Eve4

Eve revint le lendemain soir et mavoua avoir mal à lanus et que cétait difficile de sasseoir.

On sest longuement embrassés, puis câlinés. Jaimais la serrer dans mes bras pour lui déverser de lamour, plus que paternel.

Elle me dit :

« Aujourdhui, je veux te faire plaisir. Allons dans ta chambre »

Je me suis allongé sur le lit et elle a sorti un sein pour me le donner à téter. Je sentais un liquide chaud filer dans ma bouche à chaque succion. Ce nétait pas du lait encore, mais du colostrum. Elle aimait beaucoup ce que je faisais, aussi se libéra-t-elle de son haut et soutien gorge pour revenir à la charge. Je suçais et aspirais chacun de ses seins alors quelle saffairait à ouvrir mon pantalon. Quand elle réussit à ouvrir ma braguette, mon membre jaillit dans sa paume de main. Elle glissa dans mon slip pour me caresser les bourses. Elle se redressa et me mit nu, puis elle me masturba avec frénésie avant de sarrêter pour me demander :

« Tu veux que je te prenne la température ? ». Elle me désignait son majeur tendu.

Mon ex épouse me mettait de temps en temps un doigt et javoue que jaimais bien. Pour toute réponse, jai pris le tube de gel resté dans ma table de nuit et lui ai tendu.

Elle a eu un petit sourire narquois avant de mécarter les jambes et de menfiler son doigt lubrifié. Elle sest penchée en avant et sest mise à me sucer en me pistonnant de son doigt.

Je lai senti me mettre un deuxième doigt qui entra plus difficilement. Toutefois, quand elle me sodomisa, cétait magique ! Elle frottait ma prostate, écartait ses doigts pour me distendre, me pilonnait tout en me suçant. Je lui caressais le dos machinalement, totalement sous lextase quelle me procurait.

Quand jai senti que jétais au bord de lorgasme, je len ai prévenu. Mais rien à faire, elle gardait ses lèvres serrées sur ma verge et continuait à me pistonner.

Jai lâché ma semence dans sa bouche et, malgré un haut-le-cur, elle en garda un maximum quelle mexposa avant de lavaler.

« Tu as aimé ce que je viens de faire ? »

« Mais oui ma chérie, cétait fantastique ! »

« Il paraît que tous les hommes aiment ça ! On te la déjà fait ? »

« Oui mais, mais jamais comme toi ! »

Elle vint membrasser, puis me chevaucha en soulevant sa robe. Elle ne portait pas de culotte et sa vulve était une offrande à ma bouche avide de la satisfaire. Quand je la léchais, elle faisait des mouvements de bassin pour frotter son clitoris sur mon menton.

Jétouffais presque mais les odeurs de sa vulve étaient enivrantes, si bien que jy mettais plus de détermination. Elle a joui, et cette fois en criant presque.

Elle ma embrassé de nouveau se couvrant de la cyprine que javais sur mon visage et se réajusta rapidement.

« Tu ten vas ? Essuie toi le visage au moins ! »

« Il faut que je file, et puis je veux garder ton goût en bouche, de toute façon, mon mari ne se rendra compte de rien ! Ah, au fait ! Il veut passer te voir demain, aussi, je ne viendrai pas me faire enculer, plutôt après demain si tu veux. »

Elle poussait loin la provocation, en étant grossière mais je ne lui en tenais pas rigueur.

Le lendemain, effectivement mon fils passa dans la soirée. Après les civilités habituelles, il était impatient de voir ce que contenait la malle dont je lui avais parlée. Je lavais préparée dans ma chambre et quand il louvrit, ses yeux brillaient comme un enfant déballant ses cadeaux. Il sortait tout et disposait sur le lit les robes, bas, dessous.

«Et ça, cest mes préférés »

Il me montrait une parure très érotique que ma femme ne portait quasiment jamais, sauf sur mon insistance. Cet ensemble brodé était ultra sexy, jen convenais, mais pourquoi était-il le préféré de Benjamin ?

A mon air interrogatif, il mexpliqua des choses très surprenantes qui me laissèrent pantois :

« Quand vous étiez au travail, jempruntais les habits de maman pour me sentir femme. Jexcitais Jérémy et ça le faisait bander. Au début, je le suçais, puis nous sommes allés plus loin. Il me sodomisait à chaque fois. Jadorais ça ! Mais un jour maman nous a surpris ensemble et nous navons plus recommencé. Sauf le jour de mon mariage, jai réussi à lui faire une pipe quil a beaucoup apprécié. »

Je tombais des nues, Benjamin me parlait librement de ses frasques, mon ex femme savait et moi non. Javais loupé beaucoup dépisodes de ma vie de famille !

« Ca ne te dérange pas si jessaie ? »

Pris au dépourvu, je répondais quil fasse comme il voulait.

Et lui de se mettre à poil et denfiler ces sous-vêtements, bas, robe et même une perruque.

« Tu peux remonter la fermeture dans mon dos ? »

Et moi, docilement de mexécuter.

Jadmirais ses jambes, son cul, sa taille. Cétait une belle femme que mon fils !

Malgré moi, je bandais dur et respirais fort. Ce petit salaud en profita pour coller ses fesses sur mon pubis et nignora pas mon état. Timidement, je lui ai tenu les hanches et lui se frottait de plus en plus fort sur mon membre.

Il se retourna et me fit asseoir sur le lit. Il défit ma chemise et mon pantalon. Je le laissais faire. Il sy prenait avec beaucoup de délicatesse. Il effleurait mon sexe puis sassit sur ma cuisse. Sa main avait saisi mon pénis et sactivait de bas en haut avec beaucoup de lenteur.

Je lui caressais le dos dune main et de lautre ses cuisses fermes. Je remontais sa robe et vis son sexe en érection. Il prit ma main pour la poser dessus. Cétait la première fois que je touchais une autre bite que la mienne et javoue que ce contact nouveau était agréable. Je le malaxais et sentais gonfler la chose dans ma main. Il sest lové contre moi pour me faire des bises qui se rapprochaient de ma bouche. Quand nos lèvres entrèrent en contact, ce fut une sensation curieuse. Il prit linitiative et enfonça sa langue.

Et jai répondu à son baiser. Je navais pas quitté ma main de son sexe et me rendis compte que je le masturbais, machinalement.

Il me poussa pour que je mallonge sur le dos et il me chevaucha. Il avait retroussé sa robe et écarté sa culotte. En moins dune minute, jétais totalement enfoncé en lui. Il a alors entrepris une cavalcade tandis que je le masturbais.

« Prends moi, papa, cest bon ! »

Je donnais de profonds coups de reins et lui se contractait pour bien menserrer dans son fourreau. Cette fois je prenais un réel plaisir et oubliais avec qui je faisais lamour. Je lai senti palpiter dans ma main et je reçu son jus sur le torse. Il continuait malgré cela à monter et descendre à un rythme infernal et je ne pus me retenir déclater en lui.

Il se releva et fit couler la semence sur mon pubis.

Il se mit à genou et lécha consciencieusement toute les souillures de mon corps.

Il se régalait de nos jus mélangés à ma transpiration.

Quand je fus propre, il sallongea près de moi pour me dire :

« Je taime papa, cétait délicieux, cest la première fois que japprécie autant ! Et toi ? Tu as aimé ? »

« Cétait très bien, mais cétait nouveau pour moi et puis il y a ton épouse, Eve ! »

« Oh tu sais, Eve je laime bien, mais sans plus. Je crois même quelle a un amant »

Jai dû rougir jusquaux oreilles. Il enchaîna :

« Moi, je préfère les hommes, comme toi ! »

« Tu Tu en as eu beaucoup ? Tu tes protégé au moins ? »

« Jen ai eu plusieurs et rassures toi, toujours avec préservatif. Sauf avec Jérémy et toi. »

« Et ton copain Christophe, je suppose que tu couches avec lui ? »

« Jaime bien le sucer et il a une grosse queue ! Mais il est brutal et voudrait me faire violer par ses amis un peu bizarres. Jen ai un peu peur.»

« Benjamin, tu dois être prudent ! »

« Appelles moi Sonia, si tu veux, papa ».

« Sois prudente Sonia ». Si jétais surpris de toutes ces révélations, jentrais dans son jeu de bon cur.

Il sest rhabillé et a plié soigneusement les effets de mon ex épouse.

Avant quil parte, il voulait membrasser mais je lui ai juste fait une bise sur les lèvres.

« Au fait, Benjamin, cest bientôt ton anniversaire, que souhaites-tu comme cadeau ? »

« Une surprise, papa, fais moi une surprise ! »

Eve était là le lendemain. Après de multiples baisers et caresses, nous nous sommes assis au salon pour converser. Je lui racontais tout des évènements de la veille avec son mari.

« Oh Patrick, tu me fais mouiller avec tes histoires ». Elle releva sa robe et pris ma main pour que je vérifie. Jai caressé ses poils pubiens et fini par lui glisser un doigt. Elle me regardait dans les yeux alors que je mactivais dans son vagin.

« Tu nas rien de plus gros ? ». Demanda-t-elle innocemment en me saisissant les testicules.

« Je crois que si ma chérie, allons dans la chambre ! »

Elle marchait devant moi et je bandais denvie en voyant ses fesses onduler.

Elle fut nue en quelques secondes et menlaça pour un autre baiser. Elle se mit à quatre pattes sur le lit pour me dire :

« Prends moi Patrick. Baises moi ! ». Jaimais bien sa grossièreté. Je me suis dévêtu rapidement pour la rejoindre à genou sur le lit.

Je lui ai pris la chatte sans problème et y allais délicatement. Elle était si belle, si précieuse.

« Bourre moi, Salaud !»

Alors là ! Elle allait voir ! Elle me provoquait.

Je me suis déchaîné comme jamais. Cétait à la limite du viol. Elle en voulait toujours plus, jusquà jouir bruyamment cette fois. Ensuite, elle se releva et me suça pour que jouisse à mon tour et ce fut très rapide tant elle sy prenait bien.

On sest longuement câlinés mais elle devait repartir.

« Attends, Eve, as-tu une idée pour lanniversaire de Benjamin ? »

« Peut-être  ! Je tenvoie un texto tout à lheure, tu verras ! »

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