Je m’appelle Paul, je viens de passer la trentaine, et j’ai récemment changé de travail.
Je ne suis pas un tombeur, mais je plais aux femmes en général, je n’ai jamais vraiment manqué d’attention de leur part. Je mesure 1.80m, je m’entretiens en faisant pas mal de sport, et j’ai, selon le dire de mes conquêtes, une jolie paire de fesses et un regard ténébreux au premier abord, bien que je sois un bon vivant.
L’histoire que je vais vous raconter, est absolument véridique, j’espère pouvoir vous le faire ressentir dans mes détails.
J’ai changé de travail donc…
Je n’ai pas pour habitude de mélanger le travail et le plaisir, surtout que je suis en couple depuis quelques années. J’ai bien eu quelques rapides fantasmes sur certaines collègues mais je suis épanoui avec ma compagne.
Jusqu’au moment où je suis arrivé dans cette nouvelle boîte.
Mon premier jour est terriblement banal, on me fait passer dans tous les bureaux, on me donne 50 prénoms et je m’installe à mon poste.
Nous avons tous nos propres bureaux individuels fermés et cloisonnés, ce qui est un certain confort de nos jours et important pour la suite.
Je prends mes marques et commence à rencontrer mes collègues.
Et voilà que je rencontre Anne… C’est une des comptables de l’entreprise,.
Anne, ce n’est pas une bombe, ce n’est même pas la plus belle femme de l’entreprise mais elle dégage à mes yeux un incroyable potentiel érotique !
Pourquoi elle ? Je ne sais pas. Mais dès notre première rencontre, je sens la chaleur dans mon bas-ventre.
Anne est grande, 35 ans, 1.75m, brune, cheveux en carré plongeant, légèrement en chair, souvent en pantalon moulant, un derrière volumineux mais agréable planté sur deux jambes magnifiques toujours mises en valeur par des talons modérés mais suffisants, un regard de chatte magnifié par un léger trait de crayon à la mode, un sourire pleines dents que j’affectionne voir et une petite paire de seins ronds qui pointent souvent en la voyant de profil.
Nous nous rencontrons tous les jours, à la machine à café, à la pause clope ou dans mon bureau puisque je dois parfois travailler avec elle pour les règlements. J’arrive à cacher mon trouble les premières semaines, bien que certaines images cochonnes commencent à poindre dans ma tête.
Les vacances d’été arrivant, l’entreprise nous offrit un apéritif avant les vacances avec prise de parole du PDG, petit four et champagne.
Il a fait excessivement chaud cet été et les coupes de champagne se vident rapidement.
Je vole de groupe en groupe, discutant, mangeant, buvant. Je la cherche parfois des yeux, elle a un chemisier blanc légèrement décolleté qui fait encore plus arrondir ces seins, elle est souvent de profil et je peux admirer ses jambes parfaitement galbées grâce à sa jupe.
Nous nous retrouvons pour fumer une cigarette et nous échangeons des banalités sur le temps, les vacances, mais je sens comme une gêne, elle ne me regarde pas dans les yeux… J’arrive à la faire rire et nous passons plus de temps qu’il n’en faut pour fumer une cigarette…
L’alcool désinhibant les gens petit à petit, nous nous mettons à danser, à échanger des grivoiseries entre collègues, rien de bien olé olé mais l’ambiance se réchauffe.
Je continue la soirée et je la retrouve au niveau du bar en train de se resservir une coupe, je lui fais une blague sur sa consommation d’alcool et la mienne et elle se campe devant moi et me répond qu’en d’autres temps, elle aurait fait des bêtises pour moins que ça, avec un regard explicite.
Je reste sans voix, c’est du pur rentre-dedans !
Je ne me démonte pas et je lui réponds, yeux dans les yeux, que l’alcool aide bien souvent à lever nos limites.
Elle me regarde, glousse et puis s’en va.
Nous nous épions à tour de rôle durant une majeure partie de la soirée et nous nous retrouvons à nouveau sur la fin de soirée.
Beaucoup de monde est parti, et nous nous installons à plusieurs dans des sofas moelleux, installer pour l’occasion.
Évidemment, nous faisons tout pour que le hasard nous place à côté. Il n’y a pas beaucoup de place et cela nous permet de nous rapprocher et d’établir un contact physique. Je me sens comme un ado qui passe son bras derrière la nuque d’une fille au cinéma…
Nous sommes côte à côte dans ce sofa et je sens la chaleur qui irradie de nos deux corps ! Je me permets de la toucher pour m’installer plus confortablement et elle en profite pour s’appuyer nonchalamment sur moi. Que le contact est agréable, je me sens comme sur un nuage…
Un à un les collègues s’en vont ou passent dans un autre groupe et nous nous retrouvons tous les deux, l’un contre l’autre, à rigoler comme deux ados à nouveau. Elle est chaleureuse, je me sens bien, elle aussi, ça se sent, elle est détendue contre moi, elle minaude, les regards sont par en dessous, sa tête est légèrement penchée, tout invite à la tentation de l’embrasser…
Nos corps s’effleurent, nous frissonnons souvent, bien que la température soit des plus agréable, l’instant est suspendu, chaque contact est électrisant, j’effleure sa poitrine, elle pose une main bien trop haut sur ma cuisse, sa bouche est entrouverte…
Je la sens qui palpite, son bassin est en avant, tout dans son corps invite au pur moment érotique que nous sommes en train de vivre.
Je lui pose mes mains sur la taille comme pour la déplacer légèrement et je l’entends pousser un léger soupir, nous ne sommes pas loin d’exploser.
Mais nous ne pousserons rien de plus ce soir-là… Nos vies respectives étant bien établies, nous ne pouvons prendre ce risque.
Je partis donc en vacances sur ce moment. Elles furent très agréables et là aussi très érotiques avec ma compagne, peut-être y reviendrais-je, un jour, dans une autre histoire.
Au retour des vacances, le premier matin, une gêne s’établit lorsque nous nous disons bonjour.
En effet, comment oublié un tel moment ? Et que se dire en se revoyant ?
Nous avons fait comme si rien ne s’était passé, nous avons laissé cet instant en suspens.
Pourtant elle était ravissante à son retour, elle était bronzée naturellement, ce qui lui donne un côté Sicilienne très excitant.
Mais je ne me permis pas de le lui dire.
Le reste de l’année a suivi, nous échangions regards, sourires en coin, discussions et rires.
Parfois quelques compliments.
Je pensais de plus en plus à elle, je faisais souvent des rêves érotiques où elle était la principale protagoniste.
Quant à elle, je voyais qu’elle faisait plus attention à sa mise, à l’automne alors qu’il faisait encore beau, elle est venue plusieurs fois dans mon bureau en se penchant pour me montrer des documents, tout en m’effleurant la main, le bras…
Ces moments restaient électriques, on le sentait tous les deux.
Puis Noël est arrivé.
Nous avons eu droit au traditionnel repas d’entreprise sur le même principe que celui de l’été sauf que l’on était dans les locaux, et que nous devions nous apprêter dans une ambiance plus cocktail, les femmes en robe de soirée, les hommes en costumes.
Tout le monde est rentré se préparer pour revenir à 19h aux bureaux. Les conjoints ne sont pas invités à cette soirée.
Faiblement, je me dis que cela sera peut-être l’occasion de revivre un petit instant ce que nous avons vécu cet été.
Je m’apprête, je présente vraiment bien, je me trouve très élégant.
Il me tarde de la voir, je ne pense qu’à ça…
Elle passe la porte, mon cur s’arrête…
Elle porte une toute simple robe noire de cocktail, mais qui lui donne une élégance folle.
La jupe, juste au-dessus de ses genoux, permet de voir ses magnifiques jambes galbées par des bas ou des collants et des talons parfaits de hauteur.
Tous les mecs bavent sur la juriste de 28 ans modèle Ikea, je ne vois quAnne. Elle me regarde, je vois qu’elle est impressionnée par ma tenue également.
Elle vient vers moi, je lui fais un compliment en lui disant que sa simplicité n’a d’égal que son élégance, elle rougit. Elle me répond que je dégage un important charisme en costume, je rougis.
Je lui propose un verre, elle accepte, prend mon bras et nous nous dirigeons vers le bar. Mes sens sont brouillés, j’ai du mal à réfléchir.
Nous nous servons deux verres de cocktail du soir, dont je serai bien incapable de vous dire à quoi il était.
Nous parlons et nous rions en nous regardant dans les yeux… Notre complicité est évidente.
La chaleur d’être avec elle m’envahit d’une puissance rarement ressentie auparavant.
Malheureusement, nous sommes contraints de nous séparer pour échanger avec d’autres collègues mais nous avons du mal à nous lâcher des yeux.
Le discours du patron passé, nous passons au repas de fête.
J’essaie de ne pas trop revenir vers elle pour ne pas l’étouffer et que cela ne soit pas trop perçu par les collègues.
La soirée se passe, nous dansons, parfois à côté, sans pouvoir nous parler.
Je choisis d’aller fumer, Anne me rejoint.
Elle me fait une réflexion sur la chaleur qui fait à l’intérieur et son besoin de prendre l’air.
Je vois qu’elle frissonne, je la couvre de ma veste. J’en profite pour lui caresser les épaules.
Nous fumons une cigarette et nous continuons à discuter, le temps s’arrête à nouveau, nous sommes dans notre bulle.
Il fait vraiment froid et je l’invite à se coller contre moi, elle n’hésite pas et se réfugie dans mes bras.
Nous nous parlons à quelques centimètres l’un de l’autre.
Au moment où je veux m’en rallumer une autre, je m’aperçois que le paquet est vide et que je n’en ai pas prévu d’autres.
Elle m’invite à aller chercher un paquet neuf dans son bureau. Je lui réponds que j’en piquerai à la volée.
Elle insiste, je commence à voir où elle veut en venir.
Son bureau étant au quatrième étage nous prenons l’ascenseur, Anne est collée à mon bras.
Dans l’ascenseur, la tension érotique est plus que palpable, nous sommes collés l’un à l’autre, il suffit d’un effleurement pour que nous nous jetions dessus. Nous nous regardons droit dans les yeux.
Son bureau est à l’autre extrémité des locaux, je saisis Anne par la taille, me colle derrière elle et nous nous y rendons.
En rentrant, elle se met à fouiller dans son sac, je sens que cela prend beaucoup trop de temps.
Je ferme la porte, et je la vois se relever et frissonner.
Je viens derrière elle, l’attrape les deux mains sur la taille et je l’embrasse sur la nuque, un frisson impressionnant parcourt tout son corps.
Elle fait "Non… non…" pour se donner contenance, mais nous n’attendons que ça depuis des mois et je la sens complètement lâchée prise.
Je continue de l’embrasser dans le cou et la nuque. Ses jambes cèdent, elle est dans un état d’excitation déjà très poussé.
Sa tête est en arrière, sa bouche est entrouverte, ses yeux clos…
Toujours de dos, je commence à explorer son corps avec une infinie lenteur, elle n’en peut plus, je remonte vers ses seins et je peux enfin les caresser, ils sont d’une rondeur, et moelleux ! Je me saisis d’eux, Anne pose sa main derrière ma tête et commence à se frotter les jambes sous le coup de l’excitation, elle doit être en fusion. Sa respiration est saccadée, haletante.
J’ai une érection énorme également, le contact avec son cul ferme et rebondi me transperce, elle ne peut que le ressentir à travers mon pantalon en tissu.
Je redescends mes mains et commence à soulever sa jupe, les mains grandes ouvertes en remontant sur l’extérieur des cuisses, Anne n’en peut plus et manque de retomber, elle frissonne en permanence, je n’ai plus aucun sens disponible ou plutôt si, ils sont tous en complète saturation.
Je lui caresse les fesses et le bas du ventre alternativement.
Anne soupire: "Oh oui….. Continue… Lentement…"
Je descends vers son mont de Vénus et elle est complètement trempée.
Son tanga retient à peine le torrent de cyprine qui se déverse. Je l’effleure à peine, elle est traversée de décharges électriques. Je n’ai jamais vu ça.
Entre-temps, sans que je m’en aperçoive, son autre main s’est glissée vers mon entrejambe et coulisse le long de mon pénis.
Elle se retourne, nous nous regardons dans les yeux, et nous nous embrassons sauvagement. Elle est en furie et je suis déchaîné également.
Tout cet érotisme va se lâcher maintenant.
Elle déboutonne ma chemise et me caresse la poitrine, me mordille les tétons, je suis toujours plus excité et me demande comment c’est possible, cette femme me fait tourner la tête.
Je fais tomber sa robe et la vois enfin presque nue. Son corps est sublime et je ne peux m’empêcher de l’admirer, ses dessous noirs et ses bas autofixants lui donnent une classe folle. Je lui retire son soutien-gorge et commence également à lui mordiller, et à lui lécher ses tétons qui sont déjà pointés et très durs.
Elle gémit…
Dans le même temps, elle me défait mon pantalon et je me retrouve en boxer qui ne cache même plus mon pénis devant une telle érection.
Je ne réfléchis plus et je la couche sur le bureau.
Je lui retire son tanga et je commence à embrasser sa chatte parfaitement épilée. Elle avait tout prévu.
Je m’amuse à lui embrasser autour, elle est parcourue de spasmes, elle m’attrape la tête et me colle mon visage dessus.
Elle mouille abondamment, son bureau est déjà plein de cyprine.
Je mordille son clitoris et commence à insérer deux doigts dans sa grotte. Ils rentrent sans aucun problème.
Au bout de 30 secondes de ce traitement, ses spasmes deviennent de plus en plus forts, elle se mord le poing pour ne pas hurler bien que nous soyons loin de la fête.
Elle est parcourue d’un orgasme intense.
Je n’y tiens plus, je la vois complètement offerte, je me présente sans lui laisser reprendre son souffle et je rentre en elle d’un coup.
Elle est tellement excitée que j’ai l’impression de me faire avaler.
Elle se redresse sous le choc et passe ses jambes derrière ma taille, une main derrière ma nuque et me regarde dans les yeux.
Vous auriez dû la voir, la bouche ouverte, les yeux mi-clos, ses cheveux trempés par la transpiration, et ses seins bien ronds entre nous.
Avec une telle excitation, et une telle vision, je n’ai pas tenu longtemps, au bout de quelques petites minutes de va-et-vient intense, j’ai déchargé un énorme flot de sperme en elle.
Je n’ai même pas pensé à prévenir et je pense que cela n’aurait rien changé.
Nos flux s’échappant de sa chatte, je me suis retiré bien que toujours parfaitement dressé.
Elle entreprit de me nettoyer avec sa bouche.
Elle me prit à pleine main, s’agenouilla et avec quelques coups de langue me nettoya ma bite.
Elle m’a regardé pendant toute la durée de ce moment, et je me rends compte en vous écrivant que nous ne nous sommes quasiment jamais lâchés des yeux pendant tout le temps où nous avons baisé et ce fut une des choses les plus excitantes qu’elle m’ait offertes.
Je l’ai relevé après quelques minutes, et la fis se mettre dos à moi, les mains appuyées sur son bureau pour la prendre en levrette.
Encore une fois, je suis rentré très facilement en elle.
Je l’entendais gémir des "Ouiiii… Ouiiiiiiiiii… Plus vite… Plus fort !" à mesure que j’accélérai ou que je ralentissais mon mouvement.
Je lui glissais à l’oreille "depuis les temps que j’attends ça, j’ai tout gardé pour toi depuis cet été!
— Oh oui Paul, je n’ai pas arrêté de penser à toi depuis 6 mois"
Cet aveu n’a encore fait que grimper mon excitation et j’ai redoublé mes coups de reins. Je lui ai attrapé les cheveux, elle s’est mise à hurler de plaisir ! Nous ne faisions plus attention à rien !
J’alternai maintenant les rentrées et les sorties dans sa chatte avec un frottement dans sa raie pour la préparer à ce qui allait suivre.
Quand elle a compris, elle a écarté elle-même ses fesses pour que je lui rentre ma verge dans son petit trou.
Elle était tellement excitée que je suis rentré sans forcer.
Elle était complètement étalée sur son bureau à ce moment-là, les jambes écartées, légèrement pantelante, je me suis mis à y aller doucement au début, très doucement, elle n’en pouvait plus.
Elle me criait "vas-y, vas-y !!!
— Attends, attends, tu vas l’avoir, tu vas l’avoir, tu vas la sentir, je lui murmurai dans l’oreille"
Son anus se dilatait et se contractait à une vitesse folle, je pense qu’elle ne maîtrisait plus rien à ce moment-là!
Elle se mit presque à pleurer en continuant à me dire "vas-y…"
Je me mis à faire de plus amples mouvements et à me rentrer jusqu’aux couilles, elle n’en pouvait plus et jouit instantanément.
Je continuai en augmentant régulièrement ma vitesse et ma force.
Quelques minutes de ce traitement et sa cyprine se répandaient à nouveau sur son bureau et coulaient le long de ses jambes.
Anne ne criait plus, elle avait juste la bouche ouverte, les yeux fermés et elle cherchait sa respiration.
Encore quelques minutes plus tard je me répandis à nouveau dans son anus sans me retirer.
Ma vue se brouillait… Je n’avais jamais connu d’orgasme aussi intense.
J’étais à ce stade complètement épuisé mais tellement excité encore que ma colonne ne voulait pas redescendre.
Mon gland luisait et je percevais mon flux sanguin dans mon pénis.
Anne se releva et entreprit à nouveau de me nettoyer.
Lorsque ce fut fait, et bien fait, elle m’allongea à même la moquette et s’empala directement sur moi.
Elle me prit mes mains et m’embrassa furieusement.
Elle se redressa et se mit à me chevaucher dans une transe frénétique.
Pendant un moment, elle alternait en venant se positionner au-dessus de son visage pour que je lèche sa moule dégoulinante de liquide. C’était parfaitement excitant à nouveau.
Au bout de quelques instants, elle bascula son bassin en avant et se remit en position pour que je pénètre dans son anus.
Elle redescendit sans aucune difficulté. J’étais vraiment étonné qu’elle en redemande à ce point.
Elle fut prise dans des spasmes puis un orgasme lui traversa le corps et couvrit ma poitrine de ses fluides.
Ce spectacle me fit complètement décoller et je la rejoignis dans la jouissance.
Elle s’effondra sur moi, anéantie, je n’avais plus aucune force après ces orgasmes si intenses. Je n’avais jamais connu ça.
Et elle était là, sur moi, trempée de sueur et de flux corporels et je lui trouvais toujours plus de sensualité, d’érotisme. Elle rayonnait.
On s’est regardé dans les yeux, puis on s’est embrassé pendant de longues minutes.
Lorsque l’on s’est arrêté, j’étais toujours en elle, je me souviens parfaitement qu’elle m’a dit:
"Paul, je n’avais jamais connu ça… Je crois que j’ai perdu connaissance à un moment ! Tu m’as transporté!
— Je ne sais pas non plus où je suis allé, Anne. Je n’en pouvais plus, je n’avais plus qu’une envie c’était de t’avoir !
— Paul, personne ne doit savoir, je me suis permis des choses ce soir que je n’avais jamais fait ! Je ne métais jamais fait enculer ! Je ne m’étais jamais comporté de la sorte… Comme une sauvage !
— J’ai du mal à te croire vu la facilité avec laquelle je suis rentré!
— J’étais tellement excité Paul, tu m’as rendue folle…
— Anne, cela restera entre nous, nous avons tout évacué. Nous avons vécu un moment formidable et intense, nous ne devons pas le regretter ! Personne n’en saura rien.
— J’espère que l’on ne nous a pas entendus en bas, j’ai arrêté de me retenir à un moment !
— Je sais moi aussi mais je pense que nous sommes assez loin pour que personne nentende. J’espère que personne n’a repéré notre absence."
Nous regardons l’heure, ça fait plus de 2h que nous nous sommes absentés, cela risque de se voir.
Nous nettoyons et rangeons le bureau difficilement vu l’ampleur du désordre.
Nous avons la chance d’avoir des douches dans les bureaux, et des serviettes à disposition.
Nous nous débarbouillons rapidement, Anne essaie de se recoiffer. Je la regarde à moitié esbroufé, et je sens que mon envie pour elle n’a pas du tout disparu, bien au contraire. Elle me regarde, s’avance et me caresse la bite… Apparemment pour elle non plus…
Nous redescendons.
Un collègue nous demande où nous étions, je lui réponds "mmmh ? Dehors en train de fumer". Il nous regarde, Anne regarde par terre, puis il s’en va.
"Tu penses qu’il a compris ? me demande-t-elle,
— Non je ne pense pas."
Personne n’ayant vraiment fait attention à nous, nous allons nous désaltérer au bar.
Nous trinquons, nous nous regardons:
"A ce qui devait arriver, lançais-je comme un toast dans un clin d’il
— A ce qui continuera d’arriver, me répondit-elle."
Les vacances de Noël viennent de se terminer.
La rentrée s’est bien passée, les regards ne se sont pas arrêtés, les sourires en coin non plus…
J’ai bien entendu changé nos prénoms, même si ça ne suffirait pas à nous retrouver.
J’espère que mon histoire vous a plu, je ne vous cache pas que réécrire tout ça a été très excitant pour moi à nouveau.
Il m’est arrivé une autre histoire qui découle plus ou moins de celle-là au travail que je pourrai vous raconter plus tard.
Peut-être aussi quelques-unes avec ma compagne.