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Moi Franck, logé par des voisins de mes parents – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra

Je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée voilà quelques années. Je suis donc Franck un mec de dix-neuf ans, relativement beau gosse d’un mètre soixante-dix-huit, je vivais chez mes parents à la campagne jusqu’au jour où j’ai eu besoin de monter à la ville pour mes études. Des voisins qui avaient une résidence secondaire non-loin d’où nous habitions ont proposé de m’héberger pendant mes études, vu qu’ils étaient à côté d’un complexe universitaire. Compte tenu du fait que leurs enfants à eux, s’étaient envolés, leur maison était du coup bien trop grande pour deux désormais. Geneviève et Claude étaient des quinquagénaires bien tassés qui avaient facilement dix ans de plus que mes parents. Ils formaient vraiment un couple uni très beau et surtout bien conservé pour leur âge. Arrivés depuis une bonne douzaine d’années dans notre village, ils étaient devenus bons amis avec mes parents et ils m’avaient vu grandir. Voilà comment à la fin août de cette année-là, je suis venu m’installer chez Claude et Geneviève, j’avais une chambre magnifique pour moi tout seul, dans une grande maison, sur un très beau terrain entretenu, en très proche périphérie du centre-ville.

Ils ont fait de leur mieux pour que rapidement je me sente à l’aise chez eux et cela a réussi sans trop d’efforts. Imaginez, j’avais mon ordinateur et ma télé personnelle dans ma chambre, l’idéal pour un ado de mon âge. Il fallait juste que je me plie aux habitudes les plus basiques de la bonne éducation et surtout du vivre-ensemble. Il ne fallait pas que je transforme ma chambre en porcherie, que je respecte les lieux communs, que je vienne manger quand on m’appelle, que je contribue aux tâches ménagères de la maison; bref de la logique. Je me rendais à la fac qui se trouvait à dix minutes à vélo, j’étais vraiment un étudiant comblé. Rapidement, j’ai constaté que mes conditions de vie par rapport à mes potes étudiants étaient vraiment privilégiées. Puis est arrivée période où cela a commencé à me démanger entre les jambes, je découvrais que mon corps avait envie de faire des folies.

Bien vite, j’ai commencé à me palucher le soir, dans mon lit et à balancer toute la purée dans mes chaussettes, que je laissais sécher avant de les mettre au linge sale. Au début je me faisais ça une fois par semaine, puis deux fois et j’en suis arrivé à me faire ça tous les soirs. En général c’était toujours le même rituel, je m’allongeais sur mon lit, fermais les yeux et j’imaginais je me tapais mes copines de classe ou alors, Geneviève la femme de Claude. C’était une grande et belle femme gentille mais qui ne se laissait pas marcher sur les pieds, elle avait du caractère, ils allaient vraiment très bien tous les deux ensemble. Depuis que je me tirais sur l’élastique en pensant à elle, je ne la regardais plus de la même façon, à chaque fois que je la croisais elle me faisait envie. Très souvent les deux disparaissaient le samedi après-midi, pour ne revenir que le dimanche en fin de matinée. Je me doutais bien qu’ils n’allaient pas à la campagne, sinon ils m’auraient donné des nouvelles de mes parents.

Par contre jamais il ne me serait venu à l’idée d’inviter copain ou copine chez eux en leur absence. A ces occasions, je commençais à prendre l’habitude de prendre les petites culottes de Geneviève qui sentaient très fort, pour les sentir, pour me faire du bien dedans, pour les lécher et même pour les enfiler. La femme de Claude était une grande et magnifique rousse, dont j’adorais l’odeur, ne faisait maintenant que me troubler. Au fur et à mesure que les weekends passaient, je commençais à prendre confiance en moi, au début je lui empruntais une culotte pour la nuit, mais rapidement je me suis mis à lui prendre une paire de bas, un body. Début novembre, j’en étais littéralement à me travestir, car je lui empruntais même de douces robes et des escarpins, car nous avions la même pointure. Je ne vous raconte pas mon extase à la venue de ma jouissance, quand j’étais ainsi accoutré. Le problème c’est que je ne faisais plus ça que le weekend, mais j’avais gardé une ou deux culottes ainsi qu’un body de Geneviève dans ma chambre.

J’avais à ce point mis mon doigt dans une spirale infernale, que maintenant le weekend, j’allais même dans leur chambre pour essayer de trouver des robes qui me plaisent et surtout qui soient à ma taille, mais la plupart m’allaient. Je prenais de plus en plus de risques à tel point, qu’il m’est arrivé à plusieurs reprises de tout ranger in extremis, avant qu’ils n’arrivent. Maintenant la plupart du temps, le weekend en leur absence, je révisais mes cours habillé en femme avec une érection qui laissait imaginer l’effet que me faisaient ces vêtements sur moi. Je partais pratiquement tous les matins avec un tanga ou une grande culotte en lycra sous mon boxer. Le plus beau c’est que dans un tel contexte mes parents ne me manquaient pas, quelle ne fut pas ma surprise un vendredi soir quand Claude et Geneviève m’ont dit de me préparer car nous partions la campagne et par la même occasion voir mes parents. Dans la voiture, ils m’ont expliqué que ce n’était vraiment pas très sympa de ma part de ne pas donner de nouvelles régulièrement à mes parents.

Je leur ai expliqué que j’étais plus concentré sur mes études, à travailler, car ce n’était pas évident, venant d’une branche économie, je me retrouvais dans une branche scientifique, ce qui nécessitait beaucoup plus de travail personnel.

— C’est tout en ton honneur Franck, mais il ne faut pas oublier tes parents.

Au bout de deux bonnes heures de route, nous sommes arrivés, j’étais quand même très heureux de revoir mes parents. Cela faisait bientôt trois mois que je ne les avais pas vus, là j’en avais limite une petite larme aux yeux en serrant ma mère dans mes bras. Nous dînâmes tous les cinq chez mes parents, l’ambiance était sympa, nous avions vraiment beaucoup de chance d’avoir Claude et Geneviève comme voisins. À la fin du repas je suis resté dormir chez mes parents alors que mes logeurs sont rentrés chez eux en me disant qu’ils passeraient me récupérer samedi soir pour que nous rentrions car il fallait que je travaille tout le dimanche.

Le lendemain vers dix-huit heures, la grosse berline des voisins est venue se garer devant chez nous pour que je reparte avec eux, direction la ville.

— Alors tout s’est bien passé avec tes parents, tu étais content de les revoir.

Ils m’ont expliqué que dorénavant, ils aimeraient bien que je les appelle au moins une fois par semaine, ce qui était très délicat de leur part. Voilà comment j’ai pris l’habitude d’appeler mes géniteurs tous les dimanches soir, c’est vrai que cela ne prenait pas tant de temps que ça, et ça leur faisait grand plaisir d’avoir de mes nouvelles. Ceci mis à part, le weekend d’après j’avais repris mes petites habitudes avec les sous-vêtements et vêtements de Geneviève en son absence. Puis un dimanche matin ce fut la catastrophe, alors que je me croyais tout seul dans la maison, je me promenais habillé en femme avec les escarpins de Geneviève et je tombe nez à nez sur elle. Je me demande qui d’entre nous était le plus stupéfait, de mon côté j’étais catastrophé et elle était plutôt surprise mais pas plus que ça, me semblait-il.

— Chéri viens voir j’ai une surprise pour toi.

Elle n’allait quand même pas appeler Claude pour me surprendre dans une telle tenue, mais si elle était en train de le faire.

— Tu vois mon chéri quand je te disais que j’avais des soupçons sur mes vêtements.

Quand Jean-Claude est arrivé, il était comme d’habitude dans sa robe de chambre toute douce sous laquelle il était à poil.

— Tu es bien mignonne Franck avec les habits de ma femme, je dirais même que tu es désirable.

Je vais vous avouer que je ne m’attendais pas à de tels commentaires, je pensais plus me faire engueuler qu’autre chose. J’étais là immobile, devant Geneviève, pendant que Claude passait derrière moi, quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai senti ses mains épouser les formes de mon corps.

— Tu es vraiment méconnaissable ainsi vêtu.

Voilà seulement quelques secondes que ses mains effleuraient mon corps et j’avais une érection énorme.

J’ai été surpris quand Geneviève m’a invité à marcher avec ses escarpins à l’étage, pendant que son mari reluquait mes fesses, c’est vrai quexcepté mon visage j’avais tout d’une femme à cet instant. Quand Geneviève m’a demandé de faire demi-tour, je suis arrivé à leur hauteur et c’est Claude qui m’a fait stopper en plaquant sa main sur mon sexe. C’est vrai que j’étais plus de la taille de sa femme que de la sienne et je me sentais du coup plus à sa merci.

— Je ne sais pas si c’est la tenue, ou le fait d’être en face de nous, mais tu as une sacrée érection pour une femme.

Maintenant Claude me tenait fermement par mon sexe, pendant que sa femme avait pris le relais au niveau des caresses. Je ne savais pas trop ce qui m’arrivait mais rien n’était désagréable et je me laissais faire, je vais même dire mieux, j’adorais ce que j’étais en train de subir. Quand Geneviève a saisi ma main pour aller la poser sur le sexe de son mari, j’ai pu constater que son sexe était aussi de belle taille.

C’était la première fois que je touchai un autre sexe que le mien, même sil y avait encore du tissu entre ma main et son dard.

— Alors voilà à quoi tu joues quand on nest pas là.

— Je suppose que tu te transformes en femme, avant de te faire un petit plaisir.

— C’est vrai que le résultat est bluffant.

Pendant que Claude était en train de me parler, Geneviève était en train de m’inviter à m’agenouiller devant son mari. Tel un automate, je me laissais faire et c’est ainsi que je me suis retrouvé à genoux à la hauteur du sexe de Claude. Sa femme s’est chargée d’écarter les pans de la robe de chambre de son mari pour en libérer son pieu désireux de moi.

— En général le matin c’est moi qui fais une turlutte à mon mari, mais ce matin c’est toi qui vas t’en charger.

Je ne vais pas dire que j’étais un peu choqué par les mots crus qu’ils utilisaient mais surtout étonné car je les croyais peut-être un peu innocents sur ce sujet-là.

Maintenant le sexe de Claude était à quelques millimètres de mes lèvres, mais je n’avais pas projet d’ouvrir ces dernières. Il sentait essentiellement le sexe, avec juste une petite odeur de sueur par-dessus; à ma grande surprise cela donnait envie. Je sentais maintenant les mains de Claude se positionner derrière ma tête, j’étais conscient que dans quelques instants, j’allais faire ma première pipe. Contre toute attente c’est Geneviève qui a pris la direction des opérations. La lumière dans le couloir n’était que naturelle, nous étions désormais éclairés par la lumière provenant des chambres mais aussi celle de l’escalier. En même temps vu ce que j’étais sur le point de faire, je ne pense pas qu’il y avait besoin d’une grande clarté. Finalement Claude a retiré ses mains, pour laisser la place à celles de Geneviève qui était ferme et autoritaire, ce qui fit que je n’ai pas été bien long à me retrouver la bouche pleine. À vrai dire elle n’a pas forcé ma bouche, elle s’est juste une mise à embrasser le sexe de son mari en me montrant comment faire et j’ai ouvert ma bouche naturellement.

— Tu vas trouver le goût fort ma chérie, car mon mari a honoré pas mal de femmes cette nuit.

Cela me faisait tout drôle quils parlent de moi au féminin, mais j’apprenais aussi que Claude et Geneviève passaient pas mal de temps, le weekend, dans des clubs échangistes.

— Pour tes débuts de suceuse, essaie de regarder mon mari dans les yeux, quand tu as la bouche pleine de son membre.

Je me suis exécuté et c’est tout naturellement que j’ai posé mes mains sur ses fesses, sans que Geneviève ne vienne me le demander, je me suis mis à promener ma langue tout autour de son gland. Contrairement à moi, Claude n’avait pas un seul poil pubien, tout était bien entretenu, cela laissait supposer un habitué des parties de jambes en l’air. Maintenant que Geneviève avait constaté que je m’étais mis à pomper le dard de son mari, elle s’était mise à me caresser à travers ma robe et mon body, cela me faisait des frissons partout.

— On dirait que tu as fait ça toute ta vie ma chérie.

C’est sur ces mots qu’en même temps j’étais en train de commencer à entendre soupirer mon partenaire, manifestement je ne m’y prenais pas trop mal. Le sexe de Claude était d’une grande longueur et d’un gros diamètre, maintenant il me remplissait complètement la bouche quand il s’enfonçait en moi. C’est moi qui maintenant donnais le rythme, mais de temps à autre il donnait des coups de reins pour essayer d’aller un peu plus loin dans ma bouche. Au fond de moi j’étais assez content de pouvoir donner du plaisir à un homme que j’admirais pour sa beauté et son statut. Les soupirs de mon partenaire étaient maintenant de plus en plus forts et surtout rapprochés, j’étais conscient que dans peu de temps il allait me balancer la purée au fond de la gorge.

— Claude va bientôt éjaculer, est-ce que tu veux tout prendre dans la figure ou au fond de la gorge.

Même si elle était occupée à me caresser, Geneviève suivait les opérations de près et en même temps elle ne me laissait pas grand choix. Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour réfléchir, mais je me suis dit que je préférais tout recevoir dans la bouche plutôt qu’en avoir partout sur la figure et dans les cheveux.

— Tu viens de recevoir ta première dose de liqueur de gland, ma chérie.

— Tu vas voir, ça n’a jamais tué personne, et je suis sûre que tu vas y prendre goût.

Pendant que Geneviève était en train de commenter ce qui se passait, moi j’étais en train de recevoir de grands jets de liqueur épaisse et salée au fond de la gorge. Bien que cela ne soit pas désagréable, je ne vous voulais pas garder ma bouche pleine et je me suis empressé de tout avaler. C’est habillé en femme que je venais de faire ma première pipe au mari du couple qui m’hébergeait. Nous étions le deuxième dimanche de décembre, il était onze heures du matin, et je venais d’avaler la semence d’un homme qui était parti dans ma bouche.

Quelque chose venait de changer en moi, ne serait-ce que le regard de Claude et Geneviève à mon égard.

— Tu sais Franck, j’avais des soupçons par rapport à mes vêtements qui disparaissaient et qui réapparaissaient.

— Vu que tu es très belle et surtout très docile, si tu désires rester habillée ainsi dans la maison, cela ne nous dérange pas.

— Il va de soi que ce sera un secret qui restera entre nous trois, et tes parents ne seront pas au courant.

Pendant que Geneviève me parlait, Claude avait fini de me balancer la purée, mais je continuais à le sucer car je savais que c’était encore meilleur après l’éjaculation. De longues minutes après s’être vidé dans ma bouche, Claude s’est éclipsé pour aller prendre une douche. De son côté Geneviève, avec beaucoup de délicatesse, m’a pris par la main pour m’emmener dans ma chambre, là elle s’est assise sur mon lit. Elle aussi était en robe de chambre toute douce, elle a bien écarté les jambes, puis m’a invité à venir m’agenouiller entre. J’étais maintenant devant elle avec une vue magnifique sur sa toison très bien entretenue et je pouvais même en ressentir quelques effluves.

— Franck tu as fait du bien à mon mari, maintenant il va falloir me faire la même chose.

Pour la première fois de ma vie je me retrouvais avec une femme qui me désirait, cette dernière ayant plus que l’âge de mes parents mais restait fort désirable. Je me suis encore un peu approché, pour poser mes mains sur ses cuisses, dont j’ai pu savourer la douceur, je vais vous avouer que plus je m’approchais plus cela sentait la marée.

— Tu sais cette nuit j’ai eu plusieurs partenaires autres que mon mari, d’habitude quand je rentre je prends une douche mais vu que tu nous as pris au dépourvu je te charge de remplir cette mission le nettoyage.

J’étais en train de réaliser que j’allais nettoyer le minou d’une femme qui avait reçu du sperme en provenance de plusieurs hommes, c’était écurant.

— Tu vas voir ma chérie, au début c’est vraiment déplaisant, mais avec le temps tu y prendras goût.

Je réalisai aussi maintenant pourquoi les culottes de Geneviève avaient quelques fois des goûts différents et des dépôts. J’étais en train de comprendre que ce que j’allais faire devant elle, je le faisais depuis pas mal de temps en lui léchant l’entrejambe de ses culottes sales.

Quand j’ai déposé ma langue sur sa toison, il n’y avait pas de doute, son minou avait du goût.

La suite dans le prochain épisode en espérant que ce premier chapitre vous a plu.

Bisous à vous.

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