Hello, tout le monde, voici la suite de mon histoire totalement véridique.
Bonne lecture !
La porte qui venait de s’ouvrir nous avait totalement glacé le sang. Il était inconcevable de se faire surprendre par nos amis qui étaient restés au milieu de la soirée. Ni une ni deux, Sophie avait rajusté son string et sa robe. De mon côté, j’avais rangé mon engin et bouclé ma ceinture. Un homme apparut, vieux, un peu à l’ouest, il ne nous calcula pas vraiment en passant devant nous. Nous avait-il remarqués ? Pfff, quelle importance ? De toute façon, il ne nous importait pas vraiment. Que faire ? Continuer nos affaires ? Non, le coup de stress malgré notre état alcoolisé nous avait quelque peu refroidis. Nous décidions d’un regard complice de rejoindre la soirée. Ce que nous fîmes sans que personne se rende compte que nous avions quitté les lieux 10 minutes plus tôt.
Nous nous séparions au milieu de nos amis après avoir passé la porte de l’appartement. Je me posais au bar pour boire un whisky (sans coca, beurk) d’un coup sec. J’avais besoin de faire le point. Puuutain ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Je n’arrivais pas à remettre mes idées en place. J’avais tripoté ; j’avais doigté ; et je m’étais fait sucer par la fille qui me faisait fantasmer depuis des mois, et que j’étais sûr de ne pouvoir jamais, ne serait-ce que l’effleurer ; du fait qu’elle est en couple. Je reniflais mes doigts comme pour me pincer et me demander si je n’avais pas rêvé. L’odeur qui se dégageait de mon index et mon majeur était juste divine, enivrante, une odeur qui exciterait n’importe quel homme. Un goût salé qui ne tarda pas à me faire bander dans mon pantalon. J’étais aux anges, je n’aurais jamais pu imaginer cela il y a une heure. Le problème c’est que j’avais goûté au fruit défendu…
Il fallait que je couche avec cette fille, que je lui fasse l’amour, que je la prenne, que je la baise. L’avant-goût auquel j’avais eu droit avait réveillé tous les instincts les plus basiques de l’être humain : l’envie de se reproduire !
L’excitation qu’elle avait réveillée en moi était comme un torrent de folie qui ne pouvait pas s’arrêter là. Je me foutais du monde qui nous entourait, je me foutais de son mec, je la voulais maintenant, je voulais la posséder ce soir. Sophie s’était remise à danser comme si de rien n’était. Elle était tellement belle, tellement sexy. Je devenais fou, je voulais la prendre au milieu de la piste.
Je m’approchais d’elle en la fixant dans les yeux. Nos regards finirent par se croiser et une sorte de connexion s’est établie à ce moment-là. Le genre de regard qu’on ne peut pas oublier, le genre de regard qui voulait dire "on recommence ?"
Pas besoin de parler, Sophie me prit par le bras et m’emmena vers la porte de l’appartement.
Une fois de plus, personne ne nous calcula. On ouvrit la porte pour redescendre dans la cage d’escalier. Une fois arrivés, un étage plus bas dans la pénombre, j’agrippai Sophie et l’embrassai à pleine bouche. Elle me le rendit avec folie, on se mangeait littéralement la bouche. Cela peut paraître un peu dégueu dit comme cela, mais c’était particulièrement érotique. J’agrippais ses fesses tellement fermes, je relevais sa robe par-dessus ses hanches, je baissais une fois de plus son string qui était trempé. Je m’agenouillais devant elle au niveau de son fruit défendu. L’odeur dégagée par son abricot était folle, tellement enivrante. Ses jambes étaient légèrement écartées. Je contemplais son sexe, un mince filet de poil s’y trouvait, bien taillé. Ses lèvres bavaient de mouille. Je voulais y goûter et je ne m’en privais pas. Je plongeais ma tête entre ses jambes et je léchais ce sexe qui n’attendait que cela. Mes coups de langue la rendaient folle.
Sophie gémissait tellement fort que j’eus peur qu’on nous entende jusqu’à la soirée. Mais je m’en foutais, tout était trop parfait pour que cela s’arrête. Je léchais cette petite chatte avec tellement d’application que je sentais ses lèvres se contracter et les mains de Sophie dans mes cheveux qui m’agrippaient et m’enfonçaient la tête dans son sexe.
OOOH ouiii, c’est tellement bon. Tu fais ça tellement bien, puutaaain. Le genre de phrase qui me rend dingue, qui faisait que les coups de langue étaient précis, au possible tout était réuni pour lui arracher un orgasme fulgurant.
Pourtant Sophie en avait décidé autrement. Je sentis ses mains qui me relevaient, et j’obéis docilement. Je me retrouvais face à elle et sentais qu’elle déboutonnait mon pantalon. La cochonne, elle veut encore me sucer encore, pensais-je. Je rêvais au plus haut point à l’idée qu’elle engloutisse une fois de plus mon sexe dans sa bouche. Je la laissais faire. Elle saisit mon sexe à pleine main et commença à me branler en me regardant dans les yeux avec ce regard de coquine tellement perçant. Mon sexe qui était déjà bien au garde-à-vous se cambra un peu plus, c’était tellement bien réalisé, ses gestes étaient fermes. Mais là, je ne voulais plus me faire sucer, je voulais la prendre debout contre ce mur, je voulais qu’elle sente mon sexe au plus profond d’elle. Je la pris par la taille et la collai contre le mur. Je poussais délicatement sa main de mon sexe et le pris fermement. Je sentis dans son regard de la surprise. Je dirigeais mon sexe contre son sexe.
Le bout de mon gland toucha sa toison toute trempée. J’allais la pénétrer tout doucement et l’enfoncer en elle. Je jouais avec mon sexe contre ses lèvres.
C’était le moment…
Non, je peux pas. Hein ? Quoi ? Elle vient de dire quoi là ??
Nan, je peux pas faire ça, j’ai mon copain… Putain, j’étais dégoûté… comme cela, stop, ce n’est pas possible. J’étais aussi frustré que dégoûté, limite je commençais à débander… Je ne disais rien comme frappé par la foudre. Sophie fuyait mon regard, réajusta sa robe, et remit son string avant de remonter d’un étage pour rejoindre la soirée sans un mot pour moi. Putain, nan, mais sérieux, je veux mourir là. Je le pensais tellement fort que c’était écrit sur ma tête.
La suite si cela vous plaît et si vous voulez savoir comment cela s’est fini.