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Aventure dans un gîte naturiste – Chapitre 16




Le gîte.

Conflit de générations au sauna. 2

-Ce sera une première pour moi ! Je n’ai encore jamais osé !

(La suite)

La mère et la grand-mère de Solène l’étendent sur une couchette et entreprennent la préparation de son conduit anal.

L’une après l’autre, elles engluent de leurs salives son petit trou ridé. Puis avec précaution, introduisent un puis plusieurs doigts à l’intérieur. Yvette va même chercher un peu de cyprine dans le vagin voisin pour lubrifier encore plus ses doigts.

Estimant la lubrification salivaire et digitale largement suffisante, Simone m’invite à m’asseoir à nouveau afin que j’honore sa petite fille à la manière de Sodome.

Je la réconforte :

-N’ai pas peur ! Tu verras que ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! Je te laisse diriger à ton rythme !

Solène commence par se défoncer la chatte avant l’instant fatidique. Elle prend ma verge d’une main et la retire de sa féminité pour la placer à l’entrée de ses reins. Deux fois elle met en contact les deux protagonistes mais n’ose pas s’aventurer plus loin.

— NON ! Impossible, c’est impossible, il va m’exploser le fion ! Il est trop gros !

Elle se cabre mais je la retiens solidement et force l’entrée de mon gland qui disparait en elle.

La douleur doit être intense car elle pousse un hurlement. Je ne bouge plus.

Son sphincter étrangle ma bite entre le chapeau et la tige. Je ne veux pas la faire souffrir.

Elle n’ose plus bouger. Sa grand-mère, la voyant souffrir lui pose les mains sur ses épaules et la console :

-Tu as fait le plus dur et maintenant tu hésites ? Quand le vin est tiré, il faut le boire !

Et elle pèse de toutes ses forces sur les épaules de sa petite fille.

Sans qu’elle n’ait le temps de se rendre compte de ce qui lui arrive, je me retrouve fiché jusqu’aux couilles dans son cul qui vient de céder brusquement, la transperçant d’un coup.

Ma bite me fait mal tellement elle est tendue et gonflée, comprimée par cet anus si serré.

Elle hurle encore une fois, un long cri inarticulé qui monte de tout son corps, son rectum tellement étiré mais qui ne peut se contracter.

Voyant ça, sa mère vient à son secours. Elle s’attaque au clitoris délaissé et le suce derechef.

La douleur ressentie est atténuée par la volupté des caresses de sa mère.

Je la laisse s’habituer à l’intrus puis commence à la défoncer de ma bite d’âne.

Mon bas- ventre frappe ses fesses, mon défonce-cul rentre au plus profond de son corps.

Des larmes coulent sur ses joues.

Je ne sais pas si ce sont des larmes de plaisir ou de douleur.

Elle crie, gémit, pleure, rit. La douleur la rend folle mais la sensation d’être pleine et possédée par un étalon fait qu’elle en veut toujours plus. Elle monte et descend seule sur ma bite maintenant, acceptant mon membre viril en gémissant.

Des spasmes irradient dans tout son corps quand elle jouit en une longue série de tremblements qui s’enchainent, elle est prise d’une crise orgasmique qui n’en finit plus…

La défonçant comme un possédé je grogne :

— Je… je vais jouir moi aussi ! Je vais graisser ton beau p’tit cul !

Je me tétanise au plus profond d’elle, tous mes membres tendus, et envoie ma généreuse purée dans le fion défoncé. Mon foutre chaud envahit ses entrailles.

Je sors mon engin dégoulinant dans un bruit de bouteille que l’on débouche, entrainant son trou du cul qui telle une ventouse s’accroche à ma bite. Quand je retire ma queue de son fion débordant de foutre, le liquide blanc coule le long de ses cuisses et goûte par terre.

Je m’effondre sur la banquette, épuisé par ce triple enculage.

-Putain les filles ! Vous m’avez vidé les burnes ! Mais il va falloir que j’aille me soulager la vessie.

-Pas question ! Me rétorque Simone. Vide-toi dans ma bouche !

Ce n’est pas que j’aime ce genre de pratique. Mais je suis trop fatigué pour me rebeller et accède à sa demande.

Elle ouvre la bouche et engloutit ma lance. La miction est difficile car ma verge est encore en semi-érection. Des contractions incontrôlées de ma vessie projettent avec une force incroyable l’urine qui jaillit avec encore plus de force que le sperme lors de l’éjaculation, et avec un volume beaucoup plus important.

Simone a eu les yeux plus gros que le ventre : la douche dorée est trop abondante pour être piégée intégralement dans sa bouche, elle doit retirer ma verge de ses lèvres. La puissance des jets successifs jaillit à plusieurs mètres quand elle comprime ma verge. Je crépis les murs qui heureusement sont faits pour ça dans un sauna. L’humidité étant la base de cette pratique.

Elle me reprend en bouche. Sa lubie m’a tellement excitée que je commence à rebander. Elle en profite pour entreprendre une vigoureuse fellation.

-S’il te plait, tu peux nous enfiler encore une fois ? M’implore sa fille.

-Hé ! Je ne suis pas une machine à baiser ! Je commence à fatiguer ! Tu vois bien que j’ai des difficultés à atteindre la pleine érection !

-Tut, tut, tut ! Ne te défile pas ! Tu as une réputation à tenir ! Tu dois satisfaire encore une fois notre famille de dépravées ! Je suis sûre que tu en es encore capable ! Laisse-toi faire ! Allonge-toi sur le ventre !

Je me couche sur la banquette de bois, les lames sont suffisamment écartées pour que ma pine en semi-érection s’insinue entre deux longerons.

Simone lubrifie ses doigts et sans hésitation plonge son majeur entre mes fesses. Je n’ai pas le temps d’être surpris que son doigt atteint ma prostate pour un touché rectal.

Elle me prodigue alors un massage. C’est un plaisir que je ne connais pas mais qui a une réaction immédiate. C’est très agréable et ça a surtout comme résultat de redonner toute sa vigueur à ma verge.

Mais quand je veux me relever, j’ai la désagréable surprise de me retrouver piégé sur la banquette.

Ma teub ayant repris sa grosseur habituelle, est coincée entre deux lattes. Les filles rigolent quand je leur explique ce qui m’arrive.

Solène se moque de moi :

-Toi qui as l’habitude de forcer des trous trop serrés, tu ne peux pas te dépêtrer de deux misérables bouts de bois ?

Vexé par ses mots, je serre les dents, les fesses et les abdos et force un bon coup pour me décoincer.

J’arrive à me libérer de la banquette en râpant au passage la peau fragile de mon vit.

-Ah vous avez bien ri les filles ! A moi maintenant de rigoler ! Je veux que vous vous empiliez les unes sur les autres ! Solène, mets-toi par terre sur tes coudes et tes genoux ! Yvette, au milieu, voilààà ! Maintenant à toi Simone ! J’appellerai ça la pyramide des âges ! Bien, maintenant j’ai à ma merci tous les trous disponibles !

Comme de vraies filles soumises au plaisir de leur étalon, elles ne se sont pas fait prier pour prendre la pose au milieu du sauna.

Pendant de longues minutes, de très longues minutes car je commence à avoir l’éjaculation paresseuse, je les prends par tous les trous.

Je commence par la chaleur humide de leurs bouches, enfonçant plus que de raison ma pine dans la gorge d’Yvette et de sa fille. Mais elles ne sont pas aussi douées que Simone et je ne veux pas les blesser.

Je passe ensuite de l’autre côté avec un peu d’acrobatie. Se présentent à moi trois chattes et trois anus bien alignés, les cuisses écartées, prêtes au rut.

Baïonnette au canon, j’honore ces dames les unes après les autres. Une fois devant, une fois derrière, variant à l’infini les combinaisons. Méthodiquement, j’attaque aussitôt les festivités sans préparations inutiles.

Les cons sont déjà luisants de mouille. J’enfonce mon sabre dans le premier fourreau qui se présente. Sa propriétaire est si chaude que son orgasme est rapide. Je passe aussitôt à sa voisine avec célérité. A la suivante…

Je m’introduis sans un instant de récupération dans tous les trous qui se présentent. Il en va de mon honneur et de ma réputation.

Un peu plus haut, la grotte de Simone est plus vaste et confortable, mais tout aussi accueillante. Je la pilonne avec ardeur.

Enfin vient le tour de Solène qui s’impatiente un peu. Je la bourre avec ardeur, un coup dans la chatte et un coup dans le fion, alternant régulièrement.

Des bruits incongrus résonnent : « Tchac, tchoc », et autres onomatopées difficiles à écrire selon l’objectif atteint et le sens de déplacement du piston.

Solène, coincée comme elle est, ne peut s’opposer à sa deuxième sodomie mais le premier alésage du fion facilite grandement la pénétration. Et il faut dire aussi que ma queue est lubrifiée comme jamais avec ces trois folles de sexe.

Mon gland bute à chaque passage au fond du vagin de Solène. J’ai remarqué que chez elle, c’est une zone très sensible. En quelques coups de reins, ça déclenche chez elle un véritable tsunami orgasmique ponctué de hurlements à déchirer les tympans et un flot de cyprine qui dégouline sur mes burnes.

Je sens que la cartouche est dans le canon. Je me dépêche de repasser du côté des bouches de mes esclaves sexuelles et dirige ma lance vers leurs visages.

Solange, ne perdant pas le nord et étant la seule à avoir la possibilité de libérer un bras, glisse une main entre mes cuisses pour explorer de nouveau ma rondelle et essayer d’aller chercher les dernières munitions cachées que contient ma prostate, en appuyant fortement sur cet organe.

Ce massage démultiplie la puissance de la charge de poudre.

L’éjaculation est si violente qu’une trainée de foutre gicle très haut, atterrissant sur la joue de Simone et finissant entre les yeux de sa fille. Mais les jets s’enchaînent encore et encore.

Je ne finis pas de me vider. Je suis déjà très prolixe d’habitude, mais cette caresse anale est vraiment une chose miraculeuse.

J’arrose tout à tour mes trois tourmenteuses en longues giclées épaisses, terminant en engouffrant ma pine gonflée dans la première bouche ouverte qui reçoit les derniers cm3 de ma semence.

Je suis complètement à plat et m’écroule sur la banquette.

-Alors les filles ! Satisfaites ? Je suis rincé.

Elles se concertent en riant et Yvette prend la parole :

-A l’unanimité, nous donnons un dix sur dix. Compte sur nous pour propager en un peu plus ta renommée. Et si des fois ça te tente, après-demain nos hommes vont à la pèche………………….

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