Les cours senchaînent avec mon lot d’humiliation , à chaque cour je dois écarter mes jambes et de les refermer au claquement de doigt .
J’ai toujours peur que l’on me surprenne dans une position obscène mais je dois tenir et obéir.J’ai bien sur droit au « papier Q » scandé par un petit groupe lors de la pause tout en essayant de parer les tentatives d’envol de ma jupe par ce fichu vent .
Enfin la fin des cours , je nai qu ’une envie de rentrer chez moi, je pars tête baissée lorsque soudain j’entends un sifflement qui stoppe mon élan . Je me fige et je n’ose regarder en direction de celui ci
— Où crois tu aller ainsi Marie !!! Allez monte vite dans ma voiture .
Je monte toute penaude , Léa redémarre en trombe , je regarde à travers la vitre sans rien dire.
Elle se gare sur le parking du centre commercial .Nous nous retrouvons rapidement dans un grand magasin de vêtements
— Quelle taille tu fais ??
— 90D et 42 pourquoi tu me demande cela !!
— Tu verras bien , attends moi dans la cabine d’essayage pour handicapé
Je rentre dans cette grande cabine avec tous ces miroirs , je massied en attendant Léa
— Essaye moi cet ensemble et grouille toi , me dit elle en me jetant l’ensemble au visage
— Léa peux tu me laisser seule dans la cabine s’il te plais
— N importe quoi fous toi à poil tout de suite sinon…
Je mexécute en essayant de cacher mon intimité au mieux mais je maperçois qu’elle a volontairement pris une taille en dessous , je suis ridicule avec mes seins qui sortent de partout ainsi que le string qui disparaît entre mes fesses gourmandes
— Tu es bien en chair dis donc , mets toi à 4 pattes sur le banc dans le coin la bas et baisse la tête
Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait faire puis au bout de 5 minutes tout devint clair.
Avec la réfléchissement des miroirs je suis parfaitement exhibée . Léa s’amuse avec le rideau car j’entends le coulissement du rideau sur la barre. Soudain jentends une voix d’homme dans la cabine , ma respiration se bloque et j’enfonce mon visage dans mes mains de peur dêtre reconnue , je suis piégée comment expliquer cela sans passer pour une fille facile voir dépravée.
je suis sure que cela vous excite de voir une petite traînée dans cette position
Je peux en voir plus mais rapidement car ma femme est dans le magasin
Je sens Léa écarter mon string afin dexhiber encore plus mon intimité à cet inconnu
— Cela vous plairait de la toucher , allez y c’est gratuit c’est jour de solde , dit elle en riant
L’inconnu ne se fit pas prier , il me caresse mon clitoris et enfonce un doigt puis deux.
Je laisse échapper un petit râlement.
— J’aimerais que vous la doigtiez pendant que vous vous masturbiez et vous jouirez sur ses grosses fesses de catin
L’homme suivi les instructions à la lettre , il me doigtait et se masturbant et il joui abondement sur mes fesses et certains jets atterrirent par terre . Puis sans rien dire il range son engin et sort de la cabine en lâchant un petit merci en direction de Léa
— Dépêche toi de te rhabiller sinon on va se faire repérer par une employée , mais avant tu vas effacer toutes les preuves de ta perversion en essuyant le sperme avec le string et soutiens gorge.
Je me dépêche comme une dingue , j’ai trop envie de partir d’ici , le nettoyage fini je sors de la cabine
— Tu n’oublies rien petite traînée ??
— Non Léa j’ai fais tout ce que tu voulais
— voici 50 , récupère l’ensemble souillé et tu vas aller le payer en caisse numéro une
— Non je ne peux pas Léa , je t’en supplie
Elle me regarde avec un regard noir qui me fais comprendre que je dois obéir. Évidement la caisse une est bondée , je m’avance dans la queue avec l’ensemble souillé du sperme de cet inconnu , je le met en boule afin de cacher les traces suspectes. Puis vient mon tour je n’ose regarder dans les yeux la caissière qui doit bien avoir la quarantaine , elle prend l’ensemble afin de le scanner puis le jette dans un sac sur le comptoir
— Mais c’est quoi cette chose visqueuse , c’est dégoûtant mais on dirait du sperme !!!
— Je vous en supplie , je suis désolé voici l’argent gardez tout mais ne me dénoncez pas !!
Les gens derrière moi essayent de s’approcher pour mieux voir d’où vient le problème de la caissière
— Vous croyez que je suis payée pour toucher vos saloperies , je dois appeler le vigile , vous vous expliquerez avec la police car je compte bien porter plainte contre vous espèce de dégénérée !!
Il faut que j’improvise , je feins de pleurer et lui dis
— Madame c’est une mauvaise blague , j’ai perdu un pari et cétait mon gage , c’est du lait concentré , et là je viens de comprendre à quel point je suis nulle de vous avoir fais cela , excusez moi pardon je ne recommencerais plus , j’ai bien retenu la leçon…
La caissière me scrute , réfléchis , me jette le sachet et dis :
— Partez avant que je ne change d’avis mais que je ne vous revois plus ici
— Merci madame et encore pardon pour tout cela ..
Je sors au plus vite du magasin , Léa me talonne , nous montons vite dans sa voiture . Durant le trajet un silence règne , je minterroge , j’ai peur , j’angoisse . Léa gare sa voiture à proximité de chez moi
— Marie tu m’as vendue du rêve aujourdhui , tu as été au delà de mes espérances et ce mensonge à la caissière , je ne peux que te féliciter , me dit elle avec tant de gentillesse puis en m’embrasse tendrement à pleine bouche .
— Je sais que tu as pris du plaisir aujourdhui mais tu ne me lavoueras pas , lorsque tu seras prête tu te livreras et je ferais de toi une femme épanouie et heureuse .
Je regarde séloigner ma maître chanteuse , comment a t elle su que j’avais pris du plaisir avec ses petits jeux malsains.
Être soumise serait alors ma vrai nature ? Je rentre chez moi avec toutes ces questions en tête et peu de réponse pour le moment.