J’ai toujours aimé les mecs virils.

A l’aube de mon adolescence déjà, les archétypes de macho me faisaient tourner la tête. Je ne pouvais m’empêcher de me retourner sur des cuisses bien épaisses, un torse légèrement poilu, un air sévère qui me laissait fantasmer sur des punitions fermes et indiscutables, ou encore un t-shirt trempé de sueur épousant un torse robuste. Hmmm. Rien que d’y penser me fait durcir.

Aujourd’hui, j’ai 22 ans. Mince, un visage doux avec de belles lèvres bien charnues, faites pour sucer. Je n’ai à mon grand regret que très peu de poils mais de longues jambes fines et un petit cul rond et ferme qui savent attendrir et faire bander le plus refoulé des mecs.

L’histoire que je veux vous raconter s’est déroulée il y a environ trois mois. Moi qui était habitué à une vie sexuelle bien remplie avec de nombreux partenaires de confiance, je me suis retrouvé comme un rond de flan en arrivant dans une nouvelle ville pour terminer mes études. Je ne sortais plus. Je ne me branlais même plus. Une bite bien raide dans le cul me manquait trop. Il fallait que je bouge, que je trouve un petit taf complémentaire pour pouvoir me faire plaisir et égayer mon quotidien.

J’ai finalement trouvé un boulot de serveur dans un petit bistro traditionnel qui sert midi comme soir.

L’ambiance me plaît bien, et surtout la clientèle. Il règne le midi une ambiance essentiellement masculine, des mecs de chantier aux bonhomme en costard. Bourrus, aimant bien chambrer et évaluer de leur oeil d’expert la manière dont je fais mon travail, je sens sur moi une attention qui m’émoustille, et j’aime les imaginer aller a leurs commentaires quand j’ai le dos tourné et que mon petit cul cintré par mon tablier vrille de gauche a droite dans un numéro parfaitement calculé pour faire envie l’air de rien. Ne croyez pas que je me fais du cinéma, ok je fantasme, mais y a aussi la manière dont certains me reluquent ouvertement, mangeant leurs assiettes. Parfois je ne sais plus très bien ce qui leur donne le plus faim.

Un mercredi, vers les 1H, un mec, la cinquantaine, me fait signe d’approcher. Sous prétexte de me montrer un pourboire laissé en terrasse, il lève la tête vers moi, l’air confidentiel. Je me baisse avec grâce. Il me glisse à l’oreille :

"- Toi, je suis sur que t’aimes la bite. Tu t’es vu tortiller du cul? Faut vraiment que t’aimes ça…"

Je me recule, plonge mes yeux dans les siens, un air outré digne du plus mauvais acteur collé sur la face. Sur la sienne se lit un sourire infiniment coquin, et je sais déjà que j’ai affaire à un actif.

-" T’aurais été hétéro, on en serais déjà venu aux mains petite lope."

Un temps de silence.

Intérieurement, je bouillonne. Je suis trop gêné pour bander, ici, en terrasse, sujet à des mots aussi crus. Mais putain qu’est ce qu’il m’excite, ce con. J’attends la suite, pendu a ses lèvres, en priant pour qu’il me propose un plan.

"- Tu finis quand?"

"- D’ici deux heures."

"- Si t’es chaud on passe l’après midi chez moi. On pourra boire un verre. Et si ça te dit j’aurais quelque chose d’autre a te faire avaler. "

Il se recule, me toise, et se marre.

Normalement, j’ai cours cet après-midi, mais il a pas besoin de le savoir, et j’ai déjà envie de lui.

-"Ok, vous viendrez me chercher?"

"-Heh , je suis pas ton père, mais a moins que tu saches ou j’habite, je serais là, au coin de la rue a 14H45."

"- Ok, je vous rejoindrais."

Pendant toute la fin de mon service, je stresse à mort. J’arrête pas de penser a lui. Comment sera son corps, sa bite? Est ce qu’il sera brusque?

J’essaye de me calmer, de me concentrer. Mais les heures passent et me voilà déjà en train d’attendre a 15h05. Il n’est pas là. Dix minutes plus tard, une chouette berline s’arrête a ma hauteur et la fenêtre s’ouvre. C’est lui. Il baisse la tête, me regarde, me sourit, et se détourne vers la route en me faisant signe de monter.

On échange pas un seul mot sur la route. Il a l’air inquiet. Ça me déplaît un peu, je l’imaginais plus ferme et sûr de lui. Dix minutes plus tard, on s’arrête dans un petit pavillon de banlieue, pas mal du tout.

"-C’est sympa chez vous, j’adore la fa.."

"- Calme ta joie, on est pas chez moi ici. J’ai eu un imprévu. J’ai quand même amené deux ou trois bouteilles et puisque c’est ton boulot tu vas t’en occuper."

"- Ok."

Je me saisis des bouteilles alors qu’il ferme la porte. J’aime la tournure que prennent les choses. Je le sens chaud. Il me mate, s’installe sur le canapé les jambes relâchées, son jeans boutonné moulant agréablement ses parties. Il a retrouvé sa confiance. Je pars en cuisine et ouvre une bouteille. A mon retour, il me sourit, et d’un geste de la main m’indique de le rejoindre et de m’asseoir sur ses genoux.

"-Viens un peu par ici"

Il déboutonne son jeans, commence a sortir sa queue comme si de rien n’était, et se branle allègrement en fixant mes jambes et mon torse. Je m’avance vers lui en roulant des hanches, cherchant son regard. J’arrive vers lui et m’assoit a califourchon sur lui, la bouteille a la main, tout en prenant un peu de recul pour que sa bite reste bien raide entre nous deux. Il ne dit rien et commence a respirer fort. Il passe une main dans mon dos, tout doucement, caresse ma cambrure et soupire d’aise. Je commence a onduler comme une petite pute, trop pressé que je suis de l’avoir monté a bloc pour me défoncer. Je sais que c’est ce qu’il a prévu. Je bois une gorgée à la bouteille, puis commence a lécher le goulot en le regardant dans les yeux en continuant d’onduler. Je veux qu’il soit au bord de l’explosion, jouer a chaud et froid, pour qu’il me prenne pendant des heures.

-"Hmmm, t’en es une sacrée toi. Je vais te baiser comme une petite chienne. Ta tête, je la veux entre mes jambes, magne toi."

Il arrache la bouteille et je me cale entre ses jambes. Tout en buvant il m’attrape l’arrière du crâne et m’amène doucement mais fermement vers sa bite tendue. Elle est excitante a souhait, comme j’aime. Bien large à la base sur 3cm, légèrement arquée et remontant doucement en ne perdant de calibre qu’au niveau de son gland presque bleu a cause du jeu de paume pratiqué au préalable. Il a l’air tellement appétissant… Il m’entraîne encore d’avantage vers sa queue. Je succombe. Je la prend a pleine bouche en serrant bien.

"-Oh putain ouais c’est bon. Ta bouche putain. Vas-y t’arrête pas."

Il donne des petits coups de hanche pendant quelques minutes puis s’arrête quand je commence a lui lécher le frein. Il gémit. Se tient la queue pour qu’elle aille bien au fond de ma bouche. La mienne, plus fine, plus juvénile, est dressée hors de mon pantalon ouvert et je l’attrape pour la branler au rythme de mes va-et-viens.

Soudain, il s’arrête:

"-Relève toi. Putain, t’es vraiment bonne toi pour sucer des queues. J’ai une heure pour te limer ton petit cul de salope et je veux faire ça bien alors tu te lèves, tu te désapes, et tu te penches sur le fauteuil."

Je m’exécute, gravit le fauteuil et me positionne en levrette en jetant des illades par dessus mon épaule pour m’assurer de la promptitude de mon amant. Il se tient la queue, avance vers moi, transpirant, et commence a me taper le trou de balle avec sa bite, occasionnant des petits bruits mouillés et claquants qui me donnent envie de me laisser totalement aller. Soudain, je sens son souffle. Ses mains sèches m’attrapent les globes et les écartent. Mon anus se tend et n’en est que plus sensible. Il me lèche le cul. Jamais on m’a bouffé le cul comme ça. Sa langue est dure et rugueuse, bien a plat, il me nettoie carrément la raie. Il alterne avec des coups de langue surexcités, frénétiques, et je commence a me trémousser en gémissant. C’est dingue. Je bande comme un malade en me branlant, jouissant, gémissant de ma voix que je veux la plus chaude pour bien lui faire comprendre que sa petite chienne est prête a se faire prendre.

Il ne dit rien, grogne comme si il n’en pouvait plus, positionne son gland sur mon cul, et pousse.

je joue le jeu, il ne peux pas voir que je grimace dans cette position, et de toute manière, je n’ai qu’une envie, c’est qu’enfin il me lime et soit a son aise dans mon cul.

Il grogne, plaque ses mains sur ma cambrure et appuie, il veut mon cul bien sorti. Je sens bien qu’il en est déjà fou.

-" T’aimes ça sentir claquer mes couilles sur ton cul?hmm? T’aimes ça?"

"- Anh, oui, vas-y, lime moi, prends moi bien avec ta grosse bite"

Il grogne, il à l’air a bout, mais il continue de me défoncer avec de plus en plus de violence, s’agrippant a mes globes, me claquant les fesses, puis me tirant les épaules pour que je me cambre au max. Il m’embrasse le cou, et l’angle ne me laisse pas d’autres choix que jour comme une pute. Il me saisis le visage pour me rouler une grosse pelle,puis se retire.

J’ai beau avoir joui, mon cul n’est pas rassasié . Lui n’a pas joui, mais à quoi il joue?

Il me claque les fesses, me demande de me retourner. Il attrape la bouteille, boit une longue gorgée et me la tend. Alors que je l’ai tout juste en main, il se colle contre moi, descend, se frottant tout du long contre moi et me saisis par l’articulation des genoux.

"- Accroche toi bien petite lope."

Il me soulève, et je suis là, avec ma bouteille, dans ses bras. Je ne me suis jamais senti aussi maigrichon que ce jour ou il s’est amusé a me porter. Je suis enroulé autour de lui, ses avants bras écartant mes fesses et ses mains me les compressant. Sa bite retrouve instinctivement le chemin de mon cul. Il me fait sauter dessus comme si j’étais son jouet, me regardant dans les yeux, m’embrassant, sans pitié pour mon trou. Il tient comme ça 3 à 4 minutes, pendant que je bois en hoquetant et gémissant, chaud comme jamais. J’en met partout, il me traite de petit cochon, de petite lope, de bouffeur de queues, pendant que j’explose intérieurement, ennivré et excité comme jamais. Enfin, il jute dans mon cul dans un râle, se détend complètement avant de me reposer sur le canapé.

Il me dit de me rhabiller et de laisser les clefs sous le porche en partant.

Il me dit qu’il reviendra au restau. Il me dit qu’on se reverra, et qu’il me baisera encore. Il me dit qu’il est fou de mon cul.

Je souris. Je suis comblé.

"-Oui."

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