Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe

de plus en plus – Chapitre 11




Le lendemain la mère de Florence la dépose dans une propriété des environs de Cabourg, ancien haras ou ancienne exploitation agricole à première vue, en cours de modernisation, de réfection complète, pas encore terminée manifestement et il y en a encore pour un moment et sans doute beaucoup de sous…. Florence prend son sac, entre dans la cour, aperçoit la coiffure rousse flamboyante de son ennemie intime, Mathilde, la reine, celle qui racontait ses conquêtes, et ses nuits à ses intimes, qui traitait Florence comme une nonne…. ou bien encore parlait delle comme « La sainte vierge »…. Florence marmonne à mi-voix quelques mots inaudibles pour tous : « Elle est là la traînée », que la dite traînée lit, de loin, sans faute sur les lèvres, vexée, en colère, elle fait demi-tour, et senfonce dans la cour vers un petit bâtiment. Florence se dirige vers une grande bâtisse, qui abrite une grande salle, avec une cheminée dans lequel brûlent quelques buches de façon parfaitement inutile, il fait chaud, on ny fait rien cuire, mais on est à la campagne….

Cest là quelle devrait trouver des indications sur lendroit où elle va dormir. Elle salue tout le monde dans le brouhaha général, embrasse des gens quelle connait plus ou moins bien. Daucuns sont assis et discutent, dautres installent une chaîne branchées sur lordinateur du DJ de la bande, beaucoup circulent de groupe en groupe, échangent les nouvelles : qui va où, et non, qui nest pas pris mais ira ailleurs…. Beaucoup nont pas une grande sympathie pour elle : jolie fille, bien bâtie, et pimbêche, vierge et fière de lêtre, citée en exemple aux dévergondées par la direction de létablissement scolaire religieux dont ils viennent presque tous … daucune utilité pour les garçons… un vrai remède. Mais on est bien élevé et parfois sincèrement gentil en cette fin de vacances. Et puis on a dit quelle avait changé et on sourit. Tu dois être dans le pigeonnier dit lun, une autre dit que non cest plein, un troisième lenvoie alors au premier dans une grande chambre où il doit y avoir de la place pour son sac de couchage.

Le sac sur le dos, un bras engagé dans une bretelle elle monte tranquillement et entre dans la dite chambre, en fait il semble bien quil y a deux chambres séparées par une cloison, la première semble complète, trois garçons et une fille loccupent. Florence entre dans la seconde, vide, bien que des sacs posés sur des lits signalent quils sont réservés, elle pose son sac sur le seul lit qui ne lui semble pas occupé, sallonge à côté, souffle un peu. Vaguement consciente de ce que les garçons de lautre chambre la regardent elle gonfle un peu la poitrine, se cambre légèrement, sétire, presque sans bouger mais en mesurant leffet quelle produit : féline, femelle, elle les nargue.

Ils navaient pas besoin de cela, lintention avait germé dans leur ventre dès quils lavaient vues entrer. « La sainte vierge », qui ne létait plus… Gaëtan avait parlé… en insistant un peu on devrait pouvoir… elle veut voir ses limites… on va laider…. Lorsquelle se décide à se lever et mettre fin à ses provocations, ils entraient justement dans la chambre… elle avance un peu inquiète, aperçoit la fille qui partage la chambre avec les garçons qui ferme la porte à clé…. Non, ils ne vont pas faire ça ! Ils savancent, sarrêtent, la regardent : « Florence, tu ne crois pas que tu peux passer un bon moment avec nous ? Et Laurence aime bien regarder… baiser aussi, mais elle te cède son tour ».

Elle essaie bien sûr, dune voix mal assurée, de les convaincre que non, pas maintenant, plus tard peut-être, oui elle aime bien, plusieurs garçons ne lui font pas peur, mais pas maintenant….

Mais eux cest maintenant… ça tombe mal….

Florence essaie de passer comme si la conversation était terminée pour linstant, il faut sortir vite dici….

Mais ils la saisissent. Elle se débat, deux la tiennent par les bras, la poussent, la tirent vers le lit où elle a mis son sac…. Elle commence à crier, le troisième sattaque à son corsage, louvre, et empoigne ses seins à travers son soutien gorge, qui se dégrafe par devant…, et bientôt ses doigts senfoncent tellement dans la poitrine de Florence quil la griffe…. Elle crie, se débat comme une furie. Il attrape la ceinture du jean louvre, lattire vers lui, le jean commence à descendre entrainant la petite culotte avec, suffisamment pour quelle découvre le sommet de la toison. Langoisse saisit Florence qui crie de plus en plus fort se débat comme deux. Il sapproche pour assurer sa prise et tirer sur le jean… un coup de genou part, brutal, qui atteint le garçon entre les cuisses et lui arrache un cri de douleur et de rage. Il la gifle, se courbe en deux pour calmer la douleur qui croît de seconde en seconde Elle se débat, tire sur ses bras, les secoue pour se libérer. Hurle. Entend que lon frappe violemment à la porte, on essaie de louvrir, de lenfoncer, elle hurle, de tous ses poumons…. Cette fille qui avait fermé la porte louvre. Mathilde entre accompagnée dun grand gars, suffisamment costaud pour ramener le calme…. Mathilde regarde Florence : « Ah cest toi… … … bon, ben… le mieux cest que tu viennes avec nous, non ? ». Cest sûr. Florence prend son sac, le met sur son épaule gauche, le pose, regarde le plus proche de ses agresseurs et brutalement lui décoche la plus forte gifle de ce début de siècle. Toute sa peur, sa rage, son humiliation, de se trouver agrippée, pelotée, dépoitraillée, presque dénudée, langoisse qui la saisie quand elle a senti son jean et sa culotte glisser, sêtre sentie si proche… si proche dêtre violée…, tout se concentre dans un seul geste dune énergie dont elle ne se serait jamais crue capable, elle crie en lançant sa main, le choc est aussi violent quun crochet de poids lourd, cest bruyant, la main lui brûle. Le type qui la reçoit part en arrière. Le grand gaillard qui accompagne Mathilde arrête la velléité de riposte, attrape le sac, la prend par la main, la tire vers la porte : « Oh ! oh !!! du calme, on se calme, cest fini, cest fini Florence, il ne tarrivera rien… ».

Cest ainsi que Florence fait la connaissance de Paul, frère de Mathilde, et se retrouve à partager le pigeonnier avec Mathilde, son ennemie intime, celle quelle surnommait avec ses copines « la traînée » et qui en échange la surnommait publiquement, même devant elle « La sainte vierge ». Paul cest le frère jumeau, faux jumeau bien sûr, mais vrai frère. Ils linstallent et la laissent se rhabiller, elle tremble maintenant quelle est à labri. Ils restent un moment, Mathilde pose sa main sur lépaule de Florence comme pour prendre une partie du stress, de la panique. Puis ils partent, la laissant se reposer seule, descendant dans la cuisine préparer chercher quelque chose de réconfortant. Ils mettent dehors les trois occupants qui commençaient la soirée avec une bouteille de whisky, leur faisant comprendre quils devaient parler avec Florence sans témoin pour la réconforter.

Mathilde va la chercher un peu plus tard. Florence est calmée. Allongée sur le lit le plus large (il ny en a que deux), la tête callée sur deux oreillers sans taie, elle regarde le plafond tranquillement. Mathilde linforme que deux des agresseurs sont partis, avec la fille. Elles descendent sans parler, Ils sinstallent près de la cheminée, Florence dans un fauteuil, Mathilde sur une chaise et Paul par terre à ses pieds.

Florence les regarde : « Merci, je ne vous remercierai jamais assez, jen tremble encore au-dedans ».

Sirotant un jus dorange elle les regarde. Elle raconte, quelques rires nerveux et plaisanteries obscènes à propos du coup de genou, Paul revient admirativement sur la gifle du siècle, la raconte de façon telle quils partent tous les trois dun fou rire.

Mathilde profite dun moment de silence pour interroger Florence : « Dis moi quand même, par curiosité, quest-ce que tu as marmonné entre tes dents quand tu mas aperçue en arrivant ? »

Silence gêné. Très gêné. Qui dure. Mathilde na pas lair agressif. Florence finit par avouer : « La traînée, je regrette… ». Cest très sincère, Mathilde cependant en veut un peu plus : « Tu regrettes quoi ? Parce que je tai aidée je suis devenu différente ? ».

« Je regrette davoir eu cette idée, je regrette de lavoir pensé. Pas seulement parce que tu mas aidée. Mais parce que… je ne vaux pas mieux… enfin cest pas ce que je veux dire… parce que … avec ce que jai fait… jai compris que lon vit chacun sa vie comme on lentend… et si on a envie de quelque chose… pourquoi pas… et en fait je ne sais même pas comment tu conduis ta vie, sauf que tu mavais piqué Gaëtan ».

« Bon alors on peut peut-être sentendre. Pour Gaëtan, il en avait assez de contempler une icône… surtout quil ne manque pas dappétit comme tu sais, alors à genoux devant la vierge, cest pas une vie, et moi… je ne refuse pas souvent…. Alors comme ça… tu voulais voir jusquoù tu pouvais aller, tu sais maintenant ? ».

Florence sait oui, elle peut aller loin pour avoir du plaisir, elle dit, sans trop cacher, pour se racheter, son parcours, un homme, des hommes, une femme, une autre, sucer, baiser, se faire prendre, se comporter comme une putain, payée ; lespèce dexcitation qui la saisie à ce moment là, offerte, consciencieuse …. Elle rougit. Raconter cette soirée dorgie lexcite un peu… elle repense à ces mains baladeuses, sur ses seins, ses cuisses, son sexe ; ces doigts qui ont commencé à lexplorer, comment elle sest mise à mouiller… Ces moment où plusieurs hommes… cette fois où elle fur prise par deux hommes, elle en chevauchait un, lautre la sodomisée. Sans pudeur aucune elle raconte, la tension retombée, cest comme si elle avait renoncé à défendre ce qui lui parait dun coup secondaire au regard de ce qui aurait pu se passer et que tous les deux ils avaient empêché. Elle raconte ces moments où elle attendait que les hommes aient fini, comme une prostituée, ils avaient payé, elle leur abandonnait lorifice quils prenaient, jusquà ce quils éjaculent. Elle raconte la femme de Guillaume et cette étreinte interminable, et le plaisir dément quelles en avaient retiré toutes les deux…. Comment peut-elle raconter tout cela ? Elle nen revient pas, lexcitation que ce récit fait naitre en elle lamène à imaginer leffet quil peut avoir sur Mathilde… et Paul… Comment peut-elle raconter cela… De Daemon ni des deux autres chiens toutefois il nest pas question… deux fois elle se prépare à poursuivre, deux fois elle se rattrape, de justesse au point que ses deux auditeurs, suspendu à ses lèvres, devinent quil y autre chose, et se demandent bien… "quoi"…. après tout ce quelle a dit…, que reste-t-il ? le bondage ce serait logique….

« je ne sais pas comment je peux raconter ça… sans doute pour dire que …. je regrette mes insultes ». Mathilde éclate de rire… « La sainte trainée »… voilà ce que tu es… mais je nai rien à dire, je … connais un peu… pas tant parce que toi tu fais fort… mais plusieurs.. oui, bon, me glisser sous la table… aussi, je nai rien à dire. Tu es allée vite, cest tout, ton chemin de Damas à toi, une conversion rapide… presque instantanée…. ». Elle rit et Florence aussi…. qui se demande comment elle peut parler ainsi devant Paul. Boh après tout…. Elle rit, regarde Paul « Et toi tu es saint Paul ? ». Rires « Cest le plus dragueur des mecs de sa génération ». Le frère et la sur se regardent. « Nempêche dit Paul, vous avez épuisé le tout venant, il ne vous reste plus que le bizarre ». Rires. « Le brutal » renchérit Florence. « Avant le petit déjeuner ça fait pas de mal » renchérit Paul… « même si on nest pas polonais » ils sont dans le fou rire… « Je vais faire pipi dans ma culotte » … « Cest-y de lalcool dhomme ? »….

Ils ont oublié le jus dorange… mangent ce quils trouvent dans le réfrigérateur, qui nest pas si mal….

Finalement Florence monte se coucher. Dans le grand lit, elle senveloppe dans cette chemise trop grande qui lui sert de chemise de nuit, cache loreiller sans taie sous le drap, met une couverture, met le second oreiller sous le drap aussi, sil ny a quun lit Mathilde va dormir aussi…. Florence sendort rapidement, épuisée par lémotion, la rage, lénergie dépensée pour résister.

Elle est réveillée dans la nuit quand elle sent un corps qui se glisse dans le lit. Mathilde, sans doute, elle se rendort. Jusquau moment où le contact dune jambe la réveille un peu…, elle retire sa jambe instinctivement… puis la remet, un nouveau contact, moins innocent évidemment… elle bouge son pied légèrement, le frotte sur la jambe qui cherchait la sienne, sent un corps se retourner, un bras au dessus delle, sur son épaule, qui se glisse sous le drap, sur la chemise, le corps qui se rapproche, des cheveux, la jambe de Mathilde se glisse sur la sienne, elle sent sur sa cuisse le contact chaud de la vulve qui glisse doucement le temps que Mathilde se love contre elle… allongée sur le dos Florence sent la main de Mathilde qui défait maladroitement, dans lobscurité les boutons de la chemise, qui caresse ses seins…. Mathilde cherche sa bouche… cherche, trouve la toison, la vulve, la prend dans sa main, dans ses doigts, explore…. Florence sabandonne, laisse les doigts la pénétrer, laisse le plaisir monter, sent la bouche de Mathilde qui de sa bouche descend, vers les seins, les mamelons, les dents sur les tétons, elle se laisse faire, chaque contact, chaque initiative de Mathilde la pénètre, chaleureuse, lengourdit, elle attend, et souvre sous la bouche, soffre à la langue, elle se sent inondée, et oublie tout, et crie cette fois-ci de plaisir, elle serre la tête de Mathilde entre ses cuisses, elle caresse les cheveux…. Un peu plus tard elle tire un peu la tête de Mathilde pour lattirer vers elle et embrasse goulûment la bouche de son amante, toute humide et grasse du baiser quelle vient de recevoir entre ses cuisses…. Epuisée elle se rendort….

Elle se réveille un peu comprimée par Mathilde qui dort dun sommeil de plomb contre elle. Lentement elle cherche une position plus propice au sommeil, émue par le corps qui lempêche de dormir, si gracile, souple, les hanches…, les fesses…. A son tour elle caresse, explore la peau sans replis, laisse son désir monter, lentement elle glisse contre le ventre qui soffre sans que Mathilde se réveille…. Florence se meut comme un chat, pour amener Mathilde à se réveiller en plein orgasme, ou juste avant, quelle soit saisie par le plaisir au réveil…. En silence, presque sans bouger, elle déplace sa bouche, elle glisse sa langue, et Mathilde soffre dans un demi sommeil, jusquà ce que, léchée, sucée, creusé par la langue qui va laper entre les lèvres elle saisisse les cheveux de Florence se tourne, se crispe, se cambre…. A son tour elle jouit…. sapaise, et embrasse son amante pour goûter les lèvres encore chargées de son propre nectar…. Elles sombrent toute les deux dans le sommeil….

Il fait encore nuit, plus aussi noire, quand elle se réveille de nouveau… le cur battant précipitamment, affolé, quelquun pénètre dans leur lit, cest un homme… NON !!!! elle se réveille complètement, va pour réveiller Mathilde quand elle quand il murmure : « Florence, cest Paul, je ne veux pas te prendre de force… ». Il bande, il la rassure continuant de murmurer dans son oreille : « Je ne veux pas te contraindre, si tu me repousse je retourne dans mon lit, jai envie de toi ». Ça elle le sent bien, contre ses fesses. Elle ne répond pas, se calme, pousse sa croupe en arrière et sent le membre dressé qui se calle entre ses deux fesses. Elle se met à mouiller de nouveau. Elle aussi à envie de sentir ce membre en elle, elle se cambre autant quelle peut pour rendre sa fente accessible presque sans mouvement…. Paul bouge à peine, tenant les hanche de sa partenaire, il cherche, sent son gland qui glisse, elle est prête, il pousse son sexe, la pénètre, senfonce, pousse les épaules de Florence vers lavant, et lui met son sexe en entier, tout au fond, il la sent se cambrer encore, pousser son corps vers lui, il touche le fond de son con du bout de sa queue…. En silence elle roule ses hanches, pour le sentir, pour sentir sa queue qui glisse dans ses chairs. Ils baisent en silence. Lentement. Amoureusement presque. Les mains crispées sur les épaules de Florence, la tirant vers lui, Paul commence à pousser sa queue plus vigoureusement, presque brutalement. Elle gémit à chaque coup de rein qui la transperce, la secoue. Elle envoie parfois sa croupe sur sa queue, sempale. Mathilde se réveille en ayant conscience de ce qui se passe, tournée vers Florence, elle lui prend la main, lembrasse, dans la pénombre Florence voit les yeux de Mathilde. Elle se donne à Paul tandis que Mathilde la regarde tendrement. Elle va jouir quand Mathilde saisit sa main. Florence pour ne pas crier mord les doigts de Mathilde qui supporte, ne dit rien, regarde encore les yeux qui se ferment. Florence sent soudain les spasmes de la queue qui la pilonne, le sperme chaud qui la remplit, la main qui crispée sur ses épaules la tirent, la poussent sur le membre callé tout au fond, callé jusquà la racine dans sa fente, dans son con…. Elle repart…. sent son con vibrer sur la queue…. Dépassée elle enfouit sa tête dans le cou de Mathilde, mord jusquau sang les muscles de lépaule… Mathilde réprime un cri… elle aime cette morsure…. Quand Paul se retire, Florence sombre dans une sorte de torpeur ensommeillée, puis de nouveau sendort….

La lumière du soleil la réveille, enfin elle croit…. Il y a aussi les mouvements quelle sent à côté delle… quelle ne comprend pas tout dabord, parce que cela ne lui parait pas possible…. Cest bien le visage de Paul qui semble là surmonter le dos de Mathilde…. Mathilde qui la regarde, les rôles sont inversés, mais…, Mathilde chevauchée par son frère, et qui sabandonne, qui laisse ses yeux dans les yeux de Florence, pour que celle-ci suive la montée du plaisir, comme une façon de partager le moment…. Les mains de Paul sont crispées sur ses seins, très crispées…. Mathilde est cambrée… active… et lorsquelle sabandonne aux coups de boutoir de son frère elle laisse ses yeux dans ceux de Florence, qui voit tout à coup lorgasme sannoncer, à son tour elle donne sa main à Mathilde qui mord le gras du pouce sans retenue, jusquà ce quelle ait atteint une puissance équivalente à son orgasme…. Florence gémit, la morsure est terriblement douloureuse, mais laisse sa main. Paul se laisse glisser entre les deux femmes… ce qui nest pas du goût de Florence, qui se démène pour se retrouver au milieu, glisse sur Paul, sent sur son corps sa queue encore gonflée et trempée…. Elle se glisse sous les draps, pose sa tête sur le ventre de Paul. Elle suce, nettoie, lèche le membre qui se rétracte, lèche les poils, où elle goûte le mélange de Paul et de sa sur… puis va déposer un baiser sur la vulve béante, trempée, et boire le même mélange…. Elle reste là, au milieu, le visage à hauteur des sexes, respirant cette odeur daprès lamour, le goût dans la bouche, le visage couvert de ces sécrétions….

Autant que de sexe il leur sembla quil sagissait aussi de sentiment, démotions tendres…. Il leur fut difficile de penser se séparer, ils se retrouvèrent fréquemment puis sinstallèrent ensemble… tous les trois.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup denfants. Bien sûr Mathilde allait se faire faire des enfants pas des partenaires occasionnels. Une fois elle paya même un "étalon" qui ne sut jamais quil sagissait de beaucoup plus que de satisfaire une femme en mal de partenaire…. De chiens il ne faut jamais question, et Florence sopposa toujours à ce que la famille se dote dun chien de compagnie, avec une pugnacité que Paul et Mathilde eurent toujours beaucoup de mal à comprendre.

FIN

Related posts

Hélène – Chapitre 20

historiesexe

Seconde vie, autre vie? – Chapitre 1

historiesexe

La faille – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .