Quand nous sommes arrivés tous les cinq à notre hôtel une chaleur accablante régnait ! Arrivés tard dans la soirée nous sommes tous allés dans nos chambres respectives et après une bonne nuit nous nous sommes tous retrouvés dans cette salle de réunion, heureusement climatisée !

Le midi pendant le déjeuner Marc nous invita à passer dans sa chambre après le dîner pour boire une coupe de champagne : c’était le jour de son anniversaire (48 ans) Je trouvais Marc assez grossier et très sûr de lui, toujours à me détailler et me faire des compliments ensuite, mais je n’ai pas refusé. Apres cette journée de cours je suis allée dans ma chambre pour y prendre une douche, mais pressée par les autres je n’ai pu ni prendre de douche ni me changer et c’est vêtue de cette robe légère d’été que nous nous sommes retrouvés tous les cinq du bureau de Paris à dîner à l’hôtel puis dans la chambre de Marc. Les trois hommes et les deux femmes que nous étions se connaissaient depuis déjà quelques temps et nous avons eu droit aux commentaires masculins sur nos collègues féminines des autres bureaux présentes à ce séminaire

— Tu as vu comme elle est Christine ? Tu l’imaginais ainsi Marc ?

— Oui et non mais pas mal carrossée non ?

— Oui c’est le moins que l’on puisse dire !

— Peu importe à Paris… Dit Marc. Nous avons la plus belle : Sophie !

Je discutais avec ma collègue Marie et j’entendis bien sur Marc

— Non ? Je n’ai pas raison les gars ?

Ils hésitaient à répondre me connaissant. Je répondis :

— Nous on n’est pas gâté avec les hommes !

— Pourquoi ? Les autres hommes t’intéressent ?

— Non du tout mais cela n’empêche pas de regarder !

Je cherchais Marie du regard pour ne pas être la seule à répondre. Et Marc !

— Pourtant avec ta robe rouge tu as fais encore sensation, Sophie !

— Qu’est ce qu’elle a ma robe ?

— Rien, enfin, si tu es magnifique avec !

— Arrêtes, Marc tu vas me faire rougir !

— Tu rougis facilement Sophie ?

— ?a dépend !

— De quoi ? Dis-moi ?

— Je vois ou tu veux en venir Marc !

— Moi ? Mais pas du tout Sophie, c’est toi qui y pense !

— Bien sur oui, c’est moi !!

Je me sentais mal à l’aise, tous les regards se portaient sur moi. L’alcool aidant l’atmosphère était lourde et les blagues grivoises fusaient. Moi-même j’avais chaud et je prétextai un appel téléphonique à donner pour retourner dans ma chambre.

— Tu nous laisses Sophie ?

— Oui mais je reviens j’en n’ai pas pour longtemps !

Sortie de la chambre, l’air frais me fit le plus grand bien et une fois dans ma chambre j’appela Julien

J’ai hésité pour retourner là-bas mais au bout d’une petite demi-heure j’étais devant la porte de la chambre et en rentrant je me suis étonnée du silence

— Qui est-la ?

— C’est moi Marc ! Sophie !

— Tu es revenue c’est sympa ! Attends j’arrive !

Je regrettais déjà d’être de retour mais Marc revint très vite sortant de la salle de bain vêtu uniquement d’un caleçon et d’un tee-shirt !

— Je dérange ? Je vais rentrer !

— Non Sophie, reste un peu il n’est qu’11 heures

— Ou sont les autres ?

— Ils sont retournes au bar. ?a te dit ?

— Au bar ? Non merci !

— Alors accepte encore une coupe !

— Juste une alors j’ai déjà un peu trop bu !

— Ca te va très bien Sophie !

— Ah oui l’alcool me va bien !

Il rit et sans complexe, vêtu ainsi, il se place près de moi. Ainsi habillé, je peux deviner une musculature plutôt puissante et sa peau noire parait luire. Une discussion sur tout et rien suivit et je sentais qu’il faisait des efforts pour ne pas me choquer avec certains propos.

— Tu es vraiment une très belle femme, Sophie !

— Merci merci Marc ! Tu ne penses plus à Christine ?

— Comment penser à Christine quand j’ai auprès de moi et dans ma chambre la plus belle femme que je connaisse ?

A ce moment la je me rendis compte de l’ambiguïté de la situation. Mais Marc discutait sans équivoque et tout en parlant nous bûmes plusieurs coupes. Je commençais à avoir très chaud et tout en remuant sur le divan je réajustais ma robe sur mes cuisses. Sous cette robe je ne portais qu’un ensemble culotte/soutien gorge rouge et les jambes nues

— Tu sais Sophie je te trouve très séduisante !

— En tout cas ce n’est pas la première fois que tu me le dis !

— Et sûrement pas le seul à le dire ou à le penser !

— Je ne sais pas, je n’y prête aucune attention !

— Vraiment ?

— Oui vraiment !

— Le fait de plaire t’indiffère ?

— Oui ! Enfin non je n’y fais pas attention !

— A quoi fais-tu attention alors ?

Tout en parlant, il se mit debout et je pus voir cette bosse sur son caleçon. Une bosse impressionnante ! J’étais troublée, il le savait et s’assit tout à côté de moi.

— A quoi fais-tu attention Sophie ?

— Je ne sais pas dans quel domaine ?

En lui répondant, je sentais une ambiance pesante. J’avais très chaud à l’intérieur et je sentais que je rougissais. Mon ventre bouillait et il posa sa main sur ma cuisse

— Tu fais attention à ça ?

Je ne répondais pas et le regardais. Sa main maintenant caressait doucement ma cuisse puis l’intérieur

— Tu ne me réponds pas ?

— Oui, j’y fais attention

N’ayant fait aucun geste pour repousser sa main celle- ci se faisait plus entreprenante et commença doucement à passer sous le tissu de ma robe

— Et là, tu y fais attention ?

Je lâchai un soupir et lui demanda de la retirer

— La retirer ? Pourquoi cela ne te plait pas ?

Sa main maintenant repoussait le tissu de ma robe et je pouvais sentir le tranchant effleurer le fin tissu de ma culotte

— Tu n’es pas si indifférente non ?

Je bouillais, je sentais mon ventre s’enflammer et mon sexe s’humidifiait de plus en plus

— Sophie !

Me prenant la main il la posa sur son caleçon

— Et la tu veux la retirer ?

Inconsciemment je n’ai pas enlevé ma main de suite et je sentis même mes doigts exercer une pression sur cette colonne de chair qui me paraissait impressionnante. Cela a duré à peine deux secondes mais c’était des secondes en trop

Retirant ma main mais pas la sienne je pouvais la sentir entre mes cuisses à la limite de ma culotte et avec me fit ouvrir les cuisses et de suite elle se plaqua sur mon sexe

— Tu es trempée Sophie ! Tu en as envie ?

Je ne répondais pas et sa main maintenant qui doucement à travers le tissu de ma culotte me caressait le sexe. J’étais gênée car je me sentais littéralement fondre sous ces caresses et ma culotte qui était déjà humide, l’était de plus en plus. Je coulais et jamais cela ne m’était arrive à ce point

— Tu es trempée Sophie ! Tu aimes le sexe ?

Il s’approcha et chercha ma bouche avec ses lèvres. Tournant la tête comme un refus sa main contourna l’élastique de mon slip et se posa sur ma vulve

— C’est fou comme tu mouilles ! Je t’excite ? Ta culotte est trempée, ma cochonne !

Je ne pus retenir un petit gémissement et sa bouche se posa sur mes lèvres. De suite je sentis sa langue me caresser les lèvres et, les entrouvrant, ma langue vint au contact de la sienne

— J’en ai tellement envie Sophie ! J’en ai rêvé mille fois !

Son baiser était fougueux presque brutal son autre main posée sur mon épaule fit descendre une bretelle de ma robe et glissa sur ma poitrine

— Tes seins me font bander depuis des mois !.

Il les malaxait, les soupesait, prenait du plaisir à les toucher. Ses doigts jouaient avec mon téton dressé et de son autre main il m’écartait les cuisses et revenait sous ma culotte

J’avais honte être autant mouillée. Mon sexe se liquéfiait sous ses doigts, que très vite je sentis en moi

— Oui Sophie tu es belle ! Ta chatte est trempée !

Même dans ses moments là il ne perdait pas la face c’est lui qui dirigeait. Pourquoi j’étais autant excitée ? Lui à qui j’avais bien fait comprendre qu’une partie de jambes en l’air ne m’intéressait pas. Lui si vulgaire. Lui, Marc, ce macho si sûr de lui. Pourquoi ?

Je voulais refermer mes cuisses mais ses longs doigts me fouillaient si bien. Il m’embrassait fougueusement et entre chaque baiser il parlait, me saoulait de parole, ma tête tournait ses mains sur moi me rendait folle. J’étais folle d’ailleurs de le laisser me toucher ainsi mais il était trop tard. Déjà sa langue après mes lèvres descendait dans mon cou puis très vite sur ma poitrine…

— Je vais dévorer tes seins ma belle ! Depuis des mois je bande en pensant à toi ! Toi qui joue la coincée…

Où était-elle cette femme ? Elle si réservée qui ne laissait aucune chance à toute tentative de séduction ? A cet instant cette même femme était dans la chambre d’un collègue de travail, la robe retroussée et les mains de ce même collègue lui fouillant le ventre

— Oui Sophie laisse toi aller, tu adores ça je sais !

Laissant mon sexe sa main se plaça sur ma bouche

— Lèche, oui goûte ! Comme tu mouilles !

Ces doigts étaient complètement enduits de cyprine. Quand il me les mit dans la bouche, cette odeur, mon odeur imprégnait ses doigts. Je sentais l’intérieur de mes cuisses humides, trempées. De mémoire je ne me souviens pas avoir autant mouillée. Mes seins étaient dressés et sa langue qui suçait, léchait, mordillait, tirait sur mes tétons jusqu’a la douleur…

— Retourne toi, je vais dégrafer ta robe !

Doucement il me retourna et accroupi sur le divan, les coudes posés sur le dossier il fit descendre la fermeture éclair. Sans oublier de me lécher la peau que découvraient ses yeux !

— Tu es si belle Sophie !

Il arrêta et retroussa ma robe sur mes hanches. Ainsi je lui montrais mes fesses séparées par le fin tissu de ma culotte détrempée. Cela me gênait de me montrer ainsi, de plus n’ayant pas pris de douche depuis ce matin j’étais mal a l’aise, j’étais pourtant dans un tel état d’excitation. Je n’avais dit aucun mot jusque là. Je sentais ses lèvres baiser mes fesses, sa langue me lécher, ses mains remonter ma culotte. Celle-ci séparait mes lèvres.

— Oui ? Tu t’épiles ainsi Sophie ? C’est toi qui le fait ?

Il parlait quand il ne m’embrassait ou léchait pas.

— J’adore ! Les lèvres lisses, toutes roses ! C’est julien qui te l’a demandée ? Et juste ce qu’il faut de poils sur le pubis !

Je mordais le dossier du canapé pour ne pas hurler. Ses mains firent rouler ma culotte sur mes hanches puis sur mes fesses. Je sentais le tissu collé à mes lèvres intimes.

— Je n’ai jamais vu une chatte autant mouillée. Ton cul et tes cuisses en sont trempés. ?a t’excite tant que ça ma belle ?

Très vite, la culotte aux chevilles puis par- terre, ses lèvres et sa langue se posèrent sur mes lèvres puis les écartant sur mon clitoris…

— Oui c’est bon ! Tu as un cul magnifique et tu t’épiles comme une pute !

Il devenait vulgaire, ses gestes plus brutaux. C’est lui qui dirigeait et il en prenait du plaisir. Il m’écartait grande les cuisses, je me montrais à lui. Il prenait ma main pour la poser sur mon sexe.

— Branle-toi ! Oui, écartes ta chatte !

Il accompagnait mes doigts pour me pénétrer avec, sa langue jouait avec mon bouton.

— Ta liqueur est si bonne Sophie !

Je l’entendais me laper, je voyais cette scène. Moi, accroupie sur le divan, lui montrant mes fesses, les cuisses ouvertes sa langue me léchant, me buvant…

— Ca coule sur tes cuisses ! Tu aimes ça !

Parfois je sentais son nez sur mon anus, j’avais encore plus honte et voulant me dégager !

— Non Sophie, laisse moi le caresser avec mon nez ! Laisse moi le sentir !

Puis c’était sa langue qui me léchait l’anus. Je n’étais pas réceptive à cette caresse et il s’en est très vite aperçu. Si bien que ses mains ouvrant largement mes fesses, sa langue ne quitta pas cet endroit tandis que sa main me masturbait le sexe.

— Tu inondes Sophie ! Tu vois que tu aimes !

Je sentais mon anus trempé en effet, et sa langue qui me léchait, maintenant me pénétrait !

— Tu te tords dans tous les sen,s ma belle ! :Quand je pense que tu nous la faisais mijaurée alors que tu aimes la bite et tu vas adorer la mienne !

Sa bouche quitta mes fesses puis ses mains me firent tourner, je me retrouva assise devant lui.

Il ne lui restait plus que son caleçon déformé par un sexe bandé qui me paraissait énorme !

— Tu veux la voir ?

Ses mains me prirent les cheveux et plaqua mon visage sur son bas-ventre.

— Tu vas la voir, la toucher, mais surtout tu vas me sucer !

Il bougeait son bassin sur mon visage je sentais son sexe à travers son caleçon sur mes joues, ma bouche, enfin tout mon visage. Quand mes mains s’approchèrent et prirent son caleçon à la taille pour le faire descendre son sexe me sauta au visage ? Il était long, gros et noueux, son gland noir décalotté me faisait face !

— Tu en as déjà eu une comme ça ? Elle va te faire jouir comme jamais !

Je n’en savais rien encore mais pour l’instant j’étais déjà dans un état pitoyable. Son sexe était long et gros mais aussi coudé très nettement sur le côté. Ses mains tenant mes cheveux dirigèrent mon visage puis mes lèvres sur ce gros gland noir. De suite ma langue se posa dessus et commença à le lécher avec recul puis de plus en plus avec envie et gourmandise. Cela faisait des bruits de succion énormes !.

— Oui suce moi bien ma belle ! Tu l’aimes ma queue ?

Il parlait toujours en employant ses mots qui me dégoûtaient tant. Mais au moment présent je prenais un réel plaisir à essayer de prendre dans ma bouche ce sexe énorme !

— Oui Sophie tu l’aimes, tu vois ! Tu vas regretter de l’avoir refusé avant ! Lèche-moi bien. Caresses toi la chatte salope !

Il m’insultait mais malgré moi, ma main se plaqua sur mon sexe toujours détrempé et d’un puis de deux doigts je me masturbais.

— Oui Sophie tu es si belle comme ça !

Je dus arrêter un moment de le sucer, il me fit lever les bras et enleva ma robe.

— Tout en rouge tu es superbe !

Il ne me restait que mon soutien gorge, les seins au dehors des bonnets !

— Tu me suces bien Sophie ! Tu aimes ma queue ?

— Elle est si grosse !

C’étaient mes premiers mots et j’étais comme hypnotisée par ce sexe noir et si long !

— Oui je veux sentir ta langue dessus ! Lèche de haut en bas !

J’étais assise sur le divan me masturbant devant cet homme qui tenait son sexe à la main et me le mettait dans la bouche ou la faisait parcourir sur mon visage.

— Prends mes couilles dans ta bouche ! Gobe-les ! Je vais te baiser comme la pute que tu es !

Il prenait plaisir à m’insulter, à prendre son sexe dans la main et à le promener sur mon visage, mes seins.

— Tes seins j’en ai rêvé ! Enlève ton soutien !

Lâchant mon sexe mes doigts trempés de cyprine il me les mit une nouvelle fois dans la bouche et je dégrafai mon soutien gorge.

— Elle te plait ma bite !! Je les imaginais comme ça tes seins, un peu pendants ! J’adore ça !

Ses doigts me tiraient sur les tétons puis de ses mains il écrasait mon visage sur son sexe ses bourses. Il me fit m’allonger sur le dos puis posa son sexe sur mon visage

— Allez ma belle suce moi bien, je veux voir ta bouche se déformer !

L’une de ses mains se posa sur mon sexe, de l’autre il me tenait la tête en lui faisant faire des va-et-vient sur son sexe.

— Je te baise la bouche ma Sophie !Tu es vraiment encore trempée ma salope ! Tu en mets partout. Quand je pense que tu jouais la vierge effarouchée ! Regarde-toi me manger la bite ! Tu la dévores !

Il avait raison ce sexe si gros m’excitait follement !

— Doucement ma belle ! Maintenant tu vas te retourner et je vais te baiser !

J’étais une poupée dans ses bras et il me retourna. Très vite je me suis retrouvée dans la même position qu’au début : accroupie, les seins sur le dossier, les mains prenant appui dessus

Je tourna la tête et lui demanda de faire doucement

— T’inquiète pas, je vais te remplir mais pas te déchirer ! Je veux t’entendre me supplier d’arrêter de te limer ! Tu es si mouillée que tu vas à peine la sentir !

Je sentis ses mains écarter mes fesses et d’un mouvement de bassin son gland se posa sur mes lèvres puis me pénétra…

— Tu es bonne ma belle ! Je savais qu’un jour je te baiserai ! Demande-moi de te baiser !

— Oui Marc, vas-y !

— Non, ’ baise-moi ’ !

— Oui baise-moi, Marc !

— Pense à ton Julien en ce moment ! Tu crois qu’il t’imagine une bite dans la chatte ?

Je ne pensais malheureusement pas à lui et très vite son sexe me pénétra loin, profond très profond puis il le retira complètement pour me l’introduire à nouveau complètement.

— Ta chatte est luisante, béante tu te verrais !

Je mordais une nouvelle fois le coussin pour ne pas hurler puis il commença ses longs va-et-vient. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

— Oui c’est bon Marc continue !

— Oui je vais continuer, on a toute la nuit !

J’avais l’impression que son sexe me perforait le ventre

— Tu aimes ma queue ?

— Oui elle est bonne si grosse continue…

J’eus un orgasme très fort quand l’une de ses mains vint titiller mon clitoris.

— Tu aimes te faire baiser comme une pute ?

— Oui j’aime ça !

— Dis-le !

— Comme une pute oui !

— Tu es trempée ma belle !

Son autre main posée sur ma hanche se posa sur mes fesses et il plaqua son pouce sur mon anus.

— Tellement mouillée que mon pouce rentre tout seul !

Effectivement je sentais son pouce rentrer très vite et il lui fit faire des va-et-vient aussi.

— Je t’encule maintenant !

Un deuxième orgasme immédiat !

— Mais tu adores ça dans le cul ! Décidément tu es une belle garce ! Julien ne s’ennuie pas avec toi !

Il retira son pouce et le mit dans ma bouche .

— Trempée aussi, et sens-toi, tu te négliges !

Il me le fit sucer puis très vite me le remit dans les fesses !

— Ton cul est magnifique ! Il palpite sous mon doigt, sous mes doigts…

Combien je ne sais pas, mais un troisième orgasme arriva. Ses va-et-vient s’accéléraient, je ne savais plus où j’étais ; puis très vite il se retira et me retourna.

— Suce moi je vais venir

Je pris son sexe sans hésiter et le branla avec mes mains tout en le suçant. Je le sentis se raidir et me tenant la tête éjacula dans ma bouche. Il jouissait, grognait, m’insultait….

— Oui Sophie avale ! Tu aimes ça ma salope !

Il me baisait encore la bouche du sperme coulait sur mes lèvres, mon menton.

— Salope ! Oui continue !

Epuisée, je m’allongeais sur le divan je regardais ce sexe qui m’avait si bien fait jouir. Il était luisant de sperme mais surtout de cyprine. Moins bandé mais toujours aussi gros !

— Tu l’aimes ma queue, tu vois ! Nettoies-la !

Et il l’approcha de mon visage pour que je lui lèche ce que je fis

Le jour d’après j’essaye de l’éviter au maximum mais était le retour chez moi qui me faisait peur…..

Sophie

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