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La vraie vie de notre famille – Chapitre 4




La vraie vie de notre famille 4

    Oh, ça c’est fait tout simplement, me dit ma sour. Au début de mon divorce les parents me demandaient souvent de passer le week-end avec eux. J’avais bien remarqué que les parents étaient un peu trop attentionnés, trop caressants, trop mains baladeuses, trop bisous dans le cou et câlin sur les genoux. Toujours en train de me coller, ils ne perdaient pas une occasion de me frôler ou de me mater de près. Quand je bronzais nue au bord de leur piscine, ils venaient me regarder de près et ne manquaient jamais une occasion de me complimenter sur la beauté de mes jeunes seins et sur la qualité de la demi-épilation de mon sexe. Je les voyais parfois se tripoter discrètement à coté de moi. A plusieurs reprises, maman, entrée dans ma chambre pour un motif futile, alors que j’étais nue, est restée à me regarder m’habiller. Elle allait même jusqu’à s’approcher pour m’aider à remettre une bretelle, soi disant, mal tournée. Devant papa elle me faisait des compliments appuyés sur l’excellent choix de ma lingerie, proposant même à plusieurs reprises, pour exhiber ce que je portais aux yeux de mon père, que je leur exécute un strip-tease.. Si tu le fais, disait-elle, en riant bizarrement, je me mets à poil ensuite. Trop préoccupée par ma récente séparation je ne voyais même pas qu’ils m’aguichaient et me draguaient à tout va. Je ne me rendais pas compte qu’ils se comportaient comme nous avions, tous deux, souvent projetés de le faire.

Un vendredi soir je suis arrivée plus tôt que prévu. Je les ai surpris en plein 69 sur le grand divan du salon. Je voyais notre mère emboucher voracement la grosse verge de son mari..La nudité de sa cramouille totalement rasée, pareille à celle d’une toute jeune fille, m’a semblé extrêmement impudique. Le chibre de papa, cerné de petits poils roux, très courts, obscénement érigé avec son gros gland sanglant décalotté, m’a paru énorme par rapport aux bites que j’avais jusqu’alors englouties.

    En réalité, m’ont-ils avoués plus tard, ils avaient tout prémédité. Comme je ne m’offusquais pas de leurs permanentes attentions lascives et de leurs attouchements, ils avaient décidés de voir jusqu’où irait leur petit jeu sexuel. Pour entretenir leur excitation ils ont donc commencé à se tripoter, en attendant mon arrivée, et ne s’étaient positionnés en 69 qu’en entendant ma voiture. Ils pensaient que si je devais être choquée, gênée ou pas intéressée je ferais demi-tour.

    Nos cochons de parents étaient superbes et la situation, ambigüe et très érotique, m’a beaucoup excitée. Sans réfléchir, la connasse déjà humide, je me suis mise à m’écraser le bout des seins. (J’adore). Puis, comme je bandais du clito, je l’ai branlé et étiré minutieusement. Emportée par l’excitation, j’ai du fait un peu de bruit en retirant ma culotte toute trempée, et qui me gênait pour pouvoir écarter les jambes.

    Alors, se tournant dans ma direction, ils m’ont regardé lubriquement, m’ont souri et, tranquillement, ont continué à s’asticoter. Juste face à moi, et toujours en 69, mon père bouffait la grosse moule écartelée de sa complice, avec des petits grognements d’aise. Toujours aussi avide de caresses hard, maman lui prodiguait une superbe feuille de rose, sa langue aigue dardée juste au cour de l’anneau rectal entrebâillé par ses doigts curieux.

    Je me suis avancée. Papa s’est arrêté de lécher le con de maman. Se relevant, et me prenant dans ses bras, il m’a roulé une pelle d’enfer. Sa bouche sentait la bonne cramouille baveuse. Tous mes vêtements ont été promptement arrachés. Au fur et à mesure de mon strip-tease, je sentais les mains maternelles qui trituraient mes seins, mon ventre et finalement pénétraient ma vulve en chaleur. Avec des gestes très doux et en murmurant des mots d’amour, ils m’ont allongée, étalée, exposée à leurs yeux de parents pervers. Le compas de mes jambes largement ouvert, mes chairs les plus intimes étaient totalement offertes à leurs désirs lubriques et incestueux. Pendant que l’un continuait de me dévorer la bouche l’autre s’installant entre mes cuisses ouvrit mes lèvres vaginales et ses doigts impatients m’enconnèrent profondément. Puis la langue dardée entrepris un délicieux cunnilingus. J’étais aussi excitée physiquement que psychiquement. Mes géniteurs voraces étaient en train de bouffer et de remplir tous les trous de leur petite fille.

    Moi, j’attendais surtout, avec impatience et anxiété, l’instant magique ou mon père enfoncerait puissamment, sa tige virile, dans les tréfonds de mon vagin.

    Sa langue venait de quitter ma bouche, immédiatement remplacée par sa bite turgescente. Elle était délicieuse, bien longue et raide, odorante et crémeuse. Il bandait ferme et m’en foutais plein la gueule, aussi vite et fort qu’il l’aurait fait dans un sexe. Pendant que sa queue baisait ma bouche, je pensais qu’il serait agréable que la tienne y soit aussi.

    Comme si papa avait compris, par instinct, que les mots orduriers me font couler comme une fontaine, il éructait des horreurs . : Tu es contente d’en prendre plein la gueule, sale petite pute.Ça fait un moment que tu as envie qu’on te baise, hein ?…Putain ! Tu as du te branler souvent la moule, en pensant à ma pinne.Et ta mère, poufiasse, tu veux qu’elle te baise, elle aussi, tu veux ?…Attends que je t’enfile le con, là tu vas dérouiller, ma fille.Putain, ce n’est pas possible, tu crache encore ton jus dans la bouche de ta maman, ça fait combien de fois que tu te vides l’utérus, poufiasse. T’arrêtes pas de couler, sagouine!…Ce n’est pas possible, tu es en train de pisser sur ta mère.Vous êtes vraiment deux truies.

    C’est vrai, j’avais du me vider la chatte au moins deux fois dans le gosier de maman. Mais de bonne mouille de femelle en chaleur, pas d’urine. Elle lapait puis avalait mon jus en gémissant. Je suis persuadée, vu ses cris et la houle endiablée, qui agitait son ventre, qu’elle jouissait elle aussi. Puis elle s’est retirée, laissant la place libre à son mari, qui pu enfin me posséder.

    Son chibre, lentement enfilé, mit un moment à m’envahir totalement. Mon père faisait durer le plaisir, sa tige s’insinuait petit à petit, s’arrêtant un instant. Pendant ces pauses, il me taraudait sensuellement le con, faisant tourner lentement sa bite érigée, par de petites ondulations du bassin. Puis il entra d’un coup, à fond, jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon cul. Posément, d’abord, puis sur un rythme de plus en plus crescendo, il se mit alors en devoir de baiser sa fille, comme il me le disait : Putain ! Ça y est.Je la baise enfin ma salope de fille. Tu nous vois bien, Dany, approches toi, regardes comme j’enconne ta petit fille chérie.Elle encaisse mon chibre comme la dernière des putes. Viens nous tripoter, Dany, oui, caresse moi les burnes. Oh putain que c’est bon!

    Purée, ce qu’il a pu me foutre dans le con, mon enfoiré de père. Je n’y croyais pas. Il me l’a démonté, fracassé. Pourtant, mon ex me bourrai déjà vraiment bien, mais là, inouï. En plus il y avait l’excitation de savoir que c’est mon papa, qui me faisait l’amour. Je vivais un moment intense, un sommet de délires érotiques. Il me l’a mise de toutes les façons..Juste au bord, bien dans le vestibule du con..Très très profond et très vite..Tout doucement..Très calmement, puis comme un fou..Avec cette énorme trique infatigable, rigide, brutale, féroce, investigatrice, perforatrice, qui ne cessait pas de me tarauder et qui jamais ne débandait.

    Et maman, qui sans arrêt nous relançaient et de nous galvanisaient en nous tripotant, en marmonnant des obscénités choisies, et en nous enculant, tous les deux, bien profond, de ses longs doigts fureteurs. Elle divaguait, totalement dans son fantasme, et ne nous oubliaient temporairement, que pour se poignarder le con à pleine mains.

    Après un temps infini, et en m’arrachant je ne sais combien de folles jouissances, papa s’est brusquement retiré et s’agenouillant de part et d’autre de mes seins, m’a violemment craché, en pleine figure, plusieurs grosses giclées de foutre dont je parvenais à gober, au passage, une bonne partie. Les coulées de sperme tiède glissaient sur mon visage, stagnant dans les creux en formant de petites flaques gluantes.

    : Putain, t’es vraiment pas cool, Luc, s’écrie alors maman.Tu m’avais promis de balancer toutes tes décharges de crème dans le vagin de ta fille la première fois que tu la pinerais.Tu sais bien que ma chimère favorite est d’imaginer que tu mets Sophie enceinte. : Pas de risque, dis-je, vous pouvez me farcir de sperme tant que vous voulez, je prends régulièrement la pilule.: Nous en reparlerons, si tu veux bien, s’exclame ma mère, j’aimerais que tu cesses de la prendre.L’idée obscène de te faire coller un polichinelle dans le tiroir, par ton salopard de géniteur, me fait godiller follement .

    : Ça va, nous verrons, dis-je, j’accepte volontiers d’en discuter si cela doit vous stimuler et contribuer à vider vos sexes encore plus fort. Mais très sincèrement, et bien que cette idée m’inonde la moule, je ne désire vraiment pas me faire engrosser par mon père.Si j’ai souvent imaginé qu’il me fourrait la cramouille, jamais je n’ai imaginé qu’il désire m’inséminer et que maman fasse une fixation sur mon ventre engrossé.Je pense que ma grossesse doit rester un fantasme bien dégueulasse et bien abject, de parents très érotisés, qui dans leurs utopies un peu folles et dépravées, prennent plaisir à se faire jouir en l’évoquant.

    Je conclue. : Mes chers parents, vous êtes un couple complice, de salopards pervers et vos désirs incestueux sont vraiment très vicelards, mais c’est comme cela que je vous aime de tout mon cour.

    J’étais épuisée, merveilleusement anéantie. Nous étions tous trois pleins de sperme et de cyprine, nous sentions très fort le jus de mouille. : Douche pour tous à dit maman, en riant, nous embaumons le foutre.

    Cela nous fit le plus grand bien. Nous avons passé quelques vêtements, papa nous a servi des whiskys et nous nous sommes mis à parler, en pleine confiance, de nos vies, de nos expériences amoureuses, de toi, de moi et de nous deux. Les parents m’ont dit avoir toujours étés fidèles l’un à l’autre malgré leurs désirs charnels débridés. S’il leur est arrivé plusieurs fois, sous le coup de fortes pulsions libidineuses.. de se dénuder… De s’asticoter et de faire ensuite l’amour à coté d’autres couples. ils n’ont jamais étés jusqu’à l’échange de partenaires.. Ils y ont pensés, ils en ont souvent parlé, mais, consciemment ou non, peut être préféraient ils commencer cette nouvelle forme de sexualité avec leurs propres enfants.

    De mon coté, à part mon mari, j’ai eu quelques amants sympa et qui me fustigeaient bien les sens, mais sans commune mesure avec les sensations inouïes ressenties avec nos parents. En plus, pendant qu’ils me ravageaient, je ne faisais mon petit film intérieur, imaginant que vous étiez en train de me faire une doublette, papa dans ma chatte et toi bien enfourné dans mon cul.. Mon con ruisselait à cette image, c’était le bonheur.

    C’est ce soir là que je leur ai raconté en détail nos branlettes et papouilles fraternelles. Ils n’ont pas étés étonnés, comme je te l’ai déjà dit, ils nous avaient matés et étais persuadés que tu me pinais depuis bien longtemps. Maman, lorsqu’il lui arrivait de faire la lessive, avait retrouvé à maintes reprises des grosses marques de foutre sur nos draps, sur mes vêtements et les tien et même sur ceux de mémé. Elle allait régulièrement dans ma chambre, dés que j’en sortais, et reniflait, comme une chienne en chaleur, les giclures de ma pinne.

    Elle se disait, que si nous laissions volontairement nos déjections sexuelles autant en évidence, c’était pour être surs qu’elle les remarque, et vu leur abondance, qu’elle se rende ainsi compte de l’efficacité de nos jouissances fraternelles. A plusieurs reprises elle avait montré à papa, les énormes traces de foutre restées sur ma literie. Ils avaient même baisés dans mes draps, malproprement, comme deux voyeurs en rut, le cul maternel marinant dans mon sperme encore frais.

    Au fond ils étaient plutôt contents de nous, fiers aussi, que nous soyons déjà capables de nous assumer sexuellement. Ils se disaient, que c’étais grâce à l’ambiance très voluptueuse de la maisonnée et aux pratiques impudiques qui avaient toujours étés les leurs, que nous étions aussi bien éduqués charnellement, et que nous réussissions à réaliser, sans préjugés stupides, en frère et sour incestueux et heureux de l’être, nos fantasmes libidineux débridés.

    En dehors de mon insémination paternelle, une de leur autre rêverie licencieuse préférée était de voir maman baisée par son fils. Après en avoir parlé longtemps pendant leurs préliminaires, excités au possible par ces incestueuses visions pornographiques, ils se faisaient jouir sauvagement en fantasmant sur leurs deux enfants allègrement partouzés.

    Papa ne se tenait plus, il te voyait déjà en train de perforer le con de ta mère, puis celui de ta sour… Très galvanisés, tous les trois, nous avons alors imaginés notre première soirée à 4. Nous en avons longuement parlé en nous enflammant beaucoup. Et puis voila, nous y sommes….enfin.

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