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La vengeance de l'ex-criminel de guerre – Chapitre 1




La vile vengeance de l’ex-criminel de guerre

Vile Vengeance

Coulybaca / The Samurai Stud

Pendant le vol de Los Angeles à Kyoto, alors qu’elle servait un thé à un moine Bouddhiste assis au fond de l’avion, Gwen réalisa qu’elle pensait à l’épreuve qu’elle venait de subir lorsque le moine avait constaté :

— "Vous sentez-vous bien, mon enfant ? …"

— "Oh oui… Oui… Veuillez m’excuser… Je suis dans les nuages! …" répondit-elle surprise que ce moine d’un âge avancé parla un anglais courant.

Regagnant le fond de l’avion pour se reprendre, et fixer son esprit sur son boulot, Gwen vit le moine quitter son fauteuil pour la rejoindre.

Elle remercia vivement le moine de son intérêt lorsqu’il lui demanda s’il pouvait lui être d’une aide quelconque puisque visiblement quelque chose la tourmentait.

Il lui apprit alors qu’il appartenait au temple de Zuten, elle avait déjà entendu parler de ce sanctuaire par ses grands-parents, elle se rappelait avoir vu une vieille photo de ce temple adossé à la colline du petit village dont ils étaient originaires.

Gwen informa le moine qu’elle connaissait le temple de Zuten, ses grands-parents originaires de ce petit coin de campagne lui en ayant parlé.

Elle se rappelait par ailleurs qu’ils lui avaient dit que pendant la guerre les moines habitant le temple soignaient les âmes et les corps en les purifiant.

Il lui semblait que ce vieux moine lisait dans ses pensées, il lui dit de venir le visiter au temple pendant son escale, il pourrait alors délivrer son âme des douleurs qui l’accablaient, il allie prier avec ses coreligionnaires pour la soulager de cette chape de plomb qui l’étouffait.

Gwen frémit en entendant ces mots :

— "Se pourrait-il qu’il sache qu’elle venait de se faire violer? … Pouvait-il le sentir? … Comment pouvait-il connaître si exactement ses états d’âme? …"

Elle fut sidérée de l’entendre poursuivre :

— "Ne vous hâtez pas de prendre une décision en ce qui concerne l’homme que vous aimez juste parce qu’une brute vous a profondément meurtrie! …"

Agé de 80 ans, Sensei Moto semblait être ce genre de mentor qui sentait et connaissait les pensées et les sentiments de ses interlocuteurs.

Peut-être était-ce quelque chose qu’il avait acquis au cours de ses 60 années de méditation au sein de du temple de Zuten.

Lorsqu’il était dans ses vingt ans, il avait été choisi par les moines du temple de Zuten pour suivre leur apprentissage, il leur avait toujours été reconnaissant de leur enseignement.

S’ils n’avaient pas été là, il se serait sûrement fait hara-kiri où il aurait été pendu en raison des nombreux meurtres sadiques qu’il avait commis pendant la guerre.

Le temps avait coulé, tous les vieux moines du temple étaient morts, Sensei Moto dirigeait le temple de Zuten, la chasse aux criminels de guerre avait pris fin depuis bien des années.

Cependant il n’avait jamais oublié sa haine de ses envahisseurs américains, ces ennemis qui avaient tué ses parents, sa femme, ses enfants et détruit son existence.

Il était maintenant pour le colonel Ichiro Motoyama de l’armée impériale du Japon de renaître et de lutter contre ces américains qu’il honnissait tant.

Dans cet appareil qui le ramenait au Japon après une conférence religieuse à laquelle il avait assisté, il réfléchissait au meilleur moyen de débuter sa vengeance lorsqu’il avait rencontré cette ravissante jeune femme descendante d’un renégat qui avait trahi le Japon pour installer sa famille en Amérique.

En raison de son grand âge, sachant que son ennemi était une super puissance, les armes de l’époque de sa jeunesse étaient révolues et sûrement inopérantes.

Bien qu’il ait réfléchi à sa vengeance depuis de longues années, c’est la vue de la somptueuse Gwen Nakayama qui lui avait inspiré son plan pervers.

Bien qu’actuellement, il ne se serve guère des secrets que les moines de Zuten lui avaient enseignés, il avait correctement interprété le tumulte des pensées de la jeune beauté d’origine japonaise.

En fait, c’était son passé de criminel de guerre en tant que commandant d’une unité célèbre pour les pillages, les viols sauvages et les meurtres qu’elle avait commis, qui l’avait aidé à percevoir ses sentiments de désespoir engendrés par son ignoble viol.

C’était en raison de ses longues d’années d’expérience de première main en tant que l’infâme colonel Motoyama que Sensei Moto était capable d’immédiatement identifier une jeune femme qui s’était fait violer et violenter.

Leur regard, leur air désarmé, l’aura de déprime qui entourait ces jeunes femmes le renseignait de façon implicite sur leur statut de femme violée.

En fait c’était carrément un sixième sens qu’il avait développé qui lui permettait de repérer à coup sûr ces femmes, il en avait tant violé à son heure.

En maintes occasions, après la conquête d’un village ou même d’une ville, il avait sélectionné la captive la plus jolie pour son usage personnel alors que ses hommes maintenaient les femmes agenouillées face aux villageois ou aux citadins, si elle était mariée, l’époux était amené au premier rang pour pouvoir profiter du spectacle de sa ravissante femme sauvagement violée par ses oeuvres

Puis, en tant que colonel il traitait encore plus rudement le malheureux époux en le remerciant de se montrer assez hospitalier pour lui offrir sa femme, il était certain que son épouse s’abstiendrait de toute révolte, il pouvait tuer son mari séance tenante à la moindre protestation.

Inutile de préciser que pour récompenser ses hommes de leur bravoure au combat, le colonel Motoyama tenait à avoir l’honneur de leur distribuer les femmes de leur choix, afin que ses compagnons d’armes jouissent aussi du droit de violer les captives à couilles rabattues.

De ce fait il avait vu à de multiples reprises l’expression qu’affichait les victimes de viols après leur terrible épreuve, il constatait les changements dans leur attitude, et remarquait à quel point elles étaient démoralisées après s’être fait violer publiquement.

Lorsqu’il était entré en contact avec l’adorable Gwen Nakayama, le vieux criminel de guerre sentit immédiatement l’aura de viol qui la nimbait. C’est à cet instant que son esprit pervers commença à concocter sa vengeance.

A la vue de cette descendante de Japonais pur races, de son apparence, et du fait qu’elle parlait parfaitement l’anglais il comprit immédiatement qu’elle avait été grandie aux USA.

Et, pour Sensei Moto, ce serait une agréable vengeance de violer sauvagement la descendante de ces japonais qui avaient choisi de s’exiler au pays de leurs ennemis américains.

Lorsqu’il eut résolu de la violer, il se mit à analyser les différentes possibilités, il était temps maintenant de se comporter en conquérants.

Cette jeune beauté asiatique née en Amérique ce pays ennemi où elle avait grandi entouré de ses traîtres de parents qui avaient abandonné leur pays, était l’objet idéal capable de raviver la colère de Sensei Moto désireux de soumettre ses ennemis séculiers.

Lorsque les anciens moines de Zuten devenus trop vieux pour diriger le sanctuaire moururent, ils l’avaient autorisé depuis un bon moment à se réfugier avec ses soldats dans le temple et de s’y cacher.

Ils avaient alors fondé une véritable secte sous l’autorité de Sensei Moto sous leur apparence de simples moines, ils dissimulaient leurs tendances aussi sadiques que démoniaques.

Le contrat des jeunes recrues était de suivre leur destin, au travers du vieux moine, ils s’engageaient à venger la défaite de leurs ancêtres lors de la dernière guerre.

Moto-san avait décidé de mettre en application un nouveau slogan émanant de cet ennemi héréditaire : "Faites l’amour, pas la guerre !"….

Sous les balles et les bombes, ils s’étaient emparés, avec sa petite troupe, d’un maximum de ces femmes américaines qu’ils honnissaient, les avaient violées à couilles rabattues, pour les abandonner ensuite le plus souvent engrossées de leurs ouvres.

Moto-san voulait maintenant se servir de la douce Gwen Nakayama pour attirer des femmes mariées ou des petites amies de ces américains abhorrés au temple de Zuten, où il les attendrait impatiemment en compagnie de sa bande de moines lubriques.

Le cercle des moines les plus âgés était constitué de criminels de guerre qui avaient suivi leur chef, alors que ce n’était pas la vocation religieuse qui étouffait les recrues de la nouvelle génération.

Une fois recrutée, les nouveaux passaient une année entière enfermés dans le temple, ils labouraient et cultivaient des herbes aux vertus très spéciales, à flanc de montagne, ils n’avaient pas rencontré d’américaines depuis leur recrutement.

Les herbes qu’ils cultivaient étaient prêtes à l’emploi et ils pourraient bientôt tirer bénéfice de leur rude travail.

Comme les ancêtre des Gwen Nakayama étaient originaires du village voisin l’arrivée de cette beauté américaine d’ascendance japonaise s’avérait une invitée très spécial dans leur esprit.

Une fois que la navette eut déposé, l’équipage à son hôtel, Gwen rejoignit les autres hôtesses pour partager leur repas, elle leur dit alors qu’elle était invitée à visiter un temple situé dans la localité d’où étaient originaire ses grands-parents.

Une fois sa valise déposée dans sa chambre, sans même se préoccuper de changer de tenue, elle sortit et trouva tout de suite le taxi que Sensei Moto avait retenu pour elle.

Elle gagna rapidement le flanc de montagne où était accroché le temple de Zuten.

Lorsqu’elle quitta son taxi, le paternaliste sensé la saluait déjà chaleureusement.

— "Bienvenue ma chère enfant….. Entrez… Une tasse de thé chaud vous attend, cela contribuera à vous relaxer! …. Vous pourrez alors m’entretenir de vos soucis ce qui me permettra de vous aider à les chasser! …"

Ce thé chaud s’avérait très efficace, il ôtait toute inhibition à Gwen, il lui semblait qu’elle flottait maintenant sur un petit nuage.

En fait c’était une drôle de composition pour un thé, il était largement pourvu en herbes hallucinogènes cultivées par les moines à flanc de montagne.

C’était un thé qui vidait l’esprit de tout stress mais qui en même temps sensibilisait le sujet qui en avait bu à toutes suggestions, même les plus viles.

Tout en sirotant son thé, Gwen commençait à confier les problèmes qui la hantaient au vieux moine si bienveillant.

Elle lui livrait des informations sur sa vie privée et intime, sur son éducation, ses parents et ses grands-parents, lui rapportant comment ses grands-parents avaient quitté la terre de leurs ancêtres pour se fixer aux USA où elle était née.

A sa grande surprise il s’enquit :

— "Dis moi ce qui te concerne intimement mon enfant… N’ait pas peur, raconte-moi tout en détail….. Détaille le viol dont tu as été victime dernièrement… "

— "Oh….. Comment savez-vous? …." s’étonna Gwen qu’il connaisse cet épisode dramatique de sa vie.

Le vieux moine prit sa main dans la sienne la tapotant paternellement il lui révéla :

— "Les esprits de tes ancêtres me l’ont appris. Tes ancêtres me parlent ….. Confie moi ta douleur ….."

La puissante drogue faisait son effet et Gwen en finissant la deuxième verre qu’on lui avait servi, entamait la relation détaillée de son viols dès l’instant où cet importun l’avait accosté sur le chemin de retour à son domicile.

Le vieux moine la faisait décrire avec une extrême précision chaque élément de son épreuve.

Elle fit un portrait fidèle ce colosse noir qui avait brisé sa vie, décrivit méticuleusement la façon dont elle du assouvir ses appétits charnelles agenouillée sur la carpette, continuant par son viol dans son propre lit, son brutal dépucelage et toutes les ignominies qu’elle avait du subir.

Puis elle avait du cuisiner pour lui, s’assoir nue sur ses genoux, il la caressait intimement tout en mangeant puis elle rapporta ce qu’il lui avait enduré sur le canapé avant qu’il ne la quitte.

L’esprit totalement embrumé, sous l’emprise de la drogue, elle vit quelqu’un s’approcher un plateau à la main, l’invitant à prendre le verre posé sur le plateau.

— "C’est une boisson curative mon enfant….. Les moines l’ont préparée spécialement pour toi, ils ont prié et chanté pour apaiser ton âme tout en la concoctant…" lui révéla le vieux moine d’une voix douce.

Puis il ajouta :

— "Bois cette potion mon enfant, vide le verre… Cette potion n’a pas mauvais goût… Tu en redemanderas à l’avenir… Tu ne pourras plus te passer d’elle! …. Dorénavant, à chaque voyage, tu nous honoreras d’une visite, à chacune des tes visites les moines te prépareront cette potion curative qui va te ravir ! …."

Gwen fit ce que lui indiquait le vieux sensei, à la voix de sage érudit, qui allait prier pour chasser les démons qui encombraient son esprit et la rasséréner.

La chaude potion sirupeuse glissait sur sa langue tandis qu’elle la sirotait avec plaisir, elle inclina alors le verre pour ingurgiter une nouvelle rasade du remède légèrement salé.

Un moment plus tard, Gwen se pourléchait les lèvres, elle avait avalé le verre de tisane droguée qui lui réchauffait maintenant l’estomac.

Un soudain étourdissement la prit alors qu’elle léchait les dernières gouttes sur ses lèvres, elle sentit alors le vieux moine se relever lui annonçant qu’il veillerait à ce qu’on lui apporte toute la potion nécessaire.

De fait ce breuvage avait été préparé par tous les moines qui avaient tous son image en tête… Ils y avaient tous concouru se branlant allègrement au-dessus d’un grand bol posait au sol devant eux.

Ils avaient consciencieusement rempli cette écuelle de bois de leur foutre qui mélangé à la tisane roborative avait été servie à leur hôte.

Et maintenant était venu l’instant d’apprendre comment obtenir cette enivrante potion dont le responsable n’était autre que le paternel Sensei lui-même.

Les yeux vides, elle ne n’avait aucune idée de ce qui se mettait en place devant elle, elle ne voyait pas que le vieux moine si chaleureux avait enlevé sa robe et se tenait son ventre pansu en avant devant elle.

Elle entendit alors le vieux Sensei la guider de la voix :

— "Ah, mon enfant t’as vraiment été bien avisée de revenir au pays de tes ancêtres! … Les troubles qui te perturbent en Amérique vont être soigné dans ce temple! …. Maintenant je vais t’offrir une nouvelle ration de cette potion que tu adores, suffisamment pour concourir à ta guérison… Ouvre la bouche mon enfant… Ouiiiiii… Comme ça….. C’est bien….."

Mais au lieu de sentir le verre presser ses lèvres, une épaisse colonne caoutchouteuse se trouvait entre ses lèvres et le sensei lui intimait de sucer l’épais obélisque si elle voulait guérir.

— "C’est ça… C’est bien mon enfant… Ohhhhhhhhh oui, comme ça! … "

Il avait posé sa main sur sa nuque la poussant en avant pour l’amener à enfourner une plus grande partie de l’épaisse colonne entre ses lèvres accueillantes.

Sous l’oil impavide des caméras, L’adorable Gwen Nakayama suçait avidement l’épais obélisque pour en extraire le plus de potion possible, mais elle ignorait totalement qu’en fait cette source jaillissait d’entre les cuisses du vieux Sensei.

— "Bienvenue pour ton retour au pays de tes ancêtres mon adorable petite américaine! … Oh oui prends encore de ce délicieux élixir que j’ai secrété spécialement pour toi, ma petite chérie! … Oh oui… Ouiiiii… Désormais tu chercheras de tout ton cour à savourer à nouveau ce breuvage enivrant! … Oh ouiiiiiiiii mon enfant! … " Couinait le vieux Sensei attirant son front contre son estomac.

— "Ahhhhhhhhhhh …. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh …" grognait-il savourant le savoureux contact de ses lèvres soyeuses sur sa hampe turgescente alors qu’elle le suçait de plus belle.

Cela faisait bien 60 ans qu’il n’avait plus ressenti un tel plaisir! ….

Ayant appris que la jeune américaine sous son emprise était fiancé à un trou du cul d’américain blanc, il était ravi de punir de façon aussi démoniaque ses ennemis.

Bien que la jeune asiatique ne soit pas responsable de son lieu de naissance, il pensait que ses grands-parents avaient trahi leur pays en s’exilant aux USA, et, de ce fait tous leurs descendants devaient être traités à la même enseigne.

De son implacable point de vue, cette adorable jeune femme dont les ancêtres étaient japonais ne devait pas subir le même traitement que les autres femmes d’ennemis qu’il avait pliées à sa loi.

– "Ahhh, oui, mon enfant, suce là….. Suce là jusqu’à ce qu’elle te tapisse ta jolie petite bouche! …" haletait Moto-san tout en la baisant frénétiquement en bouche.

Flattant ses longs cheveux noirs soyeux, tout en gonflant son estomac sur lequel reposait la tête de l’adorable petite hôtesse de l’air, Moto-san regrettait que ce trou du cul d’américain qu’elle devait épouser ne soit pas dans cette pièce à cet instant même pour admirer la juteuse performance de sa jeune fiancée.

Tout en lui baisant son adorable petite bouche, il méditait :

— "Hummm… eut-être te ferai-je parvenir un cadeau spécial pour le jour de ton mariage, une cassette montrant à quel point elle aime sucer les bites d’hommes âgés! …"

— "Ohhhhh… Ohhhh oui… Suce moi encore… Allez ma petite chérie! … Cela concourra à punir tes grands-parents de leurs méfaits! … Emmenant tes parents aux USA pour t’y faire naître! …" haletait Moto-san grivoisement.

— "Oh oui… Oui… Tu as eu bien raison de revenir au village de tes ancêtres la traîtresse conduite de tes grands-parents en sera peut-être ainsi minimisée! …

Et Sensei-Moto t’aidera à faire absoudre ta famille de son fourbe comportement…" Il pantelait maintenant de plus en pus accélérant le rythme de ses coups de boutoir.

— – "Ahhhhhh… Ahhhhh… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Avale tout… Absous ta famille de ses crimes infamants! …" grogna-t-il d’une voix sourde tout en projetant son foutre crémeux au fin fond de sa gorge.

Bien plus tard, alors qu’elle sortait quelques instants de son état de sidération tout lui sembla brumeux comme si elle évoluait au cour d’un rêve.

On lui donna de suite un bol de thé fumant qu’elle sirota séance tenante et tout revint dans la norme apaisée.

Son rêve s’apparentait à un cauchemar, elle était allongée sur un matelas, toujours vêtue de son uniforme d’hôtesse tous les moines se tenant entièrement nus, autour de la couche et la matant yeux écarquillés comme des soucoupes, leurs visages affichant des sourires bestiaux.

La voix familière, apaisante du vieux sensei lui disait de s’allonger sur le dos et d’adopter une position confortable, pour aider ses amis moines à la préparer, Gwen sentait de nombreuses mains l’aider à se positionner confortablement lui enlevant tout d’abord ses chaussures, puis ses vêtements.

Dans son subconscient, la paternelle voix du sensei la guidait et la conseillait, lui disant qu’elle était une femme, et que le rôle des femmes sur cette terre était de donner du plaisir aux hommes, à tous les hommes

quels qu’ils soient.

— "Oh, oui… C’est ainsi que tu pourras plaire aux hommes mon enfant! …" l’entendit-elle la complimenter alors que d’ignobles grognements retentissaient dans en arrière plan accompagnant le flot sirupeux qui lui emplissait à nouveau la bouche, mais cette fois il provenait d’une colonne légèrement plus mince.

Alors que la doucereuse potion s’écoulait dans sa gorge, le vieux moins continuait à l’encourager :

— "Oui, oui mon enfant… Comme ça, enroule ta langue autour comme ça et tu pourras obtenir encore plus de ce délicieux élixir! …"

Elle donna une chiquenaude de la pointe de la langue sur la nouvelle tige proposée qui se mit à vibrer, elle comprit alors qu’elle ne tarderait pas à recevoir de nouvelles rasades de cette potion si goûteuse.

Le sensei donnait des conseils avisés à Gwen : elle ne devrait pas faire part de son horrible épreuve à Dwight, elle pourrait ainsi épouser l’homme qu’elle aimait… Et elle aimerait tous les autres hommes! …

— "Ne te tracasse pas au sujet de l’éventuel bébé fruit de ton viol par cet ignoble noir, nous prendrons soin de lui pour toi! …. Fais l’amour avec ton prince charmant dès ton retour, il croira ainsi que c’est lui le père de ton enfant si tu venais à être enceinte! …Nous t’aiderons tous le temps de ton séjour, nous t’aiderons à te laver des souillures que cet infâme bâtard t’a gratifiée… On les remplacera par une huile crémeuse qui te guérira! …." lui disait-il profitant du fait que la drogue la plaçait sous son emprise hypnotique.

Profitant de son état de sidération, le pervers moine implantait de viles suggestions dans son cerveau, lui affirmant que ces concepts étaient naturels et sains et qu’elle devrait agir en fonction de ses impulsions lorsque l’heure viendrait de les mettre en ouvre.

Ces idées auraient parus méprisables, avilissantes, si Gwen n’avaient pas été sous l’emprise hypnotique du vieux moine qui les implantait profondément dans son cerveau, elles étaient si prenantes qu’elle les appliquerait dès son retour aux USA.

— C’est ça oui mon enfant… Tu feras énormément plaisir à monsieur Connors… " ajoutait-il

Puis après qu’elle ait répondu à d’autres questions, il interrogea Gwen, toujours sous l’emprise de la drogue :

— "N’aimerais-tu pas qu’il ait du plaisir? …."

— "Ne voudrais-tu pas le rendre heureux mon enfant? … Je suis sure qu’il rêve de te déshabiller et de te faire l’amour! …. Tu réaliserais ses rêves en partageant son lit! …Ne voudrais-tu pas plaire à cet homme en te donnant à lui? …."

— "Oui.. Oh oui, je ferai tout pour lui faire plaisir… " répondait Gwen aux questions du vieux sensei.

— "C’est bien, très bien mon enfant… Les hommes adorent voir les jeunes femmes leur avouer à quel point elles ont envie qu’ils leur fassent l’amour, et c’est ce que tu devras leur dire une fois de retour aux USA! …."

— "Et maintenant dis-moi, quel âge a-t-il? … Quel âge a monsieur Connors mon enfant? …

— "65 ans, le père de Dwight a 65 ans! .."

— "Et quel âge à son jeune frère? … Lui aussi doit profiter de tes charmes! … Un adolescent m’as-tu dit… Quel âge a-t-il donc? …"

— "Tim a 16 ans…" répondit-elle d’une voix atone.

— "Ah oui, j’ai tant entendu parler de ces vigoureux jeunes américains… Je suis presque sûr que le jeune Tim n’aimerait rien de plus que se faire une aussi ravissante jeune femme que toi! …. D’autant plus s’il pouvait goûter à tes charmes avant que tu n’épouses son grand-frère… hé, hé, hé…"

Tous les moine du temple de Zuten étaient réunis pour l’aider à surmonter son épreuve, ils voulaient qu’elles se sentent à nouveau la jeune femme insouciante et gaie qu’elle était auparavant. Gwen ne s’était jamais sentie aussi relaxée, aussi apaisée

— « Nous sommes ici pour te laver de toutes les souillures de ton ignoble viol ma chère enfant… Pour agir efficacement, nous devons toucher chaque parcelle de ton corps que cet ignoble individu a touché et souillé… Ceci fait, ton corps sera lavé de toutes flétrissures…" l’avisa-t-il.

Gwen était anxieuse de se voir totalement lavée de ces salissures, espérant qu’ainsi les conséquences de cet horrible viol seraient totalement effacées.

Allongée sur le dos, Gwen écoutait attentivement le vieux moine penché sur elle qui faisait de son mieux pour la débarrasser de ses obsessions.

Elle fit de son mieux lorsqu’il lui demanda :

— "Ecarte tes cuisses en grand mon enfant… Je dois atteindre tous les endroits qu’il a touché! … Etait-ce ici? … T’a-t-il touché à cet endroit? … " l’interrogeait-il sur un ton lénifiant.

— "Oh oui… Oui… " haletait-elle pour toute réponse.

— "S’est-il enfoncé profondément ? … Plus profond encore? …." s’enquérait-il.

— "Oh oui… Plus profond… Vous devez vous enfoncer plus… Beaucoup plus….." pantelait-elle, s’arquant sur les talons pour qu’il puisse s’enfoncer entièrement en elle.

Un liquide chaud déversé au fin fond de son utérus l’aida à oublier ses souillures, cependant le vieux moine n’avait pas réussi à s’enfoncer suffisamment dans son intimité pour la délivrer totalement du mal qui la rongeait.

Mais il la rassura, un autre moine du temple de Zuten allait le remplacer, il ferait de son mieux pour s’enfoncer suffisamment dans ses profondeurs intimes.

— "Oh oui… Plus profond… Vous devez vous enfoncer plus… Beaucoup pluuuuuuuussssssss….." larmoyait-elle alors qu’un autre des secourables moines cherchait désespérément à la délivrer de son mal.

Quelques instants plus tard, il s’excusa de ne pas être parvenu à la délivrer totalement de ses angoisses, mais déjà un autre moine était prêt à faire de son mieux pour la curer.

— "Viens mon enfant, assied toi et peut-être de cette façon pourrons-nous nous atteindre la profondeur à laquelle ce vil agresseur s’est enfoncé dans ta chatoune.

— "C’est ça, et maintenant relève ta seconde jambe… Et maintenant glisse vers le bas… " la guidait le vieux moine.

Se mouvant de bas en haut Gwen faisait de son mieux pour accomplir ce qu’elle devait faire, mais il manquait encore quelques centimètres.

Elle entendit alors un moine susurrer :

— "Ne vous tracassez pas mon enfant, tout n’est pas perdu! … Le maître Tomohara dispose de l’outil adéquat! …"

Quelques instant plus tard, Gwen hurlait :

— "Oui… Oh oui… Oui… C’est ça… Exactement comme ça… Aussi profond… Oh mon Dieuuuuuuuuuuu…"

Maître Tomohara extirpa le long godemiché long de 30 cm qui avait fait orgasmer si intensément Gwen, et comme elle était toujours assise bouche entrouverte, il en profita pour glisser sa grosse bite entre ses lèvres, i sourit extasié alors que qu’avec une certaine habileté elle suçait sa bite en extrayant le suc qu’elle convoitait tant maintenant.

« Ohhh oui… Oui… avale tout ma ravissante enfant! …" couinait-il retenant fermement sa tête en ligne tout en se vidant les couilles au fin fond de sa gorge tapissée de foutre.

Le lendemain, de retour à son, hôtel, Gwen cherchait à se remémorer les détails de sa visite au temple, mais tout semblait si confus, elle ne se rappelait clairement que du paternel vieux moine que tous appelaient Sensei Moto, il lui avait servi une boisson ressemblant à du thé puis l’avaient écoutée cherchant à trouver l’élixir qui la libèrerait de ses cauchemars.

Sachant que le terme Sensei désignait un "mentor" et que tous les autres moines s’inclinaient devant lui, elle en conclut qu’il devait s’agir d’un "grand maître", en tout cas il l’avait très bien traitée, nettoyant son esprit des miasmes qui l’encombraient.

Elle se souvenait qu’il l’avait présentée comme une enfant d’Amérique qui revenait aux pays de ses ancêtres, à de nombreux moines qui se courbaient devant lui en signe de respect.

Ajoutant pour chacun des moines :

— "Cette enfant a besoin que l’on prie pour elle afin de la guérir de son stress, nous devons travailler ensemble à sa guérison! …"

Le mélange spécial l’avait guérie, la débarrassant de ses réminiscences moroses portant sur son ignoble viol.

Se pourléchant les lèvres, Gwen s’émerveillait :

— "Quelle était donc cet étrange élixir si efficace! … Il semblait chaud et apaisant lorsqu’il coulait dans ma gorge, et je le sens maintenant gargouiller dans mon estomac…"

Fermant les yeux, Gwen se rappelait vaguement avoir tendu la main pour prendre le verre d’élixir qu’on lui présentait sur un plateau.

Puis elle se rappelait avoir sucé une burette épaisse, d’avoir du travailler de la langue et de ses lèvres pour enfin récolter le fruit de ses efforts une chaude crème épaisse et onctueuse.

Lorsqu’elle les rencontra pour dîner le soir même, ses collègues commentèrent sa nouvelle attitude, elle était beaucoup plus vivante et enjouée, Gwen leur rapporta sa fantastique visite au temple de Zuten.

Elle leur parla de la tasse de thé spécial et chaud que les moines lui avaient offert apaisant ainsi ses angoisses.

Elle les avisa que le Sensei Moto les invitaient toutes à visiter le temple leur de leur prochaine escale, elle serait les hôtes.

Elle leur relata, extasiée, sa formidable expérience comment elle s’était avérée si relaxante, dissipant ses idées noires, chacune de ses collègues lui demandèrent instamment de les amener visiter le temple à leur prochaine escale au Japon.

Elles consultèrent leur programme de vol du mois à venir Gwen put ainsi informer le Sensei Moto de la date qui conviendrait.

Toute surprise, elle avait noté que le temple de Zuten avait des connexions par Internet avec le monde extérieur, le paternel Sensei lui avait donné l’adresse de leur boite aux lettres pour qu’elle puisse rester en relation suivie avec le temple et ses occupants.

Une hôtesse les prit toutes en photo, elle pourrait ainsi envoyer cette photo de groupe que le Sensei lui avait demandé pour que les moines puissent prier et préparer leur venue.

Quelques jours plus tard, ayant besoin de se servir de son ordinateur, Moto-san s’assit à son bureau et vit qu’il avait un mail émanant de l’adorable jeune femme qui les avait visité la semaine précédente.

Il sourit en comprenant que ses manigances avaient réussi, même très éloignée, elle restait sous son emprise, il s’agissait d’une photo d’elle entourée de ses collègues qui devaient venir visiter le temple lors de leur prochaine escale.

Il imprima une copie de la photo et la passa à ses subalternes, riant de leurs têtes lorsqu’ils les avait réunis pour leur montrer leurs futures victimes, ils riaient de tout cour savourant le déjà de suborner ces ravissantes jeunes femmes.

Lisant le mail de mademoiselle Nakayama, Moto-san les informa que la ravissante américaine blonde juste à coté de Gwen s’appelait Amber Benton, elle avait 28 ans et était mère de deux enfants de 2 ans, la somptueuse beauté aux cheveux châtains clairs s’appelait Megan Rogers, elle avait 27 ans, la petite rouquine s’appelait Nicole Sherman elle s’était mariée le mois dernier.

Les moines applaudissaient ces nouvelles, gloussant et détaillant la manière dont ils s’y prendraient pour violer ces insouciantes jeunes femmes, ils faisaient déjà leur choix.

Une fois qu’elles seraient sous l’emprise de la puissante drogue, Sensei Moto les renverrait aux USA la tête farcie de suggestions hypnotiques qui changeraient radicalement leur mode de vie et leur comportement sexuel, tout comme Gwen.

1er juillet 2007

Coulybaca

[email protected]

avec l’aimable autorisation de l’auteur Black Demon

[email protected]

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