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Trahisons, ou le Retour de la Grande – Chapitre 16




Catherine connut soudain une sensation de froid. Des vapeurs subtiles mais nauséabondes agressaient son odorat. Achevant d’émerger de son sommeil, ses sens la ramenèrent à la réalité : elle se trouvait, complètement nue, dans une inconfortable cage de fer, baignant dans une atmosphère moisie et pestilentielle, le cou entravé d’un collier relié à une chaîne. La timide lumière filtrant d’un soupirail lui permit de reconnaître les lieux. Refaisant des yeux le tour de sa geôle, son regard se porta vers un coin, se jetant avec dédain sur ces déjections puantes qui peinaient à se déshydrater dans ce milieu malsain. Un vent d’ammoniac lui piquait les narines. Sans doute aurait-elle considéré ces immondices autrement si elle eût su que ses deux amantes avaient été à l’origine de ces indésirables émanations qui l’indisposaient, elle-même ne se doutant pas d’avoir ajouté, en fin de nuit, ses propres urines à celles d’Alicia.

Faisant tinter les maillons métalliques qui la retenaient, Catherine ramena une longue mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille droite, la tignasse s’accrochant au passage aux pics de son collier. En reniflant, elle essuya une larme résultant de l’irritation occasionnée par les piquantes vapeurs environnantes. Son corps entier exhalait une odeur de transpiration refroidie à laquelle s’étaient joints les relents causés par une hygiène trop longtemps négligée.

Un cliquetis métallique se fit entendre. Une lourde porte s’ouvrit, faisant grincer des charnières médiévales attaquées par la rouille. Tyranny apparut, tenant à la main l’immense anneau de métal faisant office de porte-clés.

— Bien dormi ? fit entendre une voix sarcastique.

Cathy ne répondit pas.

— Viens, ma chienne, s’adressa Tyranny à la blonde en ouvrant la cage. La maîtresse t’attend pour faire ta connaissance.

Tout en suivant silencieusement la co-dominatrice, les souvenirs lui revinrent : satisfaite de son altercation de la veille avec cette dernière à l’intérieur du VR dans lequel elle avait été accueillie, la blonde infirmière s’était par la suite docilement laissé attacher à son siège. Le collier au cou, bâillonnée et les yeux bandés, elle avait parcouru en compagnie de Tyranny les quelque quarante-cinq minutes de route qui les séparaient du repaire de la tortionnaire. Poussée de force dans cette cage sous l’éclairage blafard d’un flambeau, elle y avait été abandonnée pour la nuit.

Nullement contrariée de devoir quitter l’enceinte de ce sous-sol insalubre, elle gravit lentement les marches froides, pierreuses et à la surface irrégulière la conduisant en direction des appartements de la Grande, tout en sentant la poussière de roche adhérer sous ses pieds humides et en supportant les coups répétés et humiliants provenant de cette chaîne tenue d’une main ferme par Tyranny qui la tirait vers le haut.

Un coup ultime sur les maillons métalliques fit approcher Catherine à un demi-mètre de celle à qui elle venait se livrer. Levant légèrement la tête, c’est sous une décharge interne d’adrénaline que la fille reconnut sans difficulté le visage de la Grande Scato de StoryX Island. Formée professionnellement à contrôler ses réactions émotives lors de circonstances extrêmes telles que des scènes d’amputation ou de graves traumatismes physiques, l’infirmière resta cependant de marbre à la vue du froid visage de la femme autoritaire qu’elle ne reconnaissait que trop bien, n’exprimant ainsi aucune réaction, se contentant simplement de rebaisser la tête tout en gardant le silence, comme elle en avait reçu la consigne. La Grande toisa la fille, tentant de retenir son souffle devant les fortes odeurs qui accompagnaient ce corps dépourvu de tout vêtement.

— Tu aurais pu au moins laver cet animal, fit Evnika en réprimandant Tyranny.

— Désolée, Votre Domination, répondit l’autre à voix basse. C’était pour vous montrer qu’elle avait bien subi l’humiliation que vous aviez déterminée pour elle.

— Lorsqu’on s’adonnait à des activités scato, ça ne me dérangeait pas, ces odeurs de merde. Mais maintenant, j’abhorre ces choses. Tu le sais, pourtant !

D’un geste sec du revers de la main, elle repoussa légèrement Catherine en direction de Tyranny.

— Ce n’est pas une esclave que tu es allée me chercher, triple incapable, c’est une poupée dégueulasse tout droit sortie d’une benne à ordures ! cracha la Grande à l’adresse d’une fille qui se sentait blêmir dans l’effroyable appréhension d’un quelconque prononcé de sentence.

Tyranny avala difficilement. Elle ne savait que trop bien ce qui attendait celles qui faisaient défaut de satisfaire pleinement les excentricités de la Grande Dominatrice.

— Pitié, Maîtresse ! implora-t-elle à genoux, ayant involontairement, pendant sa génuflexion, tiré avec elle la fille au col entravé. Je… je peux la laver immédiatement, et aux enzymes naturelles si vous désirez. Ça ne prendra que quinze minutes.

— Tu ne mériterais que ça, salope : lécher et avaler toute la crasse qui recouvre son corps. Mais je sais aussi que tu aimerais trop ça, d’avoir à lui chatouiller la chatte et le cul jusqu’à ce que toutes deux fondiez de plaisir. Non mais, pour qui tu me prends ? C’est presque joindre l’insulte à l’injure, cette réponse ! Te rends-tu compte ?

Evnika agrippa Tyranny par le menton, la forçant à se relever.

— Dis-moi, ma belle, serais-tu par hasard passée de l’autre côté, celui de ma femme et de son groupe de rebelles ?

— Aucunement, Madame ! Ne voyez en moi que votre fidèle et dévouée servante.

— C’est préférable pour toi, petite connasse. Ne me fais pas regretter les avantages que je t’ai consentis. Tu sais que je pourrais te rétrograder au simple rang d’esclave sexuelle, comme toutes les autres ? Tu es consciente que certaines d’entre elles n’attendent que ça pour te passer à tabac ?

Empoignant toujours fermement son menton, elle colla son nez au sien avant de lui susurrer la suite :

— J’ai ouï dire entre les branches que d’aucunes te destineraient à tous les sévices que tu leur as déjà fait subir, incluant l’éclatement anal sur le chevalet d’écartèlement !

— Non ! Non, Maîtresse ! supplia l’autre. Par pitié, croyez-moi. Je… je…

La pauvre éclata en sanglots.

— Je suis tellement désolée. J’implore votre Grandeur. Je vous suis toujours fidèle, veuillez me croire !

— À la bonne heure, ma belle salope. Tu ne sais pas à quel point j’aurais envie de t’écorcher les nichons et de t’arracher tous les poils du cul qui te restent. En attendant, procure une couverture à cette fille. Tu ne vois donc pas qu’elle grelotte ?

C’est sans tarder que Tyranny obtempéra, habillant d’une couverture rongée par les mites la froide nudité de la fille qui se frottait à présent les épaules d’inconfort, la chair de poule l’ayant déjà enveloppée.

Evnika souleva lentement vers elle de sa main le menton de la belle blonde.

— Regarde-moi, lui dit-elle à voix basse. Quel est ton nom ?

— Cathy Crisp, Maîtresse.

— Ton VRAI nom, poupée ! Dis-moi comment tu t’appelles.

— Ca… Carine, mentit l’autre.

Evnika fit légèrement pivoter la tête de l’esclave à gauche puis à droite.

— Regarde-moi encore… Mais je te connais, toi ! Il me semble t’avoir déjà vue quelque part…

Nouvelle décharge d’adrénaline, Catherine entrevoyant s’effondrer son plan d’intervention. Elle déglutit difficilement.

— Non, Madame, je ne vous ai jamais vue, je vous le jure ! Je viens du Canada.

— Bon, OK, laissa tomber Evnika. Quoiqu’il en soit, tu réponds à mes critères de sélection et ça ira comme ça. Tu me devras une soumission totale de ta volonté et un total abandon de ton corps de petite pute.

Elle approcha Catherine d’elle. Ses mains se mirent à parcourir, au travers de la couverture, toute la surface de ce frêle corps qui peinait à rester debout devant elle.

— Tu m’as l’air quand même potable. Une belle petite gonzesse en devenir. Je vais faire de toi mon esclave personnelle puisque tu t’es volontairement livrée à moi, contrairement aux autres que j’ai fait sortir de leur trou de misère. Va d’abord te laver et viens me retrouver. J’aurai une tâche à te confier, ce qui te permettra de prouver ta loyauté envers moi, poupée. Allez, file ! Va décrasser ton petit corps puant.

Cathy s’éloigna, accompagnée de Tyranny qui se fit soudainement plus douce envers elle. Cette dernière la libéra de son collier et lui prépara un bain chaud à l’intérieur duquel la blonde se glissa sans se faire prier.

— Décrotte-toi bien, lui intima la co-dominatrice sur un ton neutre en lui balançant un gant de crin. Je reviendrai te chercher et tu reverras la maîtresse par la suite.

C’est dans un mousseux et réconfortant bain de bulles que Catherine, enfin seule, connut un moment de détente. Tout en procédant à ses ablutions, elle appréciait la douce musique classique qui jouait en sourdine, la plongeant dans l’atmosphère feutrée d’un lieu évoquant davantage l’hôtel que la caverne d’une créature sadique. L’endroit dans lequel elle se trouvait était plutôt accueillant, décoré avec goût de pièces d’ameublement luxueuses, la fille ignorant qu’il s’agissait en fait de l’antichambre des appartements privés de la dominatrice et de sa femme. Un lit trônait dans un coin de la pièce, invitant ses éventuelles occupantes autant à un repos bienfaiteur qu’à des ébats passionnés.

— Quel bel environnement, pensa-t-elle. Les esclaves de la Grande ne sont sûrement pas aussi bien logées…

Tout en passant et repassant le gant de crin sur son épiderme, elle s’efforça de dresser le bilan de sa situation. Son premier objectif, celui de pénétrer dans le repaire de la cruelle femme, avait été atteint. Bien que le fait de revoir le froid visage d’Evnika avait constitué un choc en lui-même, elle n’en était pas moins satisfaite de ne pas avoir fait tout le voyage inutilement.

La suite ne s’annonçait pourtant pas moins difficile : retrouver Alicia et Sophie, à tout le moins si ces deux filles se trouvaient effectivement ici, et ce, sans se faire démasquer, au risque de tout faire échouer. Deux des trois membres du trio maskoutain étaient probablement déjà dans les griffes de la femme tyrannique. Il ne fallait pas que l’histoire se termine avec l’engeôlement complet du groupe sans aucun espoir de sortie. Evnika était toujours à craindre, semblant tout aussi impitoyable que sur son ancienne île de StoryX, s’il fallait en juger par les derniers échanges entre elle et Tyranny.

Et une question demeurait : une fois les deux tourterelles retrouvées, on sort comment ?

Mentalement épuisée, Catherine laissa tomber toutes ces considérations comme elle s’affairait maintenant sur ses parties féminines. Seuls sa tête et ses genoux émergeant de la mousse parfumée qui enveloppait son corps, elle commença à se doigter en se chatouillant doucement le clito. Fermant les yeux, elle s’abandonna lentement aux agréables stimulations dont elle gratifiait son bouton d’amour, soupirant de bien-être, faisant de plus en plus abstraction de l’environnement dans lequel elle se trouvait.

C’est en sursautant violemment, faisant gicler l’eau hors de la baignoire, qu’elle se fit ramener à la réalité par une voix autoritaire :

— On ne se masturbe pas ici, c’est interdit ! Quand on veut jouir, on trouve sa maîtresse ou une consoeur, et on lui demande une baise.

Tyranny se tenait près du bain, venant de prononcer ces paroles. Elle tendit une grande serviette à Catherine qui s’en ceignit de la poitrine aux cuisses.

— Allez, bouge tes fesses ! La Grande t’attend.

Confortablement installée, Evnika reçut la blonde dans la pièce voisine, autour d’une table généreusement garnie de mets succulents. À la fois affamée et excitée à la vue du buffet regorgeant de victuailles de tous genres, la fille s’y précipita, oubliant son vêtement de fortune qui se retrouva par terre, exposant une nudité digne de Vénus.

— Tes nichons sont mignons et tes fesses sont vraiment craquantes, remarqua Evnika à l’adresse de celle qui se penchait afin de ramasser la ratine dans laquelle elle s’enroula de nouveau. Ce serait dommage que ce si beau corps ne soit pas davantage mis en valeur. Et j’aime les minous aux poils fins et blonds, ils me font presque baver.

— Que voulez-vous dire, Maîtresse ? sembla s’inquiéter Catherine alias Cathy Crisp.

— J’y reviendrai, poupée, t’inquiète, se contenta de répondre l’autre.

Invitée à s’attabler à son tour, la jeune s’installa sans se faire prier davantage. C’est à deux mains qu’elle s’attaqua aux plats de viandes et de fromages qui s’offraient à elle.

Ayant agrippé nonchalamment une grappe de raisins, Evnika recula son fauteuil. Vêtue d’un moulant bustier laissant clairement deviner ses mamelons percés, elle écarta légèrement les jambes, exposant à la vue de Cathy Crisp son sexe épilé sous sa micro-jupe de cuir noire. Des bas résille noirs complétaient son aguichante tenue vestimentaire.

— Comme tu peux voir, chérie, je n’ai rien à te cacher puisque tu es mon esclave personnelle. Tu seras dans mon lit selon mon bon vouloir. En d’autres temps, je te prêterai à ma femme, bien que je me demande présentement si elle mérite d’avoir un si beau corps dans ses draps. C’est que, vois-tu, elle me donne un peu de fil à retordre, ces temps-ci. Aussi, c’est quelque chose à laquelle je devrai réfléchir. Quoiqu’il en soit…

Elle se leva, s’approcha de la jeune et lui caressa les cheveux. Davantage préoccupée par la bouffe que par les câlins que lui prodiguait la Grande, Catherine demeurait toutefois attentive aux paroles de sa nouvelle maîtresse.

— Donc, j’ai une tâche à te confier, ma belle, fit l’autre. On t’avait parlé d’un gode qui éjacule du faux sperme ?

— Humm, oui, je crois, se fit difficilement entendre une réponse à travers une bouche bien remplie.

— Il y a comme un petit début de rébellion au sein de mon harem. Quelques-unes de mes filles m’ont confié vouloir connaître de nouvelles expériences de sexe, dont certaines avec… des mâles !

Aucune réplique ne suivit cette dernière affirmation.

— Des mâles, tu rends-tu compte, Cathy Crisp ? Des mâles !

— Quoi ? C’est pas plutôt normal pour des filles ? Elles ne sont peut-être pas toutes gouines, après tout ? Et il y a aussi des bi, sans doute…

— Ton travail sera de coucher avec ces quelques filles que je te désignerai et de simuler avec elles un ensemencement avec ton gode-ceinture. Je veux que tu les écures suffisamment durant cette expérience pour qu’elles renoncent définitivement à ce stupide fantasme.

— Vous êtes du genre misandre, à ce que je peux voir…

— Les hommes ? On ne peut en tirer aucun plaisir. Ils sont bourrus, brutaux et égoïstes. Les mâles ne sont bons que pour la reproduction de l’espèce féminine. Ils sont nuls pour faire l’amour aux femmes et leur donner du plaisir. Tout ce qui les intéresse, c’est d’arriver le plus vite possible à leur orgasme afin de décharger leur semence à l’intérieur de leurs femelles, que celles-ci aient joui ou non. L’homme s’en balance complètement de savoir si sa partenaire aura ou non profité du coït dans lequel elle aura été impliquée.

— Il y en a pourtant un peu qui s’en soucient, vous ne trouvez pas ?

— Du tout ! Seule la femme détient le pouvoir de se préoccuper de cette question. Elle seule, parce qu’elle sait exactement ce qu’une autre femme peut ressentir, ayant toutes deux la même anatomie. Il n’y a que la femme qui possède les compétences requises pour faire jouir sa partenaire de jeux sexuels. L’homme, cet abruti, saute sur sa femelle, il lui dévore les seins et lui déboîte le cul pour ensuite lui enfoncer sa queue de cochon avant de se décharger en elle en grognant tel un sanglier. La femme, elle… Oh, la femme ! Elle est toute douceur avec sa partenaire. Elle lui caresse tendrement les seins, les couvre de baisers, étudie de ses lèvres la tendreté de ses aréoles, prend le temps de sentir son téton durcir d’excitation sur sa langue. Elle est à l’écoute du moindre soupir, du moindre gémissement de celle qu’elle prend dans ses caresses. Elle prend le temps de savourer chaque repli du corps qui s’offre à elle. La femme qui baise une autre femme n’est pas pressée de jouir. Elle chatouillera de ses doigts et de sa langue le clito de sa copine jusqu’à ce qu’elle l’entende crier de plaisir.

Elle fera frétiller sa rondelle jusqu’à ce que l’autre la supplie de l’explorer à fond. Et après, seulement après qu’elle se sera assurée que sa partenaire a atteint son Nirvana, elle s’abandonnera à son tour à ces saphiques gestes d’affection qui la feront jouir à son tour, encore et encore.

— D’autre part, reprit-elle, je ne comprendrai jamais quel plaisir une femme peut éprouver en suçant un organe mâle pour ensuite se faire asperger la bouche de sperme rempli de micro-organismes vivants. Qu’y a-t-il d’attirant dans ce visqueux liquide qui pue l’eau de javel et qui possède un amer goût d’oignons pourris ? Dégueulasse ! La mouille d’une amante, par contre, quel délice ! Quelle douceur ! S’en délecter, c’est se donner d’intimes joies mutuelles que seules deux femmes peuvent partager dans leur saphisme. La femme, conclut-elle, est faite pour donner et recevoir du plaisir alors que l’homme n’est bon que pour la reproduction. Chaque fille qui vient au monde est destinée aux joies sensuelles. Chaque garçon n’est qu’un futur géniteur.

— Mais quand un homme et une femme s’aiment vraiment, n’en est-il pas autrement ? sembla s’opposer Cathy Crisp entre deux bouchées.

— L’amour ? Encore l’amour ? Mais qu’est-ce que vous avez toutes à me rabâcher aux oreilles ce mot insignifiant ? s’impatienta la femme aux cheveux cobalt. Tout ce qui compte dans ma conception des choses, c’est le plaisir, le fun à l’état brut. Je ne crois pas à l’amour. L’amour fait perdre la tête aux gens qui prétendent le connaître et les rend malheureux. Ma jouissance, je la trouve dans la domination tandis que d’autres ici la trouvent dans la soumission. Je récompense celles qui m’obéissent. Je punis celles qui me trahissent. C’est comme ça ici avec moi, poupée !

Cette longue tirade ayant pris fin, Evnika résuma sa requête :

— Je te confie donc cette mission’. D’après ce que Tyranny m’a dit, tu t’en es très bien tirée lors de ton audition avec elle, dans le camper. Je compte donc sur toi pour arriver à mes fins.

(À venir : La soubrette)

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