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L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère…Journal d'une bourgeoise delaissée. – Chapitre 1




Ma mère est chiante !

Mon père aussi d’ailleurs !

Vous allez dire que je suis un petit con, c’est pas faux en tout cas j’ai des circonstances atténuantes :

Ma vie est chiante !

Jusqu’à ce 25 mai 2017

Aujourd’hui 13 aout 2017 :

Je viens d’avoir 18ans, j’ai le bac en poche et je vais enfin pouvoir quitter cette institution catho de merde :

J’ai nommé l’institution Sainte Catherine

D’ailleurs c’est rigolo que ça s’appelle sainte Catherine , qui était une sainte pas trop portée sur le cul d’après ce que j’ai compris

Or toutes les femmes de cette institution, élèves, profs, personnels de direction et même les femmes de fonctionnaires sont des salopes, (dont ma mère, mais je vais y venir)

Donc en ce jour d’aout 2017, il fait chaud et je m’emmerdetellement que je vais fureter dans la penderie de mes parents, pour y chercher la bouteille de whisky que mon père y cache.

Un petit remontant ne me fera pas de mal, et en farfouillant dans cette penderie assez bordélique (et pas sexe, ici pas de gel lubrifiant intime, de gode ceinture et autres petits dessous sexy de ma mère Nietchevo ! )

J’ai l’impression de perdre mon temps !

Mes parents sont au cul ce que les Emmaüs sont à la grande bourgeoisie

Des fois je me demande comment je suis venu au monde, un coup de chance, une erreur de trajectoire ou alors ils devaient être bourrés

Je farfouille pour trouver cette saloperie de bouteille introuvable, je perds l’équilibre et je me ramasse comme une merde au fond de la penderie, sauf que pour essayer de me rattraper à la paroi, j’ai ouvert par hasard une espèce de tiroir secret au fond et qu’il s’en échappé une espèce de livre : le journal intime de ma mère !

Tout compte fait je vais peut être moins m’emmerder aujourd’hui, surtout que je trouve enfin le whisky de mon père et cerise sur la gâteau sa réserve de tabac, heeehaaa !

Je prends le tout, quitte la maison en douce et rejoints un petit abri sympa dans le parc de l’institution, je me verse un bon verre, m’installe confortablement, me roule une bonne clope et ouvre son journal.

JOURNAL : 25 Mai 2017, 23H30

Chapitre 1

Aujourd’hui ma vie a changé, je me sens différente, enfin FEMME !

J’ai découvert le plaisir sexuel au cours de comment dire un «  viol  consenti  ? »

Une tournante ? Un gang Bang ? Une partouze ? Une orgie ?

Un peu des quatre a la fois en tout cas ça a changé ma vie, je le sens !

Je suis comme une aveugle qui retrouverait la vue, le champ des possibles est infini.

Rien que d’y repenser je ne peux m’empêcher de me caresser la chatte (je ne l’ai jamais fait de ma vie) et de me branler, mes deux doigts caressent mon clitoris qui gonfle, gonfle ma chatte devient toute humide, je quitte mon peignoir

Me voila à poil, dehors en cette chaude nuit, dans le petit théâtre de verdure du parc de l’institution.

Je suis nue et bientôt en pâmoison, à 40 mètres des logements du personnel, on pourrait me voir, lubrique et délurée.

On dirait :

 «  Mon Dieu, on a vu la femme du sous directeur, madame Marquez , nue dans le parc ,à la nuit tombée, en train de se masturber et d’aguicher tous les hommes.

Des gens ont été prévenus par ses cris de jouissance, on pensait qu’elle se faisait violer ou qu’elle avait un malaise

Mais non elle était descendue de chez elle, nue sous son peignoir, pour se dénuder entièrement sur les marches du théâtre de verdure et se livrer à des activités sexuelles solitaires, sales et dégradantes pour l’image de la femme de bonne société ! »

Je voyais déjà l’article du journal local, quel scaandaaaallllle !

J’ai une petite lampe de poche pour pouvoir écrire mes exploits érotiques, je me tamponne les grandes lèvres de ma chatte en chaleur, comme ils me l’ont fait tout l’heure.

C’était booonnnn !

Je me place allongée, nue sur les grandes marches du théâtre, sous les étoiles, j’éclaire, avec la lampe, mon sexe enduit de cyprine.

J’espère que l’on va me voir, je l’adore maintenant ma petite chatte !

Elle m’a donné tellement de plaisir !

Je mouille comme une vraie salope, j’ai honte de me donner ainsi en spectacle mais c’est trop bon !

J’écarte les cuisses au maximum, je prends mes jambes, les soulève.

Mon sexe est exposé à la nuit ; un vent délicieux me caresse grandes lèvres de plus en plus humides, petites lèvres et clitoris.

Ma fente se dilate, je suis prête à recevoir la bite du mâle, quel qu’il soit !

J’en ai rien à foutre qu’on me surprenne comme ça !

Je l’espérerais même

Qu’un type arrive, résident de l’institution, une patrouille de flics avec leur gros tonfas ! Mmmmhhh  !

Qu’ils me mettraient dans ma chatte avide de sexe !

Une fille, qui viendrai me doigter, me fister, me lécher la chatte, un clodo sale et puant, un chien.

Oui ! Un chien ! Qui poserait sa truffe sur mon intimité, lécherait ma mouille ferait rentrer sa langue râpeuse dans ma petite fente d’amour !

Dilatée par le plaisir puis ferait pénétrer son nud dans ma petite moule d’amour, et il se gonflerait

On resterait collés et puis je me mettrai à 4´pattes pour qu’il me prenne par l’anus, je sais comment ce se passe

En 4 heures sur le net, je suis allé voir toutes les déviances sexuelles autorisées !

4 heures de net pour rattraper 22 ans de frigidité et d’ignorance de la vie !

Je me suis doigtée un paquet de fois en voyant tout ce qui se fait !

Qu’importe ! Il me faut une bbbiiitttttteeeee !

Grosse, longue, trapue, je m’en fous ! N’importe laquelle !

Mon fils !

Mon dieu, ouuuuiiiii ! Mon fils je l’appelle au portable.

« Fabrice ! Viens j’ai un gros souci »

Il viendrait, inquiet, il me verrait, là, offerte en chaleur, la chatte a l’air, mes lèvres toutes rouges, luisantes, gonflées de désir !Mmmmhhhhhhh ! »

Je lui dirais : 

 « Fabrice ! Viens baiser ta salope de mère en chaleur !

Fais-moi tout ce que tu veux..

— Tout maman ?

– Ouiiiii !

Tout mon fils ! Encule-moi !

Fourre-moi ! Prend ma chatte, je sais que tu as plein de fantasmes dégueulasses

J’espionne sur le net tous les sites où tu vas !

De la zoophilie, du viol, de la soumission, de l’inceste de la baise très hard, du fétichisme !  »

Je lui dirais :

« Baise moi, fais de moi ce que tu voudras, je sais que tu l’as encore jamais fait, que tu es puceau ! »

Je lui susurrerais dans l’oreille :

«  Si tu veux, ta maman mettra des porte-jarretelles pour toi tout seul, des bas résilles, des guêpières sous mes robes ou tailleurs.

Pour toi, je ne porterais jamais de culotte, ma chatte sera toujours a ta disposition !

Tu pourras me doigter quand tu voudras, même sous la table, avec ton père à côté, ca me fera mouiller comme une folle !

Et le soir je viendrai te sucer, tu pourras me doigter le cul, m’enculer, me défoncer la chatte ! Hhhhuummmmm ! »

Mais il est pas là, ce petit con !

Son père non plus d’ailleurs !

Mais lui il est irrécupérable ! Il n’a jamais su faire de moi une Femme.

Merde je les regrette mes  « petits violeurs »

J’aurai du prendre leur number, je les aurais appelé pour qu’ils viennent me prendre ,je leur aurai même proposé d’être leur pute gratuitement ,mais j y ai pas pensé !

Mais quelle conne ! Y’a personne ici même pas un clébard !

Et merde !

Je sens que je vais passer une très mauvaise nuit bon, je vais me pinter avec la bouteille de whiskey de mon cher et tendre !

Et puis après je ferai un usage insolite du goulotet dans l’autre sens ?

Est-ce que ça rentrerait ? Bien dilatée, oui !!! Mmhuuumm !

Ca non plus je l’ai jamais fait !!

Tiens d’ailleurs si mon fils avait été la, on aurait baisé comme des fous !

Il m’aurait fouettée, mis des pinces sur les seins et la vulve, et puis on aurait bu comme des trous et on aurait fumé plein de cloppes. Bon je rentre et j’explique ce qui m’est arrivé  »

Fin du premier chapitre, cher journal

Fpffoouuu ! ENORME ! Ma mère est devenue une grosse pute, je sais pas comment, mais je vais continuer à le lire.

Vous avez vu, quand je le disais que c’est un lycée de merde, ma mère est a poil dehors la chatte en feu et y a personne pour la fourrer

Une vie de merde !

Mais commençons par le commencement

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