Les premiers jours de stage (suite)
Le lendemain elle arriva tôt au travail et se dépêcha de les envoyer. Elle parti prendre un café quand son chef arriva. Il entra dans le bureau. Il vit une feuille dont il aurait besoin dans la journée. Il avança donc jusquau bureau et vit que la boite mail était sur envoyés et que beaucoup nétait pas professionnel. Marie ne pensait pas quil viendrait et navait pas verrouillé son ordi. Il hésita, mais la curiosité lemporta et il clique sur le dernier mail. Il fut stupéfait :
« Cette petite joue la sainte-ni-touche et finalement! Moi qui la croyait encore vierge vu sa gêne à chaque blague ou discussion entre collègue déviante. En tout cas son copain en as de la chance!»
Il alla fermé quand lui vint une idée : il se transféra le mail et effaça les traces de se transfère.
De retour, Marie vit Denis scruter son écran et son bras gauche faire des mouvements bizarres. Elle ny fit pas attention, ne se doutant pas que son chef se caressait en la voyant à moitié nue.
Au cours de la journée, elle se dit quelle avait fait une bêtise car il la regardait sans cesse. Pensant à sa tenue, elle profita quil regardait son ordinateur pour réajuster son chemisier bleu foncé et redescendre un peu sa jupe de la même couleur pour cacher un peu plus son collant noir. Elle se trouvait bien habillée, mais dans ce contexte pas sexy. Dans laprès-midi il passa dans son bureau :
« Marie, viendrez me voir dans mon bureau ce soir » dit-il dun ton sec
— Bien Monsieur ».
Marie à elle-même : « premier travail et au bout de quelques jours une boulette qui me vaut un savon, mais quelle erreur jai faite ? »
Elle angoissa tout laprès-midi.
Vers 17h45 létage était désert. Il lappela sans même se déplacer. Elle y alla avec la peur au ventre : « Si ce grand costaud se met en colère, je suis mal barrée »
Denis : «Marie, asseyez-vous. Je voulais vous voir concernant votre attitude au travail, cela ne va pas
Pardon Monsieur, mais, quest-ce que jai fait ?
Et bien, comment dire, vous avez envoyé des mails privés depuis un ordinateur du travail …» Elle nosa pas répondre
« De plus des mails osés»
Il tourna son écran et elle vit ses photos. Elle devint toute rouge et eu les larmes aux yeux. Elle pensa « je vais me faire virer» « cest donc moi quil regardait sur son écran»
Marie « Je suis désolé Monsieur, je ne recommencerai plus
— Trop tard, je vais devoir vous renvoyer et lexpliquer à votre établissement. Vous serez donc renvoyer également de vos études. Avec une suspension en plus je pense
— Oh non! Ne faites pas !a sil vous plaît! »
Marie pensait à ses parents qui nacceptait pas beaucoup lidée quelle ne soit pas médecin ou prof, quest-ce quils diraient. Et son frère qui réussit médecine, elle sera la risée.
« Jy suis obligé malheureusement
— Il doit bien y avoir une solution ?» dit-elle alors quelle commençait à avoir les larmes aux yeux
— Je nen vois pas…
— Monsieur, je ferai ce que vous voudrez, mais ne faîtes pas ça
— Tout ?
— Oui Monsieur, je vous en prie
— Bien, tu vas faire ce que je te dis sans broncher, sinon je brise ta vie, ok ?
— O…oui
— Bien, lève toi» dit-il sèchement « recule un peu que je te vois bien»
Marie était là debout, ne comprenant pas trop ce quil voulait. Elle eu un frisson quand elle le vit la scruter de haut en bas. Elle sentait son regard sur elle.
« Tu es très belle Marie, et très bien habillée : un joli haut, une jolie jupe et des talons bleus assortis.
— m…mer…
— Tu es bonne coupa-t-il !
— Pardon ?!
— Tu es bonne ! Tu as une bonne paire de seins et un cul de rêve !
— Arrêtez ! Je ne vous permet pas !
— La ferme ! Ou jenvoie les photos à tes parents !
— Oh non, pas ça…
— Tourne doucement sur toi-même. Maintenant, on va vérifier que tu nas pas truqué les photos.»
Marie devina immédiatement quil voulait la voir en sous-vêtements, comme sur les photos. Elle eu une grosse boule dangoisse dans le ventre.
«Enlève ton chemisier et ta jupe !»
Elle baissa les yeux rouges de honte et déboutonna son chemisier. Elle lenleva et releva les yeux vers son patron qui, après avoir savourer la vue de son soutif bleu en dentelle, lui fit signe de continuer. Elle baissa la fermeture de sa jupe puis la retira, découvrant un string noir en dentelle lui aussi.
« Hummm, quelle beauté ! Avec des bas ça aurait été mieux, mais rien que là ! Mets toi de profil !»
Marie se tourna vers la droite dun quart de tour, les mains jointes devant elle. Elle commença a enlever ses talons lorsque Denis linterrompit :
« Garde tes chaussures, tes fesses nen sont que plus belles. Tu es vraiment sublime!»
Marie rougissait encore plus, avec cette fois une once de plaisir procurée par ces compliments. Aucun autre homme que son copain ne lavait vue nue, et être déshabillée du regard par un autre homme, plus vieux donc plus connaisseur, qui la trouve belle lui fit plaisir malgré la honte de se retrouver dans cette situation.
« Viens me rejoindre de lautre côté du bureau !»
Marie fit le tour du bureau et Denis fit pivoter son siège sur le côté. Elle fut surprise puis gênée de découvrir que son maître de stage avait sorti son sexe de son pantalon et était en train de se masturber doucement. Elle sarrêta net et baissa les yeux.
« Et bien, tu nen as jamais vu ?
— …
— Oh ! Je te parle ! Tu nas jamais vu de bite de ta vie ?!
— Si… Une…
— Une seule ?! Une fille comme toi doit pourtant être courtisée ?! Mais vu ton mail ça doit faire un moment que tu as vu celle de ton copain ?
— N…non, que depuis quelques semaines…, elle était surprise de sêtre confiée aussi vite
— Une débutante, hummm… Viens, et remplace moi»
Marie se rapprocha doucement. Elle s’accroupît et resta immobile à la vue proche de ce pénis plus grand et plus gros que celui dArnaud. Arnaud était membré modestement (12 cm), avec un pénis longiligne et fin. Denis avait quand a lui une bite bien plus grande, 20 cm et 5 cm de diamètre.
« Alors, tu vas me branler oui ! Ton copain nen a pas une comme ça hein ?! » Marie pris doucement cet engin en main tout en lui répondant que non. Elle le prit sous le gland, et elle commença à faire de léger va-et-vient.
« Finit de faire ta surprise ! Tu las déjà branlé quand même ?
— Oui… quelques fois, encore une fois elle fût surprise de se confesser à lui alors quil abusait delle
— Alors écoute et apprend. Sers un peu plus et varie la distance, un peu sur le gland, un peu jusquà la base, et varie la vitesse. Allé !»
Marie sexécuta, elle sera un peu plus ces doigts autour de ce membre chaud et accéléra le rythme de ses mouvements. Elle remonta sur le gland, puis elle descendit jusquà la base, et enfin elle fit des mouvements de haut en bas. Sentant le souffle de Denis accélérer, elle accéléra elle aussi ses mouvements.
« Ce nest pas trop mal. Maintenant tu vas me sucer.
— Non sil vous plaît, non.
— Quoi encore ?!
— Je ne lai fait que deux fois et je nai pas aimé…
— Et alors, suce moi ! Imagine que cest une glace de ton parfum préféré.»
Marie se mit à genoux pour se rapprocher. Elle avança la tête et posa sa langue sur le bout du gland. Le goût du liquide séminal qui sen échappait la fit reculer. Denis lui mit une claque, et lui ordonna de le sucer, en la menaçant une nouvelle fois avec les photos. Elle savança pendant quune larme commençait à couler sur sa joue. Elle passa la pointe de sa langue sur le haut de la hampe, et commença à faire le tour du gland. Denis nen pouvant plus, il appuya de sa main droite sur la tête de Marie pour quelle le prenne en bouche. Elle posa ses lèvres autour de se gros gland, et tout en pleurant elle descendit. Le gland était désormais dans sa bouche. Denis savourait le contact de sa langue et de son palet sur son gland, et poussa un gémissement. Il avait une superbe vue sur le dos et le dessus des fesses de sa stagiaire. Elle entama des va-et-vient sur le gland, et elle descendait à chaque fois un peu plus sur cette tige, shabituant à ce nouveau goût. Elle sarrêta au tiers, car novice et pas habituée à une telle bite elle ne pouvait pas en prendre plus.
« Oohh, vas-y… Hummm… Descend plus bas
— humpf…»
Denis pris les cheveux de Marie dans sa main droite en faisant une queue de cheval et caressa son dos avec lautre main, descendant jusquau dessus de ses fesses. Il passa ses doigts sous son collant et tira légèrement sur le string de Marie.
« Humpf…humpf…hummmm..» Marie commençait à se laisser aller. Sucer une bite aussi grosse, son string caressant sa chatte qui avait finit par bien shumidifier, la situation dans laquelle elle se trouvait, la honte, le fait dêtre coincée, tout cela lexcitait maintenant. Denis neu pas besoin de trop insister avec sa main droite, Marie descendait delle même de plus en plus loin. Elle accéléra et laspira comme une folle.
« Vas-y ma belle…ohhh…oui oui oui…
— humpf…humpf…
— Tu as lair daimer finalement…
— Oooouuu»
Il tira sur ses cheveux pour quelle puisse articuler. Elle avait déjà mal à la mâchoire avec une bite si large dans la bouche, quelle naurait jamais pu articuler.
«Tu aimes me sucer ?
— Oui…
— Je nai pas entendu !
— Oui
— Dis-le, dis ce que tu aimes !
— J….jaime vous… sucer
— Clairement ! Assume ton plaisir !
— Jaime vous sucer la bite !!
— Ahhhh ! Allez termine moi!»
Il remit sa bite dans la bouche de Marie, et elle repris sa fellation. Elle le masturber avec sa main droite sur la partie dont elle navait pas accès avec se bouche.
« Ah oui vas-y ! Comme ça cest excellent ! Et tu verras bientôt tu la prendras entière dans la bouche !» Marie eu une rapide hésitation, mais emportée par lenvie, ces mots crus lexcitaient encore plus. Elle ne savait plus quoi penser, elle se laissait guider par ses sens.
Les respirations et les gémissements de Denis saccéléraient et étaient maintenant très rapides. Inexpérimentée, Marie continua sans sinquiéter, et en elle-même elle se réjouissait de procurer autant de plaisir à un homme qui est lui expérimenté et qui a dû se faire sucer beaucoup de fois. Tout dun coup, Denis se contracta et tena la tête de marie avec sa main droite.
«Oh Oh oh oh ouiiiiiiiiii!!!!!»
Il lui éjacula dans la bouche. Marie fut surprise et eut un mouvement de recule lorsque le premier jet lui frappa le palais. Mais Denis ne lâcha pas sa prise et lui déversa encore 3 longs jets de sperme. Écoeuré du goût amer et salé de ce liquide chaud elle recracha tout sur le pénis de Denis.
« La prochaine fois tu avale pour ne pas me salir !!!» lui dit-il en la giflant fortement.
Avec des envies de vomir elle ne répondit pas.
« Cest compris ?!» lui dit-il en la giflant plus fort.
Recommençant à pleurer, elle répondit un petit «oui».
« Jaime mieux ça ! Rhabille toi et tu pourra partir» lui ordonna-t-il tout en prenant un paquet de mouchoir.
« Et tout ceci reste entre nous, pas un mot à personne, sinon tu sera virée et ta vie sera détruite ! Cest clair ?!
Oui monsieur»
Marie se remit ses vêtements et se précipita aux toilettes pour se rincer la bouche et enlever se goût quil la rendait malade. Après sêtre rincer la bouche elle se regarda dans le miroir. Son maquillage avait coulé sur ses joues. Elle sobserva et éprouvait des sensations bizarres. On avait abusait delle et elle avait commençait à aimer ça. Elle insulta son chef de gros porc, puis repensa à son gros sexe. Elle était tirée entre la sensation de dégoût et lenvie de fuir, et celle de lexcitation. Elle se nettoya le visage et rentra chez elle…