Bernard et Lucille se glissent par louverture. Ils restent quelques secondes immobiles admirant les efforts des quatre jeunes gens, puis le directeur intervient.
— Hé ben ! Cest du propre !
— Hiii !
Marjorie pousse un cri strident.
— Taisez-vous, petite imbécile ! Vous voulez que tout le chalet soit témoin de vos exploits ?
Les deux filles se tassent dans le lit pendant que Marc et Luc sécartent delles.
— Que se passe-t-il mesdemoiselles ? questionne une voix dhomme dans le couloir.
— Cest Louis, répondez, murmure Bernard, faite-le partir.
— Euh Cest rien, affirme Line à voix haute. Juste ma cousine qui a eu un cauchemar.
— Tout va bien alors ?
— Oui tout va bien. Merci.
— Bon, ben euh bonne nuit.
— Bonne nuit.
Personne ne bouge dans la pièce. Au bout dune minute Bernard entrouvre la porte, le couloir est vide. Rassuré il allume et revient vers le lit.
— Nous Euh VOUS lavez échappé belle ! Vous avez de la chance que vos débordements mesdemoiselles restent entre nous. Quand même ! Quest-ce qui vous a pris de séduire nos moniteurs ?
— Mais Aïe !
Un pinçon de Marc interrompt Luc. Pourquoi, ce nest pas de la faute des filles ? sinterroge-t-il. Tout à coup il comprend : Bernard na pas lintention de punir qui que ce soit mais plutôt de profiter de loccasion.
— Je vais être obligé davertir vos parents, continue le directeur.
— Oh non ! Pas nos mères, gémit Marjorie.
— Je vous en prie, nous le ferons plus, renchérit Line.
Cela ne fait pas laffaire des deux garçons !
— Et vous vous imaginez que je vais vous croire ? menace Bernard. Je vous avais pourtant dit cet après-midi : « Pas de visite ». Vous vous êtes empressées de me désobéir.
— Nous vous écouterons, je vous assure.
— Quel crédit puis-je apporter ? Je nai plus confiance en vous.
— Je vous en prie, supplie Marjorie, ne dites rien. Nous vous obéirons en tous point, nest-ce pas Line ?
— Oui, intervient Marc, lors du départ à la gare de Lyon, ces demoiselles lont promis à leur mère.
— Ah ! Vous avez promis Si je décide de ne rien révéler, vous ferez tout ce que je vous demanderai ? Tout ?
— Tout ce que vous nous demanderez, affirme Line.
— Oui tout, confirme Marjorie trop contente de sen tirer à si bon compte.
— Vos moniteurs ici présents sont témoins de votre engagement. Au moindre manquement, javertis vos familles, compris ? Compris ?
— Oui monsieur.
— Pas monsieur, Bernard Alors ? Compris ?
— Oui Bernard, répondent ensemble les deux filles.
Luc et Marc échangent un regard avec Lucille. Lil brillant de celle-ci les convainc que la séance nest pas terminée. Cest maintenant que les choses sérieuses commencent. Ils attendent avec impatience que le directeur dévoile ses intentions.
— Levez-vous mesdemoiselles Allez ! Plus vite que ça ! ordonne-t-il devant leur regard effaré. Vous êtes nues ? La belle affaire, jen ai vu dautre Je nattendrai pas longtemps je vous avertis.
Marjorie la première, sort des couvertures. Elle supporte crânement le regard lubrique des hommes. Line limite la tête basse.
— Ôtez-vous de là vous autres !
Luc et Marc sautent hors de la couche et vont se placer à coté de Lucille. Bernard sassied sur le lit.
— Approchez mesdemoiselles Plus près oui, de chaque coté de mes jambes là
Elles obéissent comme des automates.
— Mettez-vous à genoux oui Maintenant sortez mon sexe.
— Votre ? balbutie Line les yeux remplis de larmes.
— Oui, ma queue, ma bite, mon zob si tu préfères Plus vite que ça ! Ah ! Enfin !
Les deux filles sempressent de déboutonner le jeans du directeur, ouvrir la braguette et extraire du slip une tige déjà raide qui palpite entre leurs doigts.
— Bon maintenant sucez-la à tour de rôle.
— La sucer ? Je je lai jamais fait, pleurniche Line.
— Moi moi non plus, dit sa cousine.
— Sans blague ?
Bernard interroge du regard ses moniteurs qui secouent négativement la tête.
— Bon, je veux bien vous croire. Lucille, viens par ici montre-leur comment on fait.
La monitrice sagenouille entre les cuisses écartées. Elle prend la hampe dans la main et introduit le gland dans la bouche. Elle le sort, lèche la tige, titille le méat du bout de la langue, puis avale à nouveau. Line et Marjorie devinent aux mouvements des joues que la jeune femme tête le sexe.
— Cest bien ma jolie, la remercie Bernard dune caresse sur les cheveux. Laisse la place à nos élèves, à toi lhonneur Marjorie. Montre que tu as bien observé.
Lucille tend la verge à la jeune fille qui lenserre de ses doigts fins. Elle se penche au-dessus. Des filets de salive luisent sous léclairage. Elle arrondit les lèvres pour engloutir le gland.
— Aïe ! Attention tes dents !
— Il faut ouvrir grand la bouche, conseille Lucille Oui joue avec la langue sur la pointe.
— Ouiii ! murmure Bernard.
— Maintenant poursuit la monitrice, sort-le oui lèche-le sur toute la longueur Bien reprends-le en bouche.
— Non, linterrompt le directeur. A sa cousine maintenant.
Le sceptre vivant passe à Line qui sefforce de reproduire les faits et gestes de Lucille et Marjorie.
— Aaah ! Ouiii ! Aaah ! Aaah ! Arrête !
Line suspend la masturbation de la tige quelle avait entreprise.
— Lucille ! ordonne Bernard. A ton tour montre leur comment il faut terminer Observez bien Aah ! Voyez comme Aah ! elle lèche Aah ! comme elle Aah ! elle pompe Aah ! comme elle ava Aah ! Aaah ! Aaaah ! Aaaaah ! avale.
Line et Marjorie contemplent effarées Lucille déglutir. Lorsquelle se redresse une goutte sourd au coin de ses lèvres.
— Aah ! Je me sens mieux ! annonce Bernard qui se lève et se rajuste Vous pouvez vous remettre au lit mesdemoiselles et vous aussi messieurs, il ne fait pas si chaud que ça dans cette chambre.
Les deux filles sont si étonnées quelles ne résistent pas quand les garçons les enlacent sous les couvertures.
— Je vous autorise à inaugurer votre nouveau talent avec ces deux jeunes gens Surtout apprenez-leur à bien avaler, conseille-t-il aux garçons. Pendant la journée, je vous permets de profiter de vos instants de repos pour parfaire lentraînement. Je contrôlerai demain soir Tu viens Lucille, laissons ces jeunes gens tranquilles. Bonne fin de nuit, et noubliez pas demain soir. Jespère ne pas avoir à me plaindre. Ne vous levez pas, nous éteindrons en sortant.
Le quatuor reste silencieux plusieurs minutes, puis Marc se redresse.
— Cest pas tout, mais il faut sexercer !
— Non, pas maintenant, jai trop sommeil, gémit Marjorie.
— Vous avez entendu Bernard ! Vous serez jamais prêtes autrement. Line, montre à ta cousine qui est la plus courageuse, place-toi au-dessus de moi non, dans lautre sens, ta tête en direction de mes pieds oui tu vois ma queue ?
— Non, il fait tout noir là dessous.
— Ça ne fait rien, prend-là en main oui approche-là de ta bouche oui. Pendant ce temps, je te caresse de mon coté écarte les cuisses oui
— Aaah ! que quest ce que tu fais ?
— Continue de sucer ma queue, je te rends la pareille.
Luc de son coté dispose Marjorie de la même façon. Les deux demoiselles apprécient les caresses simultanées. Leurs professeurs sont satisfaits et le font savoir jusquà léjaculation. Là les choses se gâtent. Les deux filles toussent crachent plusieurs minutes. Elles émergent penaudes des couvertures.
— Cest pas grave, les consolent Marc. Vous y arriverez. Dormons maintenant.
Avant de reprendre Marjorie entre ses bras, il règle le réveil à son bracelet montre un quart dheure plus tôt. Il faudra ça sils veulent avoir le temps dun entraînement supplémentaire demain matin
A suivre