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Dans le salon de beauté – Chapitre 1




Depuis toujours je déteste les poil. Je me suis rasé le pubis pour la première fois suite à une invasion de morbacs dans notre régiment. Depuis je me rase régulièrement. Un jour, dans un sauna homo, je vois une publicité pour un salon de beauté pour homme. Je me renseigne et prend rendez-vous pour le 12 Juillet, juste avant de partir en vacances.

Le jour du rendez-vous il fait une chaleur épouvantable. Comme d’habitude, je me suis préparé en cas de bonne surprise, douche, lavement. je ne porte qu’un short et une chemisette. J’arrive dans un petit salon de beauté, rien à voir avec ces super salons luxueux. Il n’y a qu’un divan pour patienter le long d’un mur et un box séparé de la salle par une cloison de 2 mètres de haut. C’est un homme qui tient ce salon, Serges. Il est grand, assez athlétique, c’est un ancien gymnase, bien bronzé. Je remarque qu’il porte une blouse à même la peau.

— Que voulez vous faire exactement?

— Epilation du sexe et de l’anus.

— Ok mais sachez qu’il va falloir plusieurs séances et que chaque séances coûtent 750 francs. Je ne peux pas vous dire combien de séance il vous faudra, c’est assez variable. Il faut faire une séance toutes les 5 à 6 semaines.

— Pas de problème.

Après avoir rempli le formulaire ad hoc, Serges, me demande de passer dans le box et de me déshabiller. Une fois à poil je m’allonge sur le dos sur une table de massage.

Serges arrive et commence à me mettre de la cire sur le pubis pour mépiler. Au bout d’un moment, il se saisi de ma bite pour l’enduire de cire. La réaction est immédiate et la main sur ma bite associée à la chaleur de la cire, font que ma bite commence à gonfler.

— L’épilation est plus efficace sur une bite raide me dit il.

— Il n’y a cas la raidir.

Sans attendre, Serges commence à me masturber pour me faire bander un max. Il continue à épiler ma verge. Je constate toutefois que du côté de sa blouse, légèrement en dessous de la ceinture, une légère bosse apparaît. Je tend la main et constate qu’il commence à bander. Je déboutonne sa blouse, il me laisse faire, et découvre un beau sexe épilé, avec un gros gland, comme je les aime. En fait il est nu sous sa blouse. Je remarque qu’il est entièrement épilé, poitrine, bras, fesses, jambes.

— Vous êtes toujours à poil sous votre blouse?

— Non mais en ce moment il fait une telle chaleur que je ne supporte pas les vêtements.

— Et bien allons jusqu’au bout.

Serges fini de déboutonner sa blouse et la laisse tomber à terre. J’agrippe sa jambe et l’attire vers moi. Il se laisse faire et je prend sa bite en bouche. Je lui prodigue une super fellation, je constate qu’il apprécie. Il se penche sur moi et me gobe le sexe. La position n’étant pas très confortable, il m’enjambe et nous nous retrouvons en 69. Il a une sacrée expérience, je part dans une jouissance qui m’envahie tout le corps. J’en lâche son sexe qui lui a résisté à ma fellation. Je suis un peu vexé. Je revient petit à petit à moi pendant qu’il s’occupe de faire regonfler ma bite. Lorsque je suis prêt, il finit ma verge. La porte de le boutique s’ouvre et se referme. Serges enfile en hâte sa blouse et sort du box.

— Bonjour monsieur.

— Bonjour, vous désirez?

— J’ai vu une pub sur l’épilation définitive et je suis venu me renseigner.

— Que voulez vous savoir?

S’ensuit une discussion de 10 minutes que se termine par.

— Oui mais j’aimerais voir comment ça se passe. Vous n’auriez pas une cassette de démonstration par hasard?

— Non, nous n’avons pas ça.

Etant un peu, voir beaucoup, exhibitionniste, jinterviens alors.

— Vous pourriez faire une démonstration avec moi.

— Vous accepteriez que quelqu’un assiste à votre épilation?

— Oui bien sur si ça peu vous aider.

— Qu’en dites vous monsieur?

— Ca me va.

Serges et le client entrent dans le box. Je bande toujours car, pendant cet intermède, je m’était continuellement masturbé. Le client me regarde et me sourit. C’est un homme de 25 ans maximum, pas très grand, un peu efféminé.

— Bonjour.

— Bonjour, je vais me mettre dans ce coin.

— Très bien.

Serges termine l’épilation de ma bite et attaque les couilles pendant que j’’entretient la raideur de mon sexe. Le client porte sa main droite sur sa braguette et se frotte le sexe par dessus. Je remarque que Serges ne reste pas indifférent. De nouveau je déboutonne quelque boutons de sa blouse et sort son sexe. Comme prévu il commence à bander, je le masturbe doucement. Le client, dans son coin, n’en perd pas une miette. Je le sent près à sortir son artillerie. Serges, n’en pouvant plus, fini de se déboutonner et enlève sa blouse qu’il jette sur un petit tabouret. C’est le signal qu’attendait le client, il défait sa ceinture et en une seconde, le pantalon et le slip sont sur les chaussures. Il sort un sexe droit comme un I, bien rasé, de taille moyenne, avec un gland très discret. Je lui fait signe de s’approcher et le prend en bouche. J’abandonne la bite de Serges pour m’occuper du client. L’épilation des couilles n’est pas très agréable et de temps en temps j’ai un petit sursaut quand la douleur est un peu plus forte. Le client à l’air d’apprécier ce que je fais car d’un seul coup, je reçois son jus dans la bouche.

— Putain que c’est bon.

J’avale tout, je me retourne vers Serges et le prend en bouche bien décidé a le faire jouir cette fois. Je le pompe tant et ci bien qu’il fini par m’envoyer un flot de sperme que j’avale goulûment. Il s’est arrêté de m’épiler un instant pour reprendre ses esprits. Je me retourne vers le client, surprise, il est nu. Il s’est entièrement déshabillé. Serges, toujours pro, reprend son épilation là ou il l’avait laissée. Je bande toujours et le client vient vers moi pour me gober. Il a une super technique et je part en moins de deux. Je n’aime pas beaucoup jouir vite, les sensations sont moins fortes. Pendant ce temps, Serges a terminé l’épilation du sexe et me demande de me mettre à quatre pattes.

Il se positionne derrière moi et m’enduit le fion de cire chaude. Cela déclenche une réaction immédiate et mon cul commence à palpiter. Comme pour accentuer l’effet de la cire, Serges passe le doigt sur mon cul en appuyant. Je recommence à bander. Serges m’arrache d’un seul coup la cire, ce qui provoque un gémissement de plaisir de ma part. Serges me remet de la cire sur le cul et recommence la manuvre plusieurs fois. Il en rajoute mais je suis au bord de la jouissance. Ne voulant pas jouir comme ça, je m’écris.

— Une bite dans le cul s’il vous plait.

Serges me caresse les fesses et je sent les mains du client qui viennent à la rescousse. Je n’en peux plus, je joui une nouvelle fois et je m’écroule sur la table. Des mains prennent mes fesses; me font pivoter et je me retrouve à califourchon sur la table. La tête d’un côté et les jambes et mon cul de l’autre. Je sent un doigt me mettre du gel sur le fion. Une bite avec un petit gland se positionne à l’entrée. C’est le client. Je porte la main sur cette bite et constate qu’il n’y a pas de préservatif.

— Pas de capote, pas de baise.

— J’en ai une répond Serges.

— Alors c’est vous qui vous occupez de moi.

Je sent un autre gland, plus volumineux celui-là, se présenter, je constate qu’il est encapuchonné, j’écarte les fesses avec mes deux mains et j’attends. Le gland commence sa poussée et entre doucement dans mon antre. Le sphincter se referme dessus et la progression continu jusqu’aux couilles. Commence un pistonnage en règle, d’une grande amplitude. Le gland est toujours à la limite de sortir et chaque réintroduction me procure un immense plaisir. Je sent mon ventre se nouer, mes pieds s’électriser, mon coeur battre de plus en plus vite. Je joui.

— Oui, putain continues c’est super, je joui.

— Moi aussi je viens, une bite dans un cul et une bite dans mon cul, c’est le pied.

Je me retourne et je constate que le client s’était positionné derrière Serges et était entrain de l’enculer sans protection. Il se retire au dernier moment et envois sa semence sur les fesses de Serges.

— Oui, j’aime ton cul.

Tout le monde se calme et reprend ses esprits. Je repère une douche.

— je peux prendre une douche?

— Bien sur, c’est fait pour ça.

Je me dirige vers la douche, ouvre l’eau, commence à me mouiller quand une main vient me frotter le dos. C’est le client qui est entré derrière moi. La main descend vers les fesses, se glisse entre elles et me titille la pastille. Evidemment, bien que fatigué, je réagis favorablement, ce qui encourage le client. Deux doigts commencent à s’introduire dans mon fion. Le gel douche facilite le travail. L’autre main s’occupe de ma bite mais là le succès n’est pas assuré. J’ai joui trop souvent pour avoir suffisamment d’énergie pour recommencer. Il le comprend et se concentre sur mon cul. Un troisième doigt rejoint les deux premiers un un va et vient débute doucement. Je réalise que je n’ai plus assez de force pour bien apprécier ce qu’il me fait. Je lui fait comprendre que je n’en peux plus. Il s’arrête en me souriant. Nous nous frottons mutuellement et après s’être rincé, nous sortons de la douche. Là nous voyons Serges, adossé à la table de massage, entrain de se masturber.

— J’ai encore envie d’un cul.

— Toujours prêt dit le client.

Il avance vers la table et se positionne en écartant les fesses. Serges lui badigeonne le cul de gel et s’enfonce en lui d’un seul coup. Le client a des petits cris de douleur mais, le pistonnage de Serges fait qu’ils se transforment vite en gémissement de plaisir.

— C’est bon, je viens

Je me couche sous la table pour prendre le sexe du client en bouche, il bande déjà bien. Je le suce tout en malaxant ses couilles de la main gauche ainsi que les couilles de Serges de la main droite. Je sent le sexe gonfler et commencer à palpiter. Ca va venir.

— C’est parti cri Serges en larguant tout sur les fesses du client.

— Oui, je viens.

Je reçois le jus du client dans la bouche et j’avale tout.

Serges va vers la douche, suivi du client. Ils se douchent en se poupouillant. Au bout de deux minutes, ils ressortent. Tout le monde s’habille et se retrouve dans la boutique.

— On se revoit? me demande Serges.

— Bien sur, plutôt deux fois qu’une. Je vous téléphone 15 jours avant de venir, c’est bon?

— Une semaine avant, ça suffit.

— Ok. Au revoir.

Je n’ai jamais revu le client. Je suis retourné plusieurs fois chez Serges, le traitement a été d’une totale inefficacité si ce n’est quelques poils en moins, mais les séances mémorables.

Mais ceci est une autre histoire.

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