Le réveil tira Elodie dun sommeil profond et réparateur. Elle avait dormi comme un bébé.
Elle sétira, seule dans ses draps, comme une chatte. Son corps était tout engourdi.
Elle pivota pour se mettre en position assise, au bord du lit. Elle faufila une main entre ses fesses, sentant son anus encore ouvert. Encore dans le brouillard, cette preuve de la baise sauvage dont elle avait été actrice la veille ne déclencha pas chez elle démotion particulière. La journaliste tendit la main vers sa table de chevet, et attrapa le tube de crème de soin anal. Elle mit en une noisette au bout de ses doigts, quelle pénétra facilement dans sa rondelle élastique. Joris lui avait dire de faire cela au coucher, et dès le réveil. Son premier geste du weekend fut donc de se préparer le plus naturellement du monde à se faire sodomiser.
Lesprit vidé, elle se leva, enfila un peignoir, et se prépara un petit déjeuner.
Devant son thé au citron, elle fit le point.
Jusquici, elle avait été victime dune drogue qui faisait fit de sa morale et de ses convictions. Elle avait été contrainte dagir comme un automate. Dobéir au doigt et à lil, quelle le veuille ou non.
Mais ce qui sétait passé hier était totalement différent.
Pour la première fois, Joris ne lui avait donné aucun ordre. Elle était libre dagir selon sa propre volonté. Et cest là où le bât blesse.
Il avait suffit de quelques jours sans jouir, dun spectacle lesbien et de deux bites à coté delle pour quElodie se comporte comme la pire des trainées. Elle avait été facile à vaincre. Elle se revoyait encore se jeter sur la paire de queues et les sucer de toutes ses forces. Elle se revoyait prise en sandwich, et jouir de se sentir remplie comme jamais. Elle se voyait prise de toute part, remerciant secrètement les membres qui ont su calmer ses ardeurs de chienne en chaleur.
Elle était brisée, se définissait comme une moins que rien. Elle se dégoutait.
Une larme tomba dans le breuvage. Elle nen eu cure et prit une nouvelle gorgée.
Linterphone sonna à ce moment là. Elle se précipita pour répondre :
« – Oui ?
— Cest Dominique. Ouvre-moi, je monte.
— 4 ème étage. »
Lorsquelle lui ouvrit la porte de lappartement, Dominique y entra sans y être invité, et siffla en voyait la belle femme en robe de chambre.
« – Assez agréable comme vision dès le matin ! Tu es à poil en dessous, je parie ? Montre moi ça. »
Elodie écarta les pans de sa robe de chambre sans broncher, dévoilant à lhomme son sexe épilé et ses seins rebondis. Dominique sourit de façon perverse et lui ordonna de lui montrer sa chambre. La suivant, il samusa à lui pincer les fesses.
Dominique ne se gêna pas pour vider la penderie de la belle journaliste, jetant les habits au sol. Finalement, il trouva son bonheur :
« – Enfile moi ça. »
Il lui lança une courte mini jupe style écossais dont Elodie avait oublié lexistence, ainsi quun tee shirt serré décolleté blanc à manches courtes, et lui ordonna de shabiller avec. La journaliste se dirigea vers le tiroir à sous vêtements.
« – Quest ce que tu fous ?! » Grogna Dominique. « Tu nas pas besoin de ça, là où tu vas ! Tu laisses disponible ta chatte et tes nibards. Estime toi déjà heureuse que je te fasse pas sortir de chez toi à poil.
— Bien Monsieur. »
Elle sexécuta et sobserva dans le miroir de la penderie. Elle comprenait pourquoi la mini jupe était tombée dans loubli : elle était tellement courte quil suffisait quelle se penche pour apercevoir son sexe. Le bas de ses fesses était presque visible. Le haut mettaient ses seins en valeur, mais était beaucoup plus correct, même si labsence de soutien gorge laissait entrapercevoir ses tétons.
« – Cest pas mal, commenta Dominique. Mais je vais faire une petite modification. Va tout de suite me chercher des ciseaux.
— A vos ordres, monsieur. »
Elle alla dans la cuisine lui ramener ce quil désirait. Ensuite, il lui intima lordre de lui donner le tee shirt. Il découpa dans le vêtement des grandes bandes de tissu qui tombèrent au sol. Lorsque la femme le remit, elle considéra avec regret la découpe grossière qui avait été faite jusquà lauréole de sa poitrine. Dominique navait pas fait de détail. Elodie avait vraiment lair vulgaire.
« – Parfait ! » Se réjouit Dominique. « Mets-toi à quatre pattes.
— Oui, maître. »
Elle prit position à même le sol, sachant que ses vêtements ne cachaient aucunement ses orifices. Cela lui rappela quelle avait offert ses trous sans vergogne à lhomme qui la dominait corps et âmes. Elle narrivait pas à assumer les évènements dhier et se sentait affreusement coupable. Elle mit la tête au sol, sattendant à se faire baiser, voire sodomisée à sec, de bon matin, dans la chambre conjugale.
Elle sentit quelque chose pousser contre son anus, mais devina à la froideur de lobjet quil ne sagissait pas dun pénis. Lengin glacé la fit se contracter.
« – Un conseil, détends-toi : cest plus gros que ce que tu tes pris hier. »
Automatiquement, Elodie se décontracta. Lhomme força à nouveau la rondelle, sans prendre en compte les plaintes douloureuses de la femme. Elodie navait jamais pris aussi gros dans son cul. Une larme coula sur ses joues. Enfin, elle perçu une butée contre ses fesses. Lobjet était gros, mais assez court. Elle se sentait élargie.
Dominique acheva lintromission en donnant un petit coup de pied qui fit bouger lobjet en Elodie et lui arracha un cri. Elle avait mal, aussi bien à lanus quà sa fierté. Il lui dit de se relever.
Elodie se tortilla pour voir ce qui la remplissait. Elle constata que lhomme lui avait introduit un plug. Tout à fait transparent, le jouet permettait ainsi de voir lintérieur de son cul élargie. Son oeillet était devenu un rond visible et parfait de 5 centimètres de diamètre.
« – Mets tes talons et prends tes clés. On sen va. »
Lorsquelle ferma la porte de son appartement, elle dût affronter le regard choqué dune résidence quadragénaire. Elles sétaient déjà croisées et saluées à plusieurs reprises, et Elodie espérait que lexpression outrée de la femme nétait due quà sa tenue provocante, et quelle navait pas remarqué labsence de sous vêtements ainsi que la présence du plug. Rouge dembarras, Elodie baissa les yeux en murmurant un faible « bonjour ».
Une fois la personne partie, Dominique ricana, appuyant fortement un doigt entre ses fesses, et lui ordonna de sortir. La même voiture attendait devant lentrée. Nassumant pas sa tenue, et ayant peur quune nouvelle connaissance ne la croise, Elodie nattendit aucune indication pour se précipiter à lintérieur du véhicule. Elle se glissa à larrière, où Joris était installé. Elle sassit, provocant une sensible pression sur le jouet, tandis que lhomme la salua :
« – Bonjour Madame Maerte ! Vous vous êtes bien remise de votre baise dhier ? En tout cas, je vous en remercie : cétait un délicieux moment pour moi ! Dominique a dit beaucoup de compliments à votre propos, avec ses propres mots, vous limaginez bien. »
Il scruta de haut en bas la femme qui serrait la mâchoire de colère. Pendant ce temps, Dominique sinstalla derrière le volant.
« – Je suppose quil vous a aidé à choisir votre tenue. Vous faites fille de mauvais genre, mais ça sera parfait pour vos loisirs du weekend. Regardez moi dans les yeux et ne mentez pas : avez-vous aimé être prise par nous deux ?
— Oui. » Prononça Elodie, se haïssant pour cette réponse.
— Cétait assez évident, mais entendre votre avis mimporte beaucoup. »
Dominique, après avoir allumé la radio, démarra le moteur. La voiture éloigna Elodie de son foyer. Joris reprit la parole :
« – Nous allons rouler une bonne heure et demi, environ. Vous allez vous occuper, pendant ce temps. Je veux que vous vous masturbiez très lentement, assez lentement pour être sûre de ne pas jouir jusquà la fin du trajet, mais en vous appliquant tout de même à vous procurer du plaisir. Soyez attentive à bien écouter la radio. A chaque pub, vous enlèverez votre plug, le lubrifierez avec votre bouche, et le remettrez en place. Et ce jusquà la fin du spot. Vous pouvez commencez. »
Elodie descendit un doigt sous le tissu de sa jupe, et effleura son intimité. Elle nétait pas excitée le moins du monde, cependant elle se concentra pour se faire mouiller le plus vite possible. Elle flatta son clito, fermant les yeux. Elle déposa un peu de salive sur son majeur et létala le long de sa chatte. Le doigt glissa avec plus daisance, et cest avec des gestes très doux que le plaisir commença à pointer le bout de son nez. Elle respirait profondément et avec lenteur.
Le présentateur annonça une page de publicité. Elodie chercha péniblement une position confortable pour ôter lobjet. Finalement, elle choisit de mettre ses genoux sur la banquette, tournant le dos à la route et sappuyant au dossier. Elle savait que dans cette position, Dominique ne se gênerait pas pour mater son trou du cul béant par le rétroviseur, mais cétait ce quelle avait trouvé de plus pratique. Elle tira doucement sur le plug, qui eu bien du mal à sortir de son trou du cul serré. Malgré la douleur, elle força, et libéra son anus avec un « plop » digne du bruit dune bouteille de vin que lon ouvre. Ce bruit lui fit grande honte. Néanmoins, elle mit lengin odorant dans sa bouche, ne revenant pas de son diamètre, et saliva dessus. Le goût était fort, mais elle sappliqua à faire ce que Joris lui avait demandé avant de remettre son anus à lépreuve du jouet. Puis elle recommença, les pubs nétant pas terminées. Lopération devint déjà un peu plus facile pour elle, même si elle fronçait les sourcils.
La musique reprit. Elle se remit en position assise, et se caressa le minou. Elle vit dans le rétroviseur Dominique lui faire un clin dil accompagné dun sourire salace. Elle lui répondit en levant son majeur rageusement. Lhomme ricana.
Malgré sa colère, son vagin devenait humide. Elle avait envie daccélérer le mouvement de ses doigts, de se doigter, mais se fit violence pour faire monter le plaisir avec une infinie douceur. Elle récupéra de la cyprine à lentrée de son sexe, et sen badigeonna délicatement lintérieur de ses grandes lèvres. Cétait assez frustrant. Elle poussa un long soupir érotique. Alors quelle continuait à se masturber, Joris lui fit le topo :
« – Vous savez, mes recherches, la production de mon sérum, ainsi que les innombrables frais dune petite entreprise comme la notre nous coûtent très cher. Si je veux continuer à vous avoir en mon pouvoir _et il le vaut mieux pour vous, croyez moi_ je dois trouver des sources de financements. Mes généreux mécènes ne suffisent malheureusement pas, et comme votre arrivée engendre des dépenses inattendues, ainsi que du temps précieux, je trouve quil serait juste que vous nous donniez un petit coup de main. Cest bien naturel. »
Elodie eu peur de comprendre. Terrorisée, elle demanda :
« – Vous allez me prostituer ?!
— Pas encore. Mais vous allez faire du cinéma.
— Vous voulez dire
— Du cinéma porno. Juste pour ce weekend.
— Oh non » Gémit désespérément la journaliste en écartant les lèvres de sa chatte et en tournant son majeur autour de son petit bouton.
— Je ne vois pas de quoi vous vous plaignez » Répliqua Joris. « Il sagit simplement de tourner quelques scènes en faisant ce que vous savez faire de mieux. Votre jeu dactrice aura peu dimportance et vous naurez pas, ou très peu, de texte. Je suis sûr que vous vous en sortirez à merveille. De plus, le sexe est quelque chose qui vous passionne. Il ny a quà vous observer pour sen rendre compte. »
Effectivement, Elodie avait commencé à faire des mouvements de hanches accompagnant ceux de ses phalanges, traduisant une onde délicieuse pour elle. Mais derrière ce tableau lubrique, la femme sefforçait à réfléchir à la façon de convaincre les hommes de changer leur plan. Hors de question pour elle de participer à des films de boules ! Cela nétait pas facile car, outre la masturbation, une partie delle restait concentrée sur la radio. Elle finit par prononcer entre deux halètements :
« – Vous prenez de gros risques. Imaginez que quelque me reconnaisse dans une scène ! Mon mari sera vite mis au courant. Vous pourrez toujours me forcer à cacher la vérité, mais il y aura fort à parier que je serai moins libre de mes déplacements, et quil sera par conséquent plus difficile de me faire vos fameuses injections ! »
Ce disant, elle enfonça un doigt dans son vagin, et le tournoya délicatement.
« – Détrompez-vous, rétorqua Joris. Les probabilités pour que lon reconnaisse sont proches du néant. Nous ne sommes pas stupides et avons pensé à tout. Dailleurs, le moment me semble opportun pour vous expliquer votre première scène. Ecoutez moi bien, car je veux que vous reproduisiez tout ce que je vais vous dire dans les moindres détails. Nous mettrons les choses en place des notre arrivée, et vous commencerez le plus vite possible. »
Lorsquil acheva cette phrase, un nouveau spot de publicité se fit entendre. Cest donc en se travaillant servilement lanus quElodie écouta soigneusement les instructions de lhomme.
Cest à quatre pattes, et dandinant exagérément du cul quElodie se déplaça, séloignant de la caméra que tenait Joris. Celui-ci filmait la femme qui se dirigeait vers un tabouret au milieu duquel était solidement fixé un gode, aussi large que le plug quelle avait toujours entre ses fesses, et assurément bien plus long. Le phallus artificiel devait faire au moins vingt centimètres de long.
Sa tenue avait changée. Dominique lui avait donné ce quelle portait en ce moment, à savoir une tenue fétichiste en cuir. Le déguisement la recouvrait entièrement. Les seules ouvertures se situaient au niveau des seins, de son sexe, et de ses fesses entre lesquelles était exposé le plug transparent. Elle portait une cagoule, qui laissait seulement ses yeux et sa bouche visible. Ses talons étaient toujours à ses pieds. La journaliste savait que sa chatte était mouillée et que la caméra capturait la preuve de son excitation. Ce nétait la perspective de ce quelle allait devoir qui la mettait dans cet état, mais les stimulations quasi ininterrompus durant toute la durée du trajet.
Le corps dElodie la força à attraper délicatement le gode en plastique, toujours juchée sur ses genoux, et à simuler une douce masturbation. Elle prit la verge factice à deux mains, et massa lobjet. Elle se souvenait des ordres de Joris, qui lui avait dit dêtre en adoration pour le gode, que rien dautre ne devait avoir dimportance pour elle que de sen occuper comme dun fabuleux amant, tout en prenant son temps pour faire durer le plaisir.
Elle avait la bouche entrouverte devant cet objet quelle branlait, la langue légèrement pendue. Dans son regard, on pouvait voir quelle avait faim. Elle salivait dadmiration. La journaliste tira fortement la langue, et sy tapota le gode à plusieurs reprises ; se biflant du même coup. Elle y frotta son visage, gémissant comme une chienne à son contact, avant dappuyer sa langue de la base jusquau gland. Un filet de bave la relia entre sa bouche et le bout, et elle en profita pour récupérer sa salive et létaler sur le jouet. Elle y laissa courir ses mains, et soccupa du gland en le léchant. Elle idolâtrait ce morceau de plastique. Elodie remuait du bassin pour satisfaire les instructions de Joris, et laisser croire que la grosse salope nattendait quà être remplie. Elle emboucha difficilement lengin, mais, loin de larrêter, elle se força à faire descendre ses lèvres distendues le plus bas possible. Elle gardait les yeux fermés et poussait un « mmmmh » salace. Lorsquelle ressortit le gode, ce dernier était couvert de bave. Malgré sa mâchoire douloureuse, Elodie reproduisit le geste, simaginant sucer un apollon.
Elle continua cette parodie de fellation jusquà ce que Joris, tout en filmant sous tous les angles, lui fit un petit signe de la main. Cétait le signal pour elle de passer à la suite du programme. Elle attendit que le caméraman se poste à nouveau derrière ses fesses pour que ses mains lâchent la fausse bite. Sa bouche saffairait toujours à monter et descendre, et on pouvait assister aux coulissements amples et lents de la tête de la salope fétichiste. Elle retira le plug, exhibant à la caméra son trou du cul béant. Les exercices dans la voiture lui permirent de faire ce geste avec une facilité déconcertante. Elle écarta ses fesses, exposant sordidement lintérieur de ses intestins. Conformément aux attentes de Joris, elle entra facilement deux doigts de chaque main, et tira de parts et dautres, écartant son illet souple. Enfin, elle se leva, et se retourna face caméra.
Elle saccroupit au dessus du gode, écarta ses fesses, et mit son anus en contact avec le gland épais. Elle se laissa doucement tomber dans le but de senculer. Le passage du gland dans la rondelle se fit sans grande difficulté, mais chaque centimètre enfoncé devint plus douloureux que le précédent. Le cul dElodie était sollicité comme jamais depuis trois jours, repoussant ses limites en termes dépaisseur et de profondeur dinsertion, et il nétait pas encore habitué à ce calibre. La journaliste avait envie de pleurer, mais son maître le lui ayant interdit, elle se contenta de fermer les yeux et douvrir la bouche en un cri muet, cette attitude se laissant facilement traduire par un état de béatitude. Malgré le supplice, elle ne freina jamais sa course, jusquà ce que ses fesses se posent sur le tabouret. Elle se sentait déchirée.
Loin de lui laisser le choix, son corps lobligea à pousser sur ses cuisses pour ressortir une grande partie de la queue en plastique, avant de sempaler à nouveau. Elle hurlait dans sa tête, mais le son que capturait Joris laissait imaginer une volupté profonde plus que de la souffrance. Elle effectua sans aucun répit des gestes assez rapides, étirant la pointe de ses seins que ne cachait pas sa tenue de masochiste. Elle gardait ses jambes largement écartées, montrant sa chatte sur laquelle la mouille navait pas encore séchée. Petit à petit, elle shabitua à la présence de lobjet dans son anus.
Trois minutes plus tard, son regard fut attiré, à droite et à gauche de sa tête, par deux pénis qui sortaient de trous qui étaient dans les murs. Lun était plus court, mais aussi large que le gode, et lautre était dune taille normale. Ils se trouvaient chacun à environ trente centimètres delle.
Cela nétait pas une surprise pour la femme, briefée par Joris. Ce dernier lui avait en effet expliqué quil avait fait payer des hommes pour ses talents de suceuse. Il lui avait dit que ces personnes avaient dépensé une certaine somme, et quil faut quils en aient pour leur argent. Il lui avait ordonné de sappliquer à bien les sucer un à un, et à avaler leur sperme sans rien cacher à la caméra.
Elle sempara des deux queues en même temps qui réagirent à son contact, et se mit à les branler simultanément. Sans stopper sa propre sodomie, elle se pencha pour gober lune des bites. Elle tournoya la langue autour du gland, portant beaucoup dattention au plaisir de cet inconnu dont elle ne verrait probablement jamais le visage. Elle ne pouvait voir ni entendre les réactions de lhomme, et sadonnait à lui faire le meilleur traitement possible, afin de ne pas porter atteinte à la crédibilité de Joris sur ses clients. Elle noublia pas lautre pénis qui attendait, et se tourna pour lui offrir sa bouche. Joris se rapprocha pour la filmer en vue de dessus. Elle branla le vit avant de lemboucher entièrement, puis de lui lécher la tige. Elle faisait part de toute sa palette de pompeuse.
La sensation dans son cul devenait de moins en moins désagréable. Une douce chaleur commençait à pointer le bout de son nez. Elle avait envie de se caresser la chatte, mais cela laurait obligée à abandonner une des bites quelle devait choyer.
Elle se réactiva sur lautre queue, et lui fit une gorge profonde. Elle procéda à de légers mouvements de tête qui semblaient faire leur uvre, puisquelle pressentait déjà les tressaillements du gland au fond de sa gorge. Elle se hâta de désencombrer sa bouche et de tirer la langue devant Joris qui zoomait, contre laquelle elle branla le membre. Elle y accueillit des flots de sperme chaud, quelle navala quau bout de quelques secondes pour être certaine que la caméra ait tout capturé. Elle nettoya ensuite la bite encore tremblante, qui finit par disparaître du trou, remplacée par une autre. Elle lui souhaita la bienvenue en serrant le gland avec ses lèvres, les faisant coulisser légèrement, tout en titillant le méat avec la pointe de sa langue. Elle ne savait pas combien il y en aurait encore.
Figée par le gode, Elodie mit sa bouche au servie dinnombrables bites. Des grosses, des courtes, des noires, des arabes, des blancs Elle ne se ménagea pas et offrit à chacun une pipe mémorable, léchant, aspirant, suçant, variant les techniques, passant de la succion de gland à la gorge profonde, et noubliant pas évidemment pas de tout avaler, feignant de se régaler comme une droguée au foutre. La caméra navait rien raté de sa langue couverte à chaque reprise de jus bien blanc, qui ensuite disparaissait complètement, englouti par la suceuse sodomite. A la fin de la scène, elle eut lestomac bien remplit. Elle compta finalement treize éjaculations. Elle avait mal aux mâchoires aussi bien quau cul. Elle avait prit son temps pour toutes les fellations. Joris avait lair satisfait.
La dernière queue asséchée, elle se souleva pour libérer son cul du gode, remit douloureusement en place le plug, et repartit à quatre pattes comme si de rien nétait.
« – Coupez ! » Annonça Joris. « Vous avez été formidable, Madame Maerte ! La scène est parfaite ! Vous pouvez enlever votre cagoule, vous devez étouffer là dedans. Allez vous changer et prendre une douche. Je vous présenterai ensuite à votre maquilleuse.»