins il m’avait préparé une enveloppe avec l’argent, un verre de jus de fruits et un café. Il avait aussi lancé les deux bandes vidéos sur ses écrans.

Celle qui montrait mes fesses en train de se faire visiter me semblait sans intérêt, par contre le plan de face était pour moi incroyablement troublant. Je me voyais les traits crispés et un peu de peur dans le regard mais je me trouvais jolie ballottée d’avant en arrière au rythme de la sodomie que mon partenaire m’imposait.

Dans mes expressions je distinguais le plaisir coupable mêlé à la douleur et je me demandais si les inconnus qui regarderaient cela comprendraient ce qui s’était joué en moi.

— "Tu as été parfaite. Il y a un peu de boulot de synchro et de présentation mais la vidéo va être géniale… Je n’aurais pas imaginé cela de ma sage petite voisine".

Effectivement, la vidéo eut un certain succès. Cétait de linconscience de mêtre autant exposée, je me promis dêtre bien plus prudente à lavenir. Heureusement pour moi, personne ne m’aborda jamais en me disant qu’il mavait reconnu.

Geoffroy me dragua un peu par la suite mais il comprit rapidement que je ne céderai ni à ses avances ni à ses propositions pour de nouvelles scènes.

J’eus mon diplômé quelques semaines plus tard et je quittais la maison familiale dans la foulée. Il se passa cinq ans avant que je ne recroise ce voisin qui avait grandement contribué à me faire comprendre qui je suis.

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