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Ma relation secrete avec ma soeur – Chapitre 1




Jai toujours été très proche de ma sur. Bon, évidemment, il y a eu des moments de disputes comme entre nimporte quel frère et sur, mais je trouve que notre relation était bien plus forte que les relations fraternelles de notre entourage.

Et pour tout avouer, jai toujours eu une attirance physique pour ma sur. Cest une superbe femme de 23 ans. Elle est blonde aux yeux bleu, dotée dune superbe poitrine proéminente (malheureusement je ne saurais pas vous dire son tour de poitrine, je ne lui ai jamais demandé). Elle mesure 1m63 pour une cinquantaine de kilo sûrement. Dailleurs, son physique à lallure de bimbo lui ont coûté pas mal de préjugés à son sujet. Beaucoup de garçons à son école la voyait comme la fille juste bonne à avoir des rapports sexuels, avec rien dans le ciboulot. Mais elle pouvait trouver du réconfort avec moi, je ne la traitais jamais de cette façon. Dailleurs, pour prouver au monde que cétaient bien des préjugés, elle sest lancée dans des études de droit, quelle suit toujours actuellement.

Mais malgré cette attirance physique, je ne lai jamais vu autrement que comme ma sur. Je nai jamais eu de pensée salace ou coquine envers elle. Linceste était quelque chose dimmoral à mes yeux.

Mais plus les années passaient, plus cétait difficile de retenir en moi mon désir pour elle. Nous étions très proche, on pouvait discuter de nimporte quoi, sans tabou sans honte. Cest dailleurs grâce à ça que je savais tout (ou presque) de sa vie sexuelle. Parfois lorsquelle me racontait une de ses aventures, jétais un peu énervé envers le gars qui avait couché avec. Je ne me rendis compte que plus tard que cétait en réalité de la jalousie.

Une fois, je suis allé la voir dans sa chambre, jai ouvert sa porte sans frapper et elle était en sous-vêtements. Jai vite refermé la porte en mexcusant mais elle a dit que cétait bon, quelle nétait pas tout nue. Donc je suis rentré, et je ne pus mempêcher de reluquer son corps quasi dénudée dans de fines lingeries noires. Cétait la première fois que jai été franc avec moi et que je reconnus avoir un certain désir pour ma sur. Le soir même, dans mon lit, je navais pas su trouvé le sommeil. Ces images de Kelly dans son soutien-gorge noir et son string noir restaient dans ma tête. Je me surpris même à avoir une érection, mais il nétait pas question que je me masturbe. Un peu énervé contre moi-même davoir ce genre de pensées, je me forçais à mendormir. Quelques heures après, je rêvais delle

Le lendemain matin, cétait un samedi, je me réveillais vers 10h et quelle fut ma surprise en sentant mon boxer mouillé. Non, ce nétait pas de lurine, mais bien du sperme. Javais fait un rêve érotique! Je ne men souvenais que par quelques réminiscences, mais au fond de moi je savais que javais adoré.

Des mois passèrent puis une année, leffet des images dans ma tête avait cessés. Je nétais plus obsédé par ma sur. Mais quelque chose avait changé dans notre relation. Je naurais pas su dire quoi sur le moment, mais maintenant que jy repense nous nous étions rapprochés encore un peu. Il y avait plus de contact physique entre elle et moi. Nous étions un peu comme deux ado qui se chamaillent, se chatouillent, se bagarrent gentiment pour découvrir le corps de lautre. Il nétait pas rare que dans nos contacts physiques je touchais accidentellement la poitrine de ma sur. Dailleurs tout cela me rappelle quune fois javais fais exprès de palper son sein pour rire. Elle mavait dit : « Hé je te permets pas ! », en me donnant une petite baffe tout en rigolant.

On passait de plus en plus de temps ensemble. Mes parents lavaient remarqués aussi. Ma mère avait dit une fois à table lors dun dîner quelle était contente quon soit si proche, parce quelle navait jamais eu loccasion avec son propre frère. Mon père quant à lui a ajouté que ça changeait par rapport à quand on était petit, car on se disputait tout le temps et pour un rien. Je me rappellerais toujours de ce repas, car lorsque mon père avait dit ça, ma sur et moi nous sommes regardé dans les yeux et on sest souris mutuellement, avec une pointe de timidité pour ma sur. Moi, certaines idées commençaient à fuser dans ma tête

Mais tout commença vraiment il y a deux ans, lors dune soirée où nous étions seuls elle et moi à la maison. Nos parents étaient partit manger chez des amis et ils ne rentreraient que très tard. Kelly avait proposé que nous regardions des films et javais tout naturellement accepté. Et comme nous étions seuls, nous en profitions pour boire quelques bières dans la réserve de papa. Mais cela ne nous a pas suffit, alors je suis allé chercher la bouteille de vodka rouge que je gardais. Cest seulement après avoir bu la moitié que nous pouvions enfin sentir les effets de lalcool.

A un moment du film, le héros embrasse la fille dont il vient de sauver. Ma sur se mit à dire tout haut:

— Cest un baiser de nul ça! Les vrais baisers sont fait avec la langue!

— Parce que tes une experte en baiser peut-être.

— Bien sûr, dit-elle. Jétais la meilleure de mon école!

Je me mis à rigoler.

— Je suis très sérieuse, ris pas!

— Prouve-le alors! Dis-je désinvolte.

— Approche, me répondu-t-elle.

Sur le coup, je ne fus pas surpris, sûrement parce que jétais saoul. Je me contentais de mapprocher delle et de faire ce quelle dit. Elle me pris alors le menton avec une main et membrassa langoureusement. Nos langues se mélangèrent, fouillant la bouche de lautre. Cétait le meilleur baiser de ma vie, je pense. Nous restions à nous embrasser comme ça pendant une ou deux minutes. A un moment, elle me fit sortir ma langue de ma bouche et la suça avec ses lèvres dun léger teint rose clair. Puis je lembrassais dans le cou pendant quelle me tenait la tête, ses doigts dans mes cheveux. Je pouvais entendre son souffle saccélérer. Ma main gauche palpait son sein droit, mon autre main caressait son cou. Cétait un baiser plus que passionné. Puis ma main glissa sur sa cuisse pour arriver près de son entrejambe. Mais elle marrêta :

— On ne peut pas faire ça Me dit-elle tout bas.

Je continuais à lembrasser puis lui dit:

— Mais je te veux tellement!

— Moi aussi Mais on ne peut pas Je suis ta sur

— Tu es surtout la plus belle femme qui mait été donné de rencontrer.

Elle navait pas su quoi répondre, mais je savais que ça lavait touché puisque sa bouche sétait collé encore plus fort contre la mienne.

— Il faut qu Il faut quon arrête, continua-t-elle.

— Tu as raison, ajoutai-je. Mais cest si bon

Je pouvais sentir le goût de la vodka rouge sur ses lèvres. Mais un bruit stoppa brusquement ce moment de plaisir. Cétait une portière. Ma sur et moi nous nous éloignons lun de lautre, pendant quelle eut réajustée son soutien-gorge et son t-shirt, je vais voir à la fenêtre.

— Cest eux? Demande ma sur.

Je lui fais signe que oui de la tête. Jai à peine le temps de me retourner que ma mère ouvre la porte dentrée.

— Cest nous! On est rentrés plutôt finalement, Jacques, lami de votre père, a eu un malaise.

Voyant que ni ma sur ni moi ne disons un mot, ma mère se posa des questions.

— Vous êtes bien silencieux tous les deux. Vous vous êtes disputés?

— Non Répondit ma sur timidement.

— Alors quest-ce quil y a?

— Ben rien, finis-je par dire.

Puis mon père revint de la cuisine:

— Moi je sais pourquoi ils sont silencieux… Ils ont bu de la bière! Ils ne sattendaient pas à ce quon rentre si tôt, alors ils nont pas eu le temps de cacher les bouteilles vides.

— Vous savez que votre père et moi détestons lalcool, même si vous avez lâge. Pas dalcool dans la maison!

On sexcusa et je filais à toute vitesse dans ma chambre. Kelly, elle, resta dans le salon. Mon cur battait très vite, jai vraiment eu peur que nos parents se doutent de quelque chose. On lavait échappé belle.

Une plus tard, quand le film devait sûrement être fini, jentendis quelquun monter. Cétait Kelly. Elle toqua dans ma chambre, et je lui dis dentrer. Elle navait plus lair saoul du tout, moi non plus dailleurs. Ladrénaline de la situation précédente avait sûrement dû remettre nos cerveaux en ordre.

Jétais couché sur mon lit à écouter mon mp3. Jenlevais mes écouteurs pour mieux lentendre. Elle, elle sassit sur le bord du lit, à mon opposé. Il y eut quelques secondes de silence très embarrassantes.

— En y réfléchissant, commença-t-elle, il ny a pas eu vraiment grand-chose?

— Cest vrai, acquiesçai-je. On a rien fait de sexuel, cétait pas un inceste.

Inceste, javais mis le mot dessus. Il sétait passé quelque chose dans le regard de ma sur en entendant ce mot, mais encore aujourdhui je ne saurais dire quoi.

— Alors on oublie tout?

— Oui, cétait juste une bêtise quon a fait parce quon était bourrés, rien de plus.

Elle me sourit, comme rassurée.

— Allez, bonne nuit alors. Elle se pencha pour me faire la bise puis hésita une seconde. Cétait assez embarrassant. Et dans un moment de confusion, nous avons voulu nous faire la bise en même temps, ce qui a fait que nous nous sommes embrassés sur le coin des lèvres. Et je pus encore une fois sentir lodeur de ses cheveux, la douceur de sa peau. Elle resta une poignée de secondes devant mon visage à me regarder dans les yeux. Je ne sais pas ce quelle pensait, peut-être se souvenait-elle du compliment que je lui avais dis sur sa beauté. Puis, dans un élan de folie, elle membrassa sur la bouche, rapidement et partit de ma chambre tout aussi vite. Je touchais le bout de mes lèvres avec mes doigts. Javais la poitrine rempli de je ne sais quelle sensation. Jétais heureux et triste à la fois. Cétait peut-être le dernier baiser que je recevais delle

A SUIVRE

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