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Découverte de ma perversion – Chapitre 2




Pour vous permettre de resituer. Je m’appelle Stéphane, jeune homme souffrant après une séparation bien compliquée à gérer. Je découvre des plaisirs inédits au travers d’une webcam. Mon initiatrice s’appelle Corinne, à peine plus jeune que moi, petite poitrine fière, un corps souple et une libido aussi développée que son exhibitionnisme…

Après cette première séance devant et derrière nos écrans, Coco et moi nous nous « voyons » régulièrement. Elle ne manque à l’appel que les jours où elle va assouvir ses désirs. Elle me raconte tout dans les moindres détails. Elle appelle ça « une bonne partie de cul ». Un jour, elle me raconte sa rencontre avec un type qui avait une queue énorme selon ses dires. Elle me raconte qu’elle n’avait pas pu le sucer, tellement sa bite était large et ne pouvait pas entrer dans sa petite bouche ; elle dut le masturber à deux mains… Et quand il l’a pénétrée de toute sa longueur et de toute sa grosseur, elle avait connu l’extase.

Tu te la raconterais pas un peu là, ma Coco ?

Comme réponse, j’ai une fenêtre de plus qui s’ouvre : télécharger le fichier… Je vois un sourire sur sa figure. Je ne l’ai pas précisé, mais la cam est toujours allumée quand nous sommes tous les deux.

Je télécharge le fichier…

Un film vidéo. Je lance la vidéo et je vois un homme allongé, nu, qui masturbe un sexe énorme. Cela ressemble à une vidéo téléchargée sur un site porno, jusqu’à ce que je voie ma douce Coco… Elle tourne son téléphone vers elle : son beau visage rouge de désir, son corps dénudé, elle passe sa langue sur les lèvres, se penche un peu, prend cette énorme bite en main, ouvre la bouche… En effet, cela ne rentre pas ; elle la lèche de tout son long, joue avec sa bouche sur l’énorme bonbon surmontant cette hampe impressionnante.

Machinalement, ma main caresse mon sexe dressé dans mon jean étroit…

Ça n’a pas l’air de te déplaire, me lança-t-elle.

Ben oui ; c’est quand même très sexe, ton truc…

Déshabille-toi ! m’ordonna-t-elle.

Je m’exécute… Elle me fait prendre diverses positions. Elle veut voir mes fesses, mon petit trou, mon sexe bandé… Je suis sa chose. Je vois que sa main droite a glissé entre ses cuisses. J’espère aussi la voir nue. Mais elle reste comme ça. Sa main gauche joue avec ses seins sous son tee-shirt. Elle ne lâche sa caresse que pour taper sur son clavier…

Branle-toi, petit coquin, je veux te voir jouir…

Je veux ajouter un peu de volupté, je prends mon temps…

Plus vite !

Je vois son beau visage se déformer sous le plaisir que ses mains lui donnent. La bouche ouverte, elle ne perd pas une miette du spectacle que je lui donne. J’éjacule si fort que la tête me tourne un bon moment… Il va encore falloir que je nettoie… Je la vois souriante derrière son écran. Je prends mes affaires pour me rhabiller.

Non, reste à poil. Tu fais quoi demain après-midi ?

Ben, je suis en repos, on est vendredi.

Ça te dit que l’on se voie enfin en vrai ?

Bien sûr que j’en ai envie.

Donne-moi ton adresse. Demain 14 h, ça te va ?

Oui, je ne comptais pas bouger de toute façon…

Sois habillé comme tu l’es maintenant quand j’arriverai. Je te laisse. Bisous doux.

Est-il utile de vous dire que j’ai peu dormi cette nuit-là ?

Le lendemain au réveil, je commence à m’habiller quand je repense à sa demande de la veille. Il est 10 h ; à quoi bon s’habiller ? Je prends mon café du matin tranquillement installé sur mon canapé, nu comme un ver. Quel plaisir agréable ! Les voisins, ils sont assez loin ; et puis on est vendredi. Avec ces jours de repos en décalé, peu de chances que l’on me surprenne. Et quand bien même, je suis chez moi et je me balade à poil si je veux ; ils n’ont qu’à ne pas regarder si ça les dérange.

11 h, je regarde mon corps. Mes poils, je ne m’en suis pas occupé depuis longtemps, il va falloir les supprimer. Je saisis donc tondeuse et crème dépilatoire et me voilà parti : séquence « dépilage »… Mon torse devient de suite plus agréable à regarder, mes cuisses aussi. Et pour le reste, Kojac n’a rien à m’envier.

12 h, je suis prêt. Douché, rasé de près, tondu et épilé… Et surtout très fébrile. Je n’avais pas réussi à toucher une autre fille que mon ex, j’ai l’impression de la tromper… Je chasse assez vite mes idées noires pour ne pas perturber cette rencontre qui se préparait.

Le temps va me paraître bien long d’ici 14 h… Je resonge du coup à la séance de la veille au soir. Je me rends compte à quel point j’avais pu être soumis à ses moindres désirs. Cela ne me ressemble guère d’être soumis à ce point-là. Il va falloir que je fasse quelque chose, sinon elle va tout dominer et ça ne me conviendra pas. Je mets au point un petit stratagème de manière à reprendre la main, et je suis aussi prêt à la lui relaisser à sa guise.

Je m’installe tranquille face à ma télé qui me regarde plus que moi je ne la regarde. Douce flânerie… Ma sonnette de porte vient me tirer de ce demi-sommeil. Il est 13 h 30 : ça ne peut être qu’elle ! Je suis le seul appartement sur le palier, je ne risque pas grand-chose ; mais bon, ouvrir à poil si ce n’est pas elle… Je n’ai pas de judas, donc je demande :

Qui est-ce ?

D’après toi…

Je reconnais sa voix ; elle est sacrément en avance.

Je lui ouvre la porte.

Elle sourit et s’approche pour me faire la bise.

Bonjour toi. Je suis désolé, tu n’as pas la tenue pour rentrer chez moi. C’est un après-midi naturiste…

Je suis peut-être seul à mon étage, mais mes voisins du dessous ont une belle vue sur mon palier qui est ouvert sur une grande baie vitrée intérieure.

Tu veux que je me déshabille… OK ; laisse-moi entrer, je me désaperai dans ton couloir…

Non : nudité obligatoire pour entrer.

Bon, d’accord…

Elle devient un peu rouge. Il est temps de décrire cette vision, la cam ne montrant pas tout. Elle est presque aussi grande que moi (je mesure 1,85 m). Elle est assez fine, la peau très blanche, des cheveux noir corbeau avec des reflets bleutés.

Je referme la porte le temps que tu te prépares.

Mais…

Joignant le geste à la parole, je referme la porte. Je l’entends derrière la porte se dévêtir en râlant : ça ne doit pas aller assez vite. Mon « exhib » a peur d’être surprise. Paradoxe. La sonnette retentit. Je lui dis au travers de la porte :

J’arrive, je suis en train de préparer un café.

Dépêche-toi, s’il te plaît…

Vous vous en doutez, j’ai pris mon temps pour apporter tasses et cafetière au salon… Des petits gâteaux… Je m’appliquais pour bien la recevoir…

J’ouvre la porte doucement. Elle est là devant ma porte, nue. Je détaille son corps du regard, ses jolis petits seins aux tétons fortement dressés, son joli petit minou tout épilé… et une pile de vêtements dans ses mains. Je m’avance à mon tour sur le palier pour lui faire une bise sur chaque joue… Elle semble être déçue, m’attrape la tête à pleines mains et m’embrasse goulûment. Je sens sa langue jouer avec la mienne, ses mains dans mon dos me caressent jusque sur mes fesses. Je sens une érection arriver bien vite… J’ai envie de la prendre là, contre le mur ; au diable les voisins !

Je me reprends et décide de continuer mon scénario.

Tu peux laisser ça là, dis-je, désignant ses vêtements.

Elle pose le tout au sol en souriant. Elle a l’air d’apprécier. Elle entre et s’installe direct sur le canapé qui lui tend les bras dans mon salon.

Un sucre ou deux ?

Pardon ?

Ben, dans ton café, tu veux un sucre ou deux ?

Aucun, merci.

Je m’installe en face d’elle sur une chaise peu confortable.

Viens à côté de moi, me dit-elle.

Pas tout de suite, je profite d’abord de la vue.

Elle baisse les yeux et voit que je fixe ses lèvres entrouvertes. Elle écarte un peu les cuisses pour me permettre de mieux voir.

C’est mieux comme ça ?

Un peu…

Elle sourit, descend sa main gauche vers son minou tout doux et ses lèvres très fines qu’elle écarte entre son majeur et son index. Elle est trempée… Son sexe luit de désir. Mon sexe pourrait exploser rien qu’à la regarder posée ainsi… Lascive…

Elle fixe mon sexe en érection et tend la main vers l’objet de son désir ; j’écarte son bras de la main : je ne veux pas qu’elle me touche, pas encore.

Je me lève doucement, faisant exprès de mettre ma queue en direction de sa bouche… mais ne la laissant toujours pas s’approcher.

Je me mets à genoux, insère ma tête entre ses cuisses. Ma langue commence à jouer avec ses lèvres, de haut en bas, une après l’autre, en glissant doucement entre chaque léchouille dans son vagin brûlant. Elle hurle lorsque ma langue agile s’empare de son petit bouton qui ne se cache plus sous son capuchon de chair. Je me mets à le sucer comme si c’était un sexe masculin, tantôt le titillant, tantôt l’aspirant. Mes doigts vont et viennent dans son vagin que je découvre très élastique. D’abord un, puis deux, et bientôt ce sont quatre doigts que son vagin accepte… Elle grogne de plaisir… Je la sens se raidir et prendre un orgasme qui ne semble plus s’arrêter… C’est à ce moment que j’arrête tout. Me levant, je glisse mon sexe dans sa bouche qui n’en demandait pas moins.

Elle fait des va-et-vient de plus en plus rapides en me fixant dans les yeux. J’adore ça, quand une femme me tient en bouche et me regarde dans les yeux. Puis doucement, elle fait pénétrer mon sexe dans sa bouche plus profondément, jusqu’à ce que ses lèvres entrent en contact avec mon pubis. Elle s’arrête ainsi et m’aspire… Je vais exploser… Je me retiens de mon mieux… Elle lâche sa prise…

Tu peux si tu veux : j’aime bien sentir le sperme couler dans ma gorge…

C’est à noter. Ma première gorge profonde et j’ai en plus le droit d’éjaculer dans sa bouche. J’ai d’autres idées en tête pour le moment. J’attrape un préservatif, elle m’aide à l’enfiler…

Docilement, elle se met à quatre pattes ; comment a-t-elle su que je voulais la prendre en levrette ?

Viens…

Je m’approche doucement en me mettant sur le canapé qui grince de mécontentement… Elle prend ma queue en main et la place au bon endroit. Je presse doucement à l’entrée de son antre à délices. C’est doux, onctueux et très chaud. J’entre sans trop de difficulté.

Comme dans du beurre ; tu as bien préparé le travail. Moi qui te croyais plutôt soumis…

Et je pousse d’un coup pour faire sortir un râle de sa bouche. Je n’ai pas envie d’entendre ce qu’elle a à me dire. Je me mets à la pilonner comme un fou, observant ma queue entrer et sortir du conduit lubrifié et brillant… Mon index joue avec son petit trou, qui est si lubrifié par ses sucs qu’il n’a aucun mal à entrer bien profondément en elle. Il est rejoint très vite par mon majeur. Elle hurle son plaisir à qui veut l’entendre. Je sens un picotement dans mon bas-ventre ; je ne vais pas tarder à rendre l’âme dans ma petite mort programmée.

Elle ne hurle plus, elle ronronne. Je sors doucement de sa caverne à plaisir. Sans que je ne lui dise rien, elle se retourne, retire le préservatif et le pose sur ma table basse. Elle me reprend doucement en bouche, des allers et retours très doux. Elle veut faire durer ce moment inoubliable. Puis, comme au début, enfonce mon dard jusqu’au fond de sa gorge. Je me retiens le plus longtemps possible quand soudain elle me met un doigt dans le petit trou. Je relâche tout et explose en plusieurs jets puissants qu’elle déglutit au fur et à mesure. Je quitte la terre ; l’espace d’un instant, je ne suis plus là… Le feu aux joues. Elle ne me lâche que quand mon sexe revient dans une position normale…

On s’allonge dans les bras l’un de l’autre, si bien…

La sonnerie de son téléphone nous tire de notre torpeur.

C’est rien : rassure-toi, juste mon alarme. Il est déjà 16 h 30 ; il faut que j’aille chercher mon fils à l’école. C’était très bien. À refaire quand tu veux… Maintenant, avec tes idées à la con, faut que j’aille chercher mes affaires sur ton palier.

Il va falloir surtout que tu ailles jusqu’au bout et que tu t’habilles sur le palier…

Mais…

Tu sais très bien que tu adores ça…

Normalement, en cam, oui ; mais là, tout ça, c’est une première pour moi.

Je l’accompagne donc sur le palier. J’entends la musique à l’étage en dessous. Mon voisin a laissé sa porte ouverte… Pas habituel, mais bon. Je l’imagine en train de mater ma conquête… Elle prend son temps. S’habille, m’embrasse goulûment comme à son arrivée. Elle se baisse et dépose un baiser sur mon sexe qui commence à regrossir.

Tu vois ce que tu as fait ? Tu ne peux pas me laisser comme ça…

Tu sais qu’il nous regarde…

Oui, je l’ai vu.

Elle s’agenouille et me fait une autre fellation.

Te retiens pas, je n’ai pas le temps.

Elle va très vite, et bientôt une autre éjaculation vient mourir entre ses lèvres…

Elle se relève et part très vite. Je vois que la porte de mon voisin est fermée. Il a dû se régaler, le coquin…

Je vous souhaite de doux rêves ; et surtout, n’oubliez pas : amusez-vous, oui, mais respectez-vous et respectez les autres.

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