Mal aux pieds signifie souvent un recours à un pédicure. Cest là où menvoie le médecin. Je prends rendez vous près de chez moi : cest une jeune femme qui doit soccuper de mes petons. Première constatation, cest une fille, mignonne tout plein. Ses chevaux coulent sur lépaule gauche. Elle me fait asseoir sur un fauteuil genre dentiste en moins impressionnant. Elle est toute pleine de grâce en défaisant les lacets des chaussures comme si je ne pouvais pas le faire. La fille ouvre sa boite magique pleine de pinces, de limes doutils dont je ne connais même pas lexistence.

Elle prend mon premier pied, le pose sur sa jupe, entre ses jambes recouvertes dun drap. La voilà parti dans une lutte acharnée avec mes ongles. Mon pied glisse sur ses cuisses vers ce quil ne faut pas. Je serre les dents pour ne pas bouger. Son regard séclaire en me regardant dans les yeux. Je suppose que je ne la gêne pas.

Mon pied plonge définitivement vers sa chatte. Elle sourit toujours, à croire que cest normal. Tant que ce nest que le talon, passe, mais là je suis tout en bas : mes orteils arrivent à lui toucher directement la figue. Là, je commence à bouger mes doigts de pieds. Elle se frotte sur eux. La voilà qui, sans me le demander se branle seule avec mes orteils. Le plus fort est quelle bouge son bas ventre avec lenteur. Son regard se pose sur ma braguette : je bande.

Jarrête de bouger les orteils, elle de me toucher les pieds, sauf pour les enlever de sur elle. Je dois avoir lair fin ainsi assis, les jambes pendantes, les pointes de pieds à peine sur la moquette. Cest elle qui est debout qui vient vers moi. Elle sinstalle entre mes cuisses, bien collée à moi. Cette fois elle frotte ma queue avec son bas ventre. La vache elle me fait bander encore plus. Jai envie delle, jai envie, non ! Jai besoin de jouir.

En me redressant jarrive à peine à la toucher. Je suis à sa merci. Voilà ma technicienne des ongles qui se transforme en amoureuse torride. Elle prend ma pine dans sa main, le frotte contre le pantalon. Je dois gémir de plaisir. Enfin dans un geste dhumanité elle sort la queue. Elle ne regarde plus que le sexe, à croire quil ny a plus que ça au monde. Moi, je ne vois que le gland qui émerge. Il me semble plus foncé que dhabitude quand je le branle. Je nai pas le temps de minterroger sur la suite : elle se penche embrasse le bout sur le méat, passe sa langue vite fait avant de la prendre dans sa main. Elle entoure toute la colonne de sa main chaude, la descend très lentement : le prépuce suit le mouvement en découvrant tout. Elle met plusieurs secondes pour arriver en bas vers les couilles. Elle arrête tout pour faire descendre totalement le froc quelle tire depuis les chevilles.

Je dois avoir un air extrêmement cloche avec la queue bien dressée. Sa main revient me prendre. Ses mouvements me semblent faits comme par une machine tellement ils sont réguliers. Je sens que je vais cracher mon jus. Elle regarde bien la queue pour déceler ce qui la décide à arrêter. Je sens que je vais jouir. Elle doit avoir un sens caché pour arrêter juste la seconde avant. La pine a des mouvements montants et descendants. Elle sourit largement quand elle arrête, fière de ne pas mavoir fait jouir.

Elle fait descendre le fauteuil. Ouf je peux la prendre dans mes bras, lui faire subir les derniers outrages. Elle accepte mes bras, elle me donne ses lèvres. Je reste désarmé devant les initiatives de la fille. Elle remonte mon t-shirt, remonte le sien, pour montrer quelle ne porte rien sur elle. Ses seins sont durs contre moi. Son ventre se colle à ma queue. Si elle continue je vais éjaculer sur elle.

Puis, comme à regret elle enlève sa jupe. Plus de doute, elle est nue. Je ne peux toucher que ses fesses. « Que » est un bien grand mot : elle me fait passer par sa raie. Sans chercher je passe sur son anus. Oh, à peine, juste pour le caresser un instant trop court pour moi. En se tortillant elle me fait passer sur le pubis. Sa cerise commence bien haut il me semble. Elle commence à sécarter dès que mes doigts entrent.

Elle est drôlement exposée les cuisses ouvertes, le ventre tendu en avant. Pour que je sois plus en elle, elle senfonce un peu. Sa moule est bien ouverte. Je sens sa cyprine en abondance sur labricot. Son clitoris est gonflé : je frotte lentement deux doigts contre lui.

Sa main revient sur le gland, le masse sans me branler. Mes doigts sactivent sur son sexe. Là, dun seul coup, elle pousse un grand gémissement pendant son orgasme.

Elle ne moublie pas : elle me pousse contre le fauteuil se penche vers moi. Enfin elle ouvre en grand sa bouche la referme sur le gland quelle aspire lentement. Je vois ses joues de creuser autour de ma queue. Sa tête fait le va et vient sur moi. Un instinct venu du fond des âges me fait lui prendre la tête dans mes mains. Là, dans le ventre, au fond de moi je sens le plaisir arriver. Elle me fait sortir delle. Décidément elle ne veut pas que je jouisse. Elle se tourne me donne ses fesses en prenant ma queue. Cette fois je la veux quoi quelle dise. Delle-même elle écarte ses globes, ouvre son anus. Je vois son trou noir entouré de brunâtre. Ma queue est vite sur le cul. Jentre plus facilement que je le croyais. Je lime son intérieur un bon moment ll nous arrivons à jouir presque ensemble. En sortant delle elle me prend encore dans la bouche. Je bande vite fait : elle me fait jouir avec retard une dernière fois. Je ne me retiens pas quand jéjacule au fond de sa gorge même si elle fait comme si elle sétranglait. Je ne sors delle quune fois fini de jouir. Une petite goutte reste sur une lèvre. Je ne sais pourquoi je me penche pour la recueillir. Cest agréable.

Nempêche que jai eu les ongles taillés.

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