Mon amant est donc devenu mon maître officiel. Même si j’aimais aussi obéir à son fils, c’est à lui que j’appartenais corps et âme. Son fils était juste un petit bonus qui me permettait d’avoir encore plus de sperme à boire.
Mon maître m’a demandé de m’asseoir avec lui, il voulait discuter :
Bon, parlons de ta nouvelle poitrine. À quoi tu pensais exactement ?
Et bien, comme je suis assez mince, je me disais qu’un beau petit B ferait l’affaire.
Oh non non, oublie ça. Si je paie, je veux en avoir pour mon argent ! Tu as beau être petite, ce sera quand même un beau gros D que tu auras. Je veux pouvoir mettre ma grosse queue entre les deux et baiser ta grosse poitrine. Et aussi, je veux être certain que même quand tu es habillée de la façon la plus discrète, tous les gens sauront, en voyant ton énorme poitrine, que tu es une bonne pute.
Alors d’accord, c’est vous qui décidez.
Le grand jour arriva ! J’étais très nerveuse… C’est un grand changement quand même. Il y a une différence entre vouloir être une femme et en devenir une. Mais j’attendais ce moment depuis si longtemps que je suis allée jusqu’au bout.
À mon réveil, tout s’était bien passé. Je voyais déjà sous ma petite jaquette d’hôpital l’ampleur des 2 énormes plombs qui étaient maintenant à moi. J’étais excité au maximum et malgré la douleur, je les ai caressés un peu et j’étais fascinée par leur fermeté.
Je vis du coin de l’il que la porte de ma chambre était entrouverte. Mon Maître était là, souriant de me voir me pogner les seins. À côté de lui, l’infirmière, qui ne semblait pas aussi ravie. Elle était en fin de carrière, les cheveux courts grisonnants, obèse et je dirais assez laide.
Elle entra pour s’assurer que tout allait bien, mais elle était rude et de mauvais poil. Je lui ai demandé si j’avais fait quelque chose qui l’avait fâchée et elle me répondit :
Non, pas comme tel. Mais j’en ai vu passer plusieurs comme toi. Vous vous faites poser des gros seins fermes pour aller faire la salope. Et souvent, vous aimez les hommes plus vieux que vous. C’est pour ça que les femmes comme moi, qui n’acceptent pas toutes les perversités des hommes, on se retrouve seules avec personne pour nous baiser.
En dedans de moi-même, je savais qu’elle avait raison, mais je n’y pouvais rien. Je ne pouvais pas bloquer ce que je suis pour elle. Mon amant vit mon regard triste et décida d’intervenir :
Écoutez Madame, je comprends votre point, mais ce n’est pas la faute de ma copine. Elle a des besoins, tout comme vous et elle a juste le courage de réaliser les fantasmes qu’elle a. Vous ne devez pas lui en vouloir. Mais comme je suis un homme juste, je suis prêt à vous aider. Si vous souffrez d’un manque de sexe à cause des salopes comme ma copine, ce serait normal qu’elle vous dédommage un peu.
Comment osez-vous ? dit-elle avec du feu dans les yeux. Je suis une dame respectable.
Mais bien sûr que vous l’êtes. Mais ça ne vous empêche pas de pouvoir jouir à l’occasion.
Que voulez-vous exactement, répondit-elle, avec une peur dans la voix.
Eh bien, j’avoue que je n’ai jamais vu ma petite pute avec une femme. Si vous voulez, elle peut vous manger la chatte pour vous faire jouir.
J’étais sous le choc… J’avais déjà mangé des chattes dans le passé, mais je n’ai pas apprécié beaucoup et encore moins avec une vieille femme obèse dans son genre.
Malheureusement, après quelques secondes de réflexion, celle-ci accepta à la condition qu’elle soit de dos à mon maître pour qu’il ne voit pas sa chatte. Mon maître accepta et me demanda de me mettre à genoux devant le fauteuil de la chambre. La grosse infirmière s’installa devant moi et ôta son énorme culotte, ce qui me laissa voir une grosse touffe humide et puante. Je m’approchai avec dégoût de cette grosse fente et m’appliquer du mieux que je pus pour régler ça rapidement. Mon Maître trouvait la situation drôle, mais pas moi. Heureusement, elle jouit rapidement en remplissant ma bouche de son jus de chatte, je faillis vomir. Elle se retira rapidement, honteuse, mais soulagée.
Lorsqu’elle eut quitté la chambre, je me relevai pour retourner à mon lit. Une fois assise sur le bord du lit, mon Maître, sans prévenir, me prit par les chevilles pour me faire basculer dans le lit, sur le dos. Il mit mes chevilles sur ses épaules et m’encula à sec en me traitant de grosse salope mangeuse de chatte. Il se vida rapidement dans mon cul et quitta pour retourner travailler.
Je pus enfin dormir un peu et récupérer de mon anesthésie. Je me suis réveillée après le souper. Le chirurgien entra dans ma chambre pour venir s’assurer de ma guérison. Il ôta ma jaquette et vérifia mes cicatrices. Il était satisfait et me dit qu’il était content, que j’étais une de ses plus belles paires de seins qu’il avait faits. Il les tâta un peu pour vérifier l’emplacement des poches d’eau saline et je vis une grosse bosse se former dans son pantalon. Sans y penser, ma main alla caresser son entrejambe. Il me porta un regard vicieux, me dit de rester coucher et me tourna sur le côté pour que je sois sur le bord du lit. Il sortit alors une superbe queue qu’il enfonça dans ma bouche et fit des va-et-vient un bon 20 minutes avant de me remplir la bouche avec une éjaculation très abondante, son sperme était délicieux !
J’eus ensuite mon congé et fus heureuse de retourner chez mon Maître pour un peu de calme.