Là où je travaille, il y a, au sous-sol, une salle de sports, avec tous les appareils de musculation possible, ainsi qu’un sauna pour 2 à 3 personnes maxi. Les murs, très hauts sont couverts de mirroirs et de barres de danse.
La semaine dernière, je descend dans cette salle, comme je le fait quelquefois l’après-midi vers 15h00. Ce n’est pas vraiment autorisé, même pas du tout, mais il est juste interdit de se faire prendre. J’arrive donc dans la salle, et je m’aperçois que la lumière est allumée. Bizarre à cette heure. Je ne fais pas de bruit,je me dirige vers les vestiaires hommes, et en passant devant les vestiaires femmes, j’entends une douche couler. Je pousse doucement la porte et je m’approche de la douche du fond. Je me penche un peu et je jette un coup d’oeil sous les portes style western. Je vois d’abord deux pieds et mon regard remonte vers l’intimité de cette inconnue. Je peux admirer une toison pleine de mousse et une main qui s’affaire dessus. Dessus et dedans d’après ce que je vois aux doigts qui entrent et qui sortent. je suis super exité, mais pas assez gonflé pour oser me faire voir. Je ressors donc du vestaire femme et vais me déshabiller dans mon vestaire pour aller au sauna. Ma queue est tendue a son maximum tant je suis encore exité par cette vision de rêve.
J’entre donc dans le sauna et je m’allonge sur la banquette supérieure. Les bancs sont, comme dans beaucoup de sauna, faite avec des lattes de pin. Je m’alonge sur le ventre, à même le bois brûlant et je laisse ma queue encore raide se glisser entre deux lattes. Humm quelle agréable sensation. Je suis en train de repenser au corps superbe de cette femme sous sa douche quand la porte s’ouvre. La même femme se présente dans l’entrebaillement, nue, la serviette à la main. Elle vient en fait de prendre une douche fraîche entre deux séance de sauna, et se croit encore seule. Quand elle me voit, elle pousse un petit cri de surprise et se cache avec sa serviette rose. Je lui souris, surpris moi aussi, et la salue. Je suis toujours nu, et ma position avec ma queue coincée entre deux lattes m’empêche de me recouvrir avec ma serviette.
Tant pis , je reste ainsi sans oser bouger. Elle répond à mon salut et s’allonge sur la banquette inférieure, sur le dos. Nous échangeons quelques banalités, ’le sauna n’est pas trop chaud aujourd’hui’ etc. pourtant il est quand même à 85? .
Le silence retombe et nous commençons à suer. Tout à coup, je sens une chaleur différente du bois sur ma queue qui a ramollie depuis tout à l’heure. C’est une main, ’sa main’, qui glisse doucement dessus. Je n’en crois pas mes sens. Cette femme, qui avait l’air gènée tout à l’heure est en train de me caresser la queue. En mopins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je rebande de plus belle et la main me branle carément. Je laisse tmber mon bras vers le banc inférieur et je passe ma main sur le corps de ma branleuse. Je fais glisser sa serviette et je peux admirer de près ce corps superbe. Elle est blonde, mais une fausse blonde, car son pubis est bien noir et bien taillé. A peine un petit triangle qui s’arrête avant les lèvres. Ses seins sont petits, comme je les aimes, et assez fermes pour son age. Elle doit avoir environ 45 ans, soit peut-être 5-6 ans de plus que moi. Ma main passe de ses seins à son sexe avec douceur, et mes doigts commence à s’activer dans son intimité. Elle pousse de petit gémissement de plaisir et écarte bien les cuisses. De mon coté, je suis au bord de l’extase. Elle lache mon sexe, et se relève. Je m’assied sur le banc face à elle, la queue violacée, prête à exploser. Nos corps sont trempés de sueur. elle se penche un peu et commence à me sucer. C’est un délice, elle prend ma queue jusqu’au fond de sa gorge, me masse les couilles et avec son autre main, m’enfonce un doigt puis deux dans l’anus. je n’en peux plus, je me vide dans sa bouche, et quend elle sent mon liquide chaud, elle se retire vite. Elle n’a pas l’air d’apprécier le gout du sperme. Elle s’essuie sur mes cuisses et me pousse pour prendre ma place. Elle écarte les cuisse et je n’ai pas besoin d’explications pour fourrer ma tête et surtout ma langue au fond de sa chatte. Ses lèvres sont couvertes d’un mélange de sueur et de jouissance et c’est délicieux. Je fais comme elle et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle jouis très vite en se cambrant.
Elle descent de son perchoir, et me présente ses fesses. Heureusement le fait de lui sucer le minou m’a redonner de la vigueur, et je la pénètre tout doucement. Ma queue entre très facilement tant elle est mouillée. Nous faisons l’amour de longues minutes et elle jouis encore. Je sort de ce trou douillet et me présente vers son autre petit trou. Elle à l’air d’en avoir très envie car elle s’appuie contre ma queue, qui entre ^presque aussi facilement que dans sa chatte. Humm, quel plaisir de sentir ma queue serrée dans son petit cul. Nous baisons comme des bêtes, je lui caresse les seins et elle me caresse les couilles. J’explose en elle et nous ne bougeons plus pendant 1 ou 2 minutes, sans dire un mot. Je me retire, et nous nous frottons l’un contre l’autre. Nous sortons de cet atmosphère étoufante et brûlante pour aller prendre une douche. Nous nous donnons rendez-vous pour une autre fois. Quel pieds mes ami(e)s.