Bonjour,

Ceci est la suite du chapitre 2 du récit "soumise en devenir" qui termine ainsi :

Elle le sent revenir, prendre une chaise et sassoir au niveau de sa tête. Il lui enlève son bâillon.

— As-tu soif ?

— Oui sil te plait

Toujours aveuglée, elle sent une paille forcer ses lèvres. Elle aspire et leau bienfaitrice la désaltère.

Il lui flatte la tête doucement, puis la joue alors quelle a fini de boire.

Détendue, son corps se relâche. Pour elle cest la fin de la séance.

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Pourtant, il ne la détache pas, et continue de lui flatter doucement la joue.

Ses bras et ses jambes commencent à la faire souffrir, elle cherche avec le peu de latitude quelle à une position plus confortable.

Il sen aperçoit, se lève, et elle sent le bâillon la re priver de la parole. Elle est perplexe. Elle sent ses bras être détachés, ainsi que ses jambes, puis il lui enlève ses chaussures. Doucement, il la prend par la main, la soutien car ses jambes flageolent. En silence, il la guide jusquà la salle de bain ?

Elle est perplexe quand il fait glisser sa robe au sol, lui demande de monter dans la baignoire, puis de sy assoir. Elle le sent face à elle ? Il fait glisser son bâillon :

— Ouvre la bouche soit gentille

Obéissante, elle ouvre la bouche et sent son sexe la pénétrer. Désireuse de lui rendre le plaisir reçu, elle lèche, suce, sa hampe, son gland. Voulant être plus efficace, elle cherche à saider de sa main droite pour le branler en même temps. Une légère claque sur la joue len dissuade.

— Ouvre grand et détends toi, je ne veux pas sentir tes dents.

Elle ouvre, autant quelle peu. Ses mains de chaque côté de sa tête, il la guide et enfonce son sexe, de plus en plus loin, régulièrement, jusquà lui couper la respiration. Il est gros, long, large, et elle peine à le prendre en entier. Sur un ton sourd, les ordres pleuvent :

— Ouvre

— Plus grand

— Bave

— Allez dix secondes

— Prends ta respiration

— Vingt secondes

Elle bave, tousse, il lui laisse à peine le temps de reprendre sa respiration. Soudain alors quil lui a rendu un peu de liberté il lui caresse la tête et lui dis

— Aujourdhui, tu va mavaler.

Elle se fige, mais ses mains, de chaque côté de sa tête, la forcent à continuer. Il poursuit :

— Oui, je sais que tu déteste ça. Mais tu vas essayer. Tu vas me faire plaisir.

Toujours aveuglée, elle le sent se branler face à elle. Obéissante, elle ouvre grand la bouche et tire la langue, non sans une certaine inquiétude.

Soudain, elle sent son sexe sur sa langue, il continue de se branler, son gland viens frapper ses lèvres, cest très désagréable. Il lui saisit les cheveux enfourne son sexe le plus loin possible dans sa gorge, et dans un grondement se libère en elle. Elle sent son sexe tressauter, le liquide frapper la gorge, le palais, puis lui inonder la bouche. Pétrifiée, elle ouvre encore plus la bouche et laisse sécouler la semence. Paralysée elle ne peut avaler. Elle sent le sexe quitter sa bouche que machinalement elle referme. Elle retiens un haut le cur. Le loup qui lempêchait de voir lui est arraché. Elle est aveuglée par la lumière. Il est face à elle, les cheveux en bataille, ses yeux sont sérieux et la transpercent.

— Avale

Elle ne réagit pas.

— A-va-le répète-t-il plus lentement.

Alors elle prend une inspiration et avale. Elle ouvre la bouche, tire la langue fière delle, malgré la nausée. Preuve quil avait tout prévu, avec un demi sourire, il lui tends une bouteille de coca quelle boit avec reconnaissance.

— Il reprend la parole : tu souhaites être ma soumise. Alors tu es à moi. Tu dois tout aimer de moi, y compris avaler.

Puis il reprend en souriant :

— Cette fois tu en as plus sur la poitrine que dans la bouche, mais ce nest pas si mal pour un début.

— Allez, à quatre pattes dans la baignoire.

Elle obéit, se demandant ce quil lui prépare encore.

— Baisse la tête

Elle sent un liquide chaud linonder.

— Tu es as moi, alors je te marque. Comme la chienne que tu es.

La honte la submerge. Luro ne lui était jamais réellement venue à lidée. Pourtant elle est fourbue, fatiguée. Cela lui parait tellement évident. Après maintes difficultés, elle est là ou elle doit être.

Elle sent quil fait couler leau. Ajoute du savon. Elle lève la tête et croise son regard. Si ses attitudes sont dures, son sourire est tendre. Elle se sent aimée pour ce quelle est et a ce moment, elle réalise que cet homme, son Maître, elle le suivra nimporte où, jusque dans les pratiques les plus humiliantes, les plus dégradantes. Parce que cet amour quelle lit dans ses yeux est proportionnel à son sadisme, a son instinct de domination, tout comme elle est soumise et deviens maso pour lui.

Alors quil la lave tendrement, en silence, elle savoure. Il en profite pour lui palper les seins, les pincer. Insinuer ses doigts dans son sexe, dans son anus.

Elle ondule sous ses attouchements.

Faussement sévère il la réprimande :

— Salope un jour, salope toujours, tu ne peux absolument pas tempêcher de gémir.

Il la doigte de plus en plus violement.

Elle ose ouvrir la bouche pour lui souffler :

— Sil te plait.. jai envie

— Envie de quoi ?

— .. de .. toi

Il sourit, la fait se relever, la rince et lenveloppe dans une grande serviette tout en la guidant jusquà leur chambre.

Il place deux oreillers en travers du lit, et lui demande de sallonger dessus, sur le ventre.

Elle le sent tirer ses jambes, et les attacher aux montants du lit grâce aux attaches perpétuellement prêtes à cet effet.

Une claque sur les fesses la surprend

— Relève ton cul. Moi aussi jai envie de toi. Jai envie de te prendre. Mais pas par la chatte, après ma main tu es aussi large quune autoroute. Je vais te prendre le cul. A sec. Tu vas avoir mal, mais tu vas aimer ça. Comme dhabitude. Je te donne le vibromasseur, et je ne tattache pas les mains. Tu pourras te faire jouir, si tu y arrive.

Un frisson lui parcours la colonne vertébrale. Elle a a peine le temps dappréhender, quelle sent sa queue contre son illet. En son for intérieur elle espère que le port de son rosebud tout à lheure limitera la douleur. Elle sent sa queue glisser dans son sillon. Elle se rend compte quil a humidifié un peu son sexe. Il rentrera mieux, mais plus vite.

Elle se détend, le sent appuyer sur son illet. Elle pousse légèrement pour faciliter lintroduction. Il lui pose la main sur la nuque, enfonçant sa tête dans le matelas, et lentement il la pénètre, implacablement. Elle pousse un hurlement et dune ruade essaye de le désarçonner. Ses pieds attachés len empêchent. Il lui lève la tête en la tirant par les cheveux, et la force à le regarder. Il cherche son regard.

Il la fixe, et elle se calme. Ses yeux sont remplis de larme, elle grogne.

Il lui murmure des mots apaisant :

— Regarde-moi, oui la, oui tu as mal, et jadore ca. Tu es belle dans la douleur, avec ma queue qui técarte le cul. Jadore ton cul. Jadore louvrir, le malmener. Jadore ça. Tu es belle. Apaise-toi, accepte-moi.

Allongé sur elle, doucement, il commence à aller et venir. Il reste proche, ils ne font quun. Elle lui abandonne son corps. La douleur laisse place à une gêne. Elle commence à onduler sous lui. Mets en marche le vibromasseur. Cest le déclic, méthodiquement, il la pénètre, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Elle crie, gémi, halète. Il va encore plus loin, plus fort, cest douloureux. Pourtant le vibromasseur lui procure du plaisir, cette queue qui la ramone aussi. De plus en plus violement, il la pénètre. Chaque coup de boutoir est un souffrance. Son calibre lui dilate lillet et va trop loin en elle.

Couchée sur elle, il lui pilonne le cul. Elle laisse échapper des cris, de douleur, de plaisir. Entre deux baisers, ou deux morsures, il la provoque :

— Tu veux que jarrête ?

Elle tourne la tête, ne réponds pas.

IL la force a soutenir son regard.

— Tu veux que jarrête ?

Entre deux soubresauts, deux cris de douleur, elle trouve la force de lui dire « non ».

— Que veux-tu alors ?

— Que.. tu me laboure les fesses.

— Tu sais que je me retiens la, que tu vas avoir encore plus mal ?

— Oui, je sais

— Et tu veux que je te la mette encore plus profond ?

— Oui, je veux que tu sois fière de moi.

En réponse, il redouble dardeur. Il pousse son membre encore plus loin, samuse de la faire crier. La place a quatre pattes afin davoir la possibilité de la pilonner encore plus vite. Son cul est dilaté, elle a mal au ventre, elle sent le vibromasseur chauffer son clitoris. Il lui griffe le dos, lui claque les fesses, il est déchainé.

Soudain, elle se raidit, son sphincter se contracte sur son membre, entrainant sa jouissance. En un cri, elle jouit. Convulse. Se débats avant de retomber inerte sur le lit.

Quelques instants plus tard, la soumise à laissé place à la femme. Elle est meurtrie et la soirée est bien entamée. Cependant, elle a souhaité être sa soumise, et a aucun moment elle ne la regretté.

Aujourdhui ils se sont trouvés, mais elle sait aussi quelle nest quau début de son éducation et se mets à rêver aux prochaines semaines en compagnie de celui qui est devenu son Maitre.

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