Moi, Eric, 60 ans, blanc. Elle, Emma, 20 ans, black.
Il est deux heures du matin et on se retrouve à poil dans une chambre d’hôtel.
Elle me saute au cou et frotte son ventre sur mon sexe dressé:
— Baise moi papy, baise moi, je n’en peux plus…
Cette situation, aussi improbable qu’idyllique, mérite un rappel des faits (voir les récits précédents pour plus de détails).
On s’est connu grâce à internet et une partouze que l’on organisé, à six, sur plusieurs jours, entre gens adeptes de l’inceste. Elle y était avec son grand père, moi avec ma petite fille, et aussi un autre couple tel que nous. Elle m’a avoué, lors d’une nuit avec moi, son fantasme de faire l’amour avec un chien. On s’est quitté, ravi de notre rencontre, en s’échangeant nos numéros de portables.
J’ai une copine qui bosse à la montagne avec des chiens de traineaux, je l’ai contactée pour voir la possibilité de satisfaire ma jeune petite copine. Elle me confie que si ses chiens sont son outil de travail, elle les utilise aussi pour des activités secrètes et lubriques. On se met d’accord et j’appelle Emma pour lui proposer un plan qu’elle accepte sans hésiter.
Ce sont les vacances scolaires, ma petite fille que j’héberge pour ses études me quitte pour rentrer chez ses parents, et Emma quitte son grand-père pour passer huit jours de vacances avec moi. Peut-être que son grand-père lui manque déjà, comme moi ma petite fille, toujours est-il qu’elle veut que l’on s’invente le même lien de parenté.
Dès le premier soir on s’est fait un énorme plan zoo que l’on avait programmé, suivi d’une baise à trois à l’hôtel, imprévue celle là. Il est deux heures du matin, notre partenaire homme, le réceptionniste, vient de nous quitter, et Emma est chaude comme une baraque à frites:
Elle s’est allongée sur le lit, les cuisses ouvertes, et elle écarte ses lèvres noires pour m’offrir son écrin tout rose:
— Baise moi papy, regarde ma chatte comme elle a envie de ta queue!
Je viens aussitôt sur elle, et vu l’état de son huître détrempée de s’être masturbée, je sais qu’elle n’a pas besoin de préliminaire. Je glisse mon manche dans sa fente où il disparait comme gobé par sa chounette vorace. Je me mets aussitôt en mouvement:
— Oui, oui papy, baise moi fort, vous m’avez trop excitée tous les deux à vous enfiler.
— Ca t’a plu?
— C’était génial, mais je n’aurais jamais cru ça de toi, et encore moins avec les chiens.
— Je ne te choque pas, j’espère!
— Non, au contraire, tu es aussi vicieux que moi et j’adore.
— Tant mieux petite salope, et ma bite qui te lime, elle te plait.
— Tu le sais bien mon papy cochon, je l’aime trop ta grosse queue, je ne peux pas m’en passer. Et toi, tu l’aimes ma chatte?
— Bien sûr ma petite fille incestueuse, tu as la plus belle et la meilleure de toutes.
— Montre moi combien tu l’aimes; qui aime bien châtie bien, alors bourre la, défonce la, matraque la. Prends moi de toutes tes forces, je suis ta salope, ta pute. Remplis moi, je veux ton sperme dans mon ventre, je suis ta vide couilles.
-Ok, putain de petite fille, je vais être ton chien et toi ma chienne, mon sac à foutre. Bon et maintenant on la ferme, on va avoir besoin de souffle.
Je me déchaine et lui assène de bons coups de boutoir qui la font gémir et jouir de plus en plus fort. Elle crie et pour éviter de gêner les éventuels voisins je soude ma bouche à la sienne. Elle passe ses bras autour de mon cou et on s’embrasse fougueusement. Je ne cesse de la pilonner, et elle lève les jambes, les referme sur mes reins pour mieux s’offrir. Elle dégouline et on entend le clapotis de mes allées venues dans son jus de jeune femme, encore plus bruyant que nos pelles baveuses. Je la tringle un bon moment, m’étonne d’être aussi performant, mais il faut dire que j’ai une partenaire de premier choix.
Je finis par jouir, et je décharge violemment, j’éjacule plusieurs giclées que je devine chaudes et abondantes. J’ai terminé, ses étreintes se relâchent, nos bouches se dé-scotchent, et on échange de tendres baisers et de tendres mots pour se remercier, se féliciter réciproquement. Je me retire, tourne sur le dos, et elle vient sur moi en 69. J’ai un peu de sperme sur la queue, surtout de la mouille partout, et elle nettoie tout. Quand à moi, je nettoie sa chatte, me désaltère de sa délicieuse liqueur ainsi que de mon foutre que je récupère jusqu’à la dernière goutte.
On est trop crevé pour se laver et on s’allonge l’un contre l’autre, on éteint la lumière, et on discute un peu avant de dormir:
— Je n’en reviens pas de tout ce que j’ai fait en un jour, et grâce à toi Eric. Quel dommage que tu ne sois pas mon vrai papy!
— Merci ma chérie, mais ton papy s’occupe bien de toi, lui aussi.
— Oui, mais c’est toujours pareil. Il n’est pas aussi cochon et dépravé que toi.
— Il a d’autres qualités, physiques. Tu as du trouver que j’en avais une petite en comparaison!
— Non, rassure toi, elle est super belle ta bite, et elle me fait le plus grand bien. Après, c’est vrai que mon papy est super bien monté, mais depuis notre partouze où je lui ai offert mon cul pour la première fois, il ne pense plus qu’à ça.
— Ca ne doit pas te déplaire!
— Salaud, on voit bien que ce n’est pas toi qui le prend son engin. J’aimerais qu’il pense un peu plus à ma chatte.
— Et tu ne lui dis pas! Il te sodomise de force.
— Non, il est trop gentil. Il pense que c’est ce que je préfère et je ne veux pas le décevoir. En plus c’est vrai que j’aime ça.
– Et il aime les hommes ton grand-père?
— Je ne sais pas. Je ne le vois se faire enculer, mais si un mec lui offre son cul, il ne va hésiter. Mais dis-moi, c’est pour toi que tu te renseignes?
— Oui, j’aimerais une partie à quatre, avec toi, lui, et ma petite fille, et que l’on s’aime dans tous les sens.
— Et tu crois que tu peux prendre son énorme bite?
Je lui confie alors que j’ai acheté un gode ceinture noir, encore plus gros que le sexe de son papy, pour satisfaire Anne-Laure, ma petite fille, qui ne jure plus que pour des queues démesurées. Je la prend recto verso avec, quand ma queue qu’elle aime toujours est en panne, et puis on en est arrivé à ce qu’elle s’en serve pour me sodomiser. Elle me dit qu’elle a de la chance, semble envieuse d’avoir un manche impossible dans la chatte, et je lui propose que l’on aille le chercher.
J’habite à une heure de route, et on prévoit de partir vers onze heures du matin. En attendant on va s’endormir pour un repos bien mérité.
On fait une grasse matinée très sage, et on part à l’heure prévue. A midi on est tout près de chez moi, et on s’arrête dans une cafétéria pour déjeuner vite fait.
Une heure plus tard on est chez moi, et je l’emmène dans la chambre de ma petite fille. Je sais où elle range notre gode, et je le récupère. Emma ouvre de grands yeux émerveillés:
— Ouah! la bite! Tu as raison, elle est encore plus grosse que celle de mon papy.
— Je sais, c’est Anne-Laure qui l’a choisit, aux mensurations de Charlie, le grand-père de Vanessa, tu te souviens?
— Tu parles si je m’en souviens, je l’ai pris partout son morceau, 25×6 si je me rappelle.
— Oui, c’est tout a fait ça, tu veux le reprendre, en faux bien sûr.
— Oh oui papy, je suis déjà toute mouillée, baise moi, mais rien que la chatte, promis!
— Oui ma petite salope chérie, juste ce que tu veux. Mais d’abord je te baise avec ma queue.
— J’espère bien, j’allais te le demander, j’ai aussi envie d’une vraie, tant pis si elle est plus petite, pourvu qu’elle soit bien juteuse.
— Pour ça ne t’en fais pas, j’ai des couilles qui se rechargent à volonté.
— Oh oui papy, remplis moi de ta semence, féconde moi, engrosse moi.
Elle prend la pilule cette putain, et sait qu’elle ne risque rien; elle veut juste m’allumer encore plus, salope.
On se déshabille et elle s’installe à quatre pattes sur le lit, les genoux au bord. Je viens debout derrière elle, je la sais toute mouillée, et je pousse mon gland épanoui entre ses chaleureuses lèvres. Je la prend en levrette, et elle couine rapidement de plaisir. J’ai peur qu’elle ne crie trop fort, le gode est tout près d’elle et je lui demande de le sucer. Elle le met debout devant elle et se penche dessus pour l’emboucher, se cambrant ainsi pour mieux s’offrir à mes assauts. Je la tringle virilement tandis qu’elle pompe le joujou:
— Elle te plait salope cette grosse bite?
— Oh oui, elle est magnifique, on dirait une vraie, et bien noire en plus, ça me rappelle Charlie. Ce qu’il m’a mis ce vieux cochon, c’était trop bon! Dépêche toi de jouir, il me tarde de la prendre.
— Patiente un peu, je veux prendre mon pied moi aussi avec ta putain de chatte, elle est trop bonne.
Je la baise encore quelques instants jusqu’à ne plus pouvoir me contrôler. Je la bourre comme un âne, et je me répands dans ses entrailles:
— Oui, c’est bon comme tu éjacules, vide bien tes couilles, donne moi tout, j’aime être remplie de sperme…
Je lui offre tout ce que j’ai et elle me tend le gode pour se prendre une deuxième ramonée bien plus conséquente. Je me retire et plante le gode jusqu’au socle dans sa fente lubrifiée de mouille et de foutre. Elle gémit de bonheur et je m’empresse de m’équiper pour la baiser en toute démesure. C’est un gode spécial homme, creux à l’intérieur et capable d’accueillir mon sexe en pleine érection. Je m’enfile dans cet étui soyeux et m’harnache serré pour la prendre comme avec ma queue, bien solidaire de mon corps et de mes reins. Je la baise selon ses attentes et ses encouragements qu’elle m’adresse en toute impudeur:
— Oui, oh putain que c’est bon, elle trop bonne ta grosse queue, baise moi, baise moi, tu me rappelles Charlie; cette chance qu’elle a Vanessa!
— Sauf que son grand-père doit lui mettre aussi dans le fion. Ca te plairait que je t’encule avec mon bel engin?
— Oui, mais pas de suite, je veux d’abord en prendre plein la chatte.
— Ok petite salope, je vais lui faire sa fête à ta chounette.
Je la baise longuement, écoute toutes ses demandes, ses envies, la satisfait pleinement. Je bande à mort, et je sens ma queue effleurer les parois intérieures du gode:
— Tu me fais trop bander Emma, j’ai envie de ton cul. Je veux te la mettre, la mienne, et ensuite tu auras droit au gode. Tu veux bien?
— Oui, fais toi plaisir. Et si tu veux me casser le cul, tu peux, mais à une condition: tu t’occupes ensuite de ma rose.
— De ta rose! Comment ça?
— Ma rose anale, tu ne connais pas?
— Si, j’ai vu des vidéos, mais je m’étonne que tu pratiques ce truc, surtout que tu m’as dit que ton grand père n’était pas très vicieux.
Je défais ma ceinture, me retire, enlève le gode, et m’accroupis pour préparer son petit trou. Elle est rapidement ouverte, je me relève pour lui planter mon manche, et on reprend notre discussion tandis que je l’encule tel un métronome.
Elle m’explique que son grand-père n’y est pour rien, ou presque. En fait il lui arrive parfois d’être super excité, peut-être parce qu’il a un peu trop bu, et elle se prend une ramonée comme rarement elle en prend. La première fois elle est allé se faire la toilette, et a senti une grosseur qui sortait entre ses fesses et lui emplissait la main. Elle était affolée, n’a rien osé dire à son papy, et a recherché sur internet. Elle a vite été rassurée et soulagée en voyant que c’est une pratique sexuelle. Elle a découvert des vidéos choquantes pour le commun des mortels, mais qui l’excitaient et la faisaient mouiller des deux trous. Certaines des actrices faisaient ça en solo, et elle s’y est mise elle aussi:
— Voilà, je t’ai tout raconté. Je n’ose pas proposer à papy de jouer avec moi, mais toi je suis sûre que tu es assez cochon pour accepter.
— Volontiers. Je n’ai jamais pratiqué, mais j’ai vu des vidéos moi aussi. Par contre je n’ai pas trouvé des filles blacks qui jouent à ce jeu; elle est comment ta rose, rose ou noire?
— Ne t’en fait pas, elle est bien rose comme tu aimes, aussi rose que ma langue ou mon vagin, et elle ressort à merveille entre mes fesses noires. C’est ce que tu veux?
— Tu me connais bien, tu sais ce que j’aime.
Je la tringle toujours, l’idée de sa fleur m’excite au plus haut point, et je décharge au fonds de son petit trou, l’inonde de mon plaisir. Je me retire, m’équipe du gode et la reprend:
— Putain de salope, ce garage à bite que tu as! Quand je pense que tu te plains des saillies de ton grand-père, je suis sûr que tu aimes trop ça. Ose dire le contraire!
— Oui, tu as raison, c’est trop bon comme il m’encule. Défonce moi toi aussi, bourre moi comme lui, éclate moi le cul et tu auras ta récompense, ma belle rose qui prend l’air.
— Chienne, pute, je vais te le démolir ton cul et tu vas voir combien j’aime les fleurs.
Je la matraque, elle gémit, jouit, gueule de plaisir, jusqu’à demander grâce. Je me retire et m’agenouille, la gueule face à sa rondelle béante.
Je vois alors apparaître une jolie boule qui vient s’épanouir comme une rose éclose. Elle est magnifique, d’un joli rose foncé, toute lubrifiée de mon sperme et de sa mouille anale. J’avance mes lèvres pour les poser délicatement sur ses pétales, l’embrasse, la lèche tendrement, mais ça lui semble trop sage:
— Prends la dans ta main ma belle fleur, pelote la, tripote la, fouille la.
— Je veux bien, mais je ne voudrai pas te faire mal.
— T’inquiète, ça ne risque rien, sauf si tu es brutal.
— Tu es sûre que ce n’est pas dangereux, je ne veux pas l’abimer ton joli cul.
— Tu peux y aller je te dis, regarde!
Elle passe son bras dans son dos et empoigne sa chair interne à l’air libre. Elle la secoue, la masse, raisonnablement, puis elle introduit ses doigts, jusqu’à quatre. Puis elle repousse son paquet à l’intérieur et introduit son poing fermé. Elle le ressort, sa fleur éclot à nouveau, et elle recommence. Elle arrête sa démonstration, m’encourage à prendre la suite, et se lèche les doigts tandis que je m’initie à ce petit jeu très excitant.
Je dois bien me débrouiller au vu de ses gémissements, sa fleur est de plus en plus belle et je résiste pas à la bouffer. J’y vais à pleine bouche, gobe chacun de ses replis pour m’empiffrer de ses différents nectars. Elle s’affole, me demande si j’ai des glaçons, me dit qu’elle aime se caresser avec, se les introduire.
Elle vient avec moi au congélateur, il y a des mini magnums au chocolat, et je les lui propose à la place de ses cubes d’eau. Elle est toute excitée par cette excellente idée, et on en prend trois. On enlève l’enrobage de chocolat noir, pour qu’il ne reste que la glace, et on les pose dans un petit bol. On repart à la chambre, on se réinstalle et elle s’empresse de ressortir sa fleur. Je lui donne un bâton glacé et lui laisse la primeur de commencer. Elle caresse bien les parois externes avec ce dessert qui commence à fondre au contact de sa chaude chair, puis se l’enfonce dans son trou qui s’ouvre tout seul pour accueillir ce délicieux mini gode. Elle se masturbe quelques secondes, le retire, puis le suce. Je prends le relais avec un deuxième et pratique comme elle. Je suce mon esquimau et c’est à son tour de se caresser et se branler à nouveau. Les glaces ont fondues, et on suce les bâtons.
Il reste une glace, je l’introduis au cur de sa fleur, et la laisse finir de fondre tandis que je pourlèche sa corolle chocolatée.
Le magnum est fondu, je retire le bâton et elle remet sa main entre ses fesses et enserre sa fleur au ras pour l’empêcher de se rétracter. :
— Mets moi ta queue, mets moi tes couilles, encule moi en restant dehors.
Une fois plus de plus je ne sais si c’est risqué, mais je suis trop excité pour discuter; et puis elle a l’air de savoir ce qu’elle fait. Je glisse ma bite à l’intérieur de son pistil rempli de chocolat, mais suis vite bloqué par le cercle de ses doigts. Je prends alors son engin à deux mains et me branle le gland avec, comme avec une deuxième peau qui me caresse et que je caresse. Ca déborde de partout et j’étale les dégoulinades sur mon manche et sa vulve. Mon plaisir monte vite et le sien aussi, et on jouit violemment tous les deux. Je me retire et elle revient à la charge:
— N’oublie pas tes couilles mon papy cochon, tes grosses couilles vides, flasques et pendantes. Donne les lui à bouffer à mon putain de cul.
Je m’exécute , enfourne mes boules, et me caresse, la caresse, à nouveau. Elle jouit une fois encore, et on stoppe.
On s’allonge sur le lit, les entres cuisses nappés de chocolat, et on se fait un bon 69 gourmand pour se nettoyer. Elle ressort sa fleur plusieurs fois, et je lui fait une toilette très intime, jusqu’à ce qu’elle soit toute propre. On va à la salle de bain pour fignoler par un lavement que je lui administre avec grande douceur.
On se fait un petit câlin sur le lit:
— Oh papy, c’était génial! Et toi, ça t’a plu?
— Je veux oui, mais tu es sûre que c’est sans danger.
— C’est ce que j’ai lu, il faut juste que ce ne soit pas brutal et ne pas le faire en permanence. Mais d’ici mon départ on peut recommencer si tu veux.
— Avec plaisir, c’était trop bien, je ne sais pas comment te remercier.
— Moi je sais!
— Dis moi ça, c’est accepté d’avance.
— Je t’encule avec ton gode, encore mieux que ne le fait Anne-Laure, ta vraie petite fille, et puis tu m’offres ta rose anale.
— Je veux bien, mais je ne suis pas sûr que celle d’un vieux porc soit aussi appétissante que celle d’une jeune minette.
— Ne t’en fais pas pour ça, j’en ai vues sur internet et j’ai mouillé à flots. Je la veux ta fleur.
— Ok, mais on attend demain, il faut que l’on se repose un peu. Tu sais que Stéphanie nous attend ce soir, avec ses chiens.
— Oh oui mon papy, je ne risque pas oublier, je ne pense qu’à ça.
On continue notre câlin, on parle de nous pour mieux faire connaissance, puis on repart à la montagne en apportant le gode que l’on est venu chercher.
A suivre……. dans Emma et les chiens, elle réalise son fantasme n°5