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Travaux d'intérêt – Chapitre 1




Deux semaines de travaux d’intérêt général pour quelques malheureux tags contre un immeuble. Ah, je m’étais bien fait baiser putain. J’avais déjà honte de m’être fait pécho par les keufs, mais en plus je devais partir en camp avec des mioches à la mer. Putain, comme ça me faisait chier. Enfin, ça ne pouvait pas être pire que la prison. C’est ce que je me suis dit pour ne pas déprimer grave.

Deux semaines, 15 jours de merde à surveiller des chiards au bord de la mer. En plus, je m’étais bien fait arnaquer, car en plus il y avait une formation pédagogique. Que donner à manger aux pauvres chéris ? Comment les sanctionner sans les traumatiser ? Comme organiser un camp ? Comment faire une journée équilibrée pour les enfants ? Putain, je pétais déjà un plomb.

Bon, tout ça c’était avant que je découvre qui allait être ma chef. Une nana super bonne. Bon, elle devait bien avoir 15 ans de plus que moi, mais elle était super bonne, avec des nichons comme ça, un bon cul. Soudain, j’étais plus motivé. Bon, elle était pas super, super cool avec moi. Elle avait p’t’être peur que je sois un serial killer. Depuis que je me suis mis ça en tête, je l’ai considérée comme une pétasse, mais niquer une pétasse, ça ne me dérangeait pas.

Je peux vous dire que ça a été dur de passer deux semaines en restant pro un minimum quand vous n’avez qu’une idée en tête : niquer Sandra. Nuit et jour, je ne pensais qu’à ça, mais je n’avais pas la tâche facile. De 7 heures du matin à 21 heures, les gamins nous faisaient chier. Ensuite, on devait préparer la journée du lendemain. Ensuite, on était tellement nazes qu’on allait se coucher direct. Impossible de la draguer, je devenais fou. Tous les soirs, dans mon pieu pourri, je me voyais en train de tremper ma queue dans cette espèce de dictatrice. Elle se la pétait la meuf, j’vous jure. Tout le temps en train de faire des remarques (négatives) sur tout ce qu’on faisait. Toujours en train de nous faire des théories pédagogiques trop soûlantes. C’était vraiment la prise de tête avec cette conne. Mais elle était trop bonne. Ce mélange de beauté et de sale caractère, ça me rendait super nerveux, il fallait que je la saute à tout prix, ma santé mentale en dépendait. Pendant toutes les nuits du camp, je me suis vu en train de la culbuter d’une façon différente. Tout le kamasutra a été passé en revue. Si j’avais pu faire tout ce que j’imaginais, elle aurait plus pu utiliser son vagin pendant des semaines la meuf, et plus elle me faisait chier, plus cette pensée m’amusait et me motivait. Mais malgré tous mes efforts et ma motivation, ma seule sexualité durant ces deux semaine a été la branlette.

Je suis rentré à Grenoble complètement vénère. J’étais naze et je n’avais pas atteint mon but. C’était la dèche et la honte. Mais au moins je savais qu’un camp de vacances, c’était le dernier endroit possible pour niquer. Le destin m’a toutefois pas laissé tomber. Je ne sais pas quel dieu m’est venu en aide, mais qu’il soit béni. C’est Sandra elle-même qui m’a phoné. Elle voulait me voir. Je suis devenu comme fou ? Niquer, niquer, niquer, j’allais niquer, je DEVAIS niquer. Je suis entré dans son bureau la bite en feu. Elle m’a expliqué toute sympa pourquoi elle m’avait fait venir. Bon, c’était pas pour niquer hélas. Même si évidemment je devais bosser gratos, elle voulait me donner un petit quelque chose pour me remercier. Alors je me suis approché d’elle et j’ai dit en gentleman :

-Pas besoin de pognon pour me remercier, ma poule.

Et hop, je l’ai embrassée. Elle a pas dit non la coquine, sur la vie d’ma mère. Ça m’a permis de lui prendre son cul. Huuum putain qu’elle avait un bon cul. Putain de merde et j’avais ses gros nichons contre mon torse de jeune homme. Ça m’a donné envie de les lécher. Je lui ai enlevé sa chemise et me suis mis à parcourir sa bonne poitrine avec ma langue comme un gros porc.

Et elle, elle était pas si conne. Elle me poussait la tête vers le bas. Elle voulait que je la lèche cette salope. J’ai fait semblant de me faire avoir. Je lui ai descendu sa culotte afin de lui lécher sa chatte bien rasée. Miam, mais c’était bon en fait. Finalement je suis resté là un moment, tout en la caressant entre les cuisses. Puis, quand elle a commencé à soupirer d’extase, je me suis levé brusquement, je l’ai retournée contre son bureau et lui ai enfilé ma bite dans la chatte (après avoir enfilé un préservatif, ouais ouais). Ha, que c’était bon ! En plus, la satisfaction de pouvoir me faire cette nana dont je rêvais. Comme j’étais en position de force, en train d’aller et venir dans sa chatte de salope expérimentée, je me suis permis quelques commentaires :

-Alors, t’aimes ça ? Te faire prendre par des jeunes cailleras ?

J’étais vraiment un bouffon, je faisais mon malin mais sa réponse m’a bien cassé.

-Haaaan et pourquoi tu crois que je prends des jeunes voyous comme toi dans ma colonie de vacances ?

Oh putain comme j’étais sur le cul. En fait, elle voulait carrément que je la fourre dès le début, cette tasspé. Waw, comme je me sentais trop, trop con. Du coup, j’ai commencé à réfléchir. Est-ce que j’avais loupé quelque chose ? Est-ce qu’elle avait essayé de me draguer pendant le camp ? Nan je crois pas. Je pense qu’elle aussi était emmerdée de ne pas pouvoir. Bref, je m’en foutais, rien à foutre, maintenant j’étais bien au chaud dans sa chatte rose, je lui léchais l’oreille et tenais ses gros nibards dans mes mains. Yeah et c’est ce qu’elle voulait la salope. Je me suis bien vidé les couilles et pendant qu’elle reprenait son souffle, la chatte à l’air, je me suis dit qu’après tout, je méritais aussi le pognon. Je me suis donc servi et je me suis cassé.

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