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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit – Chapitre 20




J’étais nue, offerte, en porte-jarretelles devant mes deux grands fils. A la fois honteuse, excitée, car c’était la première fois que je m’exhibais dans une tenue que j’ai toujours qualifié de malséante, devant un homme. Tu sais bien que j’ai toujours refusé de porter toute la lingerie que tu m’avais offerte. Et là je le faisais devant mes deux garçons sous les ordres de Damien ! Je me disais, pour me donner une espèce d’auto justification que si je faisais cela, c’était parce que j’étais saoule, très remontée contre toi et déçue, tellement déçue de cet adultère dont Damien m’avait fourni la preuve!

Alors cette fois-ci je décidai d’aller jusqu’au bout de mes fantasmes de femme, d’aller au bout de moi-même dans une dépravation que je devinais intense, profonde mais qui me fournirait tellement de jouissance…en quelque sorte un médicament , un baume pour mon âme éviscérée !

Je ne savais plus que faire, dans cette positon pornographique de femme qui attend d’être baisée, comme une vulgaire pute de bordel…j’attendais les ordres de Damien pour me lancer dans l’adultère et surtout l’inceste. Je te l’ai dit, j’avais honte mais je ressentais une excitation malsaine, mais tellement envoutante. En un sens, je me demandais quelles seraient mes limites, jusqu’où je serais capable d’aller, de m’enfoncer dans la débauche par vengeance, par envie

Damien se leva et vint se placer près de moi, il me saisit un sein de sa main, et conquérant, me posa l’autre sur la hanche en dominateur, en propriétaire. Puis il me roula un patin qui me laissa en pâmoison, essoufflée, l’esprit tourneboulé. Je ne savais plus où j’étais. A partir de ce moment là, l’ivresse du sexe, du sexe malsain incestueux, crade, me prit pour ne plus me lâcher, jusqu’à ce que tu me découvres et me libères

Puis Damien, toujours me pelotant les seins, se tourna vers Michel :

Alors abruti, viens en profiter ! On ne laisse pas ainsi une femme qui a envie de se donner à deux hommes ! Viens prendre ta part ! N’ai pas peur. Hein, maman qu’il peut venir profiter de tes charmes lui aussi ?

— Oui Michel, viens, j’ai envie de toi aussi . Prenez-moi mes deux beaux garçons, baisez-moi jusqu’à plus soif. Je veux tout oublier entre vos bras. En un sens vous allez venger mon honneur bafoué par votre salaud de père.

Michel s’approcha, penaud. Cette fois-ci il ne pouvait se défausser. Quand il m’avait caresser les cuisses et le sexe, il était comme "protégé" par mon abandon, alors que j’étais assise entre les deux. Là, cette fois-ci, il devait prendre l’initiative, comme un homme.

Damien s’écarta pour mieux observer son uvre. Il se régalait d’ ainsi nous manipuler, moi sa propre mère, et lui, son frère cadet. Michel m’enlaça timidement, mais il gardait ses mains bien sagement sur le haut de mes fesses; il n’osait pas me tripoter, ni m’embrasser :

Allez nigaud, mets lui ta main entre les cuisses, embrasse-la, caresse lui un nibard, elle demande que ça cette salope ! Hein maman que tu demandes que ça !

— Oui vas-y Michel, tripote moi la chatte, doigte moi, je veux être remplie !

Damien qui s’était rapproché de notre couple regardait, "disséquait" même, les gestes de son frère sur moi. Tel un chef d’orchestre sadique et pervers, il donnait ses ordres et vérifiait leur bon accomplissement, jusqu’à manipuler lui même les mains de son frère.

Michel avait posé une main sur mon sein, et son autre main sur mon sillon fessier.

Allez merde, mais t’as peur ou quoi, voilà, ton index et ton majeur dans sa chatte et ton pouce dans son cul. Oui vas y doigte ! Alors elle mouille bien la salope ? Tu aimes ça maman ?

— Oui…encoooorrre !

Damien avait littéralement "forcé" les doigts de son frère dans mon intimité et mon petit trou, qui s’était ouvert comme par magie ! J’en éprouvais beaucoup de plaisir. Me sentir doigtée, possédée par les doigts de mon cadet, alors que mon aîné donnait les ordres, et nous forçait tous les deux à l’adultère incestueux, m’excitait énormément, trop sans doute. Je gémissais et je reprenais mon plaisir.

Pantelante devant tant de plaisir, que je n’avais jamais éprouvé avec un homme, même toi mon chéri, j’attendais avec fièvre et impatience le moment où, j’aurais leurs sexes dans mes orifices. Je savais que j’allais être baisée comme une pute de bas étage… et que j’en éprouverais tellement de plaisir. Je compris que j’étais soumise à une drogue dure, que je ne pourrais jamais m’en passer, que j’adorais être avilie, soumise et que je resterais à jamais l’objet sexuel, le sextoy humain de Damien. J’en éprouvais une grande honte et aussi un immense intérêt !

Oui…ouiiii, vas y Michel !

Puis Damien nous sépara, et vint s’asseoir avec son frère sur le canapé. Il me demanda de m’exhiber. Ayant mis un morceau de musique très langoureux, j’esquissais des ondulations de mon corps, des pas de danse d’abord hésitants, puis de plus en plus sexy…j’osai alors me comporter comme une vulgaire gogo danseuse de boîte de nuit, je me trémoussais, prenais des postures érotiques, voire pornographiques, je me retrouvais même à un moment penchée devant eux, en prenant mes chevilles entre mes mains, à l’équerre, leur présentant mon cul et ma chatte dilatée, à quelques centimètres de leurs visages. J’étais devenue leur pute, leur salope et j’avais envie de me faire baiser par tous les trous. N’importe quoi que Damien aurait exigé de moi, je savais que j’y aurais consenti avec soumission et délectation !

Damien m’intima l’ordre de venir entre eux deux, et me soulevant à nouveau les deux cuisses, reposées de chaque côté, ma chatte grande ouverte, il fit couler du whisky sur mes seins, qui alla se perdre dans ma micro toison de brune. Alors avidement, il se plaça entre mes deux cuisses à genoux et commença à laper le liquide sur mon sexe entrebâillé. Michel lui, me suça les seins avec délectation. Lui, était à présent désinhibé et excité, et se lâchait sur mon corps de soumise. Je n’étais plus leur mère à ce moment-là, mais leur petite copine de partouze.

Puis Damien me fit mettre à genoux devant eux, et me donna l’ordre de défaire leur pantalons et caleçons, ce à quoi j’acquiesçai avec enthousiasme. Moi la mère de famille encore honnête et prude, quelques heures auparavant, je me retrouvais à déshabiller mes deux fils. Lorsque leurs sexes en érection apparurent à quelques centimètres de mon visage, je me jetai comme une louve affamée dessus, et commençai à les sucer comme une pute de boulevard. Je me régalais de passer ma langue sur les deux glands turgescents, leur léchais les couilles et la hampe de leurs sexes. Ils vinrent évidement très vite, et se vidèrent de leur semence dans ma bouche et sur mon visage, et mes seins. J’éprouvai alors moi aussi un orgasme prodigieux. Mais Damien en voulait plus, et c’est nus, que nous nous retrouvâmes dans la chambre à coucher, sur le lit conjugal où j’allais commencer ma carrière de mère incestueuse !

Le côté iconoclaste et pervers de la situation m’émoustillait encore plus: j’allais subir les derniers outrages par mes deux fils, sur notre propre lit de couple marié !

Alors je me laissai faire et perdis très vite tout sens des réalités. Subjuguée par une passion torride sexuelle et incestueuse, prise dans l’ivresse du sexe vulgaire et crade, je ne me souviens que de peu de choses sur le déroulement réel des hostilités. Combien de fois ils m’ont baisée, je ne saurais le dire. A cet âge-là, les jeunes hommes ont des réserves insoupçonnées toujours est-il qu’ils me prirent à deux, en même temps parfois, l’un dans ma bouche, tandis que l’autre me prenait comme une chienne en chaleur par la chatte ou le cul. Je me faisais ramoner de tous les côtés, et je n’arrêtais pas de crier, de gémir, de ahaner.

Parfois alors que l’un était fatigué et récupérait, je subissais les assauts de l’autre.

Puis Damien reprit son rôle de dominateur de ce trio pervers, et commanda tous nos gestes. Michel et moi n’étions que les instruments de ses délires pervers. Il ordonna  à Michel de m’attacher écartelée sur le lit, chevilles et poignets liés aux pieds du lit, et lui ordonna de me flageller avec une ceinture en cuir. Michel d’abord penaud devant cet ordre insensé, n’osait pas lui obéir; alors il prit lui même la ceinture et commença  à me cingler les fesses avec violence, me disant à chaque coup :

Alors maman, n’est ce pas que tu veux être punie de ton comportement de traînée ?! Tu te rends compte, tu aimes te faire baiser comme une pute en chaleur par tes deux fils chéris !

Et je répondais, au paroxysme de la volupté de me faire traiter comme cela :

oui vas y plus fort, fouette moi,

Alors il remis la ceinture entre les mains de son frère et lui dit:

Alors tu vois que la salope en veut, vas y et fort, sinon ce sera pire avec moi !

Pendant que Michel me fouettait avec entrain, enfin il avait le geste plus doux, mais faisait semblant d’y mettre toute sa force, Damien me susurrait a l’oreille:

Tu verras, je te ferai faire plein de trucs abjects, tu en redemanderas. Je te ferai prendre par des mecs dans la rue, tu baiseras avec des femmes, et même peut-être goûteras-tu aux joies de la zoophilie tu aimerais te faire saillir par un gros rottweiler ma chère petite maman ?

Et moi vaincue, tout sens commun annihilé par tant de plaisir et de désir de soumission, j’acquiesçais à tous ces scénarios vicieux. Mon plaisir n’en était que décuplé, et je gémissais de jouissance sous ses paroles de fiel, et sous les coups de ceinture de son frère.

Chaque soir le scénario se répétait, pour notre plus grand plaisir à tous les trois je me faisais baiser comme une salope tous les soirs dans notre lit. Cela dura de ce moment-là jusqu’à ton retour de voyage. Damien me dit alors qu’il allait faire venir ses copains, pour une pseudo leçon d’informatique, et que j’aurais pour ordre de m’exhiber devant eux, sous tes propres yeux. L’expérience semblait l’exciter beaucoup, tout comme moi je devais bien l’avouer

Voilà tu sais tout de mon parcours insensé, me pardonneras-tu un jour toutes mes errances ?

Un peu abasourdi, mais extrêmement excité par tout ce récit, extraordinaire, il fallait bien l’admettre, je la fis mettre à quatre pattes devant moi et posai sa main sur mon caleçon. Elle me caressa le sexe, et en bonne soumise, baissa le vêtement pour se retrouver le visage à quelques centimètres de mon sexe en érection. Elle le prit avidement en bouche et me masturbant en même temps, elle me fit une superbe fellation, qui dura peu de temps , vu mon état d’excitation. Pendant qu’elle officiait, je lui parlais:

Dorénavant, je suis ton seul et unique Maître, pour nos relations spéciales. En tant que ma femme, tu devras me considérer comme ton unique partenaire sexuel et me faire part de tes envies…tu es libre à la condition que je sache tout de tes désirs; je te laisserai faire, aller avec un homme de ton choix , si tu ne te mets pas en danger. Cela te convient-il ?

— Hum hum, ( la pauvre ne pouvait pas répondre avec ce qu’elle avait en bouche !)

— Bon notre entente sera renouvelée et basée sur la confiance, mais je peux te jurer que tous tes penchants libidineux seront assouvis. Tu t’es révélée être une vraie nymphomane et j’avoue que cela me plait. Tu auras l’occasion d’être offerte à plusieurs hommes en ma présence. Le concept te plait-il ?

— Hum hum.huuuuummmmm ! ( Elle avait l’air satisfaite)

— Évidemment tu m’aideras à me venger de mes copains et de mes fils !

Ah une chose encore…je veux vous voir baiser ensemble au moins une fois ! Avant que je ne "siffle la fin de la récréation" ! " Et disant cela, je répandis ma semence dans sa bouche, semence qu’elle avala jusqu’au bout.

Se relevant, je la vis avoir un sourire de petite fille, avec une goutte de sperme qui perlait sur sa lèvre.

Tu veux vraiment me voir baiser avec nos fils, j’avoue que cela me fait un peu honte à présent !

— Tu n’as pas vraiment le choix…et cela fera partie de ma vengeance. Damien ! J’arriiiiiiiiiiiive !

Fin de la première partie .

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