Je souhaite, pour ce récit, ne pas donner de description de mes personnages, sauf si la narration my pousse. Vous, lecteur, serez plus libre dimaginer ce qui vous plaira le mieux, cest du moins ce que je fais durant mes lectures sur ce site.

Je ne souhaite pas non plus méterniser sur la genèse de cette histoire qui magace. Sachez seulement quil est question dun jeune homme, Vincent, obnubilé par sa mère, Nathalie, une femme splendide mais frustrée que son mari ne touche plus, et que cette dernière sest rendue compte des fantasmes de son fils à son égard lorsquelle a découvert quil la filmait lors de ses plaisirs solitaires.

Dans la voiture, sur le trajet de retour du cabinet médical, ni moi ni ma mère ne prononçons un mot, bien que la raison de ce silence fût, je pense, bien différente pour elle et moi.

Pour ma mère, et cela se lisait sur son visage depuis que le docteur avait donné son conseil, un état de confusion, de peur et de dégout mêlés la paralysait. Après tout, en moins de vingt-quatre heures, elle apprenait que son fils se masturbait en pensant à elle, devant des vidéos quil avait enregistré dans sa propre chambre et sur lesquelles, seigneur !, on la voyait se déchainer comme une hystérique avec un gode dans le vagin. Comme si cela nétait pas suffisant, le médecin chez qui elle envoyait son fils pour trouver une solution à cette situation, un bon conseil ou au moins le numéro dun bon psychologue, ce médecin, un pervers qui toujours voulait la voir nue et lui palper les seins, navait rien trouvé de mieux que de lui conseiller « de tenter une approche plus intime du problème avec le jeune homme, essayer de désacraliser lobjet de son fantasme par une expérience concrète ». Le masturber ! Masturber son propre fils de 18 ans ! Elle avait failli vomir

Pour moi en revanche, ce silence était le fait dune intense réflexion. Le cogitait le plus vite possible sur la façon dont jespérais que jallais pouvoir obtenir ce que le docteur Guérini avait tenté de moffrir. Lorsque javais raconté toute lhistoire au docteur, il avait failli sastiquer devant moi, jen jurerai ! Ce mec bande pour ma mère depuis des années et je nai eu aucun mal à le convaincre que ce dont javais besoin, cétait quelle pose ses jolies petites mains sur ma queue et me branle comme une bonne petite chienne jusquà ce que jinonde son magnifique visage de mon sperme. Bon, pas dans ces termes mais, comme je lai dit plus avant, il a par la suite fait entrer ma mère dans la salle de consultation et à abonder dans mon sens. Fallait pas être si bandante, madame ! Votre pauvre petit nen peut plus, moi non plus dailleurs ! Bref, soyez une bonne salope et astiquez donc la queue de votre fils, daccord ? Et comme ça, la prochaine fois que vous viendrez, jaurais un bon levier pour enfin vous sauter sur mon bureau, sagirait pas que votre mari apprenne ça !

Déjà, suite à cette consultation, je ressentais une certaine forme de libération. Sans vraiment le formuler de manière concrète, je sentais que de nombreuses limites venaient de voler en éclat et que ma marge de manuvre avait considérablement grandie. Pour exemple, depuis que nous avions quitté le cabinet, jétais gêné par une formidable érection qui déformait mon short et cela devant ma mère. En entrant dans la voiture, volontairement, javais à plusieurs reprises et de façon très évidente palpé ma bite comme si je me retenais difficilement de me branler. Javais vu ma mère me regarder faire, son expression affichant lincrédulité de me voir faire cela sans gêne, et puis elle avait détourné le regard, acceptant la situation. Je savais donc que jallais pouvoir me permettre plus de choses et cela allait maider à lui faire accepter de me faire jouir. Durant les vingt minutes que durèrent le trajet, les images se succédaient dans ma tête et mon érection grandissait, grandissait, grandissait ! Je ne voyais plus les voitures sur la route ou les arbres ou les passants, je voyais ma mère nue à genoux devant moi en train de me sucer, je la voyais allongée sur le ventre sur son lit pendant que je la sodomisais. Je lentendais crier, pleurer, jouir. Je mentendais la traiter de salope, de chienne, ou bien lappeler ma chérie, ma belle, mon amour. Jimaginais la beauté de la vue de mon sperme sécoulant de sa belle chatte rasée, la perfection de linstant où mon énorme bite serait entièrement entrée dans son formidable cul, le contentement que serait le fait de la voir sagenouiller devant moi pour me sucer devant un bon film, docile, dressée, à moi

Nous arrivions à la maison. Déjà ? Je métais bien laissé allé à mes pensés et je navais pas vu le temps défilé. Je ne métais pas non plus rendu compte que, de simple palpations volontairement provocatrices, jen étais venu à franchement me caresser à travers mon short et que mon gland décalotté était visible à lintérieur de ma cuisse gauche, ressorti du short déjà court mais qui avait encore remonté lorsque je métais installé dans la voiture. Depuis combien de temps suis-je dans cet état, et depuis combien de temps ma mère me regarde-t-elle quasiment me masturber devant elle dans la voiture ? Combien de temps importe peu finalement. Ce quil est important de retenir, cest quelle ma laissé faire. Pourquoi ? Peur ? Dégout ? Compassion ? Difficile à dire. Mais le fait est là. Elle ma laissé me caresser devant elle, sachant pertinemment à qui et à quoi je pensais. Les limites, un certain nombre dentre elles en tout cas, ont bel et bien sauté.

Elle descend de la voiture pour ouvrir le portail, je matte son cul sans vergogne. Lorsquelle se remet derrière le volant, jai un peu plus remonté mon short et ce sont maintenant cinq bons centimètres de bite veinée et surgonflée devant lesquels elle marque un temps darrêt.

« – Tu Tu es dégoutant !

— Je ny peux vraiment rien, dis-je innocemment, je suis désolé maman.

— Arrête de me prendre pour une idiote tu veux ! Si tu crois que parce que ce vieux pervers me dit de sauter dune falaise je vais le faire, tu te trompes ! »

Elle gare la voiture sur les graviers qui crissent. Elle sort en claquant la porte et va dun pas furibond refermer le portail. Je sors à mon tour et lattend près de la porte. Jai mes clés mes je ne veux plus la lâcher. Elle est énervée. Mais la colère peut être une réponse à un autre sentiment. Une sorte de bouclier face à une situation qui en réalité la terrifie. Je dois réfléchir à toute vitesse. Oui, elle a peur. Peur pour moi, car sinon elle maurait engueulé dès ce matin, et peur pour elle, car elle se sent responsable mais aussi victime de mes fantasmes et de mes actes. Réfléchir, et vite ! Plutôt que de partir en vrille sur mes fantasme dans la voiture, jaurais du penser à ce que je devrais faire une fois à la maison. Je me suis trompé sur son compte, aussi. Elle nétait pas aussi paralysée que je le pensais. Elle réfléchissait à ce quelle allait pouvoir mopposer comme arguments. Car elle a tout de suite comprit que jallais profiter des paroles du bon docteur pour me jeter sur elle.

Ok. Elle vient de tenter de discréditer le médecin. Quoi dautre en stock ? La morale, bien que nous layons déjà abordé ce matin. Elle va mattaquer plus agressivement sur mon comportement, cest évident. Merde, elle arrive. Jy vais à fond, et à linstinct, tant pis. Après tout, elle na pas gueulé dans la voiture, pendant que je me caressais en pensant à elle

« – Maman, il faut quon

— Tais-toi ! dit-elle en ouvrant la porte et en entrant rapidement, moi sur ses talons. Tu vas monter dans ta chambre, maintenant, tu vas aller sur un site porno comme le font tous les ados de ton âge, tu vas faire ce que tu as à faire et ce sera terminé ! Cette histoire dobsession et de blocage cest des conneries ! Peut-être que tu me trouve jolie, peut-être que me voir nue ou même mavoir filmé pendant mes moment privés ta excité, mais il est hors de question que je sois la seule à te mettre dans cette état. Tu nas quà te trouver une actrice qui me ressemble, ou une qui soit lexact opposé, tu fais ce que tu faisais ce matin, et basta ! Et tu meffaces ces vidéos de moi, compris ? »

Elle avait graduellement haussé la voix durant son discourt et avait fini en hurlant à moitié. Mais après le dernier mot, elle sembla prise dune fatigue, plus psychologique que physique sans doute, et tomba assise sur le canapé du salon du rez-de-chaussée. Après un instant sans bouger et sans parler, je venais masseoir à côté delle, image de la pureté et de linnocence. Même avec toute cette journée et les choses quelle a révélé, je reste son fils unique et adoré, et elle ne me repousse pas. Elle ne me regarde pas non plus. Je commence donc à lui parler, tout doucement, luttant à chaque instant pour que les seules choses qui émane de moi soient du regret, de la tristesse, et du malaise. Je luttais car en vérité, tout ce que je désirais était de déchirer sa robe et la baiser comme une bête sur ce canapé, lui mettre une bonne gifle et la faire se mettre à genoux devant moi. Je luttais, donc.

« – Maman Je suis désolé. Je Je sais que ce que jai fait, ce que je pense Cest horrible ! Tu vas me détester pour toujours et Cest juste que je te jure que je ny peux rien ! Cest vrai que jaurais pu me retenir de te filmer, mais pour ce qui est de mon obsession, elle est réelle, je tassure ! Cest à cause des vidéos que tu as regardé, ça ma Je tai identifié tout de suite à ces femmes car cest toi qui à fais ces recherches, et moi Je me suis identifié aux hommes sur les vidéos. Après ça, jai complètement vrillé, je ne pensais plus quà toi en les regardant, puis à moi et toi, et et

— Oh bon sang arrêtes ! Comment as-tu pu nous identifier à ces films ?

— Je te lai dit, tu as fait ces recherches, et les hommes sont toujours plus jeunes, et puis cette histoire de « grosse bite » »

Je laissais planer le sous-entendu. Ma mère feignait de navoir pas entendu et ne me regardais toujours pas. Assise à ma droite, elle regardait obstinément vers le jardin à travers la baie vitrée, nimporte où, mais à lopposé de moi.

Il était temps pour moi de me lancer. Javais recréé un dialogue, je sentais, ou du moins jespérais, que cela aller suffire pour pouvoir faire entendre mes arguments.

« – Je Jimagine que tout ça, depuis ce matin, tu dois être malade de dégout envers moi ou même en colère. Il faut que tu me croies, je nai jamais pensé ni fait quelque chose dans le but de te faire du mal ! Que ce soient mes fantasmes ou même les vidéos, ce nétait que pour moi, pour maider à à Tu dois me croire, je souffre énormément depuis plusieurs semaines. Cest physique et psychologique. Te voir tous les jours, si belle, et tous les jours je regardais ton ordinateur et je voyais ces vidéos et je timaginais et ensuite, je tai vu, sur mes vidéos Ca me rendait presque malade de désir !

— Arrêtes, ça suffit ! Tu ne peux pas me dire des choses pareilles, tu es mon fils !

— Ce nest pas bien que je te les dise, je le sais. Mais après aujourdhui, ce nest pas mieux dêtre honnête une bonne fois pour toute ? Autant exorciser ça, non ? Je Jen souffre vraiment tu sais. Et cest peu de le dire. Pourquoi croies-tu que tout à lheure, dans la voiture, ça sest vu si facilement que je bandais ?

— Oh, mon dieu

— Cest parce que je narrive plus à me satisfaire depuis une bonne semaine ! Ce nest pas une connerie, comme tu peux le penser. Je narrive plus à jouir, et du coup jai tout le temps envie, cest permanent !

— Et que veux-tu que jy fasse ? Que je fasse ce que ce vieux fou ma dit ? Tu veux que moi, je te masturbe ? Il nen est pas question, jamais. Tu iras voir un psychologue et tu règlera tes problèmes en en parlant, voilà tout.

— Quoi, je vais rester comme ça pendant encore des semaines ? La bite toujours dure, à crever denvie en te regardant ? Tu veux vraiment me sentir dans ton dos toute la journée à te déshabiller du regard ?

— Tu nas quà te contrôler ! Tu nas pas 10 ans !

— Justement, cest quelque chose de bien plus profond que je ressens quune simple envie denfant. Je sais, je sens au fond de moi, que si tu faisais ça pour moi, rien quune fois, ce serait réglé, cest certain !

— Cest horrible Cest

Là ! Je la sentais craquer, dans sa voix qui tremble, ses poings qui se serrent, son regard qui sabaisse. Jenchaine donc, sans lui laisser de répit. Il faut quelle se retrouve avec ma queue dans les mains avant de réaliser ce qui lui arrive. Après, elle sera obligée de finir le travail !

— Je sais, maman, cest tordu, et croies-moi ça me ronge depuis des jours, mais Personne ne le saurait, et toute cette histoire serait derrière nous ! Sil te plait, je jen peux plus !

Je baissais la voix sur la fin, chuchotais à son oreille, la supplication imprégnant mes mots.

La voix enrouée, sans me regarder, elle finit par lâcher prise.

— Très bien, Vincent. Je vais le faire, une seule fois. Personne ne doit jamais le savoir, et nous nen reparlerons jamais. Cest clair ?

— Oui, oui bien sûr ! Merci maman ! Je

— Tais-toi. On va le faire ici, tout de suite. Est-ce que Est-ce que tu es prêts ?

— Prêt ? Je Tu veux savoir si je

Je jouais encore linnocent, celui qui ne sais pas de quoi elle parle. Bah voyons, et comment que je suis prêt ! Tu vas te retrouver avec la plus grosse bite que taies jamais eu devant la gueule en un rien de temps !

Innocent, je me levais devant elle et retirais dun seul coup short et caleçon.

A demie molle, ma queue se retrouva devant elle, à hauteur de son visage, décalottée et pleine de veines, le gland déjà bien gonflé. Pas tout à fait levés, mes 24cms de bite pointaient horizontalement en direction de sa jolie petite gueule, quelle navait pas encore tourné vers moi.

Toujours aussi innocent, je mexclamais alors :

— Voilà. Désolé je ne suis pas totalement

— Oh bon sang Vincent ! Assieds-toi ! sécria-t-elle lorsquelle avait tourné la tête vers moi.

Jai vu son regard se poser sur ma queue, à dix ou quinze centimètres de sa bouche. Putain jai failli lui mettre droit dedans directement ! Je lai vu manquer sa respiration, puis lever un regard interrogateur vers moi avant de reprendre son rôle de mère en colère : Cest à toi ça ? Jaimerais tellement Oh mon dieu ! .

Je me rassis à sa gauche, lair penaud.

— Pardon, jai cru que

— Stop, tais-toi. Je nai pas besoin de la voir, ça ne mintéresse pas. Oh et puis merde, je ne dois pas faire ça, cest nimporte quoi !

Elle veut sen aller, commence à se lever. Je prend sa main gauche et la retiens par lépaule et la supplie : « – Maman, je ten prie, plus maintenant » et, doucement, alors quelle se tourne vers moi son regard décontenancé, je pose sa main sur ma queue maintenant bien raide et bien grosse, entourant ses doigts fins autour de ma colonne de chaire. Son regard sagrandit, elle est estomaquée, par plusieurs choses selon : dune, jai osé poser sa main sur ma queue ; de deux, elle nen revient pas dêtre finalement dans cette situation, car elle se létait interdite, cétait impensable encore deux minutes avant et pourtant elle tient réellement la bite de son fils dans sa main gauche ; et troisièmement, cette bite en question, bon sang, est-ce quelle est vraiment aussi énorme que limpression quelle en a en cet instant ?

Oui, en une fraction de seconde, je sais que cest gagné. Il y a tellement longtemps quelle ne sest pas faite un mec. Elle est une femme magnifique, elle pourrait avoir qui elle veut mais elle est mariée, et même si son mari ne la touche plus, elle ne peut pas aller voir ailleurs. Alors, elle est frustrée, tellement frustrée, et depuis si longtemps ! Je sais que cest gagné car les vidéos quelle regarde son toutes orientées sur deux point : des femmes de son âge, et des belles grosses bites. Et celle quelle à maintenant dans la main Ça fait si longtemps !

Elle sen assure en ouvrant sa main et en la refermant sur mon membre deux fois, toujours en me regardant droit dans les yeux comme une biche effrayée. Elle finit par baisser son regard et constate la réalité de la chose : cest bien sa main, et dans sa main, il y a une énorme queue bien raide, bien grosse et bien chaude qui palpite.

Elle lenserre et fait descendre sa main, tirant sur la peau et faisant ressortir encore plus mon gros gland violacé denvie. Une fois sa main à la base, elle reste interdite devant ce spectacle qui la terrifie et lhypnotise en même temps. Tournant de nouveau ses yeux affolés vers moi, elle veut parler, mais je la coupe instantanément, enfonçant le clou : « – Je sais, avec une main ça ne va pas aller. Tu peux te servir des deux, tu sais.

-Qu ? »

Et sans attendre, je dirige délicatement sa main droite au dessus de sa gauche et la referme elle aussi sur ma bite. Ce faisant, je la fait se pencher doucement vers mon entrejambe…

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