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Mamie Louise – Chapitre 1




Assis autour de la table en chêne, Maurice et Jérémie attendaient que Louise apparaisse avec le plat dentrée. Seul le son de la télévision donnant les dernières informations brisait le silence de la salle à manger qui servait uniquement le dimanche ; les repas se prenant les autres jours à la cuisine.

Fixant lécran qui lui renvoyait les dernières images de la matinée, Maurice, un verre de vin en guise dapéritif, ne pouvait sempêcher de critiquer ce quil voyait. Les sujets de ses exaspérations étaient surtout les politiques qui, une fois en place, ne pensaient quà se remplir les poches, oubliant leurs belles promesses électorales. Puis venaient les supermarchés qui ruinaient les agriculteurs dont il faisait partie. Habitué à ces jérémiades de la part de son grand-père, Jérémie se gardait bien de les contester, attendant lapparition de sa grand-mère occupée dans sa cuisine.

Depuis sa plus tendre enfance, Jérémie venait passer ses vacances chez ses grands-parents. Ces derniers, nayant que lui comme petit fils ne savaient que faire pour lui rendre ses séjours agréables. Aussi chaque année cétait avec énormément de plaisir quil venait passer un mois dans la ferme que tenaient les parents de sa mère Combien de fois avait-il arpenté ses sentiers de Savoie en compagnie de son grand-père ; celui-ci lui apprenant à reconnaître les traces des animaux sauvages hantant les nuits savoyardes, à différencier les chants des différents oiseaux squattant les bosquets.

Avec sa grand-mère ses loisirs étaient bien différents. Louise lui avait appris à traire les chèvres dont elle avait un élevage, et avec le lait ainsi recueilli elle lui avait montré comment le transformer en savoureux fromages. Mais surtout ce quil appréciait le plus avec sa mamie Louisette, comme il lappelait, cétait les souvenirs de jeunesse que cette dernière lui révélait. Ces instants privilégiés se passaient en général sur le banc de bois placé devant le mur de la ferme. Louise, tout en soccupant à quelques travaux de couture, lui narrait des anecdotes du temps de sa jeunesse. Allongé à même le banc, la tête reposant sur les cuisses de sa grand-mère, les yeux au ciel à suivre le vol des hirondelles, Jérémie se laissait bercer par la voix douce et charmante de Louise. Chaque année Jérémie passait ainsi un mois de rêve.

Mais cette année, année de ses seize ans, Jérémie se sentait étrangement différent. Sa libido sétait peu à peu révélée à lui, ses sens avaient insensiblement pris possession de ses organes génitaux. Chaque matin depuis quelque temps, le même scénario se reproduisait. Cette raideur de son sexe quil découvrait à son réveil lavait surpris au début, mais très vite il avait compris tout le plaisir quil pouvait en tirer. Cela sétait fait instinctivement. Sans que personne ne lui enseigne comment il devait pratiquer, il avait découvert la façon de caresser son membre jusquà ce que celui-ci crache sa liqueur. Si au début le liquide qui jaillissait de son gland dilaté avait la consistance et la couleur de leau, avec le temps il sétait quelque peu épaissi en prenant une teinte blanchâtre ; et le plaisir sen était trouvé décuplé. Avec léveil de ses sens, Jérémie sétait senti attiré par le sexe féminin. Il avait commencé à observer les filles de son âge avec un intérêt non dissimulé. Mais très vite il avait été plus particulièrement captivé par les femmes plus âgées aux appas généreux. Comme beaucoup dadolescents, les fortes poitrines attiraient inéluctablement ses regards et le plongeaient dans des désirs perturbants.

Dès le lendemain de son arrivée à la ferme, sa grand-mère lui avait demandé sil voulait bien laider à étendre le linge dans la cour. Tout heureux de se trouver en compagnie de sa mamie Louisette, Jérémie avait accepté avec enthousiasme. Mais alors que sa grand-mère sactivait à accrocher le linge humide sur létendage, Jérémie prit soudainement conscience que sa mamie possédait des formes généreuses. La blouse, dont elle était continuellement vêtue, se gonflait généreusement au niveau de la poitrine, formant deux gibbosités étonnamment volumineuses. Cette soudaine découverte plongea Jérémie dans ses fantasmes sexuels dadolescent. Mais alors que Louise pivotait sur elle-même, Jérémie saperçut que la blouse pourtant assez ample ne parvenait pas à complètement atténuer les rondeurs des hanches ; ces soudaines découvertes lui procurèrent un tel trouble quil en sentit une bouffée de désir lui envahir le bas-ventre. Sa mamie Louisette, celle quil avait toujours considérée comme sa tendre nounou, lui apparaissait soudain comme une femme aux attraits séduisants. Chaque fois que Louise levait les bras pour accrocher le linge à la corde tendue, Jérémie avait limpression que son alléchante poitrine se dilatait un peu plus. Tout en laidant en lui passant le linge humide, lado sexcitait à surveiller du coin de lil le sensuel mouvement ascensionnel des protubérances mammaires…

Cependant, la totalité du linge accroché et livré au vent, Louise se courba en avant pour récupérer la corbeille vide. Jérémie qui allait sen retourner à la ferme, la tête pleine dimages égrillardes, simmobilisa, fasciné par le spectacle que sa grand-mère lui offrait à son insu. Penchée en avant comme elle létait, sa blouse sétait plaquée contre sa croupe tendue par la position. Le galbe du derrière charnu se dessinait avec une telle précision que les contours du slip se devinaient sous le tissu de la blouse. Cette nouvelle vision acheva daffoler les sens de Jérémie. Avec effroi il sentit son membre se dresser dans son slip. A partir de ce moment, Louise napparut plus aux yeux de lado comme sa grand-mère, sa tendre nounou, mais comme une femme terriblement désirable.

Ce premier dimanche quil passait chez ses grands-parents allait être pour Jérémie un jour particulier dans sa vie sexuelle.

Aussi loin quil sen souvenait, le dimanche chez ses grands-parents était un jour de fête ; aussi ce jour-là, ces derniers troquaient les vêtements quils utilisaient la semaine pour des habits plus élégants.

Jérémie constata pour ce premier dimanche quil passait à la ferme que la tradition avait perduré. Maurice, son grand-père, se présenta à lheure du déjeuner vêtu dun costume sombre et dune chemise blanche. Lorsque Louise apparut, plat de charcuterie à la main, Jérémie demeura ébahi. Sa grand-mère avait abandonné sa perpétuelle blouse pour un corsage imprimé de grosses fleurs bleues, et une jupe blanche qui lui ceignait étroitement les hanches, avant de sélargir en fronçant au niveau des genoux. Ladolescent ne put que constater combien sa grand-mère était une femme encore extrêmement belle et désirable. Le corsage quelle portait, boutonné sur le devant, sarrondissait agréablement au niveau de sa poitrine. Le léger tissu moulait à la perfection la forme arrondie de deux seins dodus. Ces seins qui depuis une semaine le faisaient fantasmer, le plongeant dans des rêves érotiques dont il se réveillait le bas-ventre souillé. Fasciné par les protubérances qui tels deux melons, comme aimait plaisanter son grand-père, déformaient le chemisier, Jérémie ne pouvait en détacher son regard.

Faisant son apparition dans la salle à manger où lattendaient ses deux hommes, Louise remarqua immédiatement le regard fixe de Jérémie en direction de sa poitrine particulièrement mise en valeur par un soutien-gorge à balconnets. Ce genre de sous-vêtement quelle sautorisait les dimanches et jours de fêtes. Si ce regard plein de fascination de son petit-fils lamusa dans un premier temps, le désir quelle y décela la perturba quelque peu.

Eh bien, Jérémie Quest-ce que tu as à me regarder comme ça, tenta-t-elle de plaisanter ?… On dirait que tu as vu une apparition !… Ce nest que moi, ta grand-mère

Il lui avait bien semblé que Jérémie, depuis son arrivée à la ferme, jetait de furtifs regards en direction des bosses qui déformaient le devant de sa blouse. Elle nen avait pas spécialement tenu compte, mettant cela sur le compte de la curiosité du jeune garçon quétait encore son petit-fils. Mais présentement, elle comprit soudain que Jérémie semblait vraiment fasciné par sa poitrine particulièrement mise en valeur. Cette observation, si elle la surprit, lui ouvrit les yeux sur le fait que son petit-fils, quelle avait toujours considéré comme son bébé, avait passé le cap de lenfance pour entrer dans celui de ladolescence. Cependant, si elle comprenait quà son âge Jérémie pouvait ressentir des désirs pour la gent féminine, quil puisse en éprouver pour elle, sa grand-mère lamusait, tout en la stupéfiant.

Plus troublée quelle ne laurait voulu, Louise déposa le plat de charcuterie avant de prendre place autour de la table, face à son jeune admirateur.

Le repas se déroula sur fond de télévision, entrecoupé des commentaires de Maurice, sous les regards amusés et complices de Louise et Jérémie.

Tout en dégustant les plats préparés par sa grand-mère, Jérémie ne pouvait sempêcher de lancer de discrets coups dil en direction des deux protubérances qui gonflaient le corsage de celle-ci. Suivant les mouvements queffectuait sa grand-mère, les affriolantes proéminences oscillaient doucement, provoquant chez Jérémie des perceptions lubriques interdites.

Lorsque Louise quittait la table pour aller chercher la suite des plats à la cuisine, le spectacle nen était pas moins aguicheur. La jupe étroite moulait avec une précision extraordinaire le galbe des hanches et la rondeur de la croupe, ce qui ne fit quaccentuer encore le malaise érotique de Jérémie. Surtout que lors de ses déplacements, Louise avait une façon très particulière de se déhancher, donnant à sa croupe un mouvement de balancier dune sensualité prononcée.

Le repas se passa dans un silence relatif, Maurice demeurant les yeux braqués sur lécran de télévision, faisant des commentaires à chaque information. Se complaisant dans ce silence, Jérémie ne manquait pas une occasion pour lorgner en direction des bosses saillantes qui déformaient le corsage de sa grand-mère. Louise, quant à elle, consciente du désir quelle avait involontairement provoqué chez son petit-fils, songeait avec amusement au regard plein de concupiscence quelle avait surprise chez ce dernier. Preuve évidente que son « bébé adoré » comme elle aimait lappeler, avait atteint sa maturité sexuelle. Si elle en était fière, elle était quand même quelque peu triste : elle devrait dorénavant se montrer plus réservée envers le jeune homme quétait devenu Jérémie.

* * *

Le repas terminé, Maurice prévint quil allait faire une petite sieste. Son mari parti, Louise prenant Jérémie pour témoin, lui montra la bouteille de vin au trois quarts vides :

Je crois bien que ton grand-père a un peu trop abusé du bourgogne Bon maintenant il va falloir que je fasse la vaisselle Va donc te promener un peu pendant ce temps

Non, je vais te donner la main, proposa aussitôt Jérémie, tout heureux de rester seul avec sa grand-mère, de lavoir pour lui tout seul, de pouvoir encore profiter de ses formes généreuses et si affolantes à ses yeux.

Comme tu es gentil, mon chéri !… Alors, apporte-moi les assiettes pendant que je prépare le lave-vaisselle.

Comme Louise quittait la salle à manger afin de se rendre à la cuisine, Jérémie fixa, excité, le sensuel balancement des fesses de sa grand-mère que la jupe étroite dessinait sensuellement. Ayant lhabitude de toujours la voir affublée de sa blouse inesthétique, Jérémie découvrait ce jour que sa grand-mère, lorsquelle prenait soin de sa tenue, possédait une silhouette extrêmement attrayante. Ses formes généreuses particulièrement mises en valeur le plongeaient dans ses fantasmes les plus enflammés. Louise lui apparaissait comme lune de ces femmes quil aimait contempler sur le web ; ces femmes dun âge aux corps potelé, ce qui les rendait particulièrement attrayantes à ses yeux. Se retrouvant seul dans la salle, Jérémie sempressa de ramasser les assiettes, afin daller rejoindre sa grand-mère dans la cuisine.

Alors quil franchissait la porte desservant les deux pièces principales de la maison, Jérémie simmobilisa, le cur battant devant le spectacle qui soffrait à lui : Louise penchée sur le lave-vaisselle chargeait celui-ci. Rien de bien spécial à cela, si ce nest que pliée en avant comme elle létait, sa grand-mère lui offrait, sans sen douter, le spectacle de sa croupe pulpeuse que la position rendait encore plus joufflue. Sous le tissu tendu de la jupe, les contours de la culotte se détachaient avec précision, formant une bordure en relief dun effet saisissant. Cette simple découverte suffit pour que Jérémie sente sa verge se gonfler dans son slip soudain trop étroit. Déposant les assiettes sur la table de cuisine, il sapprocha de Louise, fasciné par le spectacle de la croupe large et charnue. Simmobilisant à quelques centimètres de sa grand-mère, inconsciente du spectacle terriblement érotique quelle lui offrait ainsi penchée, il fixa avec concupiscence les rotondités du derrière tendu par la position.

Les produits installés dans le lave-vaisselle, Louise se redressa en se reculant. Dans ce mouvement son dos heurta quelque chose quelle identifia immédiatement.

Oh !… Tu es là, sexclama-t-elle surprise.

Heu ! Oui, tenta dexpliquer Jérémie qui se trouva dans limpossibilité de se dégager de ce contact, bloqué quil était par la table de la cuisine qui lui interdisait tous mouvements de recul Jai amené les assiettes, tenta-t-il de balbutier, bouleversé par la situation.

Cest bien mon chéri

Comme elle sapprêtait à faire le pas en avant qui aurait libéré son petit-fils de sa fâcheuse position, Louise perçut une dureté incongrue contre ses fesses. Ce contact, dont elle devina immédiatement la nature, layant plus une fois subie dans son existence, la stupéfia. Interloquée, elle simmobilisa, ne pouvant admettre la vérité. Cet objet à la forme si particulière et à la dureté caractéristique qui sécrasait contre son derrière ne pouvait être que le sexe en érection de Jérémie. Son petit-fils, son « bébé damour » comme elle aimait lappeler était lobjet dune véritable érection. Ce quelle sentait contre sa croupe était bien sa jeune virilité dure et gonflée. Extrêmement bouleversée par ce quelle identifiait contre ses fesses, Louise demeura un long moment immobile, ne sachant quelle contenance adopter. Jérémie devait être encore plus perturbé qu’elle de cette situation Reprenant enfin ses esprits, la stupéfaction passée, Louise, dun souple mouvement se dégagea de ce contact inconvenant, aussi bien pour elle que pour son petit-fils. Ne voulant pas perturber ladolescent par une quelconque remarque, elle choisit de faire comme si elle ne sétait rendu compte de rien.

Bon, je vais terminer, annonça-t-elle dune voix quelle prit soin de rendre naturelle Tu peux aller te promener si tu veux Je nai plus besoin de toi

Soulagé davoir échappé à la réprimande quil sattendait à recevoir de la part de sa grand-mère, Jérémie sempressa de quitter la cuisine. Il était impossible que cette dernière ne se soit pas rendu compte de son excitation collés lun à lautre comme ils létaient. Troublé, et quelque peu honteux, par rapport à ce qui venait de se passer, Jérémie sortit de la ferme, impatient de se retrouver à lair libre. Comment avait-il pu éprouver ce désir pour sa grand-mère ? Même si celle-ci possédait un corps encore très désirable pour ladolescent quil était, avec ces rondeurs pleines de sensualités, cétait quand même sa grand-mère ; la mère de sa mère

Une fois dans la cour, Jérémie se dirigea en direction de la grange ; ce lieu où il aimait se réfugier pour y rêver. Le bâtiment servait à entreposer les différents appareils agricoles. Une soupente à laquelle on accédait par une échelle servait à stocker le fourrage pour les chèvres. Il était également possible datteindre cette soupente grâce à un escalier extérieur qui donnait sur une large ouverture permettant de recevoir les bottes de paille.

Se retrouvant dans ce quil considérait comme son territoire, Jérémie sallongea dans la paille odorante, lesprit et les sens perturbés par ce quil venait de vivre. Fermant les yeux il se plongea dans ses pensées se remémorant les instants dexcitations quil avait connus. Sous ses paupières closes, les images des affolantes rondeurs de sa grand-mère défilèrent en boucles ; depuis son imposante poitrine qui déformait son corsage, ses hanches agréablement arrondies et surtout son derrière pulpeux. Inconsciemment, Louise lui rappelait ces femmes aux appas généreux quil aimait contempler sur le net le soir seul dans sa chambre. Ces femmes aux seins lourds, aux hanches évasées et aux fesses rondes et charnues. Combien de fois sétait-il fait jouir devant ces images de femmes matures plantureuses. Que de sperme avait-il récolté dans sa main !

Cependant, à songer aux formes suggestives de sa grand-mère Jérémie ne tarda pas à percevoir son sexe se gonfler, tout en se raidissant à lintérieur de son slip. Le désir qui navait cessé de le travailler pendant tout le diner récidivait avec encore plus dintensité. Aussi, se soumettant à ses sens tourmentés, se sachant à labri de toute intrusion inopportune, Jérémie sempressa de repousser son pantalon, puis son slip, dénudant son bas-ventre au bas duquel sa verge se dressait orgueilleusement. Désireux de se procurer ce plaisir qui le délivrerait du désir qui lui mordait les entrailles, Jérémie lança vivement une main jusquà sa queue en érection. Refermant ses doigts autour de ce pieu quétait devenue sa verge, il entreprit de se branler lentement.

Comme il lavait appris au fil de ses masturbations solitaires, Jérémie repoussa le prépuce afin de dégager son gland gorgé de sang. Gardant son membre décalotté de la main droite, il porta la gauche à sa bouche dans laquelle il cracha abondamment. Gardant précieusement sa salive au creux de la paume, il referma sa main ainsi imbibée autour de son gland, lhumectant copieusement. Alors seulement il referma ses doigts tout contre la couronne du gland quil massa vivement. Comme à chaque fois quil procédait à ce genre dattouchement, Jérémie perçut immédiatement un sensuel plaisir irradier son gland dilaté. Tout en sollicitant vivement la couronne du bourgeon turgescent de la main gauche, sans omettre de lhumidifier fréquemment de sa salive, il entreprit de branler la base de sa queue de la main droite. Très vite, comme à laccoutumée le plaisir prit possession de la totalité de son bas-ventre ; de longs frissons voluptueux parcoururent son corps, lui tétanisant les muscles du dos. Mais ne voulant pas jouir immédiatement, désirant faire durer ce moment de félicité, Jérémie sobligea à ralentir ses caresses, stoppant même sa main droite dans sa masturbation.

Fermant les yeux, Jérémie tacha de se créer un scénario qui accompagnerait et doperait son plaisir. La première image qui lui vint à lesprit fut évidemment celle de sa grand-mère pour laquelle il sétait découvert cet étrange et impérieux désir. Même si cette concupiscence lui était interdite, il la ressentait au fond de lui et le troublait au plus haut point. Façonnant son songe érotique suivant ses fantasmes, il se représenta sa grand-mère à genoux à ses côtés, le branlant dune main extraordinairement douce et délicate. Avec dextérité elle insistait plus particulièrement sur la base extrêmement sensible de son gland, lui procurant de véritables décharges électriques dans tout le bas-ventre.

Faisant un effort de concentration, Jérémie affina son fantasme : sa grand-mère avait déboutonné son corsage sous lequel ses seins imposants se trouvaient libres de tout soutien-gorge. Tout en éprouvant un indicible plaisir sous la voluptueuse masturbation, Jérémie se focalisa sur les lourdes mamelles qui se balançaient mollement. Etonnamment, Louise possédait la même poitrine opulente que celles de ces femmes quil aimait à contempler sur internet : lourde et pansue, aux larges aréoles sombres au centre desquelles se dressait un téton particulièrement développé. Alors quil fixait médusé les seins que son esprit enfiévré façonnait à sa volonté, sa grand-mère agita subitement son torse de droite à gauche, faisant balloter les fruits charnus de sa poitrine dune manière des plus sensuelle. Un doux chuchotement emplit alors lesprit de Jérémie « Ils te plaisent mes nénés, mon chéri ? Tu les trouves à ton goût ?… Tu aimes que mamie te branle ? » Pris dans son songe érotique lado ne put sempêcher dacquiescer dune voix sourde, « Oh ! oui Cest trop bon ! »

Victime de sa folie érotique, Jérémie accéléra instinctivement sa masturbation. Comme pris de frénésie, il agita frénétiquement sa main droite de bas en haut, faisant ainsi coulisser la peau mobile du prépuce autour de la collerette sensible de son gland. Lorgasme le saisit soudain, sans quil ne lait senti investir ses organes génitaux. Dans un soubresaut inattendu, ses reins se cambrèrent alors que son bas-ventre semblait se tétaniser. Tels des geysers incontrôlables, des jets blanchâtres jaillirent de son gland congestionné, sélevant à quelques centimètres avant de retomber lui souillant le ventre. Léjaculation dura étonnamment longtemps. Il sembla à Jérémie que sa queue nen finissait plus de cracher son sperme. Jamais encore il navait autant éjaculé ! Quand enfin, à bout de munition sa verge cessa ses tirs de barrage, il songea que sa grand-mère nétait certainement pas étrangère à son extraordinaire jouissance

*

* *

Restée seule dans la cuisine, après le départ de Jérémie, Louise continua de garnir le lave-vaisselle. Mais si elle sactivait à ranger les couverts à lintérieur de lappareil, son esprit par contre sétait entièrement désolidarisé de ce à quoi soccupaient ses mains. En pleine activité, il ne cessait de réfléchir, tâchant danalyser les instants étranges qui venaient de se passer.

Lorsquelle avait heurté Jérémie qui se trouvait derrière elle, Louise, après le moment de surprise passé, avait immédiatement perçu contre ses fesses cet objet long et dur, reconnaissable entre tous. Instantanément elle avait compris que cette chose rigide qui sécrasait contre son derrière ne pouvait être que le sexe de Jérémie, son « bébé damour » ! Aussi incroyable que cela pût lui paraître, Jérémie était en proie à une formidable érection ; la fermeté de ce quelle sentait contre ses fesses lui en apportait la preuve. Létonnement, suite à cette découverte, avait été tel pour Louise, quelle était demeurée figée, comme pétrifiée, incapable de croire en ce quelle percevait. Ce nest quau bout de longues secondes pendant lesquelles elle demeura accolée au bas-ventre de son petit-fils, quelle réagit enfin, mettant fin à ce contact embarrassant aussi bien pour elle que pour Jérémie, elle en était certaine.

Présentement seule, dans le silence de limmense ferme, Louise tenta de comprendre le pourquoi de ce désir surprenant de Jérémie. Ne voulant pas accabler son petit-fils pour lequel elle éprouvait un amour incommensurable, elle songea quen fait si ladolescent avait réagi de cette façon, cétait à cause delle : cétait elle la responsable du trouble sexuel de ladolescent. Dès quelle était apparue dans la salle à manger, Jérémie navait cessé de la contempler avec une lueur dans le regard qui ne lavait pas trompé. Cest cette même lueur quelle avait découvert dans le regard de Julien le fromager quelques semaines plus tôt, et qui lavait poussé dans ses bras la semaine suivante.

En choisissant cette tenue plutôt sexy, cest à son mari quelle avait voulu plaire, car elle sentait ce dernier moins amoureux depuis quelque temps. De douze ans son ainé, Maurice semblait ne plus avoir les mêmes besoins sexuels, alors que pour elle sa libido était toujours aussi ardente ; cest la raison pour laquelle elle avait accepté et répondu aux avances de Julien. Mais son corsage largement échancré et sa jupe moulante avaient plus excité son propre petit-fils, que son époux.

Cependant, malgré lévidence, malgré ce contact quelle avait perçu contre sa croupe, Louise se refusait à accepter la situation. Il était impossible quà cinquante-trois ans, elle ait pu affoler sexuellement Jérémie, qui lui navait que seize ans ! Extrêmement perturbée par le fait quelle avait provoqué un tel désir chez son propre petit-fils, Louise, lesprit empli didées contradictoires regagna la salle à manger. Sinstallant à la place quelle avait occupée lors du repas, elle se plongea dans ses pensées. Une question revenait sans cesse, comme un leitmotiv : comment avait-elle pu à son âge, provoquer ce désir sexuel chez un adolescent de seize ans ! Cette constatation, si elle laffectait, la troublait étrangement également. Cette jeune virilité quelle avait sentie contre ses fesses ébranlait curieusement ses sens ; et plus elle pensait à cet attouchement incongru, plus elle sentait son bas-ventre séchauffer.

Dans le silence de la pièce seulement troublé par le caquètement des poules à lextérieur, Louise, les coudes sur la table, le menton reposant sur ses poings fermés, sinterrogeait sur ce désir qui insidieusement prenait possession de ses entrailles. Comment le fait de percevoir contre son derrière la raideur et la dureté du membre viril de son petit-fils avait-il pu perturber ainsi sa libido ?

Lapparition soudaine de Maurice faisant irruption dans la pièce tira brusquement Louise de ses réflexions.

Eh bien ! ça va mieux, annonça ce dernier en sasseyant aux côtés de sa femme Il ne reste pas un peu de ce bon vin que tu nous as servi à midi ?

Si Tu en as laissé un peu Je te lamène !

Comme elle se levait pour se rendre jusquau placard où était rangée la bouteille de Bourgogne « Pinot noir », Louise constata avec émotion que des tréfonds de son sexe une chaude liqueur sécoulait, humectant les lèvres de sa vulve. Tant quelle était assise, elle ne sétait rendu compte de rien, mais une fois debout cétait comme si une vanne sétait ouverte au fond de son vagin libérant une source secrète. Prenant conscience que sa chatte shumectait insidieusement, elle constata quelle était victime dun sournois, mais impérieux désir. Sous le feu qui sinstallait dans ses entrailles, elle éprouva une soudaine envie de faire lamour, de sentir un sexe masculin lui fouiller le vagin.

Le bas-ventre parcouru par des frémissements intenses, Louise apporta la bouteille de Bourgogne et un verre quelle déposa devant son mari.

Jérémie nest pas là, demanda soudain Maurice ?

Il est sorti se promener, renseigna Louise. Il doit être du côté de létang, il aime cet endroit.

Louise préféra taire à Maurice la découverte de la sexualité de leur petit-fils, et surtout les conditions dans lesquelles celle-ci sétait produite. Alors quelle remplissait le verre, elle sentit la main de son époux se poser sur ses fesses, comme il avait lhabitude de le faire, sans pour autant aller plus loin. Mais à cet instant, ce simple contact exacerba un peu plus sa libido déjà fortement perturbée. Prise dun accès de désir extrême, elle séloigna de son mari : il fallait quelle sache si réellement elle était encore désirable aux yeux de son époux ou si le désir de Jérémie, quelle avait perçu contre sa croupe, nétait que le fait dun adolescent séveillant à la sexualité. Faisant face à celui qui avait partagé sa vie depuis plus de trente ans, les mains sur les hanches, elle sinforma :

Comment tu me trouves ?

Comment ça, interrogea Maurice, étonné par la question ?

Est-ce que tu me trouves encore désirable ?

Mais bien sûr, tenta de se justifier Maurice, ne comprenant toujours pas où voulait en venir son épouse.

Soudainement fébrile, Louise déboutonna son corsage quelle repoussa sur ses épaules, offrant à son mari la vision de son torse, et surtout de sa lourde poitrine maintenue dans un coquin soutien-gorge, qui laissait déborder les dômes charnus de ses seins.

Comment tu trouves mes seins, questionna Louise, dont le désir samplifiait à mesure de ses questions ?

Ebahi par le spectacle érotique que sa femme lui offrait, Maurice fixa, soudainement charmé, les larges aréoles brunes que la dentelle blanche du soutien-gorge ne pouvait dissimuler. Il lui sembla même apercevoir lun des tétons pointant entre les mailles de la dentelle. Mais ce qui le surprit également fut le soutien-gorge coquin que Louise portait. Dhabitude cette dernière utilisait des soutiens-gorges qui enveloppaient complètement ses seins, ne laissant pas apparaître la moindre parcelle de chair.

Ils sont très beaux, sempressa-t-il de répondre Mais je ne tavais jamais vu avec ce soutien-gorge ! Il est plutôt coquin, non !

Il te plait ?… Je lai acheté spécialement pour te plaire !… Tu aimes ?

Elle ne pouvait avouer quen fait, le soutien-gorge et la mini culotte qui allait avec et quelle portait présentement, lui avait été offerte par Julien son amant, qui le lui en avait fait cadeau quelques jours plus tôt. Un peu honteuse de mentir ainsi à son mari, Louise nen continua pas moins son numéro de charme, dans le but de provoquer chez ce dernier ce désir qui semblait lavoir fui depuis quelque temps déjà : même si pour arriver à son but elle devait utiliser les sous-vêtements libertins que lui avait offerts son amant. Fixant son époux, cherchant dans son regard cette étincelle de désir quelle souhaitait voir apparaître, elle agrippa les bonnets de son soutien-gorge, quelle remonta jusquà son cou, libérant ses seins ronds et pulpeux. Privés de leurs soutiens, les lourdes mamelles savachirent mollement, sans pour autant perdre de leurs sensuels attraits.

Tu aimes mes nénés, demanda Louise ?… Tu ne trouves pas quils ont pris de lampleur avec lâge ?… Regarde, mes tétons sont tout raides !…

Il sembla à Louise que Maurice la contemplait différemment, ce qui procura une nouvelle onde de désir dans son bas-ventre. Pivotant alors sur elle-même, elle présenta son derrière à son époux :

Et mes fesses !… Comment tu les trouves ?… Elles ne sont pas trop grosses ?…

Et pour que Maurice puisse contrôler de visu ses dires, et surtout pour que la vue de ses fesses achève dattiser ses instincts sexuels, Louise entreprit de retrousser sa jupe, dévoilant ses jambes fermes et musclées par les travaux de la ferme. Arrivée au niveau de ses hanches, que lâge avait considérablement élargies, elle dut onduler du bassin pour faciliter le passage de sa jupe trop étroite.

Maurice, qui ressentait un certain plaisir à suivre le numéro de charme que Louise lui proposait, ressentit un début dérection ; aussi fixa-t-il le balancement suggestif de la croupe avec un intérêt charnel.

Avec difficultés, Louise réussit à faire glisser sa jupe étroite le long des rondeurs accentuées de ses hanches, offrant aux regards de son époux la vision de sa croupe, sanglée dans la mini-culotte de dentelle offerte par son amant.

Alors comment trouves-tu mes fesses, questionna Louise en ondulant lascivement des hanches ?

Les yeux fixés sur cette croupe à la houle langoureuse, Maurice sentit son sexe se gonfler irrésistiblement. Le désir quil sentait monter en lui depuis un moment venait de prendre possession de sa verge. Sans cesser de contempler le derrière plantureux de son épouse, il empoigna son membre à travers son pantalon pour le presser avec ardeur. La vision des rondeurs potelées, sanglées dans ce slip de dentelle qui laissait apparaître la chair blanche des fesses, agit sur ses sens comme un aphrodisiaque stimulant ses sens. La croupe de sa femme avait toujours exercé un attrait particulier. Lors de leurs ébats amoureux, le fait de malaxer ces rondeurs moelleuses accroissait son plaisir, lamenant irrésistiblement à lorgasme libérateur.

Grisé sexuellement par le numéro de séduction que Louise exécutait avec une sensualité quil ne lui connaissait pas, Maurice se redressa de sa chaise, incapable de demeurer plus longtemps spectateur. Savançant rapidement en direction de son épouse à la tenue impudique, il se colla contre son dos. Tout en la ceinturant fermement, il plaqua son bas-ventre contre la croupe affolante, sefforçant à placer son membre le long de la raie des fesses.

Dès que Maurice la ceintura contre lui, Louise comprit que sa tactique érotique était couronnée de succès ; la raideur quelle percevait contre sa croupe en était la preuve. Son plan avait réussi au centuple de ses espérances. Agitant sensuellement ses hanches, elle frotta ses fesses contre le membre dur et gonflé quelle percevait.

Il texcite mon cul ! lança-t-elle vicieusement, sachant que rien nexcitait plus Maurice que ses remarques grivoises, lors de leurs rapports sexuels.

Tu ne sens pas comme tu me fais bander !

Oh si, je le sens !… Elle est dure !… Tu vas me la mettre ?… Jen ai trop envie !…

Cest vrai ça ?… Tu as vraiment envie de ma queue ?

Oh oui ! Je veux ta grosse queue dans ma chatte !… Mets-la-moi !…

Immobilisant son épouse contre lui de son bras gauche, Maurice glissa sa main droite à lintérieur de la fine culotte de dentelle. Ses doigts frôlèrent dabord la chair chaude et moelleuse du ventre, avant de saventurer dans labondante toison qui tapissait le pubis. Le contact des boucles emmêlées déclencha en lui un excès de désir. Incapable de résister plus longtemps, il inséra avec autorité sa main dans lentrecuisse à la chair soyeuse, forçant son épouse à écarter les jambes. Immédiatement ses doigts glissèrent dans le sillon suintant de la vulve et il neut quà replier son majeur pour que la première phalange senfonce dans le conduit vaginal trempé.

Tu es trempée, remarqua-t-il !… Cest pire que la cascade du Rouget !…

Jai trop envie, gémit Louise, les jambes tremblantes dune impatience sexuelle.

Etant lui-même fortement excité, Maurice retira ses doigts de la culotte trempée. Empoignant son épouse par la taille, il la fit pivoter afin de la coincer contre limmense table de la salle à manger. Resserrant ses doigts autour de la taille, il souleva sa sensuelle moitié sans beaucoup deffort, vu le faible poids de cette dernière, la forçant à sassoir sur la table, jambes largement écartées. Puis prestement, victime du désir qui sétait emparé de ses organes, il dégrafa son pantalon quil repoussa sur ses cuisses musclées. Son slip gonflé par limposante érection dont il était lobjet fut promptement refoulé à son tour.

Louise, assise sur la table, attendant impatiemment la suite des évènements, sentit sa gorge se nouer en découvrant la puissante queue de son époux qui, tel un gourdin, se dressait orgueilleusement au bas du ventre de celui-ci. Même si leurs rapports sexuels étaient devenus au fil du temps de plus en plus rares, Louise éprouvait toujours le même émoi lorsquelle découvrait la verge en érection de son époux. Pas très longue, mais dun diamètre impressionnant lorsquelle se trouvait en cet état, cette queue lenvoûtait irrémédiablement, lui ôtant toute volonté.

Pressé dassouvir son envie sexuelle, Maurice sincrusta entre les cuisses grandes ouvertes de son épouse, son gland gonflé frappant lentrejambe de la culotte de cette dernière. Crochetant la lingerie intime qui lui faisait obstacle à son désir, il le repoussa sur le côté, souvrant laccès de la vulve convoitée.

Frissonnante dimpatience, tout le corps moite dune sueur érotique, Louise sapprêtait à recevoir la verge dilatée au plus intime de sa féminité quand une pensée lui traversa soudain lesprit : Jérémie ! Leur petit-fils risquait de rentrer à tout moment et les surprendre dans une occupation qui risquait de le choquer !

Non ! Réussit-elle à balbutier Pas ici !… Jérémie pourrait nous surprendre !… Allons dans la cham Oh, non !…

Mais avant même quelle nait réussi à finir sa phrase, le pal vigoureux de Maurice sétait entièrement enfoncé dans son vagin en feu.

Et alors, répliqua Maurice ?… Je suis sûr que ça texciterait !… Je me trompe ?…

Tout en appréciant la grosseur du membre viril qui lui dilatait la vulve, Louise songea à ce que son pervers mari venait de lui exposer. A la pensée de son petit-fils assistant aux ébats sexuels auxquels se livraient ses grands-parents, une bouffée de chaleur lenvahit. Elle imagina la scène à laquelle Jérémie risquait dassister sil venait à pénétrer dans la pièce : découvrir sa grand-mère les cuisses largement écartées, impudiquement offerte, embrochée par le dard de son grand-père. Lexcitation que provoqua cette vision à ses sens fut telle, quune vague de plaisir déferla dans son bas-ventre, lui procurant une formidable jouissance.

Sous le déluge brulant qui lui enveloppa soudainement la queue, Maurice demeura incrédule :

Putin ! Sexclama-t-il, surpris par cette jouissance précoce Tu étais drôlement excitée Je ne tai jamais vu partir aussi vite

Tétanisée par lintense et expéditif orgasme qui venait de lemporter, Louise fut bien incapable de répondre ; tout son corps semblait planer à lintérieur dun cocon moelleux tandis que derrière ses paupières closes des constellations multicolores défilaient Longtemps, elle demeura ainsi à flotter dans un océan de volupté, insensible à tout ce qui lentourait. Ce nest quau bout de quelques minutes que de violents coups de boutoir à lintérieur de son vagin la ramenèrent à la réalité. Agrippé à ses hanches, Maurice se démenait impétueusement entre ses cuisses, à grands coups de reins, lui pistonnant le vagin de sa queue dilatée.

Ça y est ?… Tu refais surface ?… Cétait bon, demanda-t-il essoufflé ?… Tu es trempée !… Un véritable déluge

Un bruit bien connu de clapotis liquide parvint aux oreilles de Louise, la renseignant sur lhumidité dans laquelle le pal de chair naviguait. Une pensée pour le plateau verni de la table qui risquait dêtre endommagé par ses sécrétions vaginales lui traversa lesprit. Mais avant quelle ne prenne une décision pour remédier à cet inconvénient majeur, le véloce va-et-vient du mandrin à lintérieur de sa chatte la projetait de nouveau dans une trajectoire voluptueuse. Oubliant tout ce qui lentourait, oubliant même le risque que Jérémie les surprenne, elle sabandonna de nouveau au plaisir qui lui irradiait les entrailles. Se cramponnant fébrilement aux rebords de la table afin de contrer les furieux coups de boutoir que lui assénait Maurice, elle se laissa emporter par sa libido déchainée. A chaque fois quelle faisait lamour, Louise ressentait le besoin de sexprimer, de faire profiter son partenaire du plaisir quelle éprouvait. Or présentement, le frottement insistant du gland contre les parois de son vagin exacerbait les terminaisons nerveuses de son sexe, déclenchant chez elle ce besoin de partager ses émotions. Le corps arqué sur limmense table de la salle à manger, elle laissa jaillir ses plaintes amoureuses et ses encouragements.

Oh oui Oouui Cest bon !… Hhaaaa Plus vite ! Baise-moi bien à fond !… Hhooo oouuuiiii

Bien quétant habitué aux réactions érotiques de son épouse, Maurice éprouvait toujours la même excitation aux encouragements sexuels de cette dernière. Il en avait dailleurs besoin, ceux-ci lui fouettaient les sens que quarante ans de vie commune avaient quelque peu émoussés. Refermant ses doigts dans les chairs élastiques des hanches de sa volcanique partenaire, il accéléra le mouvement de ses reins pistonnant plus furieusement le vagin qui accueillait sa verge. Aussitôt de nouveaux éclats où se mêlaient plaintes et exhortations séchappèrent des lèvres de Louise.

Ouuiii !… Vas-y !… Défonce-moi !… Hhhaaaaa. Je sens ton gros bout au fond de mon ventre Ooohhh Oouuiii Cest bon !… Oui Oh oouuuiiii

Au fil des années, les deux époux avaient inconsciemment mis au point un numéro érotique lors de leurs ébats amoureux, fait de commentaires érotiques, ce qui accentuait leurs excitations, si cela en était besoin. Aussi, sans cesser son mouvement de va-et-vient à lintérieur du sexe ruisselant de son épouse, Maurice continua le dialogue suggestif commencé par son épouse :

Tu aimes ma queue ?… Tu la sens bien au fond de ta chatte ?

Oh oui !… Elle me remplit la moule Cest divin Va plus vite Bourre-moi à fond Je sens que ça vient Ooouuuuiii Vas-y !… Encooorreeee. Oouuuiiii !

Percevant les prémices de lorgasme au plus profond de son vagin, Louise se cambra sur la table, lançant désespérément sa chatte au-devant du pal qui la pourfendait. Chaque retrait de la verge de sa vulve provoquait un abondant écoulement de cyprine, qui sinfiltrant dans le chenal qui séparait ses fesses, venait lui humecter lanus avant de se répandre sur le plateau de la table.

Cependant, à baiser sa femme aussi ardemment, Maurice sentit la jouissance gagner lentement, mais inexorablement son bas-ventre. Le visage en sueur, le souffle court, pareil au marathonien ayant la ligne darrivée en mire, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins. Tel le piston correctement graissé coulissant dans la culasse dun moteur, sa queue glissa entre les lèvres sexuelles de sa partenaire, dans un affolant bruit de succion.

Arrivant au bout de résistance, sentant quil ne pouvait plus contrôler sa jouissance, Maurice, dans un ultime coup de reins, propulsa son gland sur le point dexploser, au plus profond du vagin torride.

Ho, putain ça vient, réussit-il à articuler avant de sécrouler sur le corps moite de son épouse vagissante Rrraaaahhhh..

Au long râle à la consonance inhumaine qui résonna soudain dans la pièce, Louise eut juste le temps de percevoir les premiers jets brûlants du sperme arroser le fond de son vagin, avant de perdre toute lucidité une nouvelle fois. Emportée à son tour par lorgasme, elle referma ses jambes autour des hanches de son mari, comme pour lattirer encore plus profondément en elle. Aux halètements rauques de son mari se vidant les couilles au fond de son vagin, elle mêla ses plaintes amoureuses. Ce fut alors un concert donomatopées à consonance triviales, chacun extériorisant son plaisir avec ses propres termes

Louise fut la première à reprendre ses esprits. Prenant conscience de leurs positions, lun sur lautre ; lun dans lautre, intimement unis par leurs sexe, elle tenta de repousser son époux.

Sauve-toi, réussit-elle à marmonner Tu es lourd !… Tu mécrases les seins !…

Bougonnant, encore sous les effets euphorisants de son orgasme, Maurice se redressa lentement. A peine eut il retrouvé la position verticale que sa verge, ayant perdue de sa rigidité, glissa hors de la chatte de son épouse, libérant un écoulement de liquide blanchâtre où se mêlaient le foutre de cette dernière et son sperme. Libérée du pal qui la clouait sur la table, Louise se redressa à son tour, pour immédiatement porter une main entre ses cuisses.

Oh, ça dégouline Jen ai plein les cuisses !… Quest-ce que tu mas mis !… Cest vrai que cela faisait longtemps que tu ne mavais fait lamour. Tu en avais une sacré réserve

La main plaquée contre sa vulve dégoulinante, Louise se précipita en direction de la salle deau..

A suivre

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