Je rentrai comme à mon habitude de mon travail en métro, tard à cause de l’heure tardive de fin de mes cours universitaires… Descendant au terminus de ma ligne parisienne, j’étais généralement un des seuls passagers encore restants à cette heure-ci. La fatigue de la journée et les séances de sport que je m’étais dernièrement imposées m’avaient rendu aussi dynamique qu’une limace. A quelques stations du terminus, je me suis progressivement assoupi…

Je ne me réveillai pas tout de suite. J’étais parcouru par une douce et chaude sensation, qui ne m’incita pas à me réveiller. Mais quand j’entendis un "allez, il est l’heure de se réveiller, p’tit gars", je réalisai que quelqu’un était en fait en train de me caresser le visage pour me réveiller…

— Ah enfin, j’ai cru que j’avais affaire à un mort… tu ne réagissais pas quand je t’ai appelé, alors je me suis permis…

— Oui vous avez bien fait… excusez-moi monsieur, c’est gentil de votre part…

— De rien gamin, bonne soirée !

Je pensai un moment à ce drôle d’agent qui m’avait réveillé : il faisait très jeune avec sa tête et sa barbe d’1 jour, il avait presque l’air d’un acteur qui aurait pu jouer le flic d’une série policière. Son visage fin et sec, sa peau mate (Maghrébin ?), il était le genre de gars à faire craquer les filles, sûrement… pas banal ce profil… au bout de 30 mètres, perdu dans mes pensées, je me rendis compte que j’avais oublié mon sac dans le train !

Je courus alors vers le train, et arrivé sur le quai je vis mon ange gardien debout avec mon sac.

— Je me doutais que ça devait être à toi… t’es pas encore bien réveillé, on dirait !

— Vous me sauvez encore la mise, merci…

— T’inquiète gamin, ce qui est pratique c’est qu’à cette heure-ci y a pas beaucoup de gens susceptibles d’oublier quelque chose !

— Oui c’est vrai je suis tout le temps seul en rentrant ce jour-ci

— C’est ce que j’aime, au moins y a pas un chat pour nous embêter ; j’en profite toujours pour siffler une ou deux bières tranquille, ça te dit ? Suis-moi dans le local !

On s’est tranquillement installé dans la pièce réservée aux agents, la déco n’était pas délirante mais il y a le confort nécessaire, avec un canapé sur lequel on s’est assis. Ce bel homme commençait à me plaire de plus en plus… comme je me sentais de plus en plus en confiance, je commençai à plaisanter :

— Et vous vous faites plaisir tous les soirs comme ça ? Avec les bières, je veux dire…

— Disons que j’en garde toujours une en réserve au cas où je trouverai un beau jeune homme endormi !

— En tout cas pour vos caresses vous avez déjà une bonne technique…

— Ah ! On dirait que j’ai trouvé quelqu’un qui aime les câlins on dirait !

— C’est vrai, vous me donnez presque envie de me rendormir !

— Ne t’inquiète pas, pour ça j’ai la solution…

A ces mots il se pencha vers moi et déposa ses lèvres sur les miennes. J’étais surpris sur le coup mais c’était encore plus agréable que lorsqu’il m’a réveillé en douceur auparavant… très vite nos langues sont rentrées en contact, je ne pensais pas que ça pouvait être aussi sensuel d’embrasser un homme… son bras est venu sur mes épaules, comme pour me retenir, mais je n’avais absolument pas envie de m’enfuir…

Nous étions côte à côte et sa main glissait sensuellement vers mes fesses. Excité par cette volonté de toucher mon cul, j’ai mis une jambe sur les siennes pour lui laisser le champ libre, histoire qu’il puisse tâter un peu de mes fesses un peu étendues… voyant qu’il aimait ça, et profitant du fait que j’étais un peu plus petit que lui, je me suis carrément mis à califourchon sur lui, en continuant à me faire galocher ; j’ai tout de suite senti ses deux mains palper mon derrière, puis il s’est mis à jouer avec l’élastique de mon boxer, à me chatouiller le haut des fesses…

Gagnés mutuellement par l’envie de nous dévoiler, nous avons enlevé ensemble nos hauts respectifs. Son torse généreusement velu, ma peau nettement plus élaguée… il y avait dans ce moment une sorte de trouble et de grâce mélangés, une sorte de terrain inconnu qui me paraissait tout sauf dangereux… et pourtant je m’apprêtai bien à faire pour la première fois l’amour avec un homme !

Et sans complexe, je baissai légèrement mon pantalon, tout juste assez pour laisser mon caleçon à découvert, puis je suis remonté sur ses genoux… je voulais absolument goûter ça, cet inconnu, cet interdit… Il comprit tout cela, et avec un grand sourire il baissa lui-même mon caleçon, libérant ma queue toute timide. Mais après quelques coups de langue qui m’électrisèrent, je commençai à goûter fort bien ce petit jeu et je me détendis progressivement, savourant mon érection.

Une fois mon sexe bien dressé, le bel inconnu le goba, j’avais très peur qu’il rigole à la vue de ce sexe non circoncis mais il n’en fut rien. Pendant que ses mains caressaient mes fesses mises à jour, il suçait avec douceur, sensuellement, inclinait sa tête comme pour savourer les versants d’un cornet glacé… chaque mouvement me figeait sur place, et je reprenais vie dès le mouvement suivant, à la merci des décharges qui ponctuaient une seconde de fellation ; c’est fou comme vous pouvez vous découvrir une sensibilité dans une partie de votre corps que vous utilisez pourtant tous les jours…

Il faisait durer le plaisir comme il faut ; je commençai à pousser de petits cris dans le local, baigné par la pluie de sensations qui me gagnait depuis ma verge. C’était fou comme les mouvements de ses lèvres me rendaient aphone, absolument sans défense… ma fièvre montait, montait… jusqu’à ce que je jouisse directement dans sa bouche, comme ça, sans avoir la courtoisie de prévenir ! Alors que je réalisais à quel point cet homme m’avait transporté, il avait déjà tout avalé, pendant que je revenais de ma transe…

— Hmm, tu avais amplement besoin d’un bon réveil apparemment

— Comment… comment tu fais ça…

— C’est trop d’honneur mon beau ! Mais tu n’as encore rien vu… Surtout ne bouge pas, reste bien comme ça…

Il s’était soustrait au poids de mon corps, me laissant agenouillé directement sur le petit sofa, les mains contre le mur, pendant qu’il se faufilait derrière moi…

— A moins que tu n’aies envie de voir un peu mon petit oiseau ? Pas aussi joli que le tien, je le concède, mais…

Il n’en fallait pas plus pour que je me retourne en un éclair et lui enlève moi-même son pantalon. Sa queue était déjà bien dressée, plutôt fine et imberbe (bien en accord avec cet homme d’une finesse remarquable). J’en profitais pour la toucher, la lécher…

— Oui, vas-y, ma bite a besoin d’être un peu lubrifiée…

— Comme ça ?…

— C’est parfait, respire, prend ton temps… oui… tu dois aller un peu plus loin à chaque fois, à ton rythme… là, c’est bien mon gars, suce-moi comme ça, c’est parfait !

J’étais aux anges, ses mots m’excitaient et j’étais de plus en plus confiant, j’ai commencé à le sucer à fond en voyant sa bite durcir et grandir à chaque coup de lèvres. J’avais en bouche sa chair vivante, chaude, je sentais que je pouvais faire ça des heures durant…

— Attends un peu, va pas me faire jouir maintenant !

Après m’avoir embrassé une nouvelle fois il m’a replacé dans ma position d’origine, face au canapé. Je savais ce qui allait arriver et cela m’excitait, tant qu’à découvrir autant aller… au fond des choses nest-ce pas ? Je voulais qu’il me travaille, qu’il me prenne, qu’il remplisse mon antre… je me sentais dingue de penser à ça, mais je me devais de découvrir cette sensation, pour au moins savoir comment profiter moi aussi de l’anal ! Pendant que j’attendais ce moment désiré, je le voyais appliquer sur sa queue un peu de gel sorti de nulle part :

— Tu t’es bien préparé on dirait !

— J’ai toujours un peu de réserve pour les beaux chatons comme toi ! Allez, continue à me montrer ton joli cul comme ça, c’est bien…

Pendant que je ronronnai à ces remarques, il vint se placer derrière moi et commença à me titiller l’anus avec sa verge que je désirai tant. Mon excitation ne se calmait pas, d’autant plus qu’il continuait à me chauffer avec ses remarques graveleuses, gardant intacte la complicité qu’il y avait entre nous dès le début ! Progressivement, je sentis mon anus s’élargir au passage de sa baguette, la douleur restait contrôlée et devenait peu à peu addictive…

Quand je lui dis que j’étais complètement prêt, il put accélérer les mouvements, me laissant rapidement le souffle coupé à force de faire bourrer ! Je lâchai des gémissements de plaisir à chaque passage de sa queue, il ne semblait pas y avoir de limites à sa maîtrise de la levrette, quelle chance j’avais… les mains crispées sur le canapé, je savourai chaque pénétration, chaque mouvement de sa main dans mon dos, j’en redemandais encore et encore…

— Tu veux sentir mon sperme ma belle ? Demandait-il en pleine action

— Oui ! Oui, vas-y je veux tout ! Répondis-je dans un accès de fièvre, par réflexe, je pouvais tout accepter…

Il jouit au fond de mes entrailles, lâcha quelques petits coups de verge et commença à se libérer lentement. Il laissa un grand vide en moi, après un court soulagement je ne souhaitai que ressentir encore ne serait-ce que le quart de cette expérience…

— Tu sais que tu es tout doux à l’intérieur ? Un vrai cul de Belle au Bois Dormant…

— C’était énorme… je crois que je te laisserai me réveiller plus souvent à l’avenir !

Nous avons bien entendu remis ça après coup. Quand je l’entendais monter dans la rame vide je feignais d’être endormi, et le petit local fut vite témoin de nombreuses cochonneries…

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