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C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. – Chapitre 7




— C’est bon salope, tu as assez pompé, allonge toi et je vais préparer ta putain d’huître pour qu’il te baise comme tu le mérites. Elle se montre docile, soumise, et s’abandonne à nos désirs. Elle est sur le lit, sur le dos, la tête qui pend en arrière, la gueule grande ouverte. Le black s’agenouille, son sexe à hauteur de sa bouche, et entreprend de la baiser à nouveau en gorge profonde. Pour ce qui est de moi, je glisse ma main entre ses cuisses, la pénètre, la fouille, la fiste. De temps en temps il se retire pour la laisser reprendre souffle. Elle tousse, crache des flots de salive, et dès qu’elle veut énoncer un mot il la reprend sans même savoir si elle voulait nous engueuler ou nous encourager à y aller encore plus fort.

D’après moi elle veut que l’on continue, au vu de sa chatte ruisselante. Elle mouille à flots cette putain et on va s’enfoncer au maximum, le gland du black au fonds de sa gorge, et mon poing fermé qui frappe son utérus. Elle est dilatée à un point que je me retire et laisse sa vulve se refermer doucement pour qu’elle sente mieux notre copain noir l’enfiler.

Il se retire lui aussi et elle se lève pour se tenir debout, penchée en avant, entre les deux lits.

Le contrôleur la prend en levrette tandis que je lui offre mon sucre d’orge. Elle le suce avec application tout en se faisant bourrer copieusement la chatte. Je sens mon gros bonbon prêt à fondre, et je la maintiens plaquée contre moi, mon gland sur la langue, pour qu’elle ne perde rien de ma précieuse liqueur. Elle sirote tout avec délice et me tire sur l’élastique pour bien me vidanger.

Je suis soulagé, et c’est au tour de son autre partenaire de venir. Il se retire, la retourne, et a juste le temps de planter son dard dans sa bouche, qu’il éjacule avec de grands soupirs qui n’en finissent pas, signe de la quantité impressionnante de sperme qu’il crache dans sa bouche. Elle s’en voit à tout avaler mais s’efforce de ne rien gaspiller. Il a tout donné, et se dégage pour se rhabiller.

Il est vingt-trois heures à peine passées, et on se propose de remette ça à deux heures du matin. En attendant il regagne sa cabine, et je dors avec Elodie, chacun dans son lit pour être sûr de se reposer.

On a mis le réveil à 1h45, au cas ou notre partenaire serait à l’avance, mais aussi pour s’offrir des préliminaires. Elle me rejoint dans mon lit étroit, on est collé l’un à l’autre, on s’embrasse, on se caresse, on se masturbe. A deux heures le contrôleur frappe à la porte et Elodie se précipite pour lui ouvrir:

— Ah, enfin! Déshabille toi, vite, j’ai besoin de ta queue.

— Avec plaisir, salope, je vais te baiser encore plus fort.

— Non, je m’en fous d’être baisée, je veux que tu m’encules.

— Je voudrais bien, tu serais la première. Personne n’a jamais osé la prendre par derrière. Tu en as déjà pris d’aussi grosse.

— Non, mais je m’en fous, je la veux, et bien profond. Casse moi le cul.

Il hésite, elle insiste, et on finit par s’arranger. Je vais la préparer, et il va conclure.

On est à nouveau tous à poil, elle se penche sur le black pour sucer son gros boudin, et je viens derrière elle. Je plonge ma queue dans sa chatte ruisselante, pour bien la lubrifier, et je la baise tandis que j’ouvre son illet de mes deux pouces. Je me retire et plante mon dard entre ses fesses. Je la tringle à toute vitesse pour jouir sans perdre de temps. Je gicle dans son anus, je la remplis, et me retire.

Elle se retourne pour nettoyer ma queue, mais surtout pour s’offrir à son bel amant ébène. Il bande comme un âne, attend que mon sperme prenne la sortie pour s’en servir pour mieux coulisser. Il pousse de toute ses forces et s’introduit à fonds, jusqu’aux couilles. Je regarde Elodie, de grosses larmes perlent à ses yeux, mais elle ne peut crier vu que je la maintiens contre moi, ma bite bien en bouche. Je relâche ma pression pour lui laisser une chance de capituler, mais elle passe ses bras autour de ma taille pour s’obliger à supporter cette énorme et douloureuse pénétration: SALOPE.

Le black s’éclate à l’emplafonner, c’est son premier cul et il prend son pied. Quand à Elodie, elle me pompe toujours pour ne pas gueuler et jusqu’à ce que sa douleur disparaisse. C’est chose faite et elle libère mon sexe pour encourager son autre partenaire:

— Oui! oui! Oh c’est bon comme tu m’encules! C’est engin que tu as mon salaud, je n’ai jamais pris un truc pareil! Vas-y, vas-y fort, encule ta pute, défonce moi, oh putain, si c’est bon!

Je la fais taire en reprenant sa bouche:

— N’oublie pas ma queue salope, je vais te défoncer moi aussi, grosse pute.

Je lui baise la gueule à rythme soutenu, le même que son enculeur. Elle prend cher la chienne, mais on sait qu’elle aime ça puisqu’à chaque fois que je me retire pour la laisser respirer, elle se jette sur ma bite pour la reprendre.

Je suis bien dans sa bouche, trop bien, et je me laisse aller. Je décharge, vide mes couilles, et elle se régale à tout prendre, tout avaler. Le contrôleur semble infatigable, pas prêt de conclure, et je reste dans la bouche de la petite. Je m’abandonne, fais un petit pipi. Elle me repousse, exhibe sa bouche remplie de mon urine, avale, et reprend ma queue pour m’inviter à lui resservir à boire. Je la ressers plusieurs fois, sans que son sodomiseur ne s’en rende compte, et elle boit tout avec délice.

Le contrôleur va enfin jouir et se libère entre ses reins qu’il inonde de ses jets puissants. Il se retire et elle se retourne et s’accroupit pour nettoyer son chibre. Il gémit de plaisir sous l’effet de cette bouche apaisante, puis se recule pour se rhabiller. Il se rend alors compte qu’Elodie a recraché par son cul toute la semence qu’il lui a offerte, qu’une grosse flaque de sperme souille le sol, et il lui ordonne de tout nettoyer. Elle s’exécute sans sourciller tandis qu’il s’en va. Elle est à quatre pattes pour tout laper, son cul béant semble une invitation. J’y glisse ma bite molle, et je pisse. Une nouvelle flaque qui va disparaitre sous sa bouche assoiffée.

Il est 2h30, et on a donné un dernier rendez vous au contrôleur pour 5h, le temps de se reposer et reprendre des forces.

L’heure arrive, c’est notre dernière baise, et on s’applique à bien la farcir, par tous les orifices. Elle gueule, hurle, peu importe, personne ne peut l’entendre. On la possède virilement, sauvagement, brutalement, et elle en demande encore plus. On finit par se soulager dans sa bouche, sperme et pisse.

Le contrôleur repart, il nous reste peu de temps avant l’arrivée, et on se couche serré dans le même lit pour un tendre câlin.

On arrive à ma gare, et je descends tandis qu’elle continue son trajet jusqu’à la station suivante.

On s’est quitté en se roulant une énorme pelle, mais surtout après avoir échangé nos coordonnés pour se revoir.

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