Le pays est splendide. Je suis content dêtre ici. Tu sais si tu étais avec moi, la vie serait douce. Je vis des instants merveilleux. Je peux me détendre avec des filles splendides. Je pense à toi quand je me perds dans des corps généreux. Nous pourrions ensemble plus tôt que seul comme moi, prendre des plaisirs comme tu les aimes.

Hier cest une des filles du village dà côté qui a partagé mon lit. Je vais attiser tes envies quand je te dirais quelle ma baisé comme rarement, mis à part toi. Tu sais quand tu prends ma queue dans ta bouche en me regardant jouir : cétait presque pareil avec elle, sauf que son amie était là aussi, prête à la remplacer ce quelle a fait plus tard.

Branles-toi en me lisant. Elle était brune, les yeux trop clairs, comme ceux de la fontaine en bas de chez nous. Ses seins, à peine plus gros que les tiens tenaient dans les mains de sa compagne. Je regardais les tétons entre les doigts de lamante qui grossissaient comme les tiens sans doute. Tu aurais aimé être à sa place pour te faire caresser longuement comme elle.

Elle est venue sur moi qui bandais. Javais une bite plus dure que les autres fois, tu sais comme quand tu te donnes devant moi à une amie. Je me demandais si jarriverais à ne pas jouir trop vite. Jai tenu le coup. Je nai giclé que quand elle avait des spasmes.

Pour nettoyer la bite, lautre est venu pour me lécher. Elle me donnait sa chatte à sucer. Tu sais que jaime bien lodeur particulière dun con mal lavé. Jétais aux anges : elle sentait fort, comme toi des fois. Jai giclé encore dans cette bouche. Elle me donnait sa cyprine dans la bouche, elle jouissait comme toi, geyser. Je sais que jaime recevoir ton jus comme ça, par à coup. Cétait pareil. En plus elle avait mis un doigt, je ne sais pas lequel au fond de mon cul. Oui, branles toi en mettant aussi un doigt dans lanus comme tu aimes.

Avant-hier, quand jai lu ta lettre, je me suis branlé, à cause de lodeur de ton con sur le papier à lettre. Je ne sais pas si tu tes essuyé le sexe avec. Si tu las fait, pourquoi ne pas lavoir écrit.

Demain je tenverrais cette lettre : je me branles dessus dès ce soir pour te donner un peu de moi qui sort de ma queue qui sennuie de ton abricot.

Jai remarqué une autre jeune femme. Son cul me donne envie daller la visiter, par derrière ou devant, je ne sais pas encore ce quelle voudra ou permettra. Toi, je sais que tu aimerais que je te la mette là où tu me demande souvent. Dans le cul. Tu te branles quand je tencule. Je suis un homme, je ne peux savoir ce que ça peut faire comme tu te le fais. Jenvie ton orgasme: tu me dis quand tu jouis.

Raconte-moi en détail comment tu as pu te faire mettre par deux hommes à la fois. Ce sont des voisins, je crois. Tu ne mas pas dit comment ils avaient les pines. En tout cas tant mieux davoir inauguré cette double pénétration avec eux, tu pourras recommencer quand tu en auras envie. Tu me montreras quand je viendrais. Jaimerais être le troisième, au moins dans la bouche.

Je te vois en levrette, un type sous toi, lautre sur tes fesses, leurs queues à fond dans ton con et ton cul et moi dans ta bouche, avec ta langue qui me lave la queue qui ta enculé une fois. Je sais que tu aimes me sucer après la sodomie et moi tembrasser ensuite.

Nous sommes des porcs, je le concède. Mais cest si bon dêtre comme nous des gens complètement dévoyés.

Tu me dis avoir beaucoup aimé sucer ta nouvelle copine. Comment est-elle ? Sa figue est agréable sous ta langue ? Et son cul, tu y es entré ? Tu as du te plaire quand elle ta léché la chatte.

Jai une occasion que jhésite à prendre. Un gars, bien monté daprès ce que jai vu quand il pissait voudrait que je lui donne mon cul.

Jaurais pu le faire avant de partir quand le fils de la voisine voulait menculer devant toi que jai hésité comme maintenant.

Jai peur quil me fasse mal. Je sais que des fois tu te plains de la prendre dans le cul. Tu jouis toujours après. Je pourrais en faire autant ? Après tout je vais essayer à condition que je me branle pendant quil entre.

P.S. Ca y est jai sauté le pas. Il ma sodomisé. Jai eu mal pendant quil entrait. Ça allait mieux après : je lai senti jouir. Jai joui en même temps. Je recommencerais certainement, demain certainement puisque tu nes pas là.

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